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Théâtre Blocry

À Cheval sur le dos des oiseaux

Distribution

Auteur : Céline Delbecq – Mise en scène : Céline Delbecq – Avec : Véronique Dumont – Scénographie et costumes : Thibaut De Coster, Charly Kleinermann – Création sonore : Pierre Kissling – Assistanat à la mise en scène : Delphine Peraya – Lumières et régie générale : Aurélie Perret – Constructeur : Vincent Rutten – Diffusion : Margot Sponchiado – Stagiaires : Fanny Hermant, Marie Lhernaut  

Résumé

Un texte magnifique sublimé par un jeu magistral. Le soir, Carine Bielen boit un petit verre de rouge pour dormir tranquille. Elle a un peu peur du noir, faut dire. C’est de la piquette hein, mais elle aime bien quand même. C’est vrai que l’alcool, ça fait de la misère. Elle ne cesse de le répéter. Elle ne se souvient plus comment elle a eu ce fils, Logan. Mais ce fils lui change la vie… avec lui, elle a « reçu le monde en entier » comme elle dit. À travers cette histoire, Céline Delbecq essaye de comprendre comment notre système économique et social relègue les personnes précarisées en les orientant dès l’enfance vers des filières du handicap. J’ai écrit ce texte pour Véronique Dumont, une actrice puissante qui parvient à faire entendre la complexité des choses, en attrapant le texte du côté du vivant. Sa présence rare et précieuse est essentielle pour donner chair et corps à cette fiction. Céline Delbecq

A quoi qu’on joue

Distribution

Auteur Gilles Gauthier – Avec Le Théâtre de la marmaille

Résumé

A quoi qu’on joue ? a été mis sur pied à partir d’expériences en expression dramatique. Ce n’est donc pas un spectacle, mais un grand jeu où il n’y a plus de comédiens ni de spectateurs mais des participants et des animateurs. Et ce grand jeu, il s’adresse à tout le onde parce qu’il s’adapte à l’infini aux lieux, aux situations et surtout à tout groupe de participants (enfants dans une école, adolescents dans un centre de loisirs, parents avec leurs tout-petits, groupe de congressistes, etc… etc…).

Adam et Eve

Distribution

Par le Divaldo na Provasku

Résumé

Paraphrase clownesque de l’histoire biblique d’Adam et Eve par le Divadlo na Provskv – Brno, Tchécoslovaquie. En 1975, il s’est fait connaître hors des frontières de son pays en obtenant un immense succès au Festival de Nancy.« Adam et Eve » est une paraphrase clownesque de l’histoire biblique, de la rencontre spontanée de l’homme et de la femme, dont la naïve approche tombe rapidement sous le contrôle de deux personnages vêtus de noir, symbolisant notre société oppressive qui détruit ce que l’homme a de plus précieux : l’Amour.En 1976, à l’occasion de la fête du travail, l’Atelier théâtral avait eu le plaisir d’accueillir le Divadlo Na Provasku pour une représentation d’Adam et Eve, au Théâtre Blocry.Les spectateurs leur ont fait une fête ; ils étaient heureux ; nous nous réjouissons de recevoir à nouveau ces merveilleux comédiens.

Adieu

Distribution

Avec Fred Personne – Auteur Danièle Sallenave – Avec Pierre Banderet – Mise en scène Yvon Chaix.

Résumé

Par le hasard d’un congé forcé, un homme jeune rend pendant un mois visite à son grand-oncle. Tout les sépare mais la parenté a tissé entre eux des liens diffus. Le vieil homme parle, le jeune homme le photographie, le regarde et, le questionnant, s’étonne. Qu’a donc fait de sa vie ce vieil homme muré dans la sphère étroite d’une existence dont rien n’est venu l’arracher, qui n’a connu ni les livres ni les voyages et qui, à l’extrême bord de sa vie, ne semble éprouver ni inquiétude ni regrets, mais seulement un grand assentiment au grand ordre des choses ? Ce dialogue d’un vieil oncle au crépuscule d’une vie avec son neveu qui essaie de l’entraîner respirer « l’air du dehors » nous renvoie à ces souvenirs que nous portons tous pudiquement dans un coin de notre mémoire. Qui n’a jamais vécu ces moments d’émotions simples chargés d’humanité au contact d’un aîné, Qui n’a jamais vécu ces moments d’émotions simples chargés d’humanité au contact d’un aîné ? Qui n’a jamais puisé dans ces rencontres, sans enjeu, la force d’un regard de sagesse et l’humilité d’un bonheur ? Production de la Compagnie Yvon Chaix à Grenoble.

