Danse

3 jours, 3 nuits

Distribution

Concept, chorégraphie et performance : Louise Vanneste –  Son : Cédric Dambrain – Dramaturgie : Sara Vanderieck – Scénographie : Arnaud Gerniers, en collaboration avec Esther Denis – Eclairage : Arnaud Gerniers – Assistante chorégraphique : Anja Röttgerkamp – Regard extérieur : Paula Almiron – Voix : Betty Lamoulie et Véronique Dumont – Diffusion, production et administration : Alma Office – Alix Sarrade.

Résumé

Danseuse, pédagogue, chorégraphe, Louise Vanneste est sur tous les fronts. Au sein de sa Compagnie Rising Horses, elle développe un travail chorégraphique pointu, en étroite collaboration avec des artistes plasticiens, musiciens ou vidéastes. Avec 3 jours, 3 nuits, Louise Vanneste revient à la forme solo et se lie à des phénomènes géologiques par le prisme de leurs caractéristiques physiques et chimiques. Ces rencontres donnent naissance à une figure hybride qui se laisse envahir par des récits, des hallucinations, des informations scientifiques, des souvenirs, des sensations… Une oralité chorégraphique nait de ces expériences immédiates et intuitives. À travers une écriture polyphonique et kaléidoscopique, le son, la lumière, le texte et le corps s’assemblent pour créer une forme d’épopée science-fictionnelle et onirique visant ainsi à explorer les limites de ce qui est humain ou géologique, mais aussi de ce que l’on peut représenter ou sonder. Louise Vanneste est artiste en résidence à l’UCLouvain pour les années 2023–2024 et 2024–2025.
© Little Shao

Adrenaline

Distribution

Conception, Chorégraphie & Interprétation : The Ruggeds (Jessy « Jazzy Gypz » Kemper, Niek Traa, Roy Overdijk, Lee Lou Demierre, Cis Brans, Lorenzo Caboni, Sean ‘SHINSHAN’ Salazar Tavera et Virgil « Skychief » Dey) – Direction artistique : Niek Traa – Dramaturgie : Jonzi D – Assistance à la direction : Delphine « Deydey » Nguyen – Conception éclairage : Ido Koppenaal – Conception sonore : Y’skid & FORTBEIGE – Scénographie : Robin de Kruijff (Motion Paintings) / Klim van de Laarschot (Spearhead.nu) – Œuvres projetées : Klim van de Laarschot (Spearhead.nu).

Résumé

Spectacle proposé en remplacement de « Between us ». The Ruggeds, c’est une famille. Une bande de jeunes breakers néerlandais, champions du monde récidivistes, présente dans les plus grands battles mondiaux, à la télévision aux États–Unis, sur les scènes de New York, Tokyo, Londres… et bientôt à Louvain–la–Neuve ! Les acrobaties et la vitesse effrénée des Dance Battle débarquent sur scène ! Au rythme de la batterie et de projections hypnotisantes, huit danseurs sautent, glissent et s’accrochent aux lampes suspendues en invoquant les plus époustouflantes figures des styles hip-hop, jungle, house et breakbeats. Au coeur de ces tours de force répétés : une quête incessante d’adrénaline. Exigeant une concentration absolue dans le moment présent, celle-ci bloque notre regard sur l’avenir. Jusqu’où cela les mènera-t-il ? Risqué, spontané, drôle et virtuose…

ANNETTE

Distribution

Conception et mise en scène : Clémentine Colpin – Co–conception et collaboration artistique : Olivia Smets – Avec Annette Baussart, Clémentine Colpin, Pauline Desmarets, Ben Fury, Alex Landa Aguirreche et Olivia Smets – Dramaturgie : Sara Vanderieck – Scénographie et costumes : Camille Collin – Stage scénographie : Elisa González – Création sonore : Noé Voisard – Création lumières : Nora Boulanger Hirsch – Confection costumes : Cinzia Derom – Assistanat à la mise en scène : Charline Curtelin et Lila Leloup

