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Aula Magna

A la recherche de Joséphine

Distribution

Un spectacle musical de et mis en scène par Jérôme Savary – Assisté par Manon Savary – Avec Michel Dussarat, Allen Hoïst, Walter Reynolds, Nicolle Rochelle, Poundo-Christine Gomis, Maud Bellance, Fatou Diarra, Gwenaelle Jacquet, Emmeline Sousseing, William Aballi Perez, Santiago Herrera Quesada, Brian Bagley, Kendrick Jones, Jason Rodgers, David Boeddinghaus, Thomas Saunders, James Alsanders, Orlando Poleo, Chris Tyle, Philippe Georges, Jean-Claude Onesta, Paul Cheron, Banu Gibson.

Résumé

L’histoire du jazz, de la ségrégation et de Joséphine Baker Dix danseurs, huit musiciens et quatre comédiens retracent la destinée pas banale de Joséphine Baker dans des décors de féerie ! Un music-hall époustouflant de Jérôme Savary. Michel, un producteur français, se rend à la Nouvelle-Orléans, peu après l’ouragan Katrina, à la recherche de chanteurs, de danseurs et de comédiens capables de recréer la « Revue nègre » où le Paris de 1925 découvrit l’exubérante Joséphine Baker. Le producteur fait alors la rencontre de Old Joe, un musicien qui attend, stoïquement assis dans sa barque, que son piano, emporté par la tempête, remonte à la surface. Tandis qu’Old Joe raconte l’histoire du jazz, Michel fait passer les auditions. De tous les spectacles musicaux montés par mon équipe au fil des ans, Joséphine est celui qui me tient le plus à cœur… Car il parle de choses graves et émouvantes : le drame quasi biblique provoqué par l’ouragan Katrina sur la ville de la Nouvelle-Orléans qui, en une semaine, a chassé de la plus grande ville noire des Etats-Unis, la moitié de sa population. Le destin de ce qu’on appelle curieusement les « Afro-Américains », dont on suivra le cheminement des ancêtres esclaves depuis la forêt africaine jusqu’à la Nouvelle-Orléans, en passant par Haïti et Cuba. Enfin l’histoire du Jazz et de cette incroyable petite danseuse de dix-sept ans qui révolutionna le Paris des « Années Folles » en dansant nue avec pour seul ornement une ceinture de bananes. Jérôme Savary Jérôme Savary sera présent pour la neuvième fois à l’Atelier, ce qui fait de lui notre hôte le plus régulier. Depuis Zartan, le frère mal aimé de Tarzan (saison 1971-1972) à La Vie d’artiste racontée à ma fille (saison 2005-2006), nous avons accueilli Jérôme Savary, notamment avec le Magic Circus, pour Robinson Crusoë, De Moïse à Mao, Les Grands Sentiments, Bye bye Show Biz, Nina Stromboli et Zazou. Un spectacle présenté par LRN production La capacité de la salle sera réduite à 831 places pour des raisons de confort et d’esthétique.

Amadeus

Distribution

Auteur : Peter Shaffer – Mise en scène : Alexis Goslain – Avec : Maroine Amimi (Venticello), Denis Carpentier (Wolfgang Amadeus Mozart), Didier Colfs (Antonio Salieri), Marc De Roy (Johann Kilian von Strack), Pauline Discry (Katarina), Julie Lenain (Constance Weber), Anthony Molina-Diaz (Majordome), Camille Pistone (Venticello), Michel Poncelet (Comte Orsini-Rosenberg), Jean-François Rossion (Baron van Swieten), Lucas Tavernier (Joseph II) – Adaptation et scénographie : Patrick de Longrée – Assistant à la mise en scène : Nicolas Legrain – Costumes et décors peints : Thierry Bosquet – Lumières Laurent Comiant – Décor sonore : Laurent Beumier – Mapping vidéo : François Jaime Preisser – Accessoires : Thibaut De Coster, Charly Kleinermann – Chorégraphie : Catherine Lottefier – Confection des costumes : Costhea – Maquillages : Véronique Lecroix

Résumé

La légendaire rivalité entre les deux compositeurs d’exception Mozart et Salieri, dans une intrigue haletante. Dans la Vienne de Joseph II en 1781, Antonio Salieri jouit de la faveur de l’Empereur et d’une place confortable à la cour. C’est alors qu’un jeune prodige du nom de Wolfgang Amadeus Mozart se révèle en voie de devenir le compositeur du siècle. Précédé d’une flatteuse réputation, mais sans grande éducation, il est rapidement pris en grippe par Salieri. Celui-ci, mordu de jalousie, développe une folie vengeresse face à un tel génie. Qu’une musique aussi belle puisse émaner d’un être aussi vulgaire lui apparaît comme l’un des tours les plus cruels de Dieu. Conscient de la menace que représente le jeune Mozart, Salieri va l’approcher pour tenter de l’évincer, mais également pour comprendre pourquoi il est si doué. Créé en 1979 à Londres puis à New York, « Amadeus » connaît un triomphe éclatant. L’adaptation cinématographique de Milos Forman a remporté 8 Oscars en 1984, dont celui du meilleur film. Son auteur, l’Anglais Peter Shaffer, reçoit en 1992 le William Inge Award pour son apport remarquable au théâtre américain. « Amadeus » est créé en août 2016 dans les ruines de l’Abbaye de Villers-la-Ville. Il y récolte un franc succès avec sa scénographie – impressionnants décors signés Thierry Bosquet –, ses flamboyants costumes et ses superbes acteurs !

Antigone

Distribution

Auteur : Sophocle  – Traduction du grec ancien : Florence Dupont (L’Arche Editeur) – Mise en scène et chorégraphie : José Besprosvany – Avec : Toussaint Colombani (Hémon / le Choeur), Charles Cornette (Tirésias / un Coryphée), Héloïse Jadoul (Antigone), Gauthier Jansen (le Garde / le Messager / le Choeur), Elisa Lozano Raya (Ismène / le Choeur), Isabelle Roelandt (Eurydice / un Coryphée / le Choeur), Georges Siatidis (Créon) – Danseurs : Marta Almeida, Joris Baltz, Gabriel Nieto, François Prodhomme, Brice Taupin, Lisard Tranis – Musique : Laurent Delforge – Conseil artistique : François Prodhomme – Décor : José Besprosvany, Sébastien Munck – Costumes : Bert Menzel – Lumières : Marco Forcella – Assistanat à la mise en scène et à la chorégraphie : Muriel Hérault, Yannick de Coster – Peinture du décor : Sébastien Munck, Fani Goethals – Construction du décor : Yahia Azzaydi, Patrick Cautaert, Lucas Vandermotten – Régie lumière : Mathieu Bastyns – Régie son : Clément Delporte – Régie plateau : Vincent Lamer – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise

Résumé

Son « Œdipe » avait marqué les esprits en 2013 au Théâtre Royal du Parc. Le chorégraphe et metteur en scène José Besprosvany poursuit son travail pluridisciplinaire autour des figures mythologiques. Pour « Antigone », il mêle les vers de Sophocle – portés par des acteurs –, la musique et la danse. Une approche résolument moderne, qui rend accessible cette œuvre universelle. Antigone et Créon, une rivalité vieille de plusieurs siècles et pourtant d’une brûlante actualité sous le regard de José Besprosvany. Ces deux personnages seraient-ils des visages de l’intégrisme religieux et politique qui remue nos sociétés ? Antigone est déterminée à aller jusqu’au bout pour honorer les lois divines tandis que Créon, souverain tyrannique, défend les règles de la Cité envers et contre tout. Deux figures opposées par leurs convictions mais semblables dans leur obstination.

Boris Vian, une trompinette au paradis

Distribution

Auteur : Jérôme Savary – Interprétation : Nina Savary, Jérôme Savary, Antonin Maurel, Marco Oranje, Sabine Leroc, Les Franciscains Hot Stompers – Direction musicale et piano : Philippe Rosengoltz

Résumé

Un hommage swing Il y a cinquante ans et des poussières, le chanteur-écrivain-musicien s’envolait pour le paradis de la trompinette, sans avoir pris une ride. Et Boris Vian restera jeune pour l’éternité. Jérôme Savary évoque ce grand poète irrévérencieux, provocateur et tendre à la fois qui, le temps d’une courte vie, a bouleversé et enchanté celle de générations de jeunes et de moins jeunes. Sur scène, cinq comédiens-danseurs-chanteurs et six musiciens interprètent un spectacle swing, inventif et joyeux. Pour les fêtes, vivez en famille cette plongée dans l’insouciance des rythmes jazzy. Frénétiquement musical et swinguant, un big band tiré au cordeau. Des comédiens qui chantent et qui dansent, des images plein les mirettes, des gags et des numéros de magie : tout ça, bien sûr, au service exclusif du grand Boris. Jérôme Savary Avec ce spectacle, on entre dans un registre que Savary, féru de musique, maîtrise avec brio. On se replonge avec délice dans les années frondeuses du Grand Magic Circus.(Pariscope) Deux soirées de réveillon dans une ambiance de folie créatrice ! 18h30 – 21h Un spectacle présenté par Atelier Théâtre Actuel en accord avec La Compagnie Jérôme Savary.

Botala Mindele

Distribution

Auteur : Rémi De Vos – Dramaturgie et mise en scène : Frédéric Dussenne – Avec : Priscilla Adade (Louise), Valérie Bauchau (Mathilde), Stéphane Bissot (Corinne), Ansou Diedhiou (Dyabanza), Philippe Jeusette (Ruben), Benoît Van Dorslaer (Daniel), Jérémie Zagba (Panthère) – Assistant à la mise en scène : Quentin Simon – Scénographie : Vincent Bresmal – Costumes : Romain Delhoux – Lumières : Renaud Ceulemans – Vidéo : Dimitri Petrovic et Maxime Jennes – Musique originale : Jérémie Zagba – Son : Geoffrey François

Résumé

Après le succès retentissant d’ »Occident », Frédéric Dussenne revient à l’écriture impitoyable de Rémi De Vos. Un régal d’humour noir sur fond de néo-colonialisme en pleine déconfiture. C’est le soir. Il pleut. A Bruxelles ? Non, à Kinshasa. Ruben et Mathilde ont invité Daniel et sa femme, Corinne, à dîner. Ruben fait des affaires avec le gouvernement congolais. Daniel a un projet qui concerne le caoutchouc. Il a besoin de l’entremise de Ruben pour entrer en contact avec le ministre compétent. Et si la rencontre avec le ministre africain ne se déroulait pas comme prévu ? Pris au piège de son cauchemar néolibéral, mis à nu, l’homme blanc aurait-il perdu tout pouvoir de fascination ? Suprême ironie, s’il se faisait doubler, économiquement, par le dernier empire « communiste » de la planète… A quels renoncements faudrait-il qu’il s’abaisse pour survivre dans la jungle impitoyable qu’il a lui-même créée ?

Cabaret

Distribution

Joe Masteroff, John Kander, Fred Ebb – Livret : Joe Masteroff – Musique : John Kander – Paroles : Fred Ebb – D’après la pièce de : John Van Druten – Et l’histoire de : Christopher Isherwood – Traduction : Hélène Catsaras, Lou Kacenelenbogen, Michel Kacenelenbogen, Mirabelle Santkin – Mise en scène : Michel Kacenelenbogen – Direction musicale : Pascal Charpentier – Chorégraphie : Thierry Smits – Avec : Taïla Onraedt (Sally), Steve Beirnaert (Emcee), Baptiste Blampain (Cliff), Guy Pion, Delphine Gardin, Daphné D’Heur, Nitya Fierens, Jolijn Antonissen, Léonor Bailleul, Antoine Guillaume, Steven Colombeen, Damien Locqueneux, Bruno Mullenaerts, Floriane Jamar, Anthony Sourdeau, Sarah Delforge – Musiciens : Gilles Carlier (Saxo Alto), Toine Cnockaert (Percussions), Julie Delbart (Piano), Julien Guilloux (Trombone), Pauline Leblond (Trompette), Jo Mahieu (Guitare / banjo), Mathieu Najean (Saxo Tenor), Cédric Raymond (Basse) – Scénographie : Vincent Lemaire – Lumières : Laurent Kaye – Direction technique : Maximilien Westerlink – Costumes : Chandra Vellut – Maquillage : Bernard Floch – Coiffures : Thierry Pommerell – Ingénieur son : Marco Gudanski – Assistante à la mise en scène : Hélène Catsaras – Assistante artistique : Lou Kacenelenbogen – Assistante direction musicale : Julie Delbart – Assistants chorégraphes : Nitay Lehrer, Nicola Leahey – Assistante scénographe : Chloé Kegelart – Avec l’aide : des équipes techniques de l’Aula Magna et de l’Atelier Théâtre Jean Vilar  

Résumé

Berlin, les années 30. Fraîchement débarqué, le jeune Américain Cliff Bradshaw découvre le Kit Kat Club, une sulfureuse boîte de nuit où se produit la sensuelle Sally Bowles. Autour d’elle, l’extravagant maître de cérémonie Emcee et sa bande de boys and girls singent et parodient le beau monde : ils sont les rois du show, du divertissement et de la provocation. Au Kit Kat Club, tout est permis pour profiter des folles nuits berlinoises des années 30 ! Mais même à l’abri dans cette enclave de liberté, les murmures du monde extérieur leur parviennent… Pour fêter ses 20 ans, le Public présente, en collaboration avec le Théâtre National, le plus grand classique des Music-halls (porté à l’époque par l’incroyable Liza Minnelli) ! Entrez Messieurs-Dames ! Poussez la porte du Kit Kat Club et venez revivre la passion et la subversion de cette histoire célébrissime. L’orchestre dirigé par Pascal Charpentier, les chorégraphies de Thierry Smits et la mise en scène de Michel Kacenelenbogen nous promettent un spectacle grandiose avec plus de 20 artistes sur scène : chanteurs, acteurs, danseurs, musiciens. Alors… « Willkommen, Bienvenue, Welcome ! » Le spectacle est surtitré en néerlandais et en anglais (surtitrage en français pour les chansons en anglais).