Alessandro et Maria

Distribution

Auteur : Giorgo Gaber et Sandro Luporini – Traduction et mise en scène : Pietro Pizzuti – Avec : Angelo Bison et Lorette Goosse – Assistant mise en scène : Sébastien Marchetti – Lumières : Marc Lhommel – Espace scénique et costumes : Pietro Pizzuti – Régie : Jacques Perera – Construction décors : Marc Cocozza et Mathieu Regaert – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Divorce à l’italienne Ecrite en 1980, cette comédie enlevée prend la forme d’un dialogue irréel et intime entre deux anciens amants. Alessandro et Maria se retrouvent deux ans après leur séparation. Ils évoquent les moments du passé et leurs sentiments actuels. L’histoire qu’ils ont vécue a été marquée par une forte complicité, de la tendresse et de l’affection, qu’ils cherchent à regagner, insatisfaits par leur vie présente. Au fil de la pièce, ils vont de reproches en disputes, jugent leurs existences avec cruauté puis l’instant d’après rient de bon cœur, goûtant à nouveau brièvement à leur connivence d’autrefois. Pourquoi Alessandro et Maria décident-ils de se revoir ? Pourront-ils faire revivre leur histoire d’amour ? Qui n’a jamais espéré pouvoir le faire… Mais le souvenir est-il seulement un rêve ou a-t-il été réellement vécu ? Giorgio Gaber et Sandro Luporini, complices d’écriture, trament de fils d’or l’éternel recommencement de l’amour après l’amour. Mécanique humaine qu’ils cisèlent en orfèvres, mettant en scène une femme et un homme communs, dans une fable commune qui atteint l’inouï. Pietro Pizzuti Pietro Pizzuti aime découvrir les voix les plus singulières du théâtre italien contemporain (Celestini, Paravidino…). Il traduit ici Alessandro et Maria, une comédie exubérante « à l’italienne » qui, tout comme Le Gris, créé en 2008 au Rideau de Bruxelles, est le résultat littéraire de l’amitié qui liait le musicien Giorgio Gaber et le peintre Sandro Luporini. Le texte a été porté à la scène une première fois en 1982 à Parme avec Gaber lui-même dans le rôle masculin. En 2009, une nouvelle création a lieu au Teatro Bellini Stabile de Naples. Un projet de l’ASBL Les Terres Arables produit par l’Atelier Théâtre Jean Vilar.

Amour, amour

Distribution

Auteur : Jacques Henrard – Mise en scène : Cécile Van Snick – Avec : Catherine Decrolier (Lily), Hervé Guerrisi (Tino), Cachou Kirsch (Paula), Pierre Poucet (Hugues), Cécile Van Snick (Voix de Madame) – Décor et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Alain Collet – Son : Nicolas Dufranne – Assistante mise en scène : Adrienne Gérard – Réalisation du décor : Georges Delhez, Christophe Beaugé, Vincent Rutten – Peinture décors : Christophe Beaugé – Régie : Juan Borrego – Habilleuse : Liliane Thomas – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Un jeu d’enfants autorisé aux adultes Tino, Hugues, Lily et Paula ont neuf ans, l’âge de l’école, des remarques cruelles des copains, de la révolte aussi. Le papa de Tino est un fossoyeur au chômage. Tino veut buter le monde entier avec son rayon de la mort, surtout ceux qui toucheraient à sa petite soeur. Hugues est diabétique, gourmand, et doit manger du chocolat « spécial » sous peine de tomber en syncope. Lily, la fille de la coiffeuse, a un trop gros derrière, et trop de vêtements pour tenter de le cacher. Tandis que Paula, elle, rêve d’une vraie baignoire et de sentir bon… Pour Madame, l’institutrice, la vie est la plus grande des merveilles. Elle leur parle avec une passion égale de l’amour, de la mort et de la vie qui a mis trois milliards d’années pour tout inventer. Et quand la vie rate, quand elle se trompe ? Et quand les parents ne font pas les enfants exprès ? Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa.

Après moi, le déluge

Distribution

Auteur : Lluïsa Cunillé – Adaptation française : Angeles Muñoz – Mise en scène : Pietro Pizzuti – Avec : Angelo Bison (L’homme), Nathalie Cornet (L’interprète) – Scénographie : Anne Guilleray – Lumières : Marc Lhommel – Assistantes mise en scène : Lara Hubinont, Céline Thomas – Construction décors : Christophe Beaugé – Régie générale : Vincent Rutten – Régie plateau : Mathieu Regaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Mystérieuse Afrique… Un homme et une femme se retrouvent dans un hôtel à Kinshasa. L’homme travaille pour une compagnie sud-africaine qui extrait et commercialise du coltan. La femme, installée à l’hôtel depuis des années, sert d’interprète aux hommes d’affaires de passage. Deux européens qui ont découvert la fascination pour l’Afrique et en ont fait leur refuge. Lluïsa Cunillé explore la violence d’un monde, l’Afrique et l’atrocité du Monde envers elle. Il en ressort un texte fort, touchant, d’une grande poésie qui, sous des couverts de douceur, recèle un face-à-face intime, réaliste et cruel. Ceux qui connaissent l’Afrique la reconnaîtront, les autres ouvriront les yeux. Lluïsa Cunillé est un auteur catalan talentueux. Elle a suivi les enseignements de José S. Sinisterra et, depuis la création de sa première pièce, Rodeo (Prix Calderón en 1991), Cunillé a écrit, publié et fait monter plus de vingt pièces, auxquelles il faut ajouter des adaptations et des scénarios de film. Elle a reçu, en 2007, le Prix National de Théâtre de la Generalitat de Catalunya, pour l’ensemble de son œuvre. Después de mí, el diluvio (2007) a été créée le 13 décembre 2008 au Teatre Lliure de Barcelone. Après son interprétation de Scapin et sa mise en scène de Molly au château, présentés à l’Atelier la saison dernière, Pietro Pizzuti, homme de théâtre complet, à la fois comédien, auteur et metteur en scène, nous revient avec cette création mondiale en langue française. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar Soirée rencontre le jeudi 14 janvier Rencontre-débat autour de l’Afrique face aux questions du développement et des droits humains Représentation supplémentaire le samedi 23 janvier à 20h30 au profit de l’association Espérance Revivre au Congo – www.espereco.be