Résumé

Il y a des rencontres qui vous marquent à jamais. Pour Peter, Wendy, le temps, les Autres qu’elle met en scène au Vilar en 2019, Clémentine fait la connaissance d’Annette et cela bouleverse son rapport au monde. Les deux femmes comprennent très vite qu’elles n’en ont pas fini d’échanger. Indomptable, emplie d’un insatiable désir d’ailleurs et de liberté, Annette a toujours fini par se défaire des rôles dans lesquels elle était prise (mère, épouse, femme,…), non par choix militant ou politique, mais parce qu’il lui était impossible de faire autrement. Au cours de nombreux entretiens, elle offre à Clémentine plus de 70 ans de vécu intime et lui parle de ses choix, de l’histoire de son corps, de ses échappées même les plus violentes. Comment partager en retour le cadeau de cette mémoire donnée ? En convoquant sur scène Annette, deux comédiennes et deux danseurs, et en tissant ces souvenirs à des mondes fantasmés, ce portrait en format paysage propose un autre regard sur la vieillesse. Entre exploration philosophique, fête de carnaval, récit et danse collective, ANNETTE est un hommage aux multitudes que nous sommes, à nos métamorphoses et à nos renaissances.

Celui qui tombe

Distribution

Conception, scénographie et direction artistique : Yoann Bourgeois – Avec Marie Bourgeois, Agnès Canova, Julien Cramillet, Kerem Gelebek, Jean-Yves Phuong et Sarah Silverblatt-Buser – Assistante artistique durant la création : Marie Fonte – Création lumières : Adèle Grépinet – Création son : Antoine Garry – Travail vocal : Caroline Blanpied, Natalie Pérez et Jean-Baptiste Veyret-Logerias – Création costumes : Ginette / Sigolène Petey – Régie générale : David Hanse ou Julien Soulatre – Régie lumières : Julien Louisgrand ou Magali Larche – Régie son : Tania Volke ou Didier Barreau – Régie plateau : Etienne Debraux ou Alexis Rostain – Maitrise d’œuvre et construction scénique : Ateliers de la Maison de la Culture de Bourges, Pierre Robelin, Cénic Constructions et Nicolas Picot (C3 Sud Est)

Résumé

Comment rester debout quand le monde lui-même vacille ? Un petit groupe d’humains essaie de garder l’équilibre tandis que le sol se dérobe sous leurs pieds. Les corps tentent de s’adapter aux changements qui impactent leurs mouvements, chutent, se rattrapent et se relèvent, dans une perpétuelle instabilité. Dans une scénographie aussi sobre que spectaculaire, les six interprètes jouent avec un immense plancher mouvant. Un spectacle fascinant sur des airs de musique célèbres, allant de La Traviata de Verdi à My Way de Frank Sinatra. Une aventure poétique et hypnotique, entre danse et cirque, fragilité humaine et force du collectif. Ce langage du corps s’inscrit pleinement dans la démarche de Yoann Bourgeois, chorégraphe et artiste protéiforme. Il a repris le principe scénographique de Celui qui tombe dans le clip As It Was du Britannique Harry Styles, titre au succès mondial.

Chroniques

Distribution

Concept et mise en scène : Gabriela Carrizo – En co-réalisation avec Raphaëlle Latini – Avec Simon Bus, Boston Gallacher, Balder Hansen, Seungwoo Park et Charlie Skuy – Assistanat artistique : Helena Casas – Création sonore : Raphaëlle Latini – Scénographie : Amber Vandenhoeck – Création lumières : Bram Geldhof – Création costumes : Yi-Chun Liu et Jana Roos – Conseil artistique : Eurudike de Beul – Création technique : Filip Timmerman – Assistance technique : Clement Michaux – Ingénieur du son : Jo Heijens – Collaboration spéciale : Lolo y Sosaku – Chef d’entreprise : Veerle Mans – Production : Rhuwe Verrept – Gestionnaire de tournées : Alina Benach Barcelò – Chargée de communication : Daphne Giakoumakis – Coordination technique : Gilles Roosen – Distribution : Frans Brood Productions

Résumé

Fondée par Gabriela Carrizo et Franck Chartier, Peeping Tom est une compagnie de danse-théâtre réputée pour son esthétique hyperréaliste dans laquelle se mêlent langage chorégraphique extrême, technique virtuose et jeu dramatique intense au sein d’univers fantastiques. Sous l’égide cette fois de Gabriela Carrizo, cinq nouveaux danseurs venus des quatre coins du globe voyagent à travers le temps. Chroniques se déploie en une série de capsules ou petits chapitres qui parlent de débuts et de fins, de temps anciens et futurs, de lieux lointains, d’inconnu. Nous sommes plongés entre ce que nous avons vécu et ce que nous allons vivre. Crépuscule ou aube ? Traversés par des souvenirs, les personnages qui habitent ces chroniques vagabondent dans leur existence. Dans une performance organique, leurs corps se métamorphosent et révèlent d’autres comportements et possibilités d’être. Comme toujours, les atmosphères et textures nées de la scénographie, en collaboration ici avec l’extravagant duo de sculpteurs Lolo et Sosaku, reconfigurent les relations entre les humains, les objets et la nature. Vers étrangeté, onirisme et extrême.