Cabaret du bout de la nuit

Distribution

Auteur : Axel De Booseré et Maggy Jacot – Conception et mise en scène : Axel De Booseré et Maggy Jacot – Direction musicale : Marc Hérouet – Acteurs/chanteurs : Mireille Bailly, Didier Colfs, Isadora De Booseré, Bruce Ellison, Fabian Finkels, Ambre Grouwels, Jean-Luc Piraux – Musiciens : Marc Hérouet (piano, clavier, accordéon, percussions), Jean-Luc Van Lommel (batterie, percussions), René Desmaele (trompette, chœurs), Pierre Spataro (saxophone, clarinette) et René Stock (basse électrique et acoustique) – Espaces sonores : François Joinville – Éclairages : Gérard Maraite – Scénographie et costumes : Maggy Jacot – Chorégraphies : Darren Ross – Assistant à la mise en scène : François Bertrand et Rüdiger Flörke – Réalisation des accessoires : Marie-Ghislaine Losseau et Nelly Wullaert – Vidéos : Joachim Del Puppo

Résumé

La Belle Epoque. On y croise Chaplin, Freud, Einstein, Coco Chanel, Ravel, Picasso, Méliès… Une époque foisonnante où se bousculent avancées techniques, sociales et artistiques. Entrez dans la danse avec ce spectacle musical et théâtral qui intègre aussi des fragments de la pièce de Feydeau « On purge bébé ! ». Ecrite en 1910, celle-ci caricature des personnages emprisonnés dans un nombrilisme exacerbé, alors que la guerre est sur le point d’éclater. Lorsqu’en 1914, la Grande Guerre frappe aux portes de l’Europe, c’est la stupeur. Un siècle plus tard, la guerre a été éloignée de nos contrées par une Union Européenne qui peut au moins se targuer de cette réussite. Mais les catastrophes mondiales ne sont pas pour autant annihilées. Comment, dans un siècle, nos descendants regarderont-ils en arrière ? Ne seront-ils pas atterrés en analysant les conséquences de notre légèreté sur l’état de la Terre ? Ne pointeront-ils pas nos œillères comme aujourd’hui nous pointons celles des citoyens de la Belle Epoque trop obnubilés par leurs préoccupations individuelles pour percevoir les signes avant-coureurs de la catastrophe qui s’annonçait? Axel De Booseré et Maggy Jacot Durant 12 ans Axel De Booseré et Maggy Jacot ont formé le duo de créateurs de la Compagnie Arsenic dont ils étaient les cofondateurs. Vous avez applaudi chez nous sous chapiteau « Le Dragon », « Eclats d’Harms Cabaret » et « Le Géant de Kaillass ». Au cours de ces années, ils ont rassemblé autour de leurs projets près de 200 000 spectateurs lors de plus de 1.200 représentations. Avec des spectacles maîtrisés et visuellement très aboutis ils rencontrent la tradition d’un théâtre populaire, fédérateur, avec toujours en filigrane l’envie de titiller notre esprit critique. En tournée Le spectacle est aussi à l’affiche : à Liège – Théâtre de Liège du 4 au 11 octobre 2014 à Bruxelles – Théâtre National du 4 au 15 novembre 2014 à Charleroi – Palais des Beaux-Arts les 28 et 29 novembre 2014 à Luxembourg – Théâtres de la Ville du Luxembourg les 24 et 25 avril 2015 [->http://www.liegeexpo14-18.be]Visitez [Liège Expo 14’18->http://www.liegeexpo14-18.be], gardez votre ticket et profitez d’un tarif préférentiel pour le spectacle : 20 € / place (au lieu de 25) – 12 € / étudiant de moins de 26 ans (au lieu de 15) Ou venez voir le spectacle puis bénéficiez d’une réduction pour les expos « Liège dans la tourmente » et « J’avais 20 ans en 14 » jusqu’au 30 mai 2015 (sur présentation de votre ticket du spectacle) : 8 € au lieu de 11 Un partenariat Théâtre de Liège / Liège Expo 14’18 / Atelier Théâtre Jean Vilar.

Castor et Pollux

Distribution

Auteur : Jean-Philippe Rameau – Adaptation et direction musicales : Frédérick Haas – Chanteurs : Olivier Kuusik (Castor), Arnaud Richard (Pollux), Eugénie Warnier (Télaïre), Mélodie Ruvio (Phébé), Florent Baffi (Jupiter) – Musiciens : Mira Glodeanu (Concertmeister – violon), Georges Barthel (flûte), Katharina Andres (hautbois), Alain de Rijckere (basson), Bénédicte Pernet (violon), Benjamin Lescoat (alto), Hervé Douchy (violoncelle) et James Munro (contrebasse)

Résumé

Dans une version concert, quatorze chanteurs et musiciens servent avec talent le célèbre opéra de Rameau qui lui a valu la reconnaissance de ses contemporains. Les mythiques jumeaux, nés de pères différents mais amoureux de la même femme, sont au cœur de cette grande épopée où se mêlent jalousie et générosité, passions et rêves, fidélité et vengeance, Enfers et immortalité. Une histoire belle et forte, des caractères attachants et un compositeur de génie ont fait son succès.

Christophe Quelque Chose

Distribution

Auteur : Christophe Iets, Yvain Juillard – Conception : Yvain Juillard – Avec : Agnès Berthon, Yvain Juillard – Avec également : Hyuna Noben – Et la participation de : Brune Bazin, Manuel Chemla, Greta Fjellman, Nathalie De Muijlder – Pianiste : Marie-Sophie Mosnier – Création sonore : Jeanne Debarsy, Hélène Clerc-Denizot, Marc Doutrepont / Olivier Trontin – Dramaturgie scénographique et documentation : Véronique Lemaire – Construction maquette : Aurélie Borremans – Machinerie et régie plateau : Loïc Mottet, Fred Op De Beek, Alexis Stoffel – Création lumières : Vincent Tandonnet – Vidéo : Charlotte Marchal, Eliott Puttemans, Bernard Dresse, Yvain Juillard – Costumes : Caroline Goutaudier – Regards extérieurs : Agnès Berthon, Caroline Goutaudier, Olivier Boudon – Assistanat à la mise en scène : Lucie Dela Croix – Décor : Sébastien Bouchérit, Benoit Polveche – Avec la participation d’Eugénie Obolensky et Vincent Rutten – Accompagnement : Isabelle Jans – Conseils scientifiques : Céline Cappe, Francis Eustache, Olivier Richoux, Manuel Melon, Yves Rossetti

Résumé

Tout cela est-il bien réel ? Christophe Iets, ancien neuroscientifique spécialisé dans les troubles de la mémoire, vous présentera son livre « Christophe Quelque Chose – l’envers de la réalité. » Cet ouvrage a pour ambition de mettre en lumière la relativité de notre identité personnelle, sa « plasticité », et de nous aider, grâce aux dernières connaissances sur le fonctionnement de la mémoire humaine, à saisir les lentes et multiples métamorphoses de notre monde intime. L’une de ses patientes, Jeanne Licht – ancienne actrice – a perdu, suite à l’opération d’une tumeur cérébrale, la capacité de créer de nouveaux souvenirs. Elle est enfermée dans un passé figé. Et si une personne émergeait d’un sommeil qui aurait duré 20 ans, qui serait-elle aujourd’hui, qui serions-nous pour elle ? Spectacle grand public qui mêle théâtre et magie nouvelle, « Christophe Quelque Chose » est une immersion aux frontières du réel et de l’imaginaire. Fascinant et troublant à la fois !

Cyrano de Bergerac

Distribution

Auteur : Edmond Rostand – Mise en scène : Gilles Bouillon – Avec : Christophe Brault (Cyrano de Bergerac), Emmanuelle Wion (Roxane), Thibaut Corrion (Christian de Neuvillette), Cécile Bouillot (La duègne, Mère Marguerite de Jésus), Xavier Guittet (Ragueneau), Philippe Lebas (Comte de Guiche), Denis Léger-Milhau (Lignière), Léon Napias (Montfleury, capitaine Carbon, Castel-Jaloux), Marc Siemiatycki (Le Bret), Louise Belmas, Pauline Bertani, Stephan Blay, Edouard Bonnet, Brice Carrois, Laure Coignard, Richard Pinto, Mikaël Teyssié

Résumé

Panache ! Deux amis amoureux de la même femme et une intrigue qui semble empruntée à Racine : Cyrano aime Roxane qui aime Christian ! Le coup de génie de Rostand c’est d’inventer un arrangement improbable, sublimement théâtral, une substitution amoureuse. C’est ainsi que Cyrano va mettre son verbe et sa plume au service de l’amour entre sa bien-aimée et le jeune Christian, beau et courageux, mais incapable de parler joliment de sentiments. Sous les traits de Christian, c’est de l’âme de Cyrano que Roxane va s’éprendre. Les péripéties de cette quête de la vérité sous le masque dessinent une fresque où l’action amoureuse le dispute aux exploits de cape et d’épée et à un feu d’artifice poétique. Humour et panache ! Une intrigue passionnelle et émouvante, portée par une écriture en alexandrin toujours brillante, virtuose, énergique, électrique. Venez en famille ! Cyrano de Bergerac c’est d’abord le personnage. Cyrano, avec un nez qu’il porte au milieu du visage comme un défi et comme un masque. Le nez de Cyrano, c’est tout Cyrano, et Cyrano c’est tout le théâtre ! Un mythe. Gilles Bouillon Une production du Centre Dramatique Régional de Tours. Avec le soutien de la Drac Centre, de la Région Centre et du Conseil Général d’Indre-et-Loire (Jeune Théâtre en Région Centre) et le soutien du Fonds d’Insertion pour Jeunes Artistes Dramatiques, Drac et Région Provence-Alpes-Côte d’Azur. En coproduction avec la Compagnie du Passage, Neuchâtel. La capacité de la salle sera réduite à 740 places pour des raisons de confort et d’esthétique.