Au fil de l’histoire de Jean Louvet suivi de Tournée générale

Distribution

Auteur : Jean Louvet – Dramaturgie et mise en scène : Armand Delcampe – Avec : Armand Delcampe, Jean-Claude Derudder, Marie-Line Lefebvre, Jean-Marie Pétiniot, Evelyne Rambeaux, Freddy Sicx, Manu Maffei et Michel Mainil – Scénographie et éclairages : Jacques Magrofuoco – Musique : Michel Mainil – Assistante à la mise en scène : Tatiana del Marmol – Costumes : Emmanuelle Froidebise – Régie générale : Manu Maffei – Construction décor : Eric Degauquier et Jean-Philippe Hardy

Résumé

Sur les traces de Jean Louvet – fidèle compagnon de l’Atelier Théâtre Jean Vilar –, ce spectacle-hommage retrace son parcours, comme un reflet de notre patrimoine. Fils de mineur, professeur durant 35 ans à Morlanwelz, Louvet est l’auteur de trente pièces qui parlent de nos racines, de la Wallonie, en particulier de la vie en Hainaut, lanterne rouge de l’Europe après des siècles de prospérité… Ce fil de l’histoire de nos 50 dernières années est illustré d’extraits d’œuvres du poète qui ont accompagné notre vie ces dernières décennies. S’ensuit sa toute dernière pièce, touchante d’humanité. « Tournée générale » nous invite à la terrasse d’un café. Six personnages seuls y attendent un ami, un fils, un ancien élève. De cette longue attente pourraient bien naître de nouvelles rencontres salutaires… Jean Louvet interroge une fois de plus la place de l’individu dans la société : comment se nouent les liens dans un monde d’isolement ? A qui tendre la main ?

Bash, latterday plays

Distribution

Auteur : Neil Labute – Traduction : Pierre Laville – Mise en scène et adaptation : René Georges – Interprétation : Edwige Baily, Bruno Mullenaerts, Lara Persain, Fabrice Rodriguez

Résumé

« Trash et bouleversant » Bash, c’est trois histoires « vraies » transformées en monologues. Les personnages nous ressemblent tous un peu, mais un instant de leur vie, une triste coïncidence ou un amour déçu font basculer cette normalité dans la folie… Un voyage qui parle de nos existences mornes derrière l’image glacée du rêve américain, des musiques superbes et des images envoûtantes qui ajoutent une touche âpre et douce en interludes… On reçoit le choc, on en rit, on frémit. Une production de l’XK Theater Group, en coréalisation avec le ZUT (Zone Urbaine Théâtre) et le Théâtre Jardin Passion, et la participation d’Hypothésarts. En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be

Belles de nuit

Distribution

Auteur : Pedro Romero – Mise en scène : Alexis Goslain – Avec : Stéphanie Van Vyve, Pedro Romero – Lumières et direction technique : Jacques Magrofuoco – Décor et costumes : Charly Kleinermann, Thibaut De Coster – Régie son/lumières : Eric Degauquier, Louis Eylenbosch – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décor : Jean-Philippe Hardy, Louis Eylenbosch, Gary De Beys, Eric Degauquier, Manu Maffei

Résumé

Dans sa vitrine aux néons fluos, Rose attend le client. Alors qu’elle vient de décommander son rendez-vous de ce soir, elle voit débouler dans son salon Nacho, un clandestin argentin poursuivi par la police. Qui est Rose ? Une femme qui recueille, soigne, apaise les hommes. De chacun, elle garde une trace dans ses carnets méticuleusement tenus et régulièrement consultés par Muriel, sa femme de ménage. « Paul. 52 ans. Pompier. Tatouage de Sphinx sur la fesse gauche. Fait la besogne en fredonnant des airs d’opéras. 60 €… » Mais Rose est aussi la femme d’un seul homme – Toni, son mec et son mac – pour qui elle est unique et pourtant partagée. Nacho quant à lui s’est exilé par amour et, trahi, se retrouve traqué par la police. Entre la prostituée au grand cœur et l’homme blessé, une même soif de liberté et d’indépendance, un même désir de rentrer dans la norme. Est-il possible de changer de vie après un mauvais départ ?