Giselle(s)

Distribution

Chorégraphie et mise en scène : Marie-Claude Pietragalla et Julien Derouault – Avec Marie-Claude Pietragalla et Julien Derouault accompagnés de Manon Alins, Carla Berral, Lauryn Calvo, Manon Chapuis, Lola Derouault, Samantha Didier, Lise Fromont, Lucie Goudeau, Amélie Lampidecchia, Louna Lebeau, Charlotte Le Hir, Étienne LLoria, Solène Messina-Ernaux, Antonin Muno et Baptiste Ollier – Musiques : Adolphe Adam – Les Tambours du Bronx – Création musicale : Wilfried Wendling – Création costumes : Evanbenjamin – Création lumières : Alexis David – Décor : Bastien Ortega

Résumé

Marie-Claude Pietragalla et Julien Derouault revisitent avec brio le célèbre ballet romantique près de 185 ans après sa création. Dans leur version, l’héroïne tragique Giselle laisse place à une multitude de Giselle(s), toutes victimes de violences et de trahisons. Sur scène, les danseuses-guerrières traquent leurs bourreaux. Elles sont menées par la Reine des Willis, interprétée avec maestria par la danseuse étoile. Cette relecture résolument moderne et féministe de ce chef-d’œuvre tire sa force dans la théâtralité et la richesse de la chorégraphie. Les mouvements des interprètes dégagent une énergie combative et une puissance impressionnante. Côté musique, la partition originelle d’Adolphe Adam se marie harmonieusement à des sonorités électroniques et à la musique des Tambours du Bronx. Depuis plus de vingt ans, Marie-Claude Pietragalla et Julien Derouault explorent les frontières entre danse, théâtre et performance avec leur compagnie, le Théâtre du Corps. Dans leurs créations, le corps est un vecteur puissant d’émotion et de narration. Et Giselle(s) ne déroge pas à la règle : préparez-vous à vivre un grand moment !

Holobiontes

Distribution

Chorégraphie et interprétation : Tom Grand Mourcel, Christina Guieb, Hanne Kristine Jensen, David Pallant, Amarine Rignanese, Loü Viret et Florencia Demestri/Samuel Lefeuvre (en alternance) – Création lumières : Nicolas Olivier – Musique : Julian Sartorius – Création visuelle : Laetitia Bica – Costumes et scénographie : Sofie Durnez en collaboration avec Laetitia Bica – Dramaturgie : Arnaud Timmermans – Assistanat chorégraphique : Roy Hankach – Consultance scientifique : Nathalie Delzenne, René Rezsohazy (UCLouvain) et Alexis Zimmer (Paris 7 – Diderot) – Direction technique : François Bodeux

Résumé

Ce projet chorégraphique et visuel illustre la symbiose établie par les microbiotes et l’être vivant. Des prises de vues microscopiques se superposent sur les corps des sept danseurs et danseuses afin de créer des paysages incertains, pouvant mobiliser l’imaginaire en proposant différentes manières de s’organiser et de danser ensemble. Retrouvez ICI tout le programme du Festival Fruits de la passion.

Kiss & Cry

Distribution

Idée originale : Michèle Anne De Mey et Jaco Van Dormael – Mise en scène et scénario : Jaco Van Dormael – Chorégraphie et NanoDanses : Michèle Anne De Mey et Gregory Grosjean (création) – Texte : Thomas Gunzig – Voix: Jaco Van Dormael – Création lumière : Nicolas Olivier – Opérateur lumière: Yann Hoogstoel – Image/caméra : Julien Lambert -Assistant.e.s caméra : Aurélie Leporcq et Gaspard Pauwels – Décor : Sylvie Olivé assistée d’Amalgame (Elisabeth Houtart et Michel Vinck) – Assistanat à la mise en scène : Benoît Joveneau et Caroline Hacq – Design sonore : Dominique Warnier – Son : Boris Cekevda – Manipulations scéniques: Ivan Fox et Ondine Delaunois – Interprétation : Michèle Anne De Mey, Jaco Van Dormael, Harry Cleven, Denis Robert et Charlotte Pauwels –  Construction et accessoires : Walter Gonzales, Amalgame (Elisabeth Houtart et Michel Vinck) – Conception deuxième décor : Anne Masset, Vanina Bogaert et Sophie Ferro  – Régie générale/direction technique : Benjamin Dandoy –  Production :  Gladys Brookfield-Hampson/Astragales ASBL – Relations Publiques : Gladys Brookfield-Hampson