Cyrano de Bergerac

Distribution

Auteur : Edmond Rostand – Mise en scène : Thierry Debroux – Avec : Jean-Philippe Altenloh, Julien Besure, Mickey Boccar, Cédric Cerbara, William Clobus, Damien De Dobbeleer, Lucie De Grom, Eric De Staercke, Béatrix Férauge, Arthur Ferlin, Olivier Francart, Stephan Fraser, Michel Gautier, Claudine Gourdin, Marc Laurent, Anthony Molina-Diaz, Michel Poncelet, Jean-François Rossion, Anouchka Vingtier, Bernard Yerlès – Éclairages : Xavier Lauwers – Scénographie : Matthieu Delcourt – Costumes : Anne Guilleray – Réalisation des costumes : Chloé Dilasser, Sarah Duvert, Anne Guilleray, Laure Norrenberg, Elodie Pulinckx, Chandra Vellut, Jeanne Wintquin – Chorégraphie de combat : Jacques Cappelle – Création maquillages : Florence Jasselette – Maquillages : Florence Jasselette et Florent Peltier – Peinture du décor : Camille Burckel – Artifices : Olivier de Laveleye – Décor sonore : Loïc Magotteaux – Répétitrices : Sarah Dupré et Nathalie Laroche – Assistante à la mise en scène : Catherine Couchard – Stagiaire scénographie : Jean-Baptiste Tricot – Accessoires : Zouheir Farroukh – Construction du décor : Yahia Azzaydi, Patrick Cautaert, Lucas Vandermotten

Résumé

Comédie héroïque Après l’Abbaye de Villers-la-Ville et le Théâtre Royal du Parc, Bernard Yerlès mène son panache à Louvain-la-Neuve.  » C’est un roc ! C’est un pic ! C’est un cap ! Que dis-je, c’est un cap ? C’est une péninsule !  » Si la pièce d’Edmond Rostand est l’une des plus célèbres du répertoire français, c’est parce qu’elle est un hymne au théâtre, à l’humanisme militant et au beau parler. « Cyrano de Bergerac » est pleine d’humour, de tendresse, d’émotion et de poésie. L’esprit et le courage, à défaut d’un physique avantageux, c’est ce que possède en abondance Cyrano de Bergerac. C’est aussi ce qui manque au beau Christian de Neuvillette pour conquérir Roxane dont il est amoureux. Cyrano aussi aime la belle, mais quand il apprend que Roxane a succombé au charme de Christian, il se résout à mettre son don pour les mots au service de leur amour. Des personnages attachants, une intrigue captivante, de l’action, de l’humour, des moments héroïques et, par-dessus tout, une langue magnifique : plongez avec délice au cœur de ce récit éclatant dans une mise en scène ample et spectaculaire portée par une troupe de 20 comédiens !

D’Esprit et de douleur

Distribution

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Résumé

Philippe Sireuil a donné carte blanche à Patrick Davin pour une mini-saison musicale qui relie la musique à la programmation. En accompagnement du spectacle Au But de Thomas Bernhard, D’esprit et de douleur réunit une matière musicale qui abordera la personnalité de cet auteur tourmenté. Ce concert sera interprété par l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, qui est un ensemble de cordes uniquement. La musique de Schubert, Beethoven, Stravinski, Webern et d’Arvo Pärt donnera un éclairage tout particulier aux Sept paroles du Christ de Haydn. Vingt musiciens nous emmènent au cours d’un voyage parsemé de textes significatifs de Thomas Bernhard, récités par Patrick Descamps.

Danseurs de cordes

Distribution

Auteur : Le Quatuor – Un spectacle conçu par : Jean-Claude Camors, Alain Sachs – En collaboration avec : Pierre Ganem – En collaboration avec : Jean-Yves Lacombe, Laurent Vercambre – Metteur en scène : Alain Sachs – Au violon : Jean-Claude Camors, Laurent Vercambre – A l’alto : Pierre Ganem – Au violoncelle : Jean-Yves Lacombe

Résumé

Virtuoses de l’humour Trois Molières et une Victoire de la Musique en poche, en trente ans, les joyeux drilles du Quatuor ont conquis la France ! Acclamés par la critique, ils débarquent à Louvain-la-Neuve avec un tout nouveau spectacle 100% inédit. Reprenant les ingrédients qui ont fait leur succès – une cascade de gags subtils liés les uns aux autres où l’autodérision occupe une place importante – les quatre comparses s’en donnent à cœur joie et repoussent les limites de l’inventivité et de l’ingéniosité. En queues de pie, ils interprètent de grands airs classiques, des tubes du rock et de la variété et n’hésitent pas à moquer le sérieux des quatuors à cordes traditionnels. Mais Danseurs de cordes, bien nommé, fait aussi la part belle à la danse et au chant. Découvrez entre autres un hommage aux plus belles chansons d’amour, une inénarrable séance d’enregistrement en studio qui vire au cataclysme ou une veillée à quatre qui n’a rien à envier aux Marx Brothers.

Démocratie

Distribution

Auteur : Michael Frayn – Version française : Dominique Hollier – Mise en scène, scénographie et lumières : Jean-Claude Idée – Dramaturgie : Armand Delcampe – Interprétation : Jean-Pierre Bouvier (Willy Brandt), Xavier Campion (Ulrich Bauhaus), Emmanuel Dechartre (Helmut Schmidt), Alain Eloy (Günter Guillaume), Jean-François Guilliet (Herbert Wehner), Frédéric Lepers (Horst Ehmke), Fred Nyssen (Reinhard Wilke), François Sikivie (Günter Nollau), Jacques Viala (Arno Kretschmann), Alexandre von Sivers (Hans-Dietrich Genscher)

Résumé

Un thriller politique Ce mois de mai 1974, c’est la stupeur : le Chancelier Willy Brandt, le Chef d’État de la République fédérale d’Allemagne (RFA), l’homme de la réconciliation des deux Allemagnes, le Prix Nobel de la Paix, démissionne. On vient de découvrir que son assistant personnel, son homme de confiance depuis son accession au pouvoir, Günter Guillaume, est un espion de la redoutée police de la RDA, la Stasi. Le scandale est énorme. L’incompréhension aussi : comment une telle puissance a-t-elle pu ainsi se laisser berner ? Dans la pièce, Günter Guillaume nous rend compte a posteriori des événements historiques auxquels il a assisté. A la fois indispensable et passe-murailles, il a suivi toutes les intrigues de gouvernement. Sous le vernis du rapport se profile le dilemme qu’il a vécu entre admiration pour la politique pacifiste de Brandt et dévouement à sa patrie, la RDA. Observateur privilégié, il décompose sous nos yeux les rouages de la machine politique qui mène Brandt au succès et aux prémices d’une réunification, puis les manipulations qui pousseront le Chancelier vers la sortie. Né à Londres en 1933, Michael Frayn est écrivain et journaliste. Auteur prolifique, il a publié une dizaine de romans et son œuvre dramaturgique alterne avec autant d’intelligence comédies et ouvrages très documentés, basés sur des faits réels. L’Atelier Théâtre Jean Vilar a déjà créé avec bonheur deux de ses pièces au succès international : Silence en coulisses ! en 1996 dans une mise en scène d’Armand Delcampe et Copenhague en 2001, déjà mis en scène par Jean-Claude Idée. Avec Démocratie, ce ne seront pas moins de dix comédiens chevronnés – belges et français – qu’il dirigera. Une distribution d’excellence ! Voici un projet qui ne manque pas d’ambition : une production imposante, qui est d’ores et déjà programmée la saison prochaine à Paris au Théâtre 14 (Jean-Marie Serreau) pendant six semaines, puis en Suisse et en province française. Un sujet peu abordé au théâtre, qui rend accessible la politique par le biais d’un texte intelligent. Un défi de taille… on n’a pas froid aux yeux à l’Atelier Théâtre Jean Vilar ! Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar. Une collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be La pièce DEMOCRATIE de Michael FRAYN est représentée dans les pays de langue française par l’agence DRAMA-Suzanne SARQUIER, Paris. Regardez la bande-annonce du spectacle sur Youtube !

Des Jours et des nuits à Chartres

Distribution

Auteur : Henning Mankell – Traduction : Terje Sinding – Mise en scène : Daniel Benoin – Avec : Pierre Blain, Paul Chariéras, Paulo Correia, Frédéric de Goldfiem, Catherine Marques, Juliette Roudet, Fanny Valette

Résumé

Amour sous l’Occupation Dans son atelier, au milieu de ses clichés noir et blanc, le célèbre photographe de guerre Robert Capa se remémore ce jour d’août 1944, quand Chartres fut libérée. Dans la rue, une femme tondue porte un bébé. Entourée d’une foule hostile, elle est conduite en prison. Capa a immortalisé ce moment. La photo a fait le tour du monde. Quel aurait pu être le destin de Simone, « fille à soldats » ? Et les témoins de cette humiliation, que sont-ils devenus ? A la suite d’une enquête de plusieurs années, l’auteur mêle la réalité et la fiction pour narrer l’amour interdit, l’inconscience de Simone et la cruauté aveugle. Parmi les gens figurant sur la photo, beaucoup souhaitaient l’exécution de Simone. Si elle y a échappé, c’est grâce à l’éthique des dirigeants chartrains de la Résistance, qui s’opposaient à tout lynchage. Simone ne fut pas exécutée. Mais elle fut condamnée. Elle mourut dans les années ‘60, détruite par l’alcool. Elle avait changé de nom, mais tout le monde connaissait son identité. Cette pièce raconte son histoire, tout en prenant beaucoup de libertés avec les faits. (…) Cependant, la pièce parle aussi de moi, et de tous ceux qui ont un jour regardé la photo de Robert Capa. En d’autres termes, la pièce reflète le monde terrible et l’époque dangereuse dans lesquels nous vivons. Henning Mankel

Dom Juan

Distribution

Auteur : Molière – Metteur en scène : Jean-Marie Villégier – Interprétation : Anthony Audoux (Dom Juan), Sandrine Bonjean (Elvire / Mathurine), Jean-Charles Di Zazzo (Dom Alonse / Le Commandeur / Le Pauvre), Jonathan Duverger (La Violette / Pierrot / Ragotin), Christophe Guillon (Sganarelle), Emmanuel Guillon (Dom Carlos / Gusman / M. Dimanche), Sylvie Moussier (Charlotte), Jean-Marie Villégier (Dom Louis)

Résumé

Un Dom Juan d’enfer ! (Le Progrès) Un décor harmonieux, de beaux costumes, une fine analyse des personnages, un Sganarelle remarquable et un séducteur frêle et qui doute. Perfection classique. (Figaroscope) Dom Juan, jeune noble vivant en Sicile séduit sans relâche les jeunes filles de bonnes familles et les servantes avec un égal succès. Seule la conquête l’intéresse, comme il l’explique à son fidèle valet Sganarelle. Mais l’une de ses proies, Elvire, qu’il a enlevée de son couvent pour ensuite l’abandonner, lui réclame des comptes. L’arrivée des deux frères de la jeune femme bafouée embarrasse Dom Juan… Le Dom Juan de Molière ne va de femme en femme que par horreur de lʼensommeillement. Sʼendormir en amour, sʼinstaller dans une conjugalité confortable, très peu pour lui. Son plaisir est dans la conquête. Sa parole enjôleuse « mène doucement » ses victimes où il veut les faire venir. Alouettes au miroir, proies trop faciles. Quant aux remontrances de son père, inspirées de Corneille et des Espagnols, elles ne sont à ses oreilles que des répliques de théâtre, discours automatique d’une morale surannée. La conversion d’Elvire elle-même lui paraît suspecte et il ne désespère pas de pouvoir troubler à nouveau cette Madeleine repentante. Il lui faut rencontrer un pauvre pour trouver quelqu’un, face à lui, qui refuse la servitude, sans grandiloquence, sans posture, un homme enfin à qui faire lʼaumône « pour l’amour de lʼhumanité ». Jean-Marie Villégier On rit, on est ému. On redécouvre Dom Juan. (Le Figaro) Une leçon de plaisir et d’intelligence. (Politis) Scène et Public – Pierre Beffeyte présente une coproduction de L’Apostrophe, Scène Nationale de Cergy-Pontoise ; du Théâtre de l’Ouest Parisien Boulogne-Billancourt ; du Théâtre Toursky, Marseille ; de l’Illustre-Théâtre, Compagnie Jean-Marie Villégier et du Festival Les Nuits de la Bâtie d’Urfé. La capacité de la salle sera réduite à 740 places pour des raisons de confort et d’esthétique.

Fame

Distribution

Conception : David De Silva – Livret : José Fernandez – Paroles : Jacques Levy – Musique : Steve Margoshes – Adaptation : Stéphane Laporte, Danielle Mathieu-Bouillon – Metteur en scène : Ned Grujic – Chorégraphie : Raphaël Kaney Duverger – Direction musicale et vocale : Samuel Sené – Interprétation : Annick Cisaruk, Sandrine Seubille, Patrice Dozier, Eric Chantelauze, Aurélie Konate, Jean-Michel Vaubien, Léovanie Raud, Fabian Ballarin, Joseph Emmanuel, Dan Menasche, Hélène Buannic, Charlotte Filou, Chloé Pimont, Eric Jetner, Sylvain Rigault, Etienne Ducamain, Rachel Valéry, Joss Costalat, Sofia Naït-Abdelaziz, Carole Deffit.