Bizar

Distribution

Auteur : Théâtre des 4 Mains – Mise en scène : Marie-Odile Dupuis – Avec : Kristin Arras, Marc Weiss

Résumé

Ça se passe chez une petite dame bizarre. Elle voyage dans son appartement, entre ses tableaux, ses meubles et son increvable télévision. Elle se promène en vélo d’intérieur et danse au son de son armoire musicale. Ses tiroirs débordent d’un fatras d’objets dont elle ne se sépare pas car ils ont le pouvoir de l’emmener partout. Ils sont vivants et lui tiennent compagnie. Mais parfois les objets lui résistent et ça l’énerve… C’est ainsi que débarque dans son univers un jeune réparateur. Il ouvre les armoires, branche les prises mais rien ne se passe selon sa logique ! Avec « Bizar », les enfants vont plonger dans un univers complètement loufoque, où deux personnages, qu’a priori tout oppose, vont s’apprivoiser en jouant ensemble. Un spectacle ludique et musical, une chorégraphie décalée avec peu de mots, pleine de surprises auditives et visuelles, une histoire qui balaie les préjugés.

Blaise Pascal

Distribution

Mise en scène : Pierre Laroche – Auteur : Pierre Laroche.

Résumé

Par le Rideau de Bruxelles.

Boîtes

Distribution

Auteur : Nuna Théâtre – Création de : Cécile Henry, Catchou Myncke – Avec : Catchou Myncke, Nathalie de Pierpont

Résumé

Deux comédiennes complices testent, jouent avec l’équilibre, détruisent et reconstruisent. Des petites, des moyennes, des grandes… L’univers des boîtes est irrésistiblement attirant pour les tout petits enfants ! Les empiler, les déboîter, les mettre en gigogne, en déséquilibre, les chercher, les trouver, s’installer dedans, en sortir… Et une drôle de petite boule rouge apparaît en contrepoint, comme un pied de nez tout rond aux boîtes bien carrées…

Bottes de marin

Distribution

Avec Chantal Lempereur

Résumé

Par le Théâtre de la Guimbarde. Ce jour-là, l’hirondelle annonce le grand départ à une paire de bottes devenues ses amies. Les bottes, bottes de marin, ne veulent pas rester au port, elles décident d’accompagner l’hirondelle, de traverser les mers, pour arriver enfin dans ce pays inconnu, où vivent des animaux inconnus, où brille un soleil si chaud, si chaud, soleil inconnu.

Bouvard et Pécuchet

Distribution

Auteur : Gustave Flaubert – Adaptation et mise en scène : Michel Tanner – Interprétation : Jean-Marie Pétiniot, Guy Pion – Scénographie : Vincent Lemaire – Assistante à la scénographie : Aline Breucker – Lumières : Guy Simard – Costumes : Isabelle Chevalier – Musique : Eloi Baudimont – Assistante à la mise en scène : Béatrix Férauge – Construction du décor : Claude Duquenne – Régie son : Amaury Pottie – Régie plateau : Josiane Blicq – Régie lumière : Maximilien Westerlink

Résumé

Bouvard et Pécuchet, copistes de leur état, la cinquantaine venue, se retirent à la campagne et décident, après avoir inspecté l’univers, d’embrasser la totalité des connaissances humaines. Ils veulent ainsi comprendre et maîtriser le monde par le savoir. Dans une débauche de recherche de travail, de bonne volonté, d’amitié… et de sottises, ils vont être les représentants de la bêtise humaine, chose, chacun le sait, la mieux partagée de l’univers. Si Bouvard et Pécuchet sont des « cloportes » selon leur créateur, ils sont aussi capables d’analyses pertinentes et ironiques des gens et de la société qui les entourent. Bouvard et Pécuchet est une œuvre géniale, clairvoyante, visionnaire… et drôle de l’histoire de la pensée unique. C’est une lecture éblouissante du mythe de l’éternel recommencement, c’est un moment de rage bienveillante de Gustave Flaubert, ultime roman de la personnalité majeure de la littérature française. Création – Production du Théâtre de l’Eveil / Le Manège.Mons / Le Service Provincial des Arts de la Scène (SPAS) / La Province de Hainaut / L’Atelier Théâtre Jean Vilar. Avec l’aide de la Communauté française Wallonie-Bruxelles.

Cache-cache

Distribution

Auteur : Théâtre de la Guimbarde – Mise en scène : Yutaka Takei – Avec : Pierre Viatour et Sara Olmo

Résumé

« Une chambre là. Un bruit dehors, des pas. Je me cache ici. Qui se cache là ? ». Le spectacle explore différentes émotions qui interviennent lors du rituel du coucher : peur, surprise, joie… Une invitation poétique à retrouver le plaisir de se cacher pour mieux se découvrir. Les yeux grands ouverts.