Résumé

Accueilli en 2013 à l’Aula Magna, Kiss & Cry bouscule les frontières de toutes les disciplines artistiques pour concevoir devant nos yeux une représentation chaque soir unique. Le spectacle associe cinéma « live », danse de doigts, texte et décors miniatures pour créer un nouveau langage scénique. Un voyage onirique qui ouvre l’imaginaire et développe une nouvelle manière de raconter aux frontières des genres. La rencontre d’une grande chorégraphe, d’un auteur de talent et d’un maitre du 7ème art. Une performance de haut vol, élue meilleur spectacle de danse aux Prix de la Critique à sa création.
©Dominique Libert

Landfall

Distribution

Conception et chorégraphie : Erika Zueneli – Avec Louis Affergan, Alixce Bisotto, Caterina Campo, Lola Cires, Clément Corrillon, Benjamin Gisaro, Félix Rapela, Matteo Renouf, Charly Simon et Elisa Wéry  – Collaboration et scénographie : Olivier Renouf – Dramaturgie : Olivier Hespel – Regard complice : Julie Bougard – Assistanat au projet : Louise De Bastier et Corentin Stevens – Musique originale : Thomas Turine – Création lumières : Laurence Halloy – Costumes : Silvia Hasenclever – Administration, production : des Organismes vivants & Ta-dah !/asbl – Diffusion : Marie Wiame – Régie son : Alice Spenle.

Résumé

Un groupe d’individus, composé d’autant de singularités et sensibilités, nous fait face, l’air de rien. Ces présences, intimes ou étranges, s’exhibent pour mieux disparaitre et dessinent, avec fougue et urgence, un « nous » à travers la diversité. Comment éclot une génération, celle précisément qui sera amenée à penser les mondes artistiques, politiques et philosophiques de demain ? Une jeunesse dont l’éveil remet en cause les héritages devenus pesants, le culte de la performance et de la réussite, les inégalités de genres… Landfall, pièce chorégraphique ludique pour dix interprètes, éveille aux questions d’aujourd’hui. Sous l’impulsion de la chorégraphe Erika Zueneli et guidés par leurs désirs, ces jeunes adultes — issus du théâtre, du cirque et de la danse — nous offrent une expérience d’une vitalité folle. Dans cette terra incognita, le landfall — zone à défendre face aux rétrécissements du réel —tout semble encore possible. Un monde est à bâtir !

LOVETRAIN2020

Distribution

Chorégraphie et lumières : Emanuel Gat – Créé avec et interprété par : Eglantine Bart, Tara Dalli, Noé Girard, Nikoline Due Iversen, Pepe Jaimes, Gilad Jerusalmy, Olympia Kotopoulos, Michael Loehr, Emma Mouton, Rindra Rasoaveloson, Abel Rojo Pupo et Sara Wilhelmsson – Création costumes : Thomas Bradley – Réalisation costumes : Thomas Bradley et Wim Muyllaert – Direction technique : Guillaume Février – Régie son : Frédéric Duru – Habilleuse : Marie-Pierre Calliès – Production : Emanuel Gat Dance, Marjorie Carré et Mélanie Bichot

Résumé

Chorégraphe israélien installé en France, Emanuel Gat se rêvait chef d’orchestre avant de se tourner définitivement vers la danse. Aujourd’hui, ses projets explorent les points de rencontre entre la chorégraphie et la musique, entre le visuel et l’auditif. Avec LOVETRAIN2020, il nous plonge dans l’atmosphère utopique et le groove épique des années 80, en choisissant comme bande-son la musique du groupe pop-rock Tears for Fears. Sur scène, douze danseurs vêtus de costumes flamboyants célèbrent la vie et l’amour dans un enchainement de chorégraphies collectives, de duos et de solos généreux qui ne donnent qu’une seule envie, c’est de danser avec eux. Baroque et jubilatoire, on en ressort requinqué, voire euphorique. Ovationné lors de sa création au festival Montpellier Danse en 2020, ce spectacle a depuis été présenté aux quatre coins de la France, en Italie, en Allemagne et même à Londres et New York !