Résumé

Comédie musicale Pour la première fois en français… Tiré du célèbre film des années ’80, ce spectacle musical mythique a déjà fait le tour du monde. Il est enfin créé à Paris et accueilli chez nous en exclusivité pour 4 dates ! Seize jeunes apprennent à chanter, à danser et à jouer la comédie, en suivant l’enseignement d’un lycée new-yorkais spécialisé. Issus d’horizons sociaux et ethniques différents, réunis par une même passion et une formidable envie de réussir, encadrés par des professeurs dévoués à leur discipline, certains tiendront jusqu’au bout, d’autres se brûleront les ailes à la recherche d’une gloire précoce. Entre rêves et désillusions, tous comprendront au terme de leurs quatre années d’études que cette école est aussi l’école de la vie, celle où l’on apprend à être un artisan pour, peut-être, un jour devenir un artiste. Plus de trente artistes et musiciens sur scène en « live » absolu : Fame est un spectacle musical époustouflant qui touchera toutes les générations, tant son message et sa musique sont porteurs d’espoir et de fraternité. Un spectacle présenté par Le Théâtre Comédia, Lorenzo Vitali Entertainment et Atelier Théâtre Actuel.

George Dandin ou le Mari confondu

Distribution

Auteur : Molière, Jean-Baptiste Lully – Mise en scène : Michel Fau – Avec : Alka Balbir, Armel Cazedepats, Michel Fau, Philippe Girard, Florent Hu, Anne-Guersande Ledoux, Nathalie Savary, 4 chanteurs et 8 musiciens en alternance de l’Ensemble Marguerite Louise – Direction musicale : Gaétan Jarry – Costumes : Christian Lacroix – Décor : Emmanuel Charles – Lumières : Joël Fabing – Maquillage, coiffes et perruques : Véronique Soulier Nguyen – Avec la collaboration de la : Maison Messaï – Assistanat à la mise en scène : Damien Lefèvre – Assistant costumes : Jean-Philippe Pons – Stagiaires assistants à la mise en scène : Barthélémy Fortier, Sacha Vilmar

Résumé

Comédie en musique Michel Fau, géant du théâtre français, s’empare de cette comédie grinçante et burlesque de Molière qu’est « George Dandin » et de son rôle-titre avec le génie et le sens de l’excès qu’on lui connaît. J’aime quand les choses déjantent. Le théâtre doit sortir de son quotidien, doit donner envie de rêver. Il y faut de la poésie, du lyrisme, de l’extravagance, ce qui n’empêche pas de parler de nous, de l’humain. Michel Fau George Dandin, paysan parvenu, épouse une jeune fille noble et échange fortune contre particule. Le mari s’acharne à revendiquer amour et fidélité de sa femme, mais ne subit qu’offenses et mépris. Une fable qui reste intemporelle : tout peut s’acheter, sauf l’amour. Accompagnée par la partition d’origine de Lully, cette satire en musique, contrepoint ironique à l’infortune amoureuse de Dandin, assume une esthétique baroque et cauchemardesque pour vous faire redécouvrir tout le merveilleux de cette époque, dans les costumes chatoyants du grand couturier Christian Lacroix. Créé au Théâtre des Bouffes du Nord – lieu de création de Peter Brook –, ce spectacle rutilant, rehaussé de 4 chanteurs et 8 musiciens, sera incontestablement un événement théâtral. Ce spectacle sera maintenu en fonction de l’évolution des conditions sanitaires.

George Dandin ou le Mari confondu

Distribution

Auteur : Molière, Jean-Baptiste Lully – Mise en scène : Michel Fau – Avec : Alka Balbir, Armel Cazedepats, Michel Fau, Philippe Girard, Florent Hu, Anne-Guersande Ledoux, Nathalie Savary, 4 chanteurs et 8 musiciens en alternance de l’Ensemble Marguerite Louise – Direction musicale : Gaétan Jarry – Costumes : Christian Lacroix – Décor : Emmanuel Charles – Lumières : Joël Fabing – Maquillage, coiffes et perruques : Véronique Soulier Nguyen – Avec la collaboration de la : Maison Messaï – Assistanat à la mise en scène : Damien Lefèvre – Assistant costumes : Jean-Philippe Pons

Résumé

SPECTACLE ANNULE Comédie en musique Michel Fau, génie du théâtre français, s’empare de ce chef-d’œuvre accompagné de la partition originale de Lully. Un spectacle-événement baroque et rutilant porté par près de vingt comédiens, chanteurs et musiciens habillés par le grand couturier Christian Lacroix. George Dandin, paysan parvenu, épouse une jeune fille noble et échange fortune contre particule. Le mari s’acharne à revendiquer amour et fidélité de sa femme, mais ne subit qu’offenses et mépris. Une fable qui reste intemporelle : tout peut s’acheter, sauf l’amour. J’aime quand les choses déjantent. Le théâtre doit sortir de son quotidien, doit donner envie de rêver. Il y faut de la poésie, du lyrisme, de l’extravagance, ce qui n’empêche pas de parler de nous, de l’humain. Michel Fau  

Iliade

Distribution

D’après : Homère – Mise en scène : Luca Giacomoni – Adaptation : Alessandro Baricco – Avec : Sephora Haymann, Mourad Ait Ouhmad, Hugues Dangreaux, Laurent Evuort Orlandi, Christophe Firmin, Cyril Guei, Lévy Kasse Sampah, Eliott Lerner, Louis Plesse, Michel Quidu, Bryan Polach, Sara Hamidi (chanteuse)

Résumé

« L’Iliade », ce sont les derniers jours de la guerre de Troie qui dure depuis 10 ans sur le rivage de la Méditerranée. Une grande oeuvre qui relate les combats de héros et de rois face à l’attente épuisée des peuples face à l’espoir d’une résolution. A l’adaptation, Alessandro Baricco en resserre le récit et développe une narration qui offre une multitude de points de vue. Pour saisir le présent, Luca Giacomoni aime s’emparer d’histoires et de mythes. Dans « Iliade », créé à Paris en 2017, il traite de l’abus de pouvoir, du conflit, du respect, de l’humain, par une proposition brute et épurée. Il mène ce projet en collaboration avec le Centre Pénitentiaire de Meaux et mélange au plateau acteurs professionnels et anciens détenus. Douze artistes au total dont une chanteuse iranienne donnant couleur et rythme au récit. Ensemble, ils portent les voix d’Agamemnon, Ulysse, Hector, Achille ou Hélène comme autant de prétextes pour s’interroger sur le désir de vengeance mais aussi sur la fidélité à un idéal ou le sens de l’amitié. Depuis quelques années, j’entends autour de moi cette expression : « nous sommes en guerre ». Quel en est le sens ? Et surtout, le théâtre peut-il nous aider à comprendre les racines et la dynamique d’un conflit ? La lecture d’Homère m’a aidé à comprendre toute l’ambivalence contenue dans le mot « guerre », un mouvement de bascule entre l’absurdité du geste et sa nécessité. L’occasion de porter sur scène « Iliade » s’est présentée au centre pénitentiaire de Meaux, lorsque j’ai rencontré ces hommes qui – par leurs visages et leurs corps – incarnaient à mes yeux les héros et les rois du mythe grec. Luca Giacomoni

Kiss & Cry

Distribution

Auteur : Michèle Anne De Mey, Jaco Van Dormael – Idée originale : Michèle Anne De Mey, Jaco Van Dormael – Création collective : Michèle Anne De Mey, Gregory Grosjean, Thomas Gunzig, Julien Lambert, Sylvie Olivé, Nicolas Olivier, Jaco Van Dormael – Chorégraphie et danse : Michèle Anne De Mey – Chorégraphie et Nanodanses : Gregory Grosjean – Mise en scène : Jaco Van Dormael – Texte : Thomas Gunzig – Scénario : Thomas Gunzig, Jaco Van Dormael – Lumières : Nicolas Olivier – Image : Julien Lambert – Assistante caméra : Aurélie Leporcq – Décors : Sylvie Olivé – Assistante décors : Elisabeth Houtart – Assistant décors : Michel Vinck – Assistant mise en scène : Benoît Joveneau – Assistante mise en scène : Caroline Hacq – Sounddesign : Dominique Warnier – Son : Boris Cekevda – Manipulation et interprétation : Bruno Olivier – Manipulation et interprétation : Gabriella Iacono, Pierrot Garnier – Construction : Walter Gonzales, Elisabeth Houtart, Michel Vinck – Accessoires : Anne Masset, Vanina Bogaert, Sophie Ferro – Régisseur général : Nicolas Olivier – Techniciens machinerie et lumière : Gilles Brulard, Pierrot Garnier, Bruno Olivier – Metteur en scène : Jaco Van Dormael, Renaud Alcalde, Harry Cleven – Interprétation : Michèle Anne De Mey, Frauke Mariën, Gregory Grosjean, Denis Robert – Régie lumières : Bruno Olivier – Technicien lumières : Gilles Brulard – Caméraman : Jean Lambert, Aurélie Leporcq, Philippe Guilbert – Assistant caméra : Aurélie Leporcq, Juliette Van Dormael, Amandine Mahieu – Manipulation et interprétation : Philippe Fortaine, Gabriella Iacono, Flor Demestria – Son : Boris Cekevda – Coordinateur technique : Thomas Beni – Production et diffusion : Gladys Brookfield-Hampson  

Résumé

NanoDanses Performance théâtrale et filmique exécutée et mixée en direct, Kiss & Cry est un spectacle inédit et ambitieux, qui bouscule les frontières de toutes les disciplines artistiques. Ainsi, le spectateur assiste à la fois à un spectacle chorégraphique, à une véritable séance de cinéma et au making of du film. Les codes se croisent. Les doigts des danseurs traversent avec agilité des mondes ludiques ; le décor atypique fait de maisons de poupées et de personnages miniatures témoigne d’un travail d’une précision absolue ; la caméra révèle les plus minuscules incidents qui vont signer le caractère unique de chaque représentation. Une prouesse technique. Un voyage onirique qui ouvre l’imaginaire et développe un langage inédit, une nouvelle manière de raconter aux frontières des genres. La rencontre d’une grande chorégraphe, d’un auteur de talent et d’un maître du 7ème art.

L’Avare

Distribution

Auteur : Molière – Metteur en scène : Michel Dezoteux – Interprétation : Karim Barras, Frédéric Dezoteux, Raphaële Germser, Erwin Grünspan, Christian Hecq, Denis Laujol, Anne-Marie Loop, Blaise Ludik, Fanny Marcq, Achille Ridolfi – Scénographie : Vincent Lemaire – Lumières : Eric Vanden Dunghen – Composition musicale : Rosario Amedeo – Costumes : Souad Kajjal – Maquillages et perruques : Jean-Pierre Finotto – Assistant à la mise en scène : Glenn Kerfriden – Régie son : Eric Ronsse – Régie lumières : Eric Vanden Dunghen – Régie plateau : Mohamadou Niane

Résumé

Michel Dezoteux va en secouer plus d’un… Dans une mise en scène osée et débordante d’énergie, il revisite la joyeuse comédie en prose de Molière. Pas une seconde d’ennui, dix comédiens complètement speed pour un spectacle drôle et subversif où le rire se nourrit de l’éternel défaut de l’homme : l’avarice ! Le canevas est connu : Harpagon, riche bourgeois veuf et tyrannique est avare jusqu’à l’obsession. Il entend bien marier ses deux enfants, Cléante et Elise à de « bons » partis. Mais les deux jeunes gens sont déjà amoureux, Cléante de Marianne et Elise de Valère, intendant au service d’Harpagon. Le vieil homme a non seulement d’autres projets pour ses rejetons, mais en plus il se destine la fiancée de son fils ! De quoi méchamment contrarier les jeunes… et comiquement l’histoire. S’ensuivent quiproquos, mensonges, disputes et intrigues, dans un climat fantaisiste et déjanté. Christian Hecq est un Harpagon outrancié, explosif et poétique qui retrouve ici avec grand plaisir son ami de longue date, le metteur en scène Michel Dezoteux. Un spectacle du Théâtre Varia. En coproduction avec Le Manège.Mons-Centre dramatique et La Rose des Vents – Scène Nationale de Villeneuve d’Ascq.

L’Etrange Mister Knight

Distribution

Auteur : Michel Carcan et Bruce Ellison – Metteur en scène : Michel Carcan et Bruce Ellison – Interprétation : Anne-Sophie Bodart, Bruce Ellison, Daniel Hanssens, Emmanuel Lepage, Othmane Moumen – Pianiste : Philippe Tasquin – Projectionniste : Yves Hauwaert.

