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Centre Culturel d'Ottignies-LLN

Arlequin, valet de deux maitres

Distribution

Auteur : Carlo Goldoni – Traduction : Luca Franceschi – Sous le regard de : Michel Kacenelenbogen – Avec : Marwane El Boubsi, Soufian El Boubsi, Thierry Janssen, Jeanne Kacenelenbogen, Othmane Moumen, Jérémie Pétrus, Pierre Poucet, Yentl Rousseau-Piot, Shérine Seyad – Scénographie : Anne Guilleray – Masques : Stefano Perocco – Costumes : Lionel Lesire – Lumière : Laurent Kaye – Musique originale : Pascal Charpentier – Assistanat à la mise en scène : Mirabelle Santkin – Régie : Ilan Widera, Giovanni Spada

Résumé

Un hommage joyeux, énergique et virtuose à la commedia dell’arte ! La vie est déjà compliquée quand on a un maitre… mais alors deux ! Pour Arlequin, petit homme analphabète, pauvre et affamé, servir deux maitres à la fois est un défi à relever. Mais y’a pas à dire, ça rapporte plus ! Alors, l’ingénu autant qu’ingénieux valet s’invente un clone, bouleverse les amours de ses maitres, vole, virevolte, reçoit double ration de coups de bâton, d’insultes et… triomphe à la fin.

Blockbuster

Distribution

Auteur : Nicolas Ancion et Collectif Mensuel – Conception et mise en scène : Collectif mensuel – Avec : Sandrine Bergot, Quentin Halloy, Baptiste Isaia, Philippe Lecrenier et Renaud Riga

Résumé

« Blockbuster » est un « mashup », autrement dit l’association en continu de plans de films différents à des fins parodiques. Voici donc un « grand détournement » sur plus de 1.400 extraits de films américains. Un spectacle phénomène, hors norme ! Bien présents sur la scène, les acteurs du Collectif Mensuel assurent tout à la fois le doublage des voix, les bruitages « faits maison » et la musique live. C’est une véritable performance où l’humour se conçoit comme un instrument de contestation. Car au final, dans cette fiction, le peuple décide de mener la riposte contre la classe dominante qui l’opprime…

Bob’Art

Distribution

Auteur : Compagnie Opinion Public – Chorégraphie : Etienne Béchard – Danseurs : Etienne Béchard, Johann Clapson, Sidonie Fossé, Victor Launay, Arthur Louarti – Musiciens : Livio Luzzi et Raphaël Tholance – Comédien : Simon Béchard

Résumé

Cinq danseurs formés à l’école Rudra Béjart et au Ballet Lausanne, un comédien et deux musiciens « live » livrent un spectacle humoristique et satirique. « Bob’Art » critique les effets de mode qui dirigent l’art contemporain. Par une danse virtuose, rapide et très physique, la Compagnie Opinion Public dénonce les gesticulations intellectuelles et le psychologisme à outrance qui éloignent les spectacles des attentes de leur public. Sous l’angle de la dérision et dans un jeu entre danse et arts théâtraux, ils entendent rire de ceux qui ne sont même plus drôles. Fondée en octobre 2010, la Compagnie Opinion Public se caractérise par une liberté d’approche et de mise en scène. L’absurde, le second degré mais aussi la gravité peuvent surgir d’une création aux accents oniriques ou réalistes, poétiques ou politiques… ces artistes pluridisciplinaires ne se refusent rien.

Britannicus

Distribution

Auteur Jean Racine – Mise en scène Gildas Bourdet – Décor Gildas Bourdet – Dramaturgie Alain Milianti – Costumes Françoise Chevalier – Avec Christian Blanc, Marie Boitel, Jacques Bonnaffé, Bruno Choël, Charles-Antoine Decroix, Marief Guittier, Agnès Mallet.

Résumé

Une tragédie de l’amour et de la politique, pile et face d’une pièce qui met en oeuvre des personnages à la croisée des intérêts publics et des désirs privés, qui vivent les sentiments comme des idées politiques et les idées politiques comme des sentiments. Une pièce de théâtre qui rend la monnaie à l’Histoire. Par le Théâtre de la Salamandre. Histoire d’un monde ancien qui bascule pour laisser place à un monde nouveau; des personnages qui sont les agents, ou plutôt les victimes agissantes de transformations auxquelles ils ne comprennent rien. Ils accouchent comme malgré eux d’un nouvel ordre des choses et du monde qui ne les organise pas encore et les laisse hors jeu, hors d’eux, saisis de vertige.

Carmen – La véritable histoire

Distribution

D’après la nouvelle de Mérimée et l’opéra de Bizet – Texte et mise en scène : Dominique Serron – Création et direction musicales : Antoni Sykopoulos – Avec : Patrick Brüll, Laurent Capelluto, Toni D’Antonio, Alexia Depicker, Daphné D’Heur, Florence Guillaume, Vincent Huertas, François Langlois, Sylvie Perederejew, Laure Voglaire, Vincent Zabus – Piano : Antoni Sykopoulos – Batterie/percussions : Gauthier Lisein – Scénographie et costumes : Christine Mobers – Création lumières : Franco Desautez – Assistants à la mise en scène : Colin Javaux et Clémentine Colpin – Assistant à la scénographie : Simon Detienne

Résumé

Carmen, l’insaisissable gitane, change de rôle comme elle respire. Elle est la femme fatale, imprévisible, indomptable, celle que l’amant éreinté par sa course ne pourra que tuer lorsqu’il l’aura enfin capturée. Un groupe d’hommes se rassemble autour d’un narrateur — Prosper — pour exhumer, le temps d’une conférence, la véritable histoire de Carmen. S’ils se risquent au jeu, Carmen apparaîtra. Tour à tour, cinq femmes, cinq Carmen invoquées par l’imaginaire et le désir, s’incarnent dans la chair du théâtre. Avec « Carmen – La véritable histoire », la nouvelle de Prosper Mérimée se marie à des influences contemporaines et à des extraits en live du célèbre opéra de Bizet, adapté en une vibrante musique d’aujourd’hui.