Callas, il était une voix

Distribution

Auteur : Jean-François Viot – Dramaturgie : Catherine L’Hoost et Patrick Brüll – Mise en scène : Patrick Brüll – Avec : Alain Eloy et Anna Renouprez – Lumières : Laurent Kaye – Son : Eric Degauquier – Coiffures et maquillages : Sara Oul – Régie son et lumières : Eric Degauquier – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décor : Jean-Philippe Hardy et Manu Maffei – Direction technique : Jacques Magrofuoco – Assistante à la mise en scène : Daphné Liegeois – Stagiaire : Aurélie Swiri – Remerciements : Sébastien Fernandez, Claude-Pascal Perna (conseils et documentations), Saïd Belbecir (prêt accessoires vintages), Giuseppe Talamo (ténor), Fabian Jardon (pianiste), Liliane Breuer (couturière) et L’Alliange à Durbuy (accueil et logement stage préparatoire)

Résumé

En cette belle fin d’après-midi de 1977, François Grenier – journaliste pour la radio – n’a qu’une idée en tête : empoigner sa valise pour fuir Paris et ses soucis professionnels, sauter dans le train et rejoindre sa famille en vacances. Mais une actualité brûlante va le retenir dans la capitale. En milieu de journée, Maria Callas est décédée, seule, dans son appartement. Chargé par sa direction de réaliser une émission spéciale pour le lendemain, François plonge dans la documentation. Jusqu’à ce que – par réelle magie ou grâce à sa puissante imagination – une figure féminine mystérieuse fasse son apparition. Sur le ton de la confidence, les moments clés de la vie de la diva sont incarnés par nos héros, révélant un parcours d’artiste et de femme jalonné de surprises. Car la pièce n’est pas d’abord un récit de vie, mais la rencontre entre deux êtres humains qui opère sur chacun une transformation inattendue…

Callas, il était une voix

Distribution

Auteur : Jean-François Viot – Dramaturgie : Catherine L’Hoost et Patrick Brüll – Mise en scène : Patrick Brüll – Avec : Alain Eloy et Anna Renouprez – Lumières : Laurent Kaye – Son : Eric Degauquier – Coiffures et maquillages : Sara Oul

Résumé

En cet après-midi de 1977, François Grenier – journaliste pour la radio – est sur le point de partir en vacances. Mais une actualité brûlante va le retenir : Maria Callas est décédée. Chargé par sa direction de réaliser une émission spéciale pour le lendemain, François plonge dans la documentation. Jusqu’à ce qu’une mystérieuse figure féminine fasse son apparition… Sur le ton de la confidence, nos deux protagonistes incarnent les moments clés de la vie de la diva, révélant un parcours d’artiste et de femme jalonné de surprises. Créée en septembre 2017 au Théâtre Blocry, et couronnée de succès, la pièce revient pour quelques dates à Louvain-la-Neuve avant une tournée en Belgique.

Ceci n’est pas un chanteur belge

Distribution

Auteur : Claude Semal – Mise en scène : Laurence Warin – Arrangements musicaux : Frank Wuyts – Avec : Claude Semal

Résumé

Entre Magritte (pour le surréalisme comique) et Maigret (pour le réalisme mélancolique), ce dixième opus semalien propose quatorze nouvelles chansons mêlées à de petits textes humoristiques et à quelques fortes images poétiques. Mais c’est aussi une tendre méditation sur la relation père – fils, puisque Semal « dialogue » en scène, pendant tout le spectacle, avec son fils de 4 ans. Les musiques et arrangements de Frank Wuyts habillent ce seul-en-scène d’une trame musicale dense et bigarrée, aussi efficace dans le minimalisme (l’Unplugged Protestsong Guy Môquet) qu’en envoyant la sauce et les décibels (le tubesque On a la frite, qui flirte carrément avec la dance music !). Semal hume l’air du temps, l’ironie en bandoulière (Facebook, Botox Song, Les maladies nosocomiales, Les éclopés de la clope), l’émotion à fleur de peau (La fin du monde, Les bébés, les papas), la colère intacte (Chez nous, Dormir au chaud et le déjà nommé Guy Môquet). Avec de belles respirations poétiques (Etre utile), des moments de franche rigolade (La patate, La bite philanthropique). Et surtout… de bien belles chansons (Les Bals, Les BBQ’s et Les Crématoriums) !

Cerise sur le ghetto – Le pouvoir de dire non

Distribution

Auteur : Sam Touzani – Avec : Sam Touzani – Dramaturgie et mise en scène : Gennaro Pitisci – Assisté de : Maïté Renson – Musicien : Mathieu Gabriel – Régie : Josse Derbaix, David Vernaillen, Simon Benita  