Résumé

Plongez dans le monde de l’étrange et de l’illusion avec ce cinémodrame hommage au cinéma muet des années ’20. Mister Knight, grand inventeur descendu tout droit de la famille du professeur Frankenstein travaille, dans son laboratoire secret, à la création d’une machine révolutionnaire qui (re)donne la vie… Un univers fantastique envoûtant, les dédales d’un sombre château, un savant fou, des monstres, le tonnerre qui gronde au loin et les éclairs qui découpent le ciel. « L’Etrange Mister Knight » est un spectacle en trompe-l’œil : un écran se dresse devant la scène, le projectionniste actionne sa machine et le pianiste joue les premières notes des nombreux accords tendus, typiques des films à suspense ; voilà que nous basculons dans l’ambiance des films des années ‘20. Un film-théâtre à voir en famille, qui envoûtera autant les amateurs de théâtre que de cinéma ! « L’Etrange Mister Knight » est créé en 1987 par la Compagnie Mandragore. Un succès ! Une tournée mondiale de plus de cinq ans, un million de spectateurs et l’éloge des critiques : « Une représentation disciplinée, fanatiquement précise, superbe » (The Guardian). Vingt ans plus tard, le spectacle revient avec le cœur de l’équipe d’origine, dans une version « remasterisée ». Une production Argan 42 Production. Voir l’interview de Michel Carcan et Bruce Ellison sur Dailymotion

L’Homme de La Mancha

Distribution

Auteur : Dale Wasserman, Mitch Leigh, Joe Darion, Jacques Brel – Man of La Mancha Livret : Dale Wasserman – Musique : Mitch Leigh – Paroles : Joe Darion – Création originale : Albert Marre, Anta Washington, Square Theatre, New York et 22.11.1965 – Traduction et adaptation en français : Jacques Brel – Création : De Munt / La Monnaie, Brussels et 4.10.1968 – Direction musicale et arrangement : Bassem Akiki – Mise en scène : Michael De Cock et Junior Mthombeni – Avec : Junior Akwety (Sancho Panza), Nadine Baboy (Maria, la femme de l’aubergiste), François Beukelaers (Le Capitaine de l’Inquisition), Gwendoline Blondeel (La gouvernante), Geoffrey Degives (Le padre), Bertrand Duby (L’aubergiste), Raphaële Green (Antonia), Christophe Herrada (Dr Carrasco), Chaib Idrissi (Anselmo), Filip Jordens (Don Quichotte), Ana Naqe (Dulcinée), Enrique Kike Noviello (Pedro) – Musiciens : Claire-Sarah Fouché (contrebasse), Geraldine Clément (flûte), Ramiro Neguiero Blanco (hautbois), Leolun Planchon Leblanc (clarinette), Dirk Noyen (basson), Wim Van Volsem (basson), Pascal Moreau (cor), Anthony Blondeau (cor), Jean-Pierre Dassonville (cor), Diego Hernández Torres (trompette), Gert-Jan Schoup (trombone), Francesco Barone et Tom Pipeleers (timbales-percussion), Jona Kesteleyn (guitare) – Dramaturgie : Gerardo Salinas – Scénographie : Eugenio Szwarcer – Vidéo : Hernán Pablo Curioni, Lien De Trogh et Eugenio Szwarcer – Conception lumières : Gérard Maraite – Costumes : Sabina Kumeling – Murga Coach : Edù Lombardo – Production artistique : Daniel Córdova – Directrice de production : Nadia El Mahi

Résumé

Théâtre musical. Un hommage à Brel, à Bruxelles, et à l’imagination ! Spectacle en français, surtitré en anglais En 1968, Jacques Brel interprétait à La Monnaie « L’Homme de La Mancha », dans sa propre adaptation de la comédie musicale américaine. Un demi-siècle plus tard, « ce chef-d’œuvre intemporel connaît un nouveau souffle » ! Dans ce spectacle-événement, le texte et la musique originale de Brel sont intacts (« Rêver un impossible rêve » et autres airs qu’on connaît tous) mais l’action est transposée à la ville d’aujourd’hui et de demain, multiculturelle et plurielle. Une diversité incarnée sur scène par 12 artistes aux univers musicaux métissés : le très prisé Filip Jordens, l’interprète de Brel, la soprano Ana Naqe, le comédien François Beukelaers, le rappeur Junior Akwety,… accompagnés par un orchestre de 14 musiciens. L’histoire ? Quand Cervantès, le manuscrit de son roman « Don Quichotte » sous le bras, se retrouve dans les geôles de l’Inquisition, il décide de jouer avec ses codétenus les aventures de l’hidalgo errant, flanqué de son fidèle écuyer Sancho Panza. Un message idéaliste adressé à leurs persécuteurs.

L’Odyssée

Distribution

D’après l’œuvre d’Homère – Et la musique de : Monteverdi – Ecriture et mise en scène : Jean Hervé Appéré – Direction musicale : Augusto de Alencar – Avec : Frédéric Barthoumeyrou (Ulysse), Guillaume Collignon (Eurymaque), Augusto de Alencar (Médon), Stéphan Debruyne (Eumé), Pierre-Michel Dudan (Alkinoos), André Fauquenoy (Iro), Valérie Français (Euryclée), Ana Isoux (Pénélope), Jonathan Jolin (Phémios), Audrey Saad (Télémaque) – Assistante à la mise en scène : Valérie Bochenek – Direction des chants : Mathieu Septier – Chorégraphies : Augusto de Alencar – Pantomimes : Valérie Bochenek – Marionnettes : Lionel Ménard, Sébastien Puech, Carole Allemand – Masques : Stefano Perocco – Costumes : Delphine Desnus – Lumières : Edwin Garnier

Résumé

Dix ans. C’est le temps qu’a mis Ulysse pour rentrer à Ithaque et retrouver Pénélope. Un long voyage en mer fait de rencontres ensorcelantes ou périlleuses, en un mot, d’aventures. « L’Odyssée », cette épopée humaine et initiatique qui a traversé les âges, dévoile toute sa magie sur scène. Embarquez aux côtés d’Ulysse, rencontrez la nymphe Calypso, combattez les Cyclopes, résistez aux sirènes… et (re)découvrez ce chef-d’œuvre de notre culture dans une commedia dell’arte épique. Dans une mise en scène inventive, le poême homérique se mêle à la musique de Monteverdi, qui compose « Le Retour d’Ulysse dans sa patrie » en pleine Renaissance, alors que le mythe inspire bon nombre d’artistes.

L’Ombre de Saint-Saëns

Distribution

Auteur : Sylvain Coher, Camille Saint-Saëns – Mise en scène : Sybille Wilson – Texte : Sylvain Coher – Musique : Camille Saint-Saëns – Avec : Philippe Beau, Thierry Hellin et l’Ensemble Kheops : Muhiddin Dürrüoglu (piano), Thierry Hellin, Marie Hallynck (violoncelle), Tatiana Samouil (violon) – Scénographie et costumes : Aurélie Thomas – Création lumières : Elsa Revol

Résumé

Fantaisie musicale et visuelle inspirée de la musique, des écrits et de la vie de Camille Saint-Saëns. Camille Saint-Saëns, le nouveau Mozart, enfant prodige, le compositeur haut en couleur, célébré sur tous les continents, en revenant sur terre le temps d’un spectacle, constate le « rétrécissement de sa postérité́ » ! Comme la gloire est infidèle ! Serait-il périmé ? Que reste-t-il des grands hommes lorsqu’ils ont connu un triomphe immense de leur vivant ? Sur un monologue intérieur dévoilant les doutes de l’artiste, un peuple d’ombres prend vie. Elles s’épanouissent derrière lui comme des créatures magiques, au son du trio à cordes qui interprète sa musique, pleine de fantaisie et de tourments. À travers l’ombre de Saint-Saëns, c’est toute une lumière sur un personnage que nous posons. C’est l’envie de faire ressurgir du passé l’image d’un artiste incroyable… magique. Philippe Beau, ombromane.

La Balade du grand macabre

Distribution

Auteur : Michel de Ghelderode – Metteur en scène : Stephen Shank – Interprétation : Philippe Allard, Eric Breton Le Veel, Didier Colfs, Jessica Gazon, Peter Ninane, Françoise Oriane, Michel Poncelet, Pascal Racan, Jean-François Rossion – Scénographie et costumes : Thierry Bosquet – Lumières : Alain Collet – Décor sonore : Nicolas Marchant – Maquillages : Jean-Pierre Finotto – Assistant à la mise en scène : Luis Vergara Santiago – Régie son : Nicolas Perretier – Régie lumières : Alain Collet – Régie plateau : Noël Baye et Pierre Ronti – Habilleuse : Marianne Braconnier – Maquilleuses : Véronique Dubray, Daphné Durieux, Marjorie Mathieu

Résumé

Breugellande est une contrée paisible. A sa tête, le Prince Goulave, bégayant, gourmand et maladroit, s’occupe peu des affaires du royaume. Ses ministres, corrompus et manipulateurs, en font leur affaire. Voici tout à coup l’insouciante population en émoi, un grand escogriffe du nom de Nekrozotar clame la fin du monde à qui veut l’entendre. Pour le débonnaire Porprenaz, tant qu’il y a du vin… Le philosophe Videbolle quant à lui est enchanté : depuis le temps que de savants calculs astronomiques lui prédisaient l’apocalypse prochaine, voici qu’on le prendrait enfin au sérieux ! Et puis, l’occasion semble rêvée pour se débarrasser de sa mégère Salivaine… Temps mythique, espace fabuleux rappelant Bruegel, langue âpre et imagée : tout l’univers de Ghelderode se retrouve dans cette farce truculente ! Une rencontre avec un des auteurs les plus marquants de la Belgique, mort en 1962, sans même se douter que sa désignation pour le prix Nobel était à l’étude… Une production de DEL Diffusion et du Théâtre Royal des Galeries

La dernière saison

Distribution

Auteur : Cirque Plume – Écriture, mise en scène, scénographie et direction artistique : Bernard Kudlak – Composition, arrangements et direction musicale : Benoit Schick – Avec : Nicolas Boulet, Cyril Casmèze, Julien Chignier, Natalie Good, Pierre Kudlak, Jacques Marquès, Anaëlle Molinario, Bernard Montrichard, Nicolas Sannier, Benoit Schick, Andrea Schulte, Analia Serenelli, Hichem Serir Abdallah, Laurent Tellier-Dell’ova, Jonathan Volson – Costumes : Nadia Genez – Lumières : Fabrice Crouzet – Son : Jean-François Monnier – Assistant à la mise en scène : Hugues Fellot – Toile : Charles Belle  

Résumé

Après 30 ans de représentations dans le monde entier devant plus de deux millions de spectateurs, le Cirque Plume tire sa révérence avec « une dernière tournée, une dernière saison. Un spectacle de finesse si on peut. Un spectacle de joie, simple et coloré. Une fête. Un spectacle qui traverse les saisons, comme on traverse les âges. » Dans sa dernière création, le Cirque Plume s’empare de la forêt, de la neige et du vent. A sa façon, dans le rire et la fragilité, en actes de cirque et de musiques. Avec une générosité sans faille, quinze musiciens, acrobates, contorsionnistes, personnages insolites, mi-hommes, mi-animaux entraînent les spectateurs entre images poétiques et performances à couper le souffle.

La Nuit du cerf – A Deer in the headlights

Distribution

Auteur : Cirque Le Roux – Co-fondateurs de Cirque Le Roux : Gregory Arsenal, Lolita Costet, Philip Rosenberg, Yannick Thomas – Mise en scène : Charlotte Saliou – Avec : Mason Ames, Gregory Arsenal, Valérie Benoit, Lolita Costet, Philip Rosenberg, Yannick Thomas – Costumes et scénographie : Gregory Arsenal, Philip Rosenberg – Lumières : Pierre Berneron – Musiques originales : Alexandra Stréliski

Résumé

Vous avez tellement aimé leur « Elephant in the room » que nous ne résistons pas à l’envie de vous offrir la nouvelle création du Cirque Le Roux ! Avec son style novateur et sa maîtrise totale (du décor aux costumes, des performances physiques aux frémissements de l’intrigue, sans oublier la musique), le Cirque Le Roux crée une comédie burlesque et décalée, fusion entre le cirque, le cinéma des années 1970 et le théâtre. Six acrobates nous plongent dans une réunion de famille, terrain de tous les possibles, avec ses émotions, ses joies, ses revirements aussi. Un déferlement de situations absurdes et de numéros de cirque à couper le souffle, le tout dans un écrin délicieusement rétro. Une pépite d’esthétisme et de générosité !

La Philharmonique de Liège

Distribution

Direction : Jean-Pierre Haeck – Au piano : François-Frédéric Guy

Résumé

L’Orchestre Philharmonique de Liège présente : – Hymne à la justice d’Albéric Magnard. Un vibrant plaidoyer, écrit dans la foulée de l’affaire Dreyfus contre les abus du système judiciaire et l’antisémitisme exprimé dans un langage d’un romantisme exacerbé. – Concerto pour la main gauche de Maurice Ravel. L’œuvre de Ravel, influencé par les courants modernes de la fin des années vingt, est marquée par une rythmique exubérante et une liberté de ton empruntée au jazz. Un concerto écrit pour être joué uniquement de la main gauche. – Symphonie en si bémol majeur d’Ernest Chausson. Une rigueur formelle dominée par le principe de l’écriture cyclique. Une ambiance sonore « fin de siècle » qui laisse transparaître les désillusions et le désespoir propre à une certaine esthétique de la décadence. Une coproduction entre l’Atelier Théâtre Jean Vilar et l’Orchestre Philharmonique de Liège.