Ce qui restera

Distribution

Ecriture : Cécile Hupin – Mise en scène : Héloïse Meire – Avec : Gwen Berrou, Carole Lambert, Fabrice Rodriguez, Martin Rouet, Isabelle Wéry – Assistante mise en scène : Amandine Vandenheede – Stagiaire assistante mise en scène : Alexia Lobo – Direction technique et création lumières : Jérôme Dejean – Création sonore : Guillaume Istace – Mouvement : Colline Etienne – Scénographie : Catherine Cosme – Accessoires : Anna Terrien – Costumes : Anna Terrien, Sophie Hazebrouck – Patine décor : Anna Terrien, Sophie Hazebrouck, Delphine Coërs – Construction décor : Atelier Théâtre Jean Vilar, Jean-Philippe Hardy, Virgile Morel, Gulcan Sen – Sous la direction de : Jacques Magrofuoco – Construction mobilier : L’Entrepool (Vincent Rutten) – Marionnette : Sophie Hazebrouck – Création vidéo : Hubert Amiel – Régie : Jérémy Vanoost, Grégoire Tempels, Julie Bernaerts

Résumé

Que projetons-nous dans nos objets ? Qui possède qui ? Et face à l’inévitable finitude de l’être, que restera-t-il de nous ? La veille du Nouvel An, une terrible tempête menace les habitations des six derniers résidents d’une ile au milieu de l’océan. Pour se protéger, ils rassemblent leurs affaires et se retranchent dans un bâtiment sécurisé, géré par une intelligence artificielle. Dans l’attente de la fin du déluge, ils se confrontent à leurs souvenirs, leurs besoins matériels et leurs émotions, en se heurtant aussi aux autres et à la solitude. Mais peu à peu, l’eau s’infiltre… Ne reste plus qu’à tenter l’impossible pour sauver ce qui peut l’être encore : un objet précieux, un souvenir, un porte-bonheur… une vie ? Dans un univers tragi-comique, nous souhaitons créer un spectacle où l’émotion, le rire et un certain sens du décalage permettent de tendre un miroir sur nos fonctionnements humains liés à la notion de possession. Nous voulons questionner la complexité de notre besoin humain d’attachement à ces choses inanimées que sont les objets. Cécile Hupin et Héloïse Meire

Comédie à l’ancienne (reprise)

Distribution

Auteur Alexeï Arbuzov – Mise en scène Yutaka Wada – Avec Marthe Dugard, José Jolet.

Résumé

Alexeï Arbuzov est l’un des auteurs les plus aimés aujourd’hui à Leningrad, à Kiev, ainsi que dans les campagnes russes qu’il parcourt avec ses acteurs. La pièce a été écrite en 1975. »Comédie à l’ancienne » est un bain de jeunesse car c’est par leur fraîcheur préservée que les personnages nous atteignent. La pièce est simple, claire, « naïve », d’un coeur très fort qui n’a pas honte. Elle traite du problème des marginaux, de tous ces gens qui souffrent et que la société essaie par tous les moyens d’ignorer. C’est précisément ce théâtre là qui, souvent, nous manque aujourd’hui. « Comédie à l’ancienne » a été jouée à Louvain-la-Neuve, à Bruxelles et dans de nombreuses villes wallonnes au cours de la saison théâtrale 77-78. L’accueil enthousiaste réservé par un public très varié – adultes, scolaires, personnes âgées – à ce spectacle, nous incite à le reprendre en 78-79.

Conversations avec ma mère

Distribution

Auteur : Santiago Carlos Ovés, Jordi Galcerán – D’après le scénario du film « Conversaciones con Mamá » de : Santiago Carlos Ovés – Adaptation théâtrale : Jordi Galcerán – Traduction : Dyssia Loubatière – Mise en scène : Pietro Pizzuti – Avec : Jacqueline Bir, Alain Leempoel – Assistant à la mise en scène : Vincent Vanderbeeken – Scénographie et costumes : Delphine Coërs – Création lumières : Marc Lhommel – Réalisation décor musical : Laurent Beumier – Professeur de danse : Daniela Lucà – Réalisation vidéo : Benoît Gillet – Avec l’aimable participation de : Shaï Szyper

Résumé

Mamà a 82 ans. Jaime, son fils unique, en a 50. Elle l’a mis au monde il y a longtemps mais continue de l’éduquer comme au premier jour, avec l’autorité tranquille d’une mère joyeusement castratrice et aimante. Lui a une situation confortable et enviable. Jusqu’au jour où… tout bascule. Est-ce de cela qu’il est venu parler à sa mère ? Ou vient-il retrouver le sentiment de sécurité primordial ? Espère-t-il replanter ses racines dans la terre où elles ont pris vie ? Au fil de leurs conversations d’une honnêteté bouleversante, son mobile se dévoile peu à peu… Jacqueline Bir et Alain Leempoel se sont choisis pour défendre cette partition magnifique, la rencontre au sommet d’une mère et de son fils. Ils vivent ce projet du bout de leur être, en orfèvres du jeu, en équilibristes des mouvements de l’intime, en éveilleurs d’esprit. Sous la conduite attentive et amicale de Pietro Pizzuti, tendrement complices, ils portent ce dialogue engagé qui ne manque pas de distiller l’humour et l’émotion au fil des scènes.

Des illusions

Distribution

Auteur : Compagnie 3637 – Mise en scène : Baptiste Isaia – Avec : Sophie Linsmaux, Bénédicte Mottart et Coralie Vanderlinden – Scénographie : Aurélie Deloche – Lumières : Christian Halkin – Musique : Philippe Lecrenier – Costumes : Isabelle De Cannière – Vidéo : Sébastien Corre

Résumé

Ce soir, Emma fête ses 17 ans. Thème de la soirée : « Que veux-tu devenir plus tard ? ». Les invités se prêtent au jeu et arrivent tous déguisés. Mais ce que cette réponse implique, au-delà de la fête, paralyse Emma. Que vais-je bien pouvoir faire plus tard ? Comment me projeter alors qu’on nous répète qu’il n’y a presque plus de travail ? Face à la route toute tracée qu’on lui indique, Emma vacille… Sur scène, la Compagnie 3637 mêle théâtre, danse et musique dans un dialogue engagé et poétique. Les formes artistiques se répondent pour créer un fil narratif et émotionnel qui tend à attiser l’imaginaire et déployer l’inspiration. Après « Zazie & Max » et « Cortex », le nouveau spectacle issu de la collaboration entre la Compagnie 3637 et Baptiste Isaia, à voir à partir de 13 ans ! <img2970|left>

Edmond

Distribution

Auteur : Alexis Michalik – Direction artistique : Alexis Michalik – Mise en scène : Michel Kacenelenbogen – Avec : Maxime Anselin, Perrine Delers, Inès Dubuisson, David Dumont, Itsik Elbaz, Mwanza Goutier, Antoine Guillaume, Sandrine Laroche, Tristan Schotte, Réal Siellez, Elsa Tarlton, François-Michel van der Rest – Création costumes : Françoise Van Thienen – Couturières : Muazzez Aydemir, Rachel Lesteven, Marie Nils, Maya Perolini, Sylvie Thévenard, Margaux Vandervelden – Maquillage : Véronique Lacroix – Assistanat à la mise en scène : Hélène Catsaras et Fannie Outeiro