Mossy Eye Moor

Distribution

Concept et chorégraphie : Louise Vanneste – En collaboration avec Eli Mathieu Bustos, Alice Giuliani, Maïté Minh Tâm Jeannolin, Amandine Laval et Castélie Yalambo – Dramaturgie : Sara Vanderieck – Collaboration dramaturgique : Paula Almiron – Collaboration artistique/ éléments scénographiques : Kasper Bosmans – Son : Cédric Dambrain – Eclairage : Arnaud Gerniers – Assistante chorégraphique : Anja Röttgerkamp – Costumes : Esther Denis – Collaboration scientifique : Sophie Opfergelt – Production, diffusion et administration : Alix Sarrade.

Résumé

Avec cette nouvelle création, la chorégraphe, artiste associée UCLouvain Culture, invite cinq danseurs et danseuses à explorer nos manières de se relier aux roches, les plongeant dans les limites de ce qui est humain et non humain. Pour la scénographie, elle s’est associée à l’artiste visuel belge Kasper Bosmans, lui aussi attentif à brouiller les frontières entre nature et fiction. Les cinq interprètes au plateau forment avec ce décor six entités sciences-fictionnelles nommées Mossy. Ensemble, ils explorent les transformations subies par les roches, de la combustion par le feu à la pression ressentie à soixante mètres sous terre. Mélangeant sons, textes, lumières et mouvements, ce spectacle crée un langage unique qui invite le public à ressentir au-delà des mots. Un voyage entre science et imagination, où la danse devient une manière de raconter l’invisible.

Requiem(s)

Distribution

Chorégraphie : Angelin Preljocaj – Avec Lucile Boulay, Elliot Bussinet, Araceli Caro Regalon, Leonardo Cremaschi, Lucia Deville, Isabel García López, Mar Gómez Ballester, Paul-David Gonto, Béatrice La Fata, Tommaso Marchignoli, Théa Martin, Víctor Martínez Cáliz, Ygraine Miller-Zahnke, Max Pelillo, Agathe Peluso, Romain Renaud, Mireia Reyes Valenciano, Redi Shtylla et Micol Taiana – Création lumières : Éric Soyer – Costumes : Eleonora Peronetti – Vidéo : Nicolas Clauss – Scénographie : Adrien Chalgard – Assistant, adjoint à la direction artistique : Youri Aharon Van den Bosch – Assistante répétitrice : Cécile Médour – Choréologue : Dany Lévêque

Résumé

S’inspirant des rites funéraires et des symboliques du deuil à travers le monde, le chorégraphe star propose une succession de tableaux entre tristesse, anéantissement, douceur du souvenir et joie de l’existence. La bande-son éclectique — associant œuvres classiques de Mozart ou de Ligeti, chants médiévaux, hard rock et nouvelles créations — reflète la mosaïque de sentiments qui nous traversent lors d’un décès. Fondé en 1985, le ballet Preljocaj est une compagnie de danse basée au Pavillon Noir à Aix-en-Provence. Ses créations sont présentées dans le monde entier et reprises au répertoire de prestigieuses maisons comme La Scala de Milan, le New York City Ballet et le Ballet de l’Opéra de Paris. Ne manquez pas cette rare occasion de l’applaudir en Belgique !

Sonoma

Distribution

Conception et direction artistique : Marcos Morau – Chorégraphie : Marcos Morau en collaboration avec les interprètes – Avec Àngela Boix, Julia Cambra, Laia Duran, Anna Hierro, Laura Lliteras, Ariadna Montfort, Núria Navarra, Lorena Nogal et Marina Rodríguez – Écriture : El Conde de Torrefiel, La Tristura et Carmina S. Belda – Répétiteurs : Estela Merlos et Alba Barral – Conseil artistique et dramaturgique : Roberto Fratini – Assistanat vocal : Mònica Almirall – Direction technique et création lumières : Bernat Jansà – Régie plateau, effets spéciaux et accessoires : David Pascual – Création sonore : Juan Cristóbal Saavedra – Voix : María Pardo – Scénographie : Bernat Jansà et David Pascual – Création costumes : Silvia Delagneau – Réalisation costumes : Ma Carmen Soriano – Création chapeaux : Nina Pawlowsky – Réalisation masques : Juan Serrano – Construction géant : Martí Doy – Accessoires : Mirko Zeni – Production et logistique : Cristina Goñi Adot – Direction de production : Juan Manuel Gil Galindo