La Princesse Maleine

Distribution

Auteur : Maurice Maeterlinck – Interprétation : Astrid Bas – Metteur en scène : Yves Beaunesne – Interprétation : Audrey Bonnet, Claire Wauthion, Nicole Colchat, Dominique Valadié – Scénographie : Thibault Vancraenenbroeck – Interprétation : Laure Bonnet, Anne-Catherine Chagrot, Rebecca Finet, Roland Bertin, Florian Goetz, Freddy Sicx, Thierry de Carbonnières, Cédric Vieira, John Kokou, Théodul Carré-Cassaigne, Yoav Landau, Gaspard Pelletier

Résumé

Au soir des noces entre le prince Hjalmar et la princesse Maleine, fille du roi Marcellus et de la reine Godelive, le vieux Hjalmar outrage ses hôtes sans raison et leur promet la guerre. Elle éclate. Marcellus et son royaume n’existent plus. Maleine se rend au royaume du vieux Hjalmar pour retrouver son fiancé d’un jour. Mais la reconnaîtrait-il ? Dans ce monde étrange où les malheurs se promènent la nuit, les murailles ont la fièvre d’assister à l’impossible bonheur des amants que des pantins déciment. Coproduction Compagnie des Petites Heures (Paris), Atelier Théâtre Jean Vilar, Théâtre National de la Colline (Paris), Théâtre du Nord (Lille), Les Gémeaux (Sceaux), L’apostrophe (Cergy), Théâtre National de Toulouse Midi-Pyrénées – Théâtre de la Cité, La Comédie de Clermont-Ferrand, les Palais des Arts (Nogent sur Marne), le Jeune Théâtre National (Paris).

La Veuve rusée

Distribution

Auteur : Carlo Goldoni – Traduction : Michel Arnaud – Metteur en scène : Patrice Kerbrat – Interprétation : Olivier Cuvellier, Delphine Charlier, Laurence d’Amélio, Jean-Claude Dubiez, Olivier Leborgne, Marie-Line Lefebvre, Clément Manuel, Nicolas Mispelaere, Fred Nyssen, Pierre Poucet, Patrick Ridremont, Jean-François Viot, Gérard Vivane – Décor : Edouard Laug – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot – Costumes : Renato Bianchi – Lumières : Laurent Béal – Maquillages : Martine Lemaire – Musique originale : Paul Uy – Réalisation des décors : Marc Cocozza, Mathieu Regaert, Vincent Rutten, Nicolas Perretier, Yvan Harcq, Jacques Perera

Résumé

Comédie haute en couleur Une commedia dell’arte virevoltante en costumes d’époque, interprétée par une distribution grandiose. Une jeune vénitienne mariée par obligation à un vieux marchand se retrouve, du jour au lendemain, veuve et riche. Dans l’atmosphère de carnaval qui anime Venise, elle redécouvre le goût de la fête et avec lui, toute sa joie de vivre. Elle décide alors de se remarier mais, cette fois, avec l’heureux élu ! Quatre soupirants se bousculent à sa porte, chacun représentant avec force et conviction les stéréotypes de sa nation. Ainsi le Français sera volage, l’Anglais inconstant, l’Espagnol trop sérieux et l’Italien jaloux. Un véritable échantillon du mâle typique de chaque pays. Emportée par la fantaisie et l’invention, la jeune femme prend conscience de son esprit, de sa beauté et de sa liberté. Elle en use et en abuse pour débusquer celui à qui elle accordera sa main. Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa Spectacle proposé dans le cadre de la collaboration avec le Centre culturel d’Ottignies – LLN

La Veuve rusée

Distribution

Auteur : Carlo Goldoni – Traduction : Michel Arnaud – Metteur en scène : Patrice Kerbrat – Interprétation : Delphine Charlier, Olivier Cuvellier, Laurence d’Amélio, Jean-Claude Dubiez, Olivier Leborgne, Marie-Line Lefebvre, Clément Manuel, Nicolas Mispelaere, Fred Nyssen, Pierre Poucet, Patrick Ridremont, Jean-François Viot, Gérard Vivane – Décor : Edouard Laug – Costumes : Renato Bianchi – Lumières : Laurent Béal – Maquillages : Martine Lemaire – Musique originale : Paul Uy – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot – Régie générale : Vincent Rutten – Régie plateau : Marc Cocozza – Régie lumières : Gary De Beys – Habilleuse : Liliane Thomas – Maquilleuse : Martine Lemaire – Direction technique : Jacques Magrofuoco – Réalisation des décors : Marc Cocozza, Mathieu Regaert, Vincent Rutten, Nicolas Perretier, Yvan Harcq, Jacques Perera

Résumé

Une comédie virevoltante en costumes d’époque et aux décors somptueux, interprétée avec énergie et bonne humeur… Une jeune vénitienne mariée par obligation à un vieux marchand se retrouve, du jour au lendemain, veuve et riche. Dans l’atmosphère du carnaval de Venise, elle redécouvre la joie de vivre et décide de se remarier. Mais, cette fois, elle entend bien choisir l’heureux élu ! Quatre prétendants se bousculent à sa porte, chacun incarnant avec force et conviction les stéréotypes de sa nation. Qui de l’Anglais inconstant, du Français volage, de l’Espagnol trop sérieux ou de l’Italien jaloux gagnera le cœur de la belle ? Pour s’assurer de la sincérité de leur amour, la jeune femme entreprend de les mettre à l’épreuve… Quelle sera donc l’issue de cette délicieuse rencontre entre la subtilité féminine et les délires exubérants de ces mâles passionnés ? Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa.

La Vie parisienne

Distribution

Auteur : Jacques Offenbach – Livret de Henry Meilhac et Ludovic Halévy – Adaptation et mise en scène : Alain Sachs – Assisté de Corinne Jahier – Orchestrations et direction musicale : Patrice Peyriéras – Interprétation : David Alexis (Le baron), Adrien Biry (Bobinet), Emmanuelle Bougerol (Gabrielle), Stéphane Corbin (Urbain), Thomas Dalle (Le régisseur), Noémie Delavennat (L’habilleuse / Charlotte), Hervé Devolder (Gardefeu), Isabelle Fleur (Metella), Anna Lafont-Jouan (Une Parisienne), Marie-Charlotte Leclaire (Pauline), Marion Lépine (Une Parisienne/Alphonsine/Albertine), Clément Pouillot (Le Brésilien/Prosper), Sarah Tullamore (La baronne)

Résumé

Une récréation joyeuse en famille ! Une audition devient prétexte à une merveilleuse représentation… Dans un théâtre, un régisseur accueille les aspirants artistes et leur propose la partition de La Vie parisienne. Avec autant de candeur que d’imagination, les jeunes gens se glissent dans les différents rôles… Et petit à petit, quelques costumes, décors et instruments de musique suffisent à cette troupe improvisée pour donner vie à l’œuvre magistrale d’Offenbach. Sous une cascade de couleurs et de musique, treize jeunes artistes à la fois comédiens, chanteurs, musiciens et danseurs, nous livrent les frasques du baron de Gondremarck dans le plus grand respect de la partition originale. Compositeur parisien né en Allemagne, Jacques Offenbach s’imposa comme le maître de l’opéra-comique français du 19ème siècle avec ses « opéras-bouffes » : des œuvres traitant d’un sujet léger mais dont le style musical et le nombre de protagonistes rivalisaient avec les œuvres du grand répertoire. La Vie parisienne est sans doute un de ses plus grands succès. Dès sa création en 1866, elle est présentée 265 fois d’affilée ! Elle sera traduite en plusieurs langues et jouée dans le monde entier. Théâtre dans le théâtre, clins d’œil et humour, mais surtout une très belle équipe d’acteurs-chanteurs-musiciens-danseurs, tous de talent et pleins d’entrain, qui nous emmène à toute allure jusqu’au french cancan final. (Télérama, décembre 2009) Une coproduction du Théâtre Antoine, de BA Production, de Polyfolies, de Philippe Delmas Productions, de Patte Noire et de Serge Naïm.

Le Cid

Distribution

Auteur : Pierre Corneille – Metteur en scène : Alain Ollivier – Interprétation : Thibaut Corrion, Fabrice Farchi, Philippe Girard, Matthieu Marie, Pierre-Henri Puente, Malik Rumeau, Bruno Sermonne, Claire Sermonne, Irina Solano, Myriam Tadessé, Stéphane Valensi, Julia Vidit – Assistant à la mise en scène : Malik Rumeau – Scénographie : Daniel Jeanneteau – Assistant scénographie : Mathieu Dupuy – Lumières : Marie-Christine Soma – Assistante lumières : Anne Vaglio – Costumes : Florence Sadaune – Maquillages et coiffures : Catherine Saint-Sever – Conseil technique (maître d’armes) : François Rostain

Résumé

Un théâtre héroïque qui donne du courage à tous… à une époque où nous en avons tant besoin ! Deux jeunes gens s’aiment et sont promis l’un à l’autre. Mais voilà que les pères s’affrontent. Don Gomes humilie Don Diegue. Rodrigue se doit de rétablir l’honneur perdu de son nom. A faire son devoir, Rodrigue perd Chimène. A vaincre les ennemis de son pays, devenu Le Cid, il la reconquiert. Une langue éblouissante portée par la noblesse de l’alexandrin… Un spectacle où la beauté du texte côtoie la brillance du jeu des douze comédiens, menés par une Chimène fougueuse et torturée par ses contradictions et un Rodrigue passionné. Et puis Le Cid recèle également une dimension politique. La pièce est composée en 1636, époque de grands changements en France ; la monarchie s’affirme, laissant entrevoir la volonté de s’affranchir d’un système féodal cher à la noblesse. C’est ainsi que le Roi Fernand s’oppose au duel proposé par Chimène, car le recours à cet usage ancien affaiblit l’autorité judiciaire qu’il entend légitimer. Corneille, mettant en scène le politique dans une langue éclatante, scelle le succès foudroyant et la gloire d’un texte d’une éternelle jeunesse. Une coproduction du Théâtre Gérard Philipe, Centre Dramatique National de Saint-Denis, des Nuits de Fourvière, de La Filature, Scène Nationale de Mulhouse, de la Maison de la Culture d’Amiens, Scène Nationale.

Le Journal de Jules Renard

Distribution

Auteur : Jules Renard – Metteur en scène : Jean-Louis Trintignant – Lecteurs : Jean-Louis Bérard, Manuel Durand, Anna Mouglalis et Jean-Louis Trintignant.

Résumé

ACCUEIL FRANCAIS EXCLUSIF « Écrire, c’est le moyen de parler sans être interrompu. » « Le Journal » de Jules Renard, c’est à la fois un recueil de bons mots, la chronique d’une époque, une galerie de portraits au vitriol, et des prises de position audacieuses. Sans cesse, Jules Renard éprouve cet ardent désir de dire la vérité au jour le jour. Acide et doux, violent et tendre, pratiquant avec virtuosité l’autodérision, il nous propose une certaine image de la fin du XIXe siècle. Jean-Louis Trintignant et Jean-Louis Bérard nous ont enchanté la saison dernière dans « Moins 2 ». Aujourd’hui, ils nous proposent de redécouvrir, le temps d’une lecture, l’auteur de « Poil de carotte ». Son journal est un chef-d’œuvre d’introspection, d’ironie, d’humour et de nostalgie ; « le cœur mis à nu d’un humoriste-né » (Sacha Guitry). (La lecture de ce chef-d’œuvre est entièrement sonorisée.) Une production Les Visiteurs du Soir.