Résumé

Comédie héroïque Edmond Rostand n’a pas encore 30 ans, plus un sou, deux enfants, des angoisses et pas d’inspiration. Au bout du rouleau, il propose à l’immense acteur Constant Coquelin une comédie héroïque en vers, pour les fêtes. Le seul souci est qu’elle n’est pas encore écrite ! Alors, il se met au travail avec acharnement. Jour et nuit, s’inspirant des jalousies des uns, des peines de cœur des autres, des querelles de tous, il compose une pièce à laquelle personne ne croit, et qui doit devenir un monument, il l’a promis. Pour l’instant, il n’en a que le titre : « Cyrano de Bergerac » ! Après le triomphe à Paris, le film et la BD, la pièce aux 5 Molières est de retour dans une version 100% belge ! Alexis Michalik, vous l’avez découvert avec Le Porteur d’histoire. Conteur hors pair, il use d’un procédé de narration ludique et inventif pour nous emmener vivre d’incroyables aventures. Accessible à partir de 10 ans

En allant à Saint-Ives

Distribution

Interprétation : Yane Mareine, Béatrice Agenin – Metteur en scène : Béatrice Agenin – Adaptation : François Bouchereau – Auteur : Lee Blessing

Résumé

« En allant à Saint-Ives » met en scène deux mères, chacune avec une douleur liée à son enfant. L’une, est en deuil d’un fils, l’autre, veut assassiner le sien devenu tyran d’un petit pays africain. Rien ne les rassemble a priori. L’une est blanche, vivant en Angleterre pour fuir la violence des grandes villes américaines, l’autre est noire et vient d’un pays – d’un empire précise-t-elle – encore meurtri par la colonisation. Deux cultures, deux sensibilités s’affrontent. Le fils de Mary l’a envoyée en Angleterre pour une opération aux yeux. Lorsqu’elle rencontre Cora, l’ophtalmologue, Mary lui propose un étrange marché… Si la femme a des droits nouveaux dans l’Histoire, elle reste celle dont la chair est accrochée à l’enfant. Une mère a-t-elle le pouvoir de faire justice sur sa descendance ? Un sujet grave que l’auteur américain Lee Blessing aborde à travers une écriture fluide et simple. Le nectar du thriller psychologique allié à l’intelligence du propos. Une coproduction de la Compagnie M.E.L.O.D.I Béatrice Agenin et du Festival de Théâtre de Spa. En collaboration avec le Théâtre Marigny-Robert Hossein. Spectacle proposé en collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve.

Hamelin

Distribution

Auteur : Juan Mayorga – Texte français : Yves Lebeau – Metteur en scène : Christophe Sermet – Interprétation : Vanessa Compagnucci, Serge Demoulin, Francesco Italiano, Sophie Jaskulski, Thierry Lefèvre, Gaëtan Lejeune, Fabrice Rodriguez

Résumé

Démons et maux Il était une fois une ville, une jolie ville qui s’appelait Hamelin… Pablo Rivas, un notable, y gagne la confiance d’une famille en difficulté. En échange de son aide, le père ferme les yeux, Pablo se montre si gentil avec le petit… Hamelin, c’est le conte d’une ville qui n’a pas su aimer ses enfants, peut-être le conte de votre ville. Une ville dont les joyaux architecturaux nous éblouissent. Nous aveuglent. Car il existe une autre ville. Une ville où un honnête bourgeois peut s’attirer les bonnes grâces d’une humble famille pour approcher ses enfants. Le juge Montero, chargé de l’enquête, s’apprête à ordonner une série d’arrestations, mais le doute subsiste. C’est la parole d’un enfant contre celle d’un adulte… S’inspirant d’une légende allemande où un joueur de flûte entraîne les enfants de la ville à sa suite, Mayorga nous plonge au cœur d’une ville secouée par un scandale d’abus sexuels. Ce conte terrifiant et marquant, l’auteur a voulu le transposer dans sa pièce, car si le théâtre fait du spectateur son complice, il est imbattable comme moyen de représentation du monde. Juste avec des mots et avec la complicité du spectateur, Sophocle, Shakespeare ou Calderón pouvaient transformer la petite scène en une ville envahie par la peste, une tempête en mer ou un château en Pologne. Ils utilisaient les mots comme ces conteurs capables de créer par la force de la parole une chaussure de verre ou une forêt. Comme font les enfants, qui, juste en les nommant, font advenir ici et maintenant n’importe quel lieu et n’importe quel temps. Avec une poignée de chaises et de la craie sur les murs bruts, avec de formidables comédiens, d’une sobriété et d’une ambiguïté à donner le frisson, c’est toute la force nue du théâtre qui se révèle ici. Un spectacle rare ! (Le Vif l’Express, janvier 2009) Une production du Théâtre du Rideau de Bruxelles. En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be

Happy Family

Distribution

Auteur : Alessandro Genovesi – Traduction et mise en scène : Dominique Pattuelli – Interprétation : Thomas Demarez, Audrey D’Hulstère, Hervé Dubois, Gudule, Sébastien Hébrant, Marie-Sylvie Hubot, Florence Roux, Geoffrey Seron, Marie Van R

Résumé

Milan, 2001, été caniculaire. Filippo et Anna, quinze ans, veulent se marier. En découle une rencontre entre les parents digne d’une comédie italienne. Contre toute attente, les deux familles s’entendent très bien, trop presque… L’amour, la famille, la vie et la mort, les petites ou grandes névroses contemporaines : Happy Family livre des tranches de vie piquantes. On en redemande ! L’écriture d’Alessandro Genovesi, jeune auteur italien, mêle confessions intimes, scènes de groupes et interventions de l’auteur. Le tout dans une mise en scène créative, tonique et endiablée, avec une troupe d’acteurs formidables dirigée de main de maître par Dominique Pattuelli. Une production du Théâtre Jardin Passion. Avec l’aide du Service Théâtre de la Communauté française et le soutien de la Maison de la Création et du collectif Vrac Une collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be

Himmelweg

Distribution

Auteur : Juan Mayorga – Mise en scène : Jasmina Douieb – Avec : Jean-Marc Delhausse, Michelangelo Marchese et Luc Van Grunderbeeck

Résumé

Sombre artifice Il y a ce que l’on voit, ce que l’on veut bien voir et ce que, saturé d’images, on ne voit plus… Non loin de Berlin, pendant la Seconde Guerre mondiale, un camp de civils. Ici, un vieil homme se promène, un couple prend l’air sur un banc, des enfants jouent à la toupie. Là, le sourire de bienvenue du maire de ce « charmant ghetto juif ». Et si tout ceci n’était qu’une mise en scène imaginée par les nazis, macabre artifice destiné au délégué de la Croix-Rouge ? Celui qui avait été envoyé pour voir n’a rien vu. Il a photographié la mise en scène des bourreaux, et s’est mué lui-même en complice de ce qu’il cherchait à dénoncer. S’inspirant du camp de concentration « modèle » de Theresienstadt, Mayorga écrit un texte fascinant, une parabole sur notre capacité à oublier les atrocités du monde pour pouvoir continuer à vivre paisiblement.