Résumé

Homme de spectacle, mais aussi de cœur, de lettres et de paroles, Sam Touzani jongle avec les mots, les idées, la vie. Lucide, engagé, révolté, mais aussi profondément généreux, il déborde d’optimisme et de confiance en l’humanité. Cet artiste, électron libre, reconnu comme un incontournable représentant de la culture de Belgique vous présente son nouveau spectacle ! L’histoire d’une vie aux accents de vérité grinçants racontée par Sam Touzani, qui nous invite à repenser le réel à partir de son histoire familiale. Le récit traverse trois générations, des montagnes du Rif Marocain, où la misère est si écrasante que même les enfants rêvent de partir, jusqu’au bitume de Molenbeek où le petit Sam verra le jour dans un deux pièces cuisine chauffé au charbon. Plus tard, afin d’échapper au danger du communautarisme, c’est de lui-même qu’il s’exile. Le fils d’immigrés peut enfin commencer son dialogue intérieur, entre sa culture d’origine et sa culture d’adoption, relier les rives souterraines de ses multiples identités sans les réduire à une seule… Mais tout cela suffira-t-il à le sortir du cercle infernal de la culpabilité ? Celle qui ronge tous ceux qui quittent leurs terres, leurs parents, leur langue pour partir loin, très loin, là où il n’y a plus de soleil ? Sam Touzani est de retour avec l’humour, la tendresse et l’irrévérence qu’on lui connaît…

Chacun son rythme, guide d’utilisation de l’AEJDG à l’usage des plus jeunes

Distribution

Auteur : Alexandre Drouet – Mise en scène : Alexandre Drouet – Avec : Sandrine Desmet et Nathan Fourquet-Dubart

Résumé

Pour ados dès 12 ans Depuis quelques années, la compagnie théâtrale Projet Cryotopsie a pour volonté de parler du monde d’aujourd’hui. En février 2016, vous avez découvert « Dans le ventre » au Théâtre Jean Vilar. Aujourd’hui, Alexandre Drouet s’attaque à un sujet à la fois délicat et incontournable : les ados et la sexualité. Tout en finesse et avec une belle dose d’humour, le spectacle aborde les notions de liberté et de respect. Face à nous, Gustave et Véronique. Ils sont venus remplir leur rôle de formateur avec professionnalisme et sérieux et abordent « le » sujet à travers une métaphore de la sexualité à la fois terriblement parlante et délicieusement pudique. Par exemple, ils répondent à la question « mes propulseurs dopaminergiques ne sont-ils pas trop petits ? ». Prix de la Ministre de l’Enseignement secondaire et Coup de cœur de la Presse lors des Rencontres Jeune public de Huy 2017.

Chaos

Distribution

Auteur : Mika Myllyaho – Mise en scène et adaptation : Jean-Claude Idée – Avec : Isabelle Paternotte, Stéphanie Van Vyve, Nathalie Willame  

Résumé

Sofia est enseignante dans une école qui va bientôt fermer ses portes. Julia, thérapeute, a une liaison avec un patient bipolaire. Emmi, la sœur de Julia, est journaliste et se bat pour obtenir la garde de son enfant. Ces trois amies partagent les aléas et les mésaventures de la vie des femmes d’aujourd’hui. Entre les conflits amoureux, professionnels, familiaux, la pression est telle qu’il est bien souvent difficile de maîtriser la violence de ses émotions. « Chaos », c’est comme la vie, une pièce concrète, directe, avec des répliques drôles et un cynisme assumé. Une pièce jouissive dans laquelle les codes volent en éclat, libérant la parole des conventions de jeu. Comme beaucoup de femmes dans la vie réelle, les trois comédiennes passent allègrement d’un rôle à l’autre sur scène. Virtuoses et espiègles, elles nous font rire autant qu’elles nous émeuvent.

Cìncali !

Distribution

Auteur : Nicola Bonazzi, Mario Perrotta – Traduction : Hervé Guerrisi – Mise en scène : Mario Perrotta – Régie : Eric Degauquier – Avec : Hervé Guerrisi  

Résumé

Mineur à vie Cìncali, traduit, adapté et interprété par Hervé Guerrisi évoque la vie des mineurs italiens en Belgique dans l’après-guerre, à l’époque où la perspective d’un travail « bien rémunéré » pousse toute une génération au déracinement volontaire et à l’exode économique. Pinuccio, jeune facteur de 16 ans, est resté dans son village des Pouilles pour distribuer le courrier de ces hommes partis chercher fortune dans les mines du Nord. Celui par qui le récit prend vie nous rappelle que ces « cìncali » – déformation francophone du terme zingari (gitans) – dont la seule appellation témoigne du peu de considération que la population autochtone leur accorde, ont chacun leur histoire. Histoires d’orgueil, d’espérance, de rancœur, toutes différentes et toutes pareilles. Un livre ouvert sur un pan méconnu de notre passé. On découvre une politique d’accueil scandaleuse, des conditions sanitaires désastreuses, bref, l’enfer vécu par ces hommes déracinés. Assis sur une chaise, les yeux perçants et les mains volubiles, Hervé Guerrisi raconte avec sobriété et humanité un récit d’une poignante simplicité.