Le Malade imaginaire

Distribution

Auteur : Molière – Mise en scène : Patrice Mincke – Avec : Maroine Amimi (Thomas Diafoirus), Bénédicte Chabot (Béline), Didier Colfs (Monsieur Diafoirus), Damien De Dobbeleer (Cléante), Michel Kacenelenbogen (Argan), David Leclercq (Purgon), Lise Leclercq (l’Apothicaire), Jean-François Rossion (le Notaire Bonnefoi), Anne Sylvain (Toinette), Camille Voglaire (Angélique), Alexandre von Sivers (Béralde) – Assistanat à la mise en scène : Sandrine Bonjean – Scénographie : Patrick de Longrée – Costumes : Chandra Vellut – Décor sonore : Laurent Beumier – Régie générale : Robin Van Bakel – Stagiaire régie : Gaël Genette – Avec l’aide : des équipes techniques de l’Aula Magna et de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Le poumon ! Pas de doute, c’est le poumon ! Si on ose lui prétendre qu’il n’est pas malade, Argan se rebiffe et n’en démord pas : il veut être malade ! Il faudra tout le bon sens et l’humour de la servante Toinette pour calmer la folie qui semble s’être emparée du maître ; comme si les nombreux lavements que ses médecins lui infligent lui avaient siphonné le cerveau. Mais il s’agit d’en finir avec les charlatans, prescripteurs de potions magiques et autres clystères subtils qui aveuglent Argan, et de ramener ce grand malade à la raison. Quelle maladie que ces bobos imaginaires qui ne servent qu’à attirer l’attention, à rassurer, à cultiver le nombrilisme, la peur de vivre, la peur de vieillir, ou la peur de mourir ! Une belle comédie mise en scène par Patrice Mincke à l’Abbaye de Villers-la-Ville en été 2015. Michel Kacenelenbogen incarne le grand hypocondriaque, régressif et puéril, maniaque et tyrannique. Pour lui tenir tête, Anne Sylvain joue la Toinette rusée et énergique à qui on ne la fait pas. Molière, dans son ultime pièce, crée un chef-d’œuvre et réussit le tour de force de nous faire rire de nos névroses et de nos angoisses.

Le Songe d’une nuit d’été

Distribution

Auteur : William Shakespeare – Adaptation française : Nicolas Briançon, Pierre-Alain Leleu – Metteur en scène : Nicolas Briançon – Avec : Lorànt Deutsch (Puck), Carole Richert (Titania-Hippolyte), Jean-Paul Bordes (Obéron-Thésée), Urbain Cancelier (Bottom), Nicolas Biaud-Mauduit (Démétrius), Marie-Julie Baup (Héléna), Sarah Stern (Hermia), Thibaut Lacour (Lysandre), Jean-Loup Horwitz (Quince), Dominique Daguier (Flûte), Patrick Alexis (Snout), Léon Lesacq (Snug), Laurent Benoit (Egée), Eric Vincent (Philostrate), Marlène Wirth (Fée : Fleur des Pois), Carole Mongin (Fée : Toile d’Araignée), Armelle Gerbault (Fée : Papillon), Aurore Stauder (Fée : Graine de Moutarde), Jessy Ugolin (Fée), Ofélie Crispin (Fée) – Décor :  Bernard Fau – Lumières : Gaëlle de Malglaive – Costumes : Michel Dussarat – Musiques : François Peyrony – Chorégraphie : Karine Orts – Maquillages : Michelle Bernet

Résumé

Un Shakespeare très « seventies » C’est l’histoire de quatre amoureux qui veulent se marier. Ça, c’est la base. Car en fait, c’est bien plus compliqué. Lysandre veut épouser Hermia. Hermia veut épouser Lysandre… mais Egée, père d’Hermia, la destine à Démétrius, dont Héléna est amoureuse. Pour échapper à Egée, Lysandre et Hermia s’enfuient dans la forêt, poursuivis par Démétrius, lui-même poursuivi par Héléna. Pendant ce temps, dans la forêt, Oberon, roi des Elfes, ordonne à son fidèle Puck de verser une potion magique sur les paupières de sa maîtresse Titania, pour la punir de sa désobéissance. Mais Puck se trompe et vise les jeunes amants. A cela s’ajoute une bande de comédiens amateurs, venus répéter leur pièce dans la forêt. S’ensuit la confusion la plus totale… 20 comédiens et danseurs nous plongent dans un univers fait d’imaginaire, de fantaisie, de rêve… Un moment hors du temps pour le plus grand plaisir de tous. D’ores et déjà un immense succès à Paris !

Le Tartuffe ou l’imposteur

Distribution

Auteur : Molière – Metteur en scène : Patrice Kerbrat – Interprétation : Myriem Akheddiou, Armand Delcampe, Colette Emmanuelle, Robert Guilmard, Marie-Line Lefebvre, Quentin Lemenu, Laurent Micheli, Fred Nyssen, Isabelle Roelandt, François Sikivie, Benoît Verhaert, Valentine Jongen, Emma Béat, Vincent Rutten, Marc Cocozza – Scénographie : Edouard Laug – Lumières : Laurent Béal – Costumes : Jean-Daniel Vuillermoz – Maquillage : Martine Lemaire – Arrangements musicaux et interprétation : Stany Mannaert – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot – Construction décor : Bernard Lamot, Stephane Devolder, Georges Delhez – Peinture sol : Marianne De Wil, et son équipe – Peinture décor : Christophe Beaugé – Régie générale : Vincent Rutten, Manu Maffei – Régie lumières et son : Gary De Beys, Jacques Perera – Régie plateau : Marc Cocozza, Mathieu Regaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Maquilleuse : Martine Lemaire – Direction technique : Jacques Magrofuoco – Remerciement : Félicien Van Kriekinge

Résumé

Non, rien de plus méchant n’est sorti de l’Enfer Issu de la haute bourgeoisie, Orgon s’est laissé subjuguer par Tartuffe dont il admire la foi profonde. Or, ce dernier n’est qu’un hypocrite intéressé par la fortune de son admirateur. Malgré l’hostilité de sa propre famille, Orgon a fait de lui son directeur de conscience, son confident et son maître à penser. Aveuglé, il s’entiche de son Tartuffe au point de lui offrir sa fille, son héritage… Les manœuvres de l’imposteur seront-elles déjouées à temps ? Molière dénonce avec Tartuffe les agissements de la Compagnie du Saint-Sacrement, société catholique ultraconservatrice violemment hostile aux protestants. Elle prétend également lutter contre les hérétiques, les mœurs dépravées et les débordements populaires tout en s’impliquant dans les oeuvres de charité, par exemple, en fondant des hôpitaux. Elle devient rapidement une société secrète influente : Anne d’Autriche la protège. La première version de Tartuffe, jouée durant les Plaisirs de l’Ile enchantée, fête somptueuse que Louis XIV organise à Versailles en mai 1664, connaît un vif succès auprès du roi et provoque la réaction immédiate du parti dévot, menée par Anne d’Autriche, qui se déchaîne contre Molière et obtient du monarque l’interdiction de la pièce. Molière se défend en expliquant les intentions de sa comédie. Il finit par obtenir l’autorisation que Tartuffe soit joué, non dans les salles publiques où la troupe se produit habituellement, mais dans les hôtels particuliers de l’aristocratie. Louis XIV prend la troupe sous sa protection. Molière de son côté modifie son Tartuffe et atténue la violence de certains propos si bien que le roi autorise à nouveau la pièce, jouée publiquement le 5 août 1665 avec un succès éclatant. Patrice Kerbrat retrouve l’Atelier Théâtre Jean Vilar pour deux mises en scène, celle de Deux Petites Dames vers le Nord et celle de Tartuffe. Il s’adjoint à nouveau le concours de la brillante équipe de La Veuve rusée, Edouard Laug (décor) et Laurent Béal (lumières). Gageons que sa collaboration à la Comédie-Française éclairera avec pétillement le texte de Molière. Au milieu de quelques comédiens fidèles à l’Atelier – Isabelle Roelandt, Marie-Line Lefebvre et Myriem Akheddiou – Armand Delcampe, qui a mis la pièce en scène voici une douzaine d’années, incarnera Orgon face à Benoît Verhaert. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar La capacité de la salle sera réduite à 740 places pour des raisons de confort et d’esthétique.

Le Tartuffe ou l’imposteur

Distribution

Auteur : Molière – Metteur en scène : Patrice Kerbrat – Interprétation : Myriem Akheddiou, Armand Delcampe, Colette Emmanuelle, Robert Guilmard, Marie-Line Lefebvre, Quentin Lemenu, Laurent Micheli, Fred Nyssen, Isabelle Roelandt, François Sikivie, Benoît Verhaert,…

Résumé

Ah ! pour être dévot, je n’en suis pas moins homme ! Issu de la haute bourgeoisie, Orgon s’est laissé subjuguer par Tartuffe dont il admire la foi profonde. Or, ce dernier n’est qu’un hypocrite intéressé par la fortune de son admirateur. Malgré l’hostilité de sa propre famille, Orgon a fait de lui son directeur de conscience, son confident et son maître à penser. Aveuglé, il s’entiche de son Tartuffe au point de lui offrir sa fille, son héritage… Les manœuvres de l’imposteur seront-elles déjouées à temps ? Ces dernières saisons, Patrice Kerbrat a enchaîné avec un égal succès les créations à l’Atelier Théâtre Jean Vilar. Variant les registres, il sera également présent cette saison avec Un Tango en bord de mer et Deux Petites Dames vers le Nord. Avec Le Tartuffe, il retrouve des comédiens fidèles à l’Atelier. Armand Delcampe mettait lui-même en scène la pièce il y a plus de dix ans, avec Colette Emmanuelle qui est à nouveau une Pernelle magistrale. Personnages en costumes d’époque, décor unique intemporel, éclairages très soignés, la mise en scène dépouillée de Patrice Kerbrat fait parfaitement entendre et comprendre le texte, porté par des comédiens impeccables. (Le Soir, octobre 2009) Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar. La capacité de la salle sera réduite à 740 places pour des raisons de confort et d’esthétique.

Le Tribut africain

Distribution

Concert sous la direction de Patrick Davin.

Résumé

Philippe Sireuil a donné carte blanche à Patrick Davin pour une mini-saison musicale qui relie la musique à la programmation. En prélude au spectacle Rwanda 94 du Groupov, Le Tribut africain réunit une matière musicale très poétique. Patrick Davin a choisi de nous faire entendre les œuvres de grands compositeurs du XXème siècle qui se sont nourris des racines profondes de la musique africaine pour composer des oeuvres intemporelles. L’Ensemble Musiques Nouvelles est composé de 10 musiciens (violon, alto, cello, flûte, clarinette, chant, percussions et piano). Le groupe Les Phônes est composé de trois musiciens qui jouent sur d’étranges instruments, aux mécaniques complexes et entièrement acoustiques. Leurs recherches de création instrumentale et musicale intègrent des instruments conventionnels ou traditionnels et allient modernité et tradition.

Le Triomphe de l’amour

Distribution

Interprétation : Valérie Bauchau, André Baeyens, Anne-Marie Loop, Yoann Blanc, Jean-Philippe Lejeune, Jean-Luc Couchard – Metteur en scène : Philippe Sireuil – Décor : Vincent Lemaire – Costumes : Catherine Somers – Maquillages et perruques : Catherine Friedland – Interprétation : Céline Rallet – Auteur : Marivaux

Résumé

Par amour pour Agis, la princesse Léonide cherche à lui rendre le trône usurpé dont elle hérite. Pour ce faire, déguisée en homme, elle se rend chez le jeune homme élevé à l’écart du monde par un philosophe et sa sœur… Une comédie dont l’oscillation permanente entre amour et tromperie, gravité et bouffonnerie nous interroge sur la validité des sentiments amoureux et des émotions humaines. Chassés-croisés de rendez-vous galants, ruse, menace, trahison, jalousie se concluront par un triomphe – relatif – de l’amour, mais aussi de sa cruauté. Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa, avec la participation du Centre des Arts Scéniques.

Les Franglaises

Distribution

Mise en scène : Quentin Bouissou – Direction musicale : Philippe Lenoble – Avec : Saliha Bala, Benjamin Carboni, Yoni Dahan, Fabien Derrien, William Garreau, Stéphane Grioche, Marsu Lacroix, Philippe Lenoble, Roxane Terramorsi, Daphnée Papineau, Romain Piquet, Laurent Taieb – Costumes : Anna Rizza – Lumières : Romain Mazaleyras – Son : Jean-Luc Sitruk et Steven Barret – Vidéo : Alan Delmas

Résumé

A voir en famille ! Après avoir triomphé en France et remporté le Molière du meilleur spectacle musical en 2015, le « feel good spectacle » à l’énergie bouillonnante débarque à Louvain-la-Neuve. Comme tout le monde, il vous arrive de fredonner un tube en anglais sans en comprendre toutes les paroles ? Les Franglaises vous offrent leurs lumières ! Détournant le jeu du « test aveugle » ou blind-test, la joyeuse troupe de 12 artistes vous convie à une comédie musicale à la bonne humeur contagieuse mêlant théâtre, musique live et chorégraphies décalées. Dans une traduction française littérale à la « google-trad », ils mettent en scène – et malmènent joyeusement – les plus grands succès du répertoire anglo-saxon. Dans ce show déjanté, vous croiserez peut-être Michel Fils-de-Jacques, Les Gens du Village, les Petits Pois aux Yeux Noirs ou encore les Filles épicées… « Les Franglaises », c’est un art du pastiche, un sens du burlesque, une ode à la pop, et surtout une performance drôle et interactive pour ne plus jamais se retrouver « lost in translation ».