J’ai des doutes

Distribution

Auteur : Raymond Devos – De et avec : François Morel accompagné (en alternance) de Antoine Sahler et Romain Lemire – Musique : Antoine Sahler – Assistanat à la mise en scène : Romain Lemire – Lumières : Alain Paradis – Son : Camille Urvoy – Costumes : Elisa Ingrassia – Poursuite : Françoise Chapero et Madeleine Loiseau – Conception, fabrication et mise en jeu des marionnettes : Johanna Ehlert et Matthieu Siefridt / Blick Théâtre – Direction technique : Denis Melchers – Archives sonores : INA – Remerciements : Didier Gustin, Tullia Morand, Fondation Raymond Devos

Résumé

Hier soir, en rentrant dans mes foyers plus tôt que d’habitude… il y avait quelqu’un dans mes pantoufles… Fasciné par Raymond Devos, ce grand clown au « grain de folie capable d’enrayer la mécanique bien huilée de la logique, de la réalité, du quotidien », François Morel s’est plongé corps et âme dans sa prose pour inventer un spectacle en son hommage. Artiste hors-norme, génie du verbe, musicien, jongleur, poète, Raymond Devos prend plaisir à révéler l’absurdité du monde en nous entraînant vers un imaginaire dont on n’est jamais sûr de revenir. Ses sketches « Ouïr », « Caen », « Où courent-ils », « Sens dessus dessous », « Mon chien c’est quelqu’un »… et le fameux « J’ai des doutes » – qui donne le titre au spectacle – nous font rire autant que réfléchir. Comédien, auteur, chroniqueur sur France Inter et inoubliable membre de la famille Deschiens, François Morel s’approprie les textes du maître, y ajoute sa patte, sans jouer l’imitation, et nous livre un spectacle conçu comme un récital où les numéros s’enchaînent avec bonheur. « J’ai des doutes » lui permet de décrocher, en 2019, le Molière du comédien dans un spectacle de théâtre public.

L’Ecume des jours

Distribution

Auteur : Boris Vian – Mise en scène et adaptation : Emmanuel Dekoninck – Avec : Antojo, Emmanuel Dekoninck, Steve Driesen, Marie Du Bled, Fanny Dumont, Gilles Masson, Violette Pallaro, Nancy Philippot, Aurélien Ringelheim, Julien Vargas

Résumé

Chick a fait la connaissance d’Alise à une conférence de Jean-Sol Partre, son idole. Et, entre ces deux-là, il y a de l’amour dans l’air. Envieux, Colin veut, lui aussi, rencontrer une jolie fille. Lors d’une fête, il tombe instantanément sous le charme de Chloé, tellement belle qu’on la dirait « arrangée par Duke Ellington ». Quelques pas de danse plus tard, c’est l’amour fou. Rapidement, ils décident de se marier. Mais leur bonheur sera de courte durée : un matin, le docteur Mangemanche diagnostique un nénuphar dans le poumon de Chloé…

L’Errance de l’hippocampe

Distribution

Auteur : Jean-Michel d’Hoop – Mise en scène : Jean-Michel d’Hoop – Avec : Colline Libon, Taïla Onraedt, François Regout, Léopold Terlinden – Scénographie et costumes : Camille Collin – Marionnettes : Ségolène Denis – Assistanat à la création des marionnettes : Céline Pagniez – Vidéo : Yoann Stehr – Composition Musique : Boris Gronemberger – Lumières : Xavier Lauwers – Assistanat à la mise en scène : Lucile Vignolles – Production et diffusion : Nathalie Kamoun pour Point Zéro – Régie générale et création sonore : Loïc Le Foll – Construction décors : Ateliers du Théâtre National Wallonie-Bruxelles

Résumé

Quatre personnages se retrouvent comme coincés dans un espace-temps singulier. Le lieu ressemble à un hôtel, mais à y regarder de plus près cela pourrait aussi être le théâtre lui-même… A moins qu’il ne s’agisse d’un espace mental ? Un genre de sas entre la vie et la mort ? A moins qu’ils ne soient tous en train de rêver ? Comment représenter l’activité d’un cerveau qui vit peut-être ses derniers instants ? Le théâtre est l’endroit idéal pour aborder ce type de sujet puisque la pratique théâtrale par son essence même interroge sans cesse ce réel. Qu’est-ce que c’est qu’être vrai au théâtre, jouer vrai ? Quelle part de l’acteur est jeu et quelle part lui appartient intimement ? Travailler sur la mémoire au théâtre, c’est aussi travailler sur la subjectivité. Il s’agit ici d’entrer dans une mémoire, d’entrer dans le théâtre de la mémoire. Ce qui est aussi en jeu c’est de montrer un niveau de réel qui fluctue sans cesse. Dans cette phase complexe, entre le sommeil et la mort quel est notre niveau de conscience ? Qu’est-ce que la conscience d’ailleurs et partant quel est le statut du sommeil et du rêve ?

L’Errance de l’Hippocampe

Distribution

Auteur : Jean-Michel d’Hoop – Mise en scène : Jean-Michel d’Hoop – Avec : Colline Libon, Taïla Onraedt, François Regout, Léopold Terlinden – Scénographie et costumes : Camille Collin – Marionnettes et masques : Ségolène Denis – Assistée de : Céline Pagniez – Création masque Vincent : Loïc Nebreda – Vidéo : Yoann Stehr – Musique : Boris Gronemberger – Lumières : Xavier Lauwers – Construction décors : Ateliers du Théâtre National Wallonie-Bruxelles – Assistanat à la mise en scène : Lucile Vignolles – Régie générale et création sonore : Loïc Le Foll – Consultation scénario : Ann Sirot – Administration et diffusion : Nathalie Kamoun  

Résumé

La Compagnie Point Zéro explore les zones fragiles, profondes et secrètes de la mémoire. Quatre personnages se retrouvent comme coincés dans un espace-temps singulier. Le lieu ressemble à un hôtel, mais à y regarder de plus près cela pourrait aussi être le théâtre lui-même… A moins qu’il ne s’agisse d’un espace mental ? Un genre de sas entre la vie et la mort ? A moins qu’ils ne soient tous en train de rêver ? Après « L’Herbe de l’oubli » (Meilleur spectacle aux Prix Maeterlinck 2018), Jean-Michel d’Hoop vous emmène dans un voyage visuel, sensitif et émotionnel où théâtre et marionnettes côtoient vidéo et musique. Comment représenter l’activité d’un cerveau qui vit peut-être ses derniers instants ? Le théâtre est l’endroit idéal pour aborder ce type de sujet puisque la pratique théâtrale par son essence même interroge sans cesse ce réel. (…) Ce qui est aussi en jeu c’est de montrer un niveau de réel qui fluctue sans cesse. Dans cette phase complexe, entre le sommeil et la mort, quel est notre niveau de conscience ? Qu’est-ce que la conscience d’ailleurs et, partant, quel est le statut du sommeil et du rêve ? Jean-Michel d’Hoop