Cinglée

Distribution

Auteur : Céline Delbecq – Mise en scène : Céline Delbecq – Avec : Yves Bouguet, Stéphane Pirard, Anne Sylvain, Charlotte Villalonga – Musique : Pierre Kissling – Lumières : Julie Petit-Etienne – Scénographie et costumes : Thibaut De Coster et Charly Kleinermann – Chorégraphies : Charlotte Villalonga et Stéphane Pirard – Regards extérieurs (dramaturgie) : Silvia Berutti-Ronelt – Regards extérieurs (voix) : Sylvie Storme – Regards extérieurs (chorégraphie) : Johanne Saunier – Régie générale : Aude Ottevanger – Constructeur : Vincent Rutten – Assistanat : Delphine Peraya

Résumé

« Les faits ne cessent pas d’exister parce qu’on les ignore » Aldous Huxley Marta aurait pu mener une vie tranquille si elle n’avait pas ouvert le journal ce jour-là. Depuis qu’elle est tombée sur un article relatant « le premier crime conjugal de l’année 2017 en Belgique », cette femme sans histoires collectionne tous les papiers sur le sujet et apprend par cœur la liste des victimes. Et plus la liste s’allonge, plus Marta s’emporte. Face au silence dans lequel ces crimes s’effacent, elle ressent l’urgence de faire bouger les choses. Alors, sous l’œil atterré de son fils, Marta se met à écrire des lettres… au Roi Philippe. Céline Delbecq choisit un angle original pour aborder ce sujet de société. Elle obtient une bourse pour l’écriture de « Cinglée », et son texte séduit le Comité de lecture du Théâtre du Roind-Point à Paris. Lue à Avignon et à Paris, la pièce sera créée en octobre à Bruxelles. Ce texte s’inspire de la réalité aussi triste que révoltante de faits divers relayés par la presse. Les victimes citées sont réelles mais, pour le reste, cette œuvre est le fruit de l’imagination de son autrice. Si quiconque devait s’estimer concerné ou préjudicié, prière de contacter le Rideau de Bruxelles : contact@rideaudebruxelles.be.

Cinq Heures avec Mario

Distribution

Auteur : Miguel Delibes – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Marie-Line Lefebvre

Résumé

Carmen parle à son mari, « un intellectuel aux idées progressistes ». Elle lui parle toute la soirée : de la belle sœur « aguicheuse » ; de la Seat 600 qu’on aurait dû avoir et qu’il a refusé d’acheter ; de Monsieur le Maire ; de Paco et de sa belle limousine américaine ; des royalistes et des républicains ; du beau-frère fusillé ; du Christ et de la charité, de la politique, du pape etc… Carmen parle : tout y passe et Mario ne répond rien. Mario est mort ce matin, et Carmen le veille. Une démonstration de l’attitude réactionnaire espagnole face à la société franquiste. Une critique non dénuée d’humour de la vie quotidienne en Espagne. Une coproduction entre l’Atelier Théâtre Jean Vilar et le Festival de Théâtre de Spa.

Clara Haskil, prélude et fugue

Distribution

Auteur : Serge Kribus – Mise en scène : Serge Kribus – Avec : Anaïs Marty – Lumières : Jacques Magrofuoco – Scénographie : Jacques Magrofuoco et Serge Kribus – Création du rideau de scène : Max Lapiower – Costumes : Fabienne Damiean – Son : Eric Degauquier – Enregistrements : Emmanuel Emerich (violon), Yves-Laurent Taccola (piano), Haïk Gouchtchian (duduk), Benoît Ouvrard (ingénieur du son) – Training vocal : Pauline Claes – Assistanat : Dorian Fourny – Construction décor : l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar – Régie : Damien Zuidhoek – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

La petite Clara naît à Bucarest en 1895. Elle ne sait pas encore écrire que, déjà, elle reproduit à l’oreille les mélodies qu’elle entend. A sept ans, séparée de sa mère et de ses sœurs, elle part étudier le piano à Vienne. Quand la jeune femme joue à Lausanne, Bruxelles ou Londres, le public se lève, les orchestres applaudissent, les chefs s’inclinent. Pourtant quelque chose ne fonctionne pas. Aucun agent ne mise sur la pianiste connue pour son trac maladif, une trop grande modestie, et une santé fragile. Paris l’ignore. Deux conflits mondiaux feront le reste. Malgré son talent unique, Clara Haskil mettra une vie entière avant d’atteindre enfin, en 1950, une notoriété et un succès mondial. Elle décède à Bruxelles, dix ans plus tard. « Clara Haskil, prélude et fugue » est l’histoire de sa vie.

Comédie à l’ancienne

Distribution

Auteur Alexeï Arbuzov – Mise en scène Yutaka Wada – Avec Marthe Dugard, José Jolet – Texte français Armand Delcampe – Scénographie et costumes Raymond Renard. / Une production de l’Atelier théâtre de Louvain-la-Neuve.

Résumé

Un sujet tabou dans notre société de consommation : la tendresse et l’amour au stade de la vieillesse.