Les Sonates du Rosaire

Distribution

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Résumé

Par le Ricercar Consort Avec les Sonates du Rosaire de Heinrich Ignaz von Biber, l’Atelier Théâtre Jean Vilar vous propose de plonger au cœur de la musique baroque. L’œuvre se compose à l’origine de quinze sonates pour violon seul et basse continue, et d’une passacaille finale. Florence Malgoire et Philippe Pierlot ont choisi d’interpréter six sonates et la passacaille. En écho à l’œuvre musicale, Carmela Locantore lira des textes de Thérèse d’Avila. Une coproduction du Festival de Wallonie en Brabant Wallon, du Théâtre de la Place, de l’Atelier lyrique de Tourcoing, du Festival international de Toulouse-Les-Orgues et de l’Atelier Théâtre Jean Vilar.

Mas-Sacre

Distribution

Auteur : Maria Clara Villa Lobos – Chorégraphie et conception : Maria Clara Villa Lobos – Avec : Jo Heyvaert, Barthélémy Manias, Coral Ortega, Clément Thirion – Musique : Igor Stravinsky – Scénographie et costumes : Frédérique de Montblanc – Analyse musicale et rythme : Michel Debrulle – Montage sonore : Gaëtan Bulourde – Vidéo : Lucas Racasse assisté de Robin Yerlès – Régie : Jean-François Dubois – Régie vidéo : Robin Yerlès

Résumé

Maria Clara Villa Lobos revisite le « Sacre du printemps ». Le ballet mythique fut qualifié de « Massacre du printemps » à sa création en 1913 à cause de l’aspect avant-gardiste de la chorégraphie de Nijinsky et de la musique de Stravinsky. Outre un clin d’œil ironique à cet événement, Maria Clara Villa Lobos revient ici à son sujet de prédilection : la société de consommation et ses dérives. Avec l’humour qui la caractérise, elle porte un regard critique sur les abus de l’industrie alimentaire qui traite les animaux comme des objets. Les danseurs incarnent les employés à la chaîne d’une usine à viande, mais aussi les machines elles-mêmes, voire les gallinacés qu’ils décortiquent… Créant des liens entre la chair humaine des danseurs et celle des animaux manipulés sur scène, le spectacle questionne notre rapport à la viande en tant que simple produit de consommation. Dans un dispositif alternant images projetées et chorégraphie, « Mas-Sacre » explore et s’approprie le grand classique de Stravinsky avec un regard actuel et volontairement provocant ! Une œuvre inclassable entre chorégraphie, performance et happening, qui a rencontré un vif succès au Festival Off d’Avignon en 2014.

Moins 2

Distribution

Auteur : Samuel Benchetrit – Metteur en scène : Samuel Benchetrit – Interprétation : Roger Dumas, Manuel Durand, Alexandra London, Jean-Louis Trintignant – Décor : Hélène Arlaud, Yan Arlaud – Lumières : Alain Poisson – Costumes : Hanna Sjödin – Assistante costumes : Emilie Kayser – Assistante à la mise en scène : Marie Hélène Sarrazin – Collaboration artistique : Gabor Rassov

Résumé

Et si deux patients sexagénaires décidaient un soir de se faire la malle du service réanimation… Selon les médecins, Paul Blanchot et Jules Tourtin n’en ont plus pour longtemps, alors, autant en profiter et aller faire un tour dehors ! L’histoire d’une échappée belle, sarcastique et drôle. Une épopée des temps modernes, avec pour chevaliers insolites deux chenapans en pyjamas d’hôpital et pour princesse une fille sur le point d’accoucher rencontrée au bord d’une route. Ni une, ni deux, voilà nos valeureux gaillards partis à la recherche d’un père pour le bébé. Au fil de ces improbables rencontres, où les solitudes se croisent, Paul est le meneur, le plus facétieux et le plus insolent ; Jules le suit toujours avec une demi-seconde de retard. L’occasion pour les deux hommes des tester une amitié sans lendemain, forte et sans jugement. Une amitié surprenante qui mène à la confidence. Un superbe moment de vie quand approche le temps du grand départ ! Samuel Benchetrit nous livre un texte à la fois sérieux et drôle, grave et touchant. Le tandem Jean-Louis Trintignant – Roger Dumas est irrésistible d’humour et de finesse, une rencontre sur scène qui vaut le détour, alors puisqu’ils viennent jusque chez nous, ne les manquez sous aucun prétexte ! Molière 2006 du meilleur comédien dans un second rôle pour Roger Dumas. Une production de Pascal Legros Productions et du Théâtre Hébertot.

Money !

Distribution

Auteur : Françoise Bloch / Zoo Théâtre – Ecriture collective – Mise en scène : Françoise Bloch – Avec : Jérôme de Falloise, Benoît Piret, Aude Ruyter, Damien Trapletti – Collaboration artistique : Benoît Gillet – Vidéo : Benoît Gillet, Yaël Steinmann – Lumières : Marc Defrise – Scénographie : Johan Daenen – Assisté de : Johanna Daenen – Aide à la réalisation sonore : Jean-Pierre Urbano – Costumes : Patty Eggerickx – Direction technique et régie vidéo : Benoît Gillet – Assistanat à la mise en scène : Judith Ribardière – Assistanat à la mise en scène sur les ateliers : Cécile Lécuyer – Stagiaire à la mise en scène : Nicole Stankiewicz – Régie lumières : Gaspard Samyn – Régie son : Eric Ronsse, Cédric Otte – Coiffeuse : Marie Messien – Délégués de production : Michel Van Slijpe, Françoise Hansoul – Relations avec les publics : Anne-Sophie Sterck – Assistante Zoo Théâtre : Laurie-Anne Vanbléricq – Diffusion : Habemus Papam, en collaboration avec le Théâtre National/Bruxelles – Avec l’aide : des équipes techniques de l’Aula Magna et de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Tout ce que vous ne saurez jamais sur l’argent parce que personne ne vous le dira et d’ailleurs mieux vaut ne pas le savoir, parce que si on savait, ce serait pire… On va parler de banque, d’économie et de votre argent. Et vous allez rire, d’un rire salvateur et libérateur. Car la manière de traiter le sujet est ludique, inédite, intelligente, et cela fait un bien fou… Après « Grow or go » et « Une Société de services », Françoise Bloch et sa compagnie Zoo Théâtre poursuivent leurs recherches sur les rapports entre théâtre et réalité. A chaque fois, en filigrane, c’est la mécanique du profit qu’ils interrogent ; une mécanique qui semble nous échapper mais dont nous sommes pourtant tous acteurs. Fruit d’une écriture collective sur base documentaire (interviews, enquêtes, films), « Money ! » tente de comprendre le fonctionnement des banques. Rompus aux discours des économistes, se jouant de leur vocabulaire et de leurs postures, quatre comédiens sont tour à tour banquiers et clients, gourous de la finance et simples citoyens, travailleurs et réviseurs d’entreprise. Musiques, vidéos et chorégraphies à roulettes complètent ce collage scénique plein de contrastes et d’énergie.

Nomad

Distribution

Auteur : Sidi Larbi Cherkaoui – Chorégraphie et mise en scène : Sidi Larbi Cherkaoui – Composition musicale : Sidi Larbi Cherkaoui, Félix Buxton, Kaspy N’dia – Avec : Pol Van den Broek, Nassim Baddag, Nick Coutsier, Mohamed Toukabri, Kazutomi « Tsuki » Kozuki, Mabrouk Gouicem, Jonas Vandekerckhove, Jonas Garrido Verwerft, Astrid Sweeney, Anna Senognoeva – Musique complémentaire : Yarkin featuring The Sufi Vocal Masters, Al Adhan, Al Qantarah, Fadia Tomb El-Hage, Oli Savill (Percussions), chants traditionnels des îles Amami au Japon – Conception sonore : Félix Buxton – Musique live : Kaspy N’dia – Création costumes : Jan-Jan Van Essche – Scénographie : Willy Cessa, Adam Carrée – Création lumières : Willy Cessa, Sam Mary – Montage vidéo : Paul Van Caudenberg – Assistant à la chorégraphie : Shawn Fitzgerald Ahern, Oscar Ramos – Répétiteur : Shawn Fitzgerald Ahern – Conseiller artistique et associé : Václav Kuneš – Coach vocal : Anna Sato – Musique conçue par : Duncan F. Brown – Habillage : Saar Swinters – Réalisation décors : Martin Baarda

Résumé

Dix danseurs pour un ballet sauvage au milieu du désert. Considéré comme l’un des plus grands chorégraphes de sa génération, ayant notamment collaboré avec Beyoncé, Sidi Larbi Cherkaoui est un nomade qui aime faire voyager. Il nous transporte ici en plein désert, dans tout ce qu’il a de beau et de terrible. S’inspirant des vastes étendues désertiques, « Nomad » s’inscrit dans un monde à la fois aride et changeant, celui de la soif physique et émotionnelle intense, des dunes façonnées par les vents, de la symbiose et de l’entraide. Les danseurs évoquent avec ferveur les peuples nomades et le souffle des horizons. Musique électronique et chants sacrés soufis se mêlent dans ce spectacle aux mille et une facettes où solos, duos et mouvements d’ensemble atteignent des sommets. Un spectacle fort, humaniste et atmosphérique. Sidi Larbi Cherkaoui s’est imposé comme l’un des chorégraphes belges les plus demandés dans le monde. Le Soir

Notre-Dame de Paris

Distribution

Auteur : Thierry Debroux – D’après : Victor Hugo – Mise en scène : Thierry Debroux – Avec : Mickey Boccar, Didier Colfs, Stéphane Fenocchi, Marc Laurent, Marie Phan – Scénographie : Vincent Bresmal, Matthieu Delcourt – Confection gargouilles : Alice Jeannerat, Geneviève Périat – Costumes : Bea Pendesini – Lumières : Philippe Catalano – Maquillages : Florence Jasselette – Chorégraphie : Emmanuelle Lamberts – Vidéo : Allan Beurms – Assistanat à la mise en scène : Catherine Couchard  

Résumé

Quand les gargouilles s’en mêlent ! 16 avril 2019. La cathédrale la plus célèbre au monde vient de brûler. Les gargouilles ont échappé au pire et c’est avec elles que nous entrons dans le roman de « Monsieur Victor ». Sur le fil entre humour et émotions, cinq comédiens et leurs marionnettes donnent vie aux grands moments de l’histoire d’Esméralda, Quasimodo, Frollo, Phoebus et Gringoire. La pièce se veut à la fois historique et contemporaine, d’autant que le destin d’Esméralda résonne avec des questionnements actuels autour du consentement ou du harcèlement. Après le succès de ses mises en scène de « Scapin 68 » (en 2018) et « Cyrano de Bergerac » (en 2019) à l’ATJV, Thierry Debroux prend la plume pour revisiter le chef-d’œuvre de Victor Hugo : « tout est parti de cette émotion partagée par le monde entier : Notre-Dame brûlait ! ». Le spectacle s’est créé à Paris en mars dernier, moins d’un an après l’incendie. Passé maître dans l’art de rendre les classiques plus proches de nous, Thierry Debroux nous offre un moment de pur plaisir qui plaira à toutes les générations à partir de 10 ans.

Orchestre National de Belgique

Distribution

Direction : Theodor Guschlbauer – Soliste (violoncelle) : Marie Hallynck

Résumé

England, Sea and Europalia Chine Au programme : – Les Hébrides ou la Grotte de Fingal de Félix Mendelssohn Bartholdy – La Mer de Claude Debussy – Le Concerto pour violoncelle de Hao-Fu Zhang (en création mondiale) – Les Quatre Interludes marins de Benjamin Britten Marie Hallynck, formée à Paris ainsi qu’au Conservatoire de Bruxelles et à la Chapelle musicale Reine Elisabeth, a travaillé avec plus d’une cinquantaine d’orchestres dans le monde. Elle a remporté de nombreux prix et est notamment lauréate du tournoi Eurovision de la musique classique en 1992. Hao-Fu Zhang, compositeur d’origine chinoise naturalisé belge, est professeur au Conservatoire de Bruxelles. Son concerto pour violoncelle, créé à cette occasion, est dédié à Marie Hallynck. Une production du Festival musical du Brabant wallon en collaboration avec l’Atelier Théâtre Jean Vilar, l’Orchestre National de Belgique et Europalia Chine

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