La Dame à la camionnette

Distribution

Auteur : Alan Bennett – Adaptation française et mise en scène : Alain Leempoel – Traduction française : Danielle De Boeck – Avec : Jacqueline Bir, Bernard Cogniaux, Patrick Donnay, Frederik Haugness, Isabelle Paternotte – Scénographie, décor, accessoires et costumes : Ronald Beurms – Lumières : Alain Collet – Musique : Pascal Charpentier – Mapping vidéo : Sébastien Fernandez – Maquillage : Patricia Timmermans, Valérie Locatelli – Perruques : Thierry Pommerell, Valérie Locatelli – Assistanat à la mise en scène : Kim Tran – Directrice de production : Lady Karidas – Directeur technique et plateau : Denis De Bock – Régisseur plateau : Vivian Van Neylen – Opératrice lumières-son-vidéo : Isabelle Simon – Habilleuse : Virginie Delvaux de Feneffe – Photos : Mireille Roobaert, Marianne Grimont

Résumé

Un récit qui croque avec humour et humanité les travers de la société britannique contemporaine. Londres, début des années 70. Une excentrique vieille dame en guenilles, qui semble habiter dans sa camionnette, demande au dramaturge Alan Bennett la permission de garer son « van » devant chez lui… Entre disputes, extravagances et situations drôlatiques, la cohabitation va durer quinze ans ! Bennett, en excellent conteur, saisit leur duo et livre, au-delà des anecdotes, un tableau très juste du Londres des années 70 et 80, de sa bourgeoisie progressiste et de ses exclus. Il fallait une comédienne de démesure pour interpréter ce rôle, Maggie Smith y mit tout son génie tant au théâtre qu’au cinéma. Ici, Jacqueline Bir est apparue comme une évidence. D’abord par son parcours théâtral similaire à celui de Maggie Smith et parce que la profession doit pouvoir rendre hommage à des acteurs rares en leur offrant des rôles à la hauteur de leur carrière. Alain Leempoel

Laïka

Distribution

Auteur : Ascanio Celestini – Traduction : Patrick Bebi – Mise en scène : Ascanio Celestini – Avec : David Murgia, Maurice Blanchy (Accordéon) – Voix-off : Yolande Moreau – Composition musicale : Gianluca Casadei

Résumé

Souvenez-vous de « Discours à la nation », Prix de la Critique du meilleur spectacle en 2013 avant de parcourir le monde. Riche de cette expérience, le génial duo Ascanio Celestini et David Murgia nous revient avec « Laïka ». C’est l’histoire d’un pauvre Christ revenu sur Terre non plus pour la libérer de ses péchés, mais pour l’ausculter. Et il se retrouve bien seul au milieu des fatras du monde. Depuis la fenêtre de son appartement où il vit avec Pierre, ce messie improbable observe ce qui se dessine en bas : le va-et-vient d’un clochard, migrant qui a fui son pays en guerre et qui a installé ses quartiers sur le parking du supermarché, de la voisine qui a la tête embrouillée, de la prostituée du quartier… Un vrai concentré d’humanité réduit à 1000 m² de bitume, que le brave Jésus scrute à distance depuis son petit paradis-studio, impuissant mais bienveillant. Comme dans « Discours à la nation », nous voici plongés dans un monde engagé et imagé, où évoluent des personnages attachants et naissent des émotions fortes, où l’on passe de l’ironie à la farce, de la satire politique à la réalité crue. Et on se laisse emporter par une fable incroyable qui nous donne au final une grande leçon de vie. <img2971|left>

Le Cercle de craie caucasien

Distribution

Auteur : Bertolt Brecht – Metteur en scène : Jasmina Douieb – Interprétation : Jean-Michel Distexhe, Cédric Eeckhout, Catherine Grosjean, Lara Hubinont, François Neycken, Benoît Van Dorslaer, Cécile Vangrieken, Anette Gatta

Résumé

Liens de sang et liens d’amour En U.R.S.S., deux kolkhozes voisins revendiquent une même parcelle de terre. Ce conflit devient prétexte au récit d’une légende ancienne. Voici l’aventure de Groucha, humble servante qui sauva le bébé abandonné par la femme du gouverneur dans la tourmente d’une révolution populaire. L’ancien régime rétabli, l’enfant est réclamé par sa mère biologique, mais Groucha s’y oppose. Azdak, un juge extravagant tranchera la question de sa propriété. A qui cet enfant reviendra-t-il ? L’épreuve du cercle de craie en décidera… Dans cette oeuvre majeure de Brecht, librement inspirée d’une légende chinoise, la fable dépasse le récit d’une maternité et pose les questions de l’engagement politique et de la naissance d’une conscience citoyenne. Sur scène, sept comédiens donnent vie à la cinquantaine de personnages imaginés par Brecht et deviennent tour à tour protagonistes, bruiteurs, conteurs, décorateurs et spectateurs ! Jasmina Douieb réinvente Le Cercle de craie de Brecht, avec une énergie ludique. Une très belle réussite portée par sept acteurs. (Le Soir, février 2009) Un spectacle total, généreux, intemporel. (La Libre Belgique, février 2009) La petite histoire… En 1978, l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve est fondé en tant que centre international de création artistique. Cette saison-là, le Théâtre Jean Vilar n’est pas encore tout à fait terminé et la création du Cercle de craie caucasien mise en scène par Benno Besson est présentée au Centre Culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve qui inaugure sa salle avec ce spectacle. Une coproduction de l’Atelier 210 et du ZUT (Zone Urbaine Théâtre). En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be

Le Cercle de craie caucasien

Distribution

Auteur Bertolt Brecht – Mise en scène Benno Besson – Texte français Georges Proser – Scénographie et costumes Ezzio Toffolutti – Musique Paul Dessau – Arrangements musicaux Jean-Pierre Mas.

Résumé

Le texte joué est une adaptation scénique faite à l’occasion de ce spectacle par Geneviève Serreau et Benno Besson. Cette traduction est à la fois plus littérale et plus fidèle à la dynamique théâtrale des réparties. La mise en scène obéit au même esprit de fidélité aux exigences de l’oeuvre. Elle suit la logique propre de chaque situation scénique en tenant compte de sa portée actuelle, puisque le théâtre de Brecht est fondé sur une relation effective du jeu aux spectateurs. Une coproduction Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve, Théâtre National de Chaillot et Festival d’Avignon.

Le Cid

Distribution

Auteur : Pierre Corneille – Mise en scène : Dominique Serron – Avec : Patrick Brüll, Laurent Capelluto, Toni D’Antonio, Daphné D’Heur, Alexia Depicker, Vincent Huertas, Julien Lemonnier, Fabrizio Rongione, Laure Voglaire – Scénographie et costumes : Christine Mobers – Création lumières : Nicolas Olivier – Assistanat à la mise en scène : Valentin Demarcin, Florence Guillaume, Géraldine Platbrood

Résumé

Deux jeunes gens s’aiment et sont promis l’un à l’autre. Mais voilà que les pères s’affrontent. Don Gomes humilie Don Diegue. Rodrigue se doit de rétablir l’honneur perdu de son nom. A faire son devoir, Rodrigue perd Chimène. A vaincre les ennemis de son pays, devenu Le Cid, il la reconquiert. Corneille valide l’amour qui unit Chimène à Rodrigue et choisit de lui donner une issue positive, et ce malgré les circonstances inextricables qui les accablent. Ce faisant, il scelle le succès foudroyant et la gloire d’un texte d’une éternelle jeunesse.