Résumé

Une synchronisation stupéfiante, des souffles profonds qui prennent aux tripes, ce ballet féminin aux gestes millimétrés raconte la vie et la mort sur fond de religion et de folklore. Avec une rage libératrice, cette armée de neuf danseuses aux corps virtuoses célèbre la révolution surréaliste espagnole. Dans un paysage mouvant et onirique, le passé, le futur et le présent se confondent. Marcos Morau, figure espagnole incontournable de la danse contemporaine, propose une création hybride et très expressive dont l’esthétique emprunte au cinéma, à la littérature, à la peinture et à la photographie. On y sent l’Espagne et l’influence de Luis Buñuel avec les costumes rayés traditionnels et les tambours. Alliant tradition, modernité, hommages aux ballets russes et au folklore grec, le ballet est empreint d’une énergie folle. Un spectacle résolument coup de coeur présenté en 2021 à Avignon dans la Cour d’honneur.

Yé ! (L’eau)

Distribution

Directeur artistique : Kerfalla Camara – Metteur en scène : Yann Ecauvre – Avec Keita Aicha, Camara Bangaly, Camara Facinet, Bangoura Hamidou, Sylla Fode Kaba, Abdoulaye Keita, Youla Mamadouba, Sylla M’Mahawa, Bangoura Momo, Camara Moussa, Camara Sekou, Camara Ibrahima Sory – Compositeurs : Yann Ecauvre et Jérémy Manche – Intervenant acrobatique : Damien Drouin – Chorégraphes : Nedjma Benchaïb et Mounâ Nemri – Costumière : Solène Capmas – Création lumières : Clément Bonnin – Régie générale : Christophe Lachèvre – Responsable de tournée : Inès Tavrytzky – Assistant de production : Virgile Djoudi – Production déléguée : Richard Djoudi R’en Cirque – Diffusion : Temal Productions

Résumé

Contorsions hallucinantes, pyramides humaines vertigineuses et danse imprégnée de hip-hop : les treize artistes du Circus Baobab nous balancent une performance irrésistible ! Sans filet et sans autres accessoires que des bouteilles en plastique, ils articulent leur spectacle autour d’une ressource rare dans leur Guinée natale, objet de toutes les convoitises : l’eau (« yé » en langue soussou). Enchainant les prouesses physiques, ils brossent un récit de résilience, de réinvention de soi et de solidarité. Connu du grand public grâce à son épatante prestation en finale de l’émission La France a un incroyable talent en 2022, le Circus Baobab mêle les modes d’expression traditionnels du cirque africain et ses écritures contemporaines. Cette compagnie, pas comme les autres, œuvre pour un cirque solidaire et citoyen et réinsère, par l’art, des jeunes de la rue.  
© Laurent Philippe

Zéphyr

Distribution

Direction artistique et chorégraphie : Mourad Merzouki – Avec Soirmi Amada, Ethan Cazaux, Ludovic Collura, Wissam Seddiki, Emma Guillet, Adrien Lichnewsky, Simona Machovičová, Camilla Melani, Mourad Messaoud, Tibault Miglietti – Assistanat : Marjorie Hannoteaux – Création musicale : Armand Amar – Scénographie : Benjamin Lebreton – Création lumières : Yoann Tivoli assisté de Nicolas Faucheux – Costumes : Émilie Carpentier

Résumé

Depuis plus de vingt ans, Mourad Merzouki met la danse au défi des projets les plus fous. Après avoir exploré l’art numérique dans Pixel et bravé les lois de la pesanteur dans Vertikal, il affronte les forces de la nature pour sa nouvelle création. Zéphyr, c’est une époustouflante odyssée créée à l’occasion de la mythique course du Vendée Globe. À l’épreuve des souffles et des tempêtes, dix danseurs virtuoses transcendent le mouvement pour donner forme à l’invisible, sculpter le vent. Embarquez avec eux dans un océan d’imaginaires !

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