loader image

Maison de la Culture d'Arlon

Demain, c’est le printemps (en tournée)

Distribution

Réalisation des décors : Nicolas Perretier, Vincent Rutten, Mathieu Regaert – Lumière : Jacques Magrofuoco – Réalisation des décors : Marc Cocozza – Décor et costumes : Sylvie Deschampheleire – Assistante à la mise en scène : Danielle Fire – Interprétation : Alexandre von Sivers, Cécile Van Snick, Danielle Fire – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Xavier Campion – Auteur : Eve Calingaert.

Résumé

Comédie dramatique Sans rancœur ni tristesse, un homme a vécu. Une vie avec ses joies, ses peines, ses nostalgies…La constante dans cet itinéraire ? L’humour, l’ingrédient indispensable pour maintenir le cap face au temps. Une femme l’accompagne. Avec tendresse. Une comédie dramatique tout en finesse et en émotions… Eve Calingaert a été journaliste. À côté de cette activité, elle peint et écrit. Son écriture, fine et intelligente, interpelle sans choquer et questionne sans moraliser. Première oeuvre portée à la scène pour cet auteur belge, ce spectacle a été créé au Festival de Théâtre de Spa 2005. Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa

Dramuscules (en tournée)

Distribution

Auteur : Thomas Bernhard – Traduction : Claude Porcell – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Marie-Claire Clausse, Hervé Guerrisi, Marie-Line Lefebvre, Alix Mariaule, Patrick Ridremont, Cécile Van Snick, Gérard Vivane, Alexandre von Sivers.

Résumé

Ils sont drôles, ces gens qui parlent des petits riens de la vie de tous les jours, avec leurs raisonnements un peu étroits : les deux voisines qui évoquent le décès de Monsieur Geissrathner, la femme du policier qui l’empêche de regarder son match de foot tranquillement, les deux couples de politiciens en vacances à la mer… C’est tellement drôle qu’on en oublierait presque leurs propos… Mais voilà que leurs esprits s’échauffent, ça ne fait plus aucun doute, ils sont sérieux : leurs idées fascistes les aveuglent complètement ! Et les 5 saynètes comiques imaginées par Bernhard basculent dans l’horreur : ces citoyens respectables n’en peuvent plus d’étouffer toute cette rancœur et déversent avec fracas des flots de haine raciste trop longtemps contenue, relents d’un nazisme qu’on croyait oublié. Avec un humour caustique, Thomas Bernhard dénonce une fois de plus l’hypocrisie de l’Autriche d’après-guerre, qui au-delà d’une apparente tolérance, refuse d’abandonner les valeurs nazies. Aujourd’hui, alors que la montée de l’extrême droite n’est plus un secret pour personne dans nos contrées, ces courtes pièces sont d’une comique actualité. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar avec la participation de la Maison de la Culture d’Arlon/ Centre Dramatique.

L’Habilleur (en tournée)

Distribution

Interprétation : Jean-François Viot, Jo Rensonnet, Pierre Poucet, Stany Mannaert, Fred Nyssen, Marie-Line Lefebvre, Laurent D’Elia, Roxane de Limelette, Armand Delcampe, Bernard Damien, Anne-Marie Cappeliez – Traduction : Dominique Hollier – Metteur en scène : Armand Delcampe – Auteur : Ronald Harwood

Résumé

Comédie en coulisses Janvier 1942. Dans un théâtre de la province anglaise, sous les bombardements, à une heure de la représentation du « Roi Lear » de Shakespeare : Sir John, acteur et chef de troupe, n’est pas encore arrivé ; il a fait une crise de démence dans le courant de l’après-midi et a été emmené à l’hôpital. Sa femme et son habilleur, Norman, sont inquiets… Lorsque… Sir John arrive. Mais pourra-t-il jouer ? Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Inscription à la newsletter

Restez au courant de toutes les annonces de festival, programmation, actualité, offres et plus encore!