Le Cirque impérial

Distribution

Mise en scène Pierre Constant – Musique Antoine Duhamel – Texte Claude Alranq – Décor et costumes Nicolas Sire

Résumé

Le point de départ : Vers la fin des années 1850, Jules Léotard inventa le trapèze volant. Le 12 novembre 1859, il débutait à Paris au cirque Napoléon. Cette découverte capitale dans l’histoire du cirque ouvrit une voie triomphale aux « aériens » sous le chapiteau, pour les porter au premier rang des artistes de la piste. Les onze acteurs de la troupe, tous acrobates, jongleurs et musiciens, vivent l’aventure du trapèze volant. La musique soutient l’envolée sublime des artistes, transposant le « chant » des étoiles qu’entend le trapéziste en un drame et faisant percevoir l’époque , le cirque et la rue.

Le Jeu de l’amour et du hasard

Distribution

Interprétation : Fabrizio Rongione, Toni D’Antonio, Laurent Capelluto, Patrick Brüll, Stéphane Fenocchi, Jean-François Rossion, Luc Van Grunderbeeck, François Houart, Laure Voglaire, Joëlle Franco, Stéphane Bissot, France Bastoen – Metteur en scène : Dominique Serron – Auteur : Marivaux

Résumé

Avec fraîcheur et volupté, la troupe de l’Infini Théâtre s’empare du grand classique de Marivaux. Une version résolument moderne et enjouée qui nous tient en haleine de bout en bout ! Car ce soir, pas de lever de rideau. De la tringle à costumes aux miroirs à ampoules, tout l’indique… vous êtes en coulisses. Chut… vous pourrez à votre tour épier les moindres gestes de chacun. Comme un ultime ballet avant la vraie représentation, les protagonistes entrent dans la danse. Ils mémorisent une dernière fois les repères, encore un petit coup de blush et… ça commence… Dorante et Silvia sont promis l’un à l’autre. Mais, avant de faire le grand saut, la demoiselle souhaite sonder le cœur de son futur en secret. Pour mieux l’épier, elle échange son habit de noblesse avec le costume de la soubrette, Lisette. Mais ce qu’elle ignore, c’est que Dorante a recours au même subterfuge… Une coproduction de l’Infini Théâtre en résidence dans la commune d’Ixelles. Avec le soutien du Théâtre de Namur et de la Communauté française Wallonie-Bruxelles, Service du Théâtre et des Tournées Art et Vie. Spectacle proposé en collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve

Le Journal d’Anne Frank

Distribution

De : Frances Goodrich et Albert Hackett – Adaptation et mise en scène : Fabrice Gardin – Avec : Anne-Claire, Catherine Claeys, Sophie Delacolette, Marc De Roy, Laura Fautré, Bruno Georis, Juliette Manneback, Michel Poncelet et Gaspard Rozenwajn – Scénographie : Anne Guilleray – Costumes : Françoise Van Thienen – Lumières : Félicien Van Kriekinge – Décor sonore : Laurent Beumier – Assistante à la mise en scène : Sandra Raco

Résumé

Nous connaissons tous le nom d’Anne Frank, son journal, les films, les dessins animés, les expos… Elle est un symbole. Mais avant d’être un symbole, il y a son histoire. Un destin simple et terrible à la fois, qui éclaire un des pans les plus sombres de notre Histoire. Au moment où le racisme et l’intolérance, la torture et les génocides reprennent de la vigueur dans de nombreux endroits du monde, il est salutaire de remettre en lumière ce véritable hymne à la tolérance et à la résistance. Juin 1942. Pour ses 13 ans, Anne reçoit en cadeau un journal intime. Juive allemande exilée aux Pays-Bas, la jeune fille y raconte son quotidien, ses émois d’adolescente, la fuite, la cache, la peur, la cohabitation pas toujours facile dans ce grenier d’Amsterdam, avec ses parents, sa sœur, huit personnes en tout. A travers cette chronique tantôt drôle, tantôt déchirante, on découvre une enfant bouillonnante de vie, espiègle et rêveuse. Son témoignage, connu dans le monde entier, reste l’un des plus émouvants sur la vie d’une famille juive sous le joug nazi. Il a été traduit dans 70 langues et vendu à 30 millions d’exemplaires.

Le Roi Lune

Distribution

Auteur : Thierry Debroux – Metteur en scène : Frédéric Dussenne – Interprétation : Julien Roy, Alexandre Tissot, Benoît Van Dorslaer.

Résumé

Fascinant destin que celui de Louis II de Bavière ? Cet être pur, perfectionniste, excentrique, malade et abusif, quasi génial, suivra tout au long de sa vie une logique sans faille : le goût de la beauté. Une pièce à la fois drôle et sombre sur la folie du pouvoir. Captivant ! « Superbe alchimie humaine. Une équipe en parfaite osmose. Ce Roi Lune est l’une des plus belles réussites de Thierry Debroux ». (Le Soir) En 2005, le Prix du Meilleur comédien est décerné ex aequo à Julien Roy et Benoît Van Dorslaer pour ce spectacle. S’ensuit une tournée internationale. Une production du Théâtre du Méridien en coproduction avec l’AE Compagnie Frédéric Dussenne. En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be

Les Aiguilleurs

Distribution

Auteur : Brian Phelan – Mise en scène : Georges Wilson – Avec Jacques Dufilho, Henri Virlogeux, Fabrice Eberhard – Texte français : Isabelle Famchon – Décor et costumes : Jacques Marillier

Résumé

Albert et Alfred, deux vies entièrement définies par un travail commun mais dont les rails ne verront plus jamais passer de trains, vont rêver des trains, reproduire avec minutie une activité qui n’existe déjà plus. Ils vont jouer à exister, jouer le plus sérieusement du monde.

Les Fourberies de Scapin

Distribution

Auteur : Molière – Metteur en scène : Christine Delmotte-Weber – Interprétation : Pietro Pizzuti, Daniel Hanssens, Michel Hinderyckx, Stéphanie Van Vyve, Jessica Gazon, Clément Manuel, Quentin Marteau, Frédéric Clou, Elisabeth Lenoir, Julien De Broeyer et Myriam Szabo.

Résumé

« Que diable allait-il faire dans cette galère ? » Tandis que la petite société de Naples vit selon ses lois sociales bien réglées, Scapin, génial empêcheur de tourner en rond, vient entraver son bon fonctionnement… Profitant de l’absence de leurs parents respectifs, Octave s’est marié en secret avec Hyacinte, jeune fille pauvre au passé mystérieux, et Léandre est tombé amoureux d’une Egyptienne, Zerbinette. Mais voici que les pères, Argante et Géronte, rentrent de voyage avec des projets de mariage pour leurs enfants. Scapin, le valet de Léandre, s’engage à tout arranger par ses mensonges et ses manigances : il imagine soutirer aux deux pères l’argent nécessaire pour faire triompher l’amour et la jeunesse… Des fils désobéissants, des pères intransigeants, des situations complexes, un valet secourable : le rire éclate, triomphe sans partage. Scapin est le personnage le plus intelligent de Molière, celui chez qui le plaisir d’imaginer est le plus spontané et le plus vif. Scapin est un philosophe sans illusion sur l’homme, mais son goût de vivre reste le plus fort et lui interdit le pessimisme. Christine Delmotte, metteur en scène Une production de la Compagnie Biloxi 48. Créé au Théâtre de la Place des Martyrs. En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be

Lorenzaccio

Distribution

Auteur : Alfred de Musset – Mise en scène : Yves Larec, Jean-Paul Landresse – Avec : Jacques Cappelle, Bénédicte Chabot, Didier Colfs, Bernard Detti, Léon Dony, Jean-Claude Frison, Damien Gillard, Frédéric Hamaide, Daniel Hanssens, Patricia Houyoux, Thierry Janssen, Jean-Paul Landresse, Sophie Landresse, Olivier Monneret, Jacques Monseu, Raymond Peira, François Pinte, Pascal Racan, Robert Roanne, Jean Rovis, Manuela Servais, Benoît Verhaert, Hugues Chamart, Serge Demoulin, Madeleine Fabrice, Annick Johnson, Roland Langevin, Catherine Risack, Geoffrey Seron

Résumé

Florence, première moitié du seizième siècle, les Médicis sont de nouveau au pouvoir, réinstallés par les armées impériales et l’entente du pape Clément VII et de l’empereur Charles Quint. Alexandre de Médicis exerce une tyrannie sanguinaire où le vice règne en maître. Son cousin Lorenzo, surnommé Lorenzaccio par mépris, s’est fait le compagnon de ses débauches et dirige ses plaisirs. Outre Lorenzo, c’est aussi de Florence dont il est question, de sa liberté, des autres grandes familles qui se dressent contre les Médicis – les Strozzi en tête – et de ceux qui, dans l’ombre, se livrent aux machiavéliques jeux du pouvoir et de l’influence, tel le Cardinal Cibo. Une coproduction du Théâtre Royal du Parc et de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve

Mira – Bel

Distribution

Par la Compagnie Lucinda Childs.

Résumé

Par la compagnie de ballet Lucinda Childs dans une série de nouvelles créations. Les ballets alterneront avec les solos musicaux de l’Ensemble Philip Glass. Lucinda Childs , l’un des membres fondateurs du Judson Dance Theatre à New-York a commencé en 1962. Elle se produisit pour la première fois avec sa propre compagnie au Whitney Museum à New-York en 1973. Elle a collaboré, en tant qu’actrice et responsable d’une partie de la chorégraphie, avec Robert Wilson et Phil Glass, à l’Opéra Einstein on te beach, créé en 1976 au Festival d’Avignon (30ème). En 1977, elle créa trois nouvelles oeuvres pour sa compagnie au Festival de la Danse à Paris. Septembre 1978, elle participe au New-York Dance Festival. Rappelons qu’elle a joué dans la pièce de Robert Wilson I was sitting on my pation this guy apparead I thought I was hallucinating. Phil Glass a donné depuis 1968 plus de 200 concerts (en solo ou avec son Ensemble) aux Etats-Unis et en Europe.L’Opéra Einstein on the beach, une collaboration de Phill Glass et de Robert Wilson, fut présenté dans de nombreuses villes en Europe ainsi qu’à New-York, et Philip Glass gagna le prix « Obie » 1976 pour la musique.

Monnaie Dance Group

Distribution

Mark Morris

Résumé

Retour à la danse ! Après Alwin Nikolaïs, Jennifer Muller, Paul Taylor, Martha Clarke, Félix Blaska, … nous accueillons un autre chorégraphe américain qui nous proposera un programme choisi parmi les titres suivants : « New love song waltzes » (musique de J. Brahms) – « One Charming Night » (Musique de H. Purcell) – « Lovey » (Musique de Violent Femmes) et « Gloria » (Musique de A. Vivaldi). Mark Morris, Directeur de la Danse à la Monnaie, dont certains chroniqueurs ont dit le pire et d’autres le meilleur, arrive à Louvain-la-Neuve avec ce programme au retour d’une tournée qui l’a mené à Boston, Montpellier, Spolète, Barcelone, Séville,…

Paul Taylor

Distribution

Chorégraphie Paul Taylor – Avec Compagnie de ballets – Costumes John Rawlings – Eclairage Jennifer Tipton – Avec Bettie de Jong, Lila York, Carolyn Adams, Ruth Andrien, Monica Morris, Linda Kent, Elie Chaib, Christopher Gillis, Victoria Uris, Susan McGuire, Thomas Evert, David Parsons, Daniel Ezralov, Cathy McCann, Robert Kahn

Résumé

La saison 1979-1980 de la Compagnie de danse Paul Taylor s’ouvre par une tournée en Europe occidentale, Italie, Belgique, Allemagne de l’ouest et France. Au cours de cette tournée, elle sera la première compagnie de danse moderne à se produire à la Scala de milan; et l’oeuvre de Paul Taylor sera créée au Théâtre des Champs-Elysées à Paris, dans le théâtre même où « le sacre du printemps » original fut créé en 1913. The Paul Taylor dance company occupe l’avant-scène du monde de la danse. Son palmarès est impressionnant : elle a dansé dans plus de 200 villes aux Etats-Unis, a participé à 24 tournées hors du continent américain et représenté les Etats-unis aux festivals artistiques de 35 pays différents.

Peter Pan

Distribution

Auteur : Régis Loisel – Adaptation : Emmanuel Dekoninck et Benoît Roland – Metteur en scène : Emmanuel Dekoninck – Interprétation : Ronald Beurms, Anna Cervinka, Samuel Gertsman, Alexis Goslain, Bernadette Mouzon, Christelle Pedrinelli, Philippe Résimont, Anaël Snoek et Benoît Van Dorslaer

Résumé

Un spectacle familial, convaincant tant pour les amoureux du livre original de James Matthew Barrie que de la bande dessinée Comment Peter est-il devenu Pan ? Pourquoi le Capitaine a-t-il perdu sa main droite ? Qui a baptisé la fée « Clochette » ? Une épopée merveilleuse dans les bas-fonds d’un Londres à la Dickens. Presque adolescent, le jeune Peter rejette cette société misérable qui l’entoure pour se réfugier dans ses rêves. Jusqu’au jour où la fée Clochette l’emmène dans un monde imaginaire… Au cours de cette aventure mêlant amitié, combat et vengeance, Peter devra affronter ses peurs pour devenir Peter Pan, l’enfant éternel. Emmanuel Dekoninck a choisi d’adapter la bande dessinée de Régis Loisel à la scène avec l’aide de Benoît Roland. Grand Prix de la ville d’Angoulême en 2002, l’auteur-illustrateur a voulu comprendre pourquoi Peter refusait de grandir en se plongeant dans son passé, avant le « Pays imaginaire ». Une production de l’Atelier 210. Une collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be

Princesse Turandot

Distribution

Auteur : Carlo Gozzi – Adaptation et mise en scène : Dominique Serron – Interprétation : France Bastoen, Patrick Brüll, Laurent Capelluto, Toni D’Antonio, Mélanie Delva, Afazali Dewaele, Stéphane Fenocchi, Fabien Robert, Fabrizio Rongione, Luc Van Grunderbeeck, Laure Voglaire, Vincent Zabus

Résumé

Un conte cruel haut en couleur L’Infini Théâtre livre une version onirique masquée et fouillée du cruel conte persan. La mise en scène de Dominique Serron, flamboyante et d’une belle générosité, propose un spectacle chorégraphié aux étoffes soyeuses et aux couleurs chatoyantes. Ecrivain et dramaturge italien du 18ème siècle, Carlo Gozzi vient au secours de la Commedia dell’Arte, alors sur le déclin face aux drames de Pietro Chiari et aux œuvres réalistes de Carlo Goldoni, en mettant en scène de vieux contes populaires. Il introduit dans ses œuvres du surnaturel et des éléments mythiques. Ses comédies ont été traduites en France et en Allemagne. Deux d’entre elles ont même été adaptées pour l’opéra : La Femme serpent par Wagner (Les Fées) et Turandot par Puccini. La compagnie l’Infini Théâtre est créée en 1986 par Dominique Serron. Son travail est nourri d’une investigation exigeante du texte. L’Infini Théâtre a à son actif une vingtaine de spectacles (dont Alice, La Surprise de l’amour, Le Decameron, Iphigénie, Le Jeu de l’amour et du hasard) et multiplie les tournées nationales et internationales. Un spectacle produit par l’Infini Théâtre En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve www.poleculturel.be

Six personnages en quête d’auteur

Distribution

Auteur : Luigi Pirandello – Mise en scène : Armand Delcampe – Décor : Josef Svoboda – Costumes : Elena Mannini – Avec : André Falcon, Fanny Delbrice, Yves Pignot, Stéphane Excoffier, Nathalie Hugo, William Bégot, Antoine Malaquias, Catherine Leriche, Daniel Sarky, Alessandra Terni, Lucien Pascal, Didier Massein, Nicole Chollet, Pascale Audret, Pascal Elso.

Résumé

Armand Delcampe, après avoir monté « Henri IV » du même auteur, revisite une des oeuvres-clés du théâtre de ce siècle. « Six personnages en quête d’auteur » est une « pièce à faire » au tragique singulier, qui nous saisit d’un vertige métaphysique. Pirandello mis à notre portée dans sa réflexion la plus aiguë sur le destin : les rapports de la fiction et de la réalité, de la vérité et de l’illusion. Pour ne jamais en finir avec les chefs-d’oeuvre… Création du Théâtre de Boulogne-Billancourt en coproduction avec l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve.

Sol

Distribution

Auteur Marc Favreau (Sol) – Avec Marc Favreau (Sol)

Résumé

Sol, c’est Marc Favreau, Mime-clown joueur de mots canadien. Marc Favreau rejoint les plus grands dans la pure tradition du théâtre à la fois comique et populaire. A preuve, l’immense succès qu’il a remporté à Avignon en 1977.

Un Tailleur pour dames

Distribution

Auteur : Georges Feydeau – Mise en scène : Georges Lini – Avec : France Bastoen, Isabelle Defossé, Eric De Staercke, Stéphane Fenocchi, Michel Gautier, Louise Jacob, Thierry Janssen, Marie-Paule Kumps – Scénographie et costumes : Thibaut De Coster et Charly Kleinermann – Vidéo et son : Sébastien Fernandez – Lumières : Jacques Magrofuoco – Assistante à la mise en scène : Nargis Benamor

Résumé

Chassé-croisé endiablé Pour rire au théâtre, il n’y a pas mieux que Feydeau ! Georges Lini s’est emparé de ce texte désopilant dans une mise en scène étonnante et ludique qui a marqué notre saison 2017-2018. En tournée en Belgique, « Un Tailleur pour dames » pose ses valises à Ottignies le temps de deux représentations. Tout réussit à Moulineaux, jusqu’à ce Bal de l’Opéra ! Il n’a pas dormi chez lui, occupé toute la nuit à attendre son éventuelle future maîtresse. Au petit matin, sa femme attend des explications…

Une Journée particulière

Distribution

D’après : Ettore Scola – Adaptation et mise en scène : Michel Kacenelenbogen – Interprétation : Daniela Bisconti, Olivier Massart, Freddy Sicx

Résumé

Rome 1938. La rencontre singulière d’une mère de famille nombreuse avec un présentateur de radio mis au ban de la société. Au milieu de la terreur fasciste, ces deux êtres oppressés vont s’inventer un îlot de tendresse, de tolérance et d’espérance. « Cette improbable histoire d’amour sur fond de fascisme, beaucoup moins éphémère qu’il n’y paraît, s’incruste directement dans nos cœurs pour nous embuer les mirettes ». (Le Soir – 30/1/06) Une production du Théâtre Le Public. En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be

Work

Distribution

Auteur : Claudio Stellato – Conception et mise en scène : Claudio Stellato – Avec : Joris Baltz, Oscar De Nova De La Fuente, Mathieu Delangle, Nathalie Maufroy – Administration et diffusion : Laëtitia Miranda-Neri

Résumé

Tout public dès 7 ans. Un spectacle de danse, cirque, théâtre visuel et arts plastiques. Dans un atelier de bricolage fantastique, des clous, du bois, de la peinture et des gestes quotidiens qui nous semblent sans importance, revisités, transformés. Comme dans une notice de montage d’un univers parallèle, les artisans travaillent sur un chantier où chacun a son rôle. Ils effectuent des gestes précis, fruit de nombreuses heures de routine. Ici, les efforts physiques sont poussés jusqu’à l’épuisement pour un résultat parfois absurde. Tandis que les matériaux et les supports scénographiques se transforment successivement, de vrais tableaux prennent forme. On voit la matière évoluer et la scène se métamorphoser sous nos yeux. On vit la création d’une œuvre d’art avec ses mutations lentes, ses chemins compliqués et illogiques.

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