Corbeaux de jour

Distribution

Auteur : Pedro Romero – Mise en scène : Alexis Goslain – Avec : Pedro Romero, Stéphanie Van Vyve – Lumières et direction technique : Jacques Magrofuoco – Décor et costumes : Charly Kleinermann, Thibaut De Coster – Régie son / lumières : Damien Zuidhoek – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décor : Jean-Philippe Hardy

Résumé

Après le succès de « Belles de nuit » à Louvain-la-Neuve et en tournée, Pedro Romero nous offre un nouveau texte empli d’humanité et d’humour, la suite de son premier opus. On y retrouve Muriel et Nacho, la femme de ménage et l’immigrant, mariés depuis quelque temps et trop happés par le quotidien pour entretenir la passion. Le couple est à la tête d’une entreprise de pompes funèbres. Dans ce métier où l’on côtoie la mort chaque jour, la rencontre avec ceux qui restent est primordiale. C’est ainsi qu’une séduisante veuve, Madame Bovari se livre à Nacho, tandis que le viril Kike Flores se confie à Muriel. Des rencontres qui ne laisseront personne indifférent… « Corbeaux de jour », c’est avant tout une pièce sur la vie avec ses hauts et ses bas, ses deuils et ses joies. Stéphanie Van Vyve et Pedro Romero interprètent chacun deux rôles, passant habilement d’une personnalité à l’autre sous la houlette du metteur en scène Alexis Goslain, qui les avait déjà dirigés dans le même type de performance pour « Belles de nuit ».

Corne de Lune

Distribution

Auteur : Christian Dupré – Metteur en scène : Christian Dupré – Interprétation : Olivier Massart, Vincent Dujardin, Isabelle Defossé

Résumé

C’est l’histoire de personnages tombés du ciel qui s’amusent à jouer leur vie sur une scène de théâtre… Une production du Théâtre Jean Vilar

Dans le ventre

Distribution

Projet Cryotopsie – Texte : Alexandre Drouet, Thierry Janssen – Mise en scène : Alexandre Drouet – Interprétation : Thibault Wathelet – Scénographie : Clémence Didion – Eclairages : Nicolas Verfaillie – Musiques : Jérôme Dejean, Christophe Janssen – Assistant à la mise en scène : Virgile Magniette – Costumes : Maureen Merchiers – Avec la participation de : Michel Israël – Attachée de diffusion : Pascale Demanez

Résumé

Un jeune homme est coincé dans un train à l’arrêt au milieu de nulle part. « Problème de locomotive » ! Il se met alors à nous raconter son adolescence : les difficultés financières de ses parents, les moqueries des autres élèves, ses déboires amoureux, ses amitiés, ses premiers vols… Il s’appelle Jonas. A 16 ans, il a poignardé un autre ado dans le métro pour lui voler son I-phone. Un spectacle qui s’adresse aux jeunes dès 13 ans et offre matière à réflexion, à questionnement et à remise en question.

Demain c’est le printemps

Distribution

Auteur : Eve Calingaert – Mise en scène : Armand Delcampe – Avec : Xavier Campion, Danielle Fire, Cécile Van Snick, Alexandre von Sivers

Résumé

Après un beau succès à Louvain-la-Neuve et en tournée en Wallonie, la première pièce de la journaliste Eve Calingaert revient sur les planches du Théâtre Blocry. Sans rancœur ni tristesse, un homme a vécu. Une vie avec ses joies, ses peines, ses nostalgies… La constante dans cet itinéraire ? L’humour, l’ingrédient indispensable pour maintenir le cap face au temps. Une femme l’accompagne, avec tendresse. Une comédie dramatique tout en finesse et en émotions. « Demain, c’est le printemps » a été créé en 2005 au Festival de Théâtre de Spa, et repris en 2006 à la demande du public. En 2006-2007, le spectacle s’est rendu à Arlon, Welkenraedt, Viroinval, Bertrix, Andenne, Dinant, Sambreville, Rochefort, Ath et Libramont. En janvier 2008, il sera accueilli à la Comédie Claude Volter à Bruxelles. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa.

Demain, c’est le printemps

Distribution

Réalisation des décors : Nicolas Perretier, Vincent Rutten, Mathieu Regaert – Lumière : Jacques Magrofuoco – Réalisation des décors : Marc Cocozza – Décor et costumes : Sylvie Deschampheleire – Assistante à la mise en scène : Danielle Fire – Interprétation : Alexandre von Sivers, Cécile Van Snick, Danielle Fire – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Xavier Campion – Auteur : Eve Calingaert

Résumé

Comédie dramatique Sans rancœur ni tristesse, un homme a vécu. Une vie avec ses joies, ses peines, ses nostalgies… La constante dans cet itinéraire ? L’humour, l’ingrédient indispensable pour maintenir le cap face au temps. Une femme l’accompagne. Avec tendresse. Une comédie dramatique tout en finesse et en émotions… Eve Calingaert a été journaliste. À côté de cette activité, elle peint et écrit. Son écriture, fine et intelligente, interpelle sans choquer et questionne sans moraliser. Première oeuvre portée à la scène pour cet auteur belge, ce spectacle a été créé au Festival de Théâtre de Spa cet été. Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa

Des Jours trop longs

Distribution

Auteur : Catherine Meeùs, Eléonore Meeùs, Stéphanie Van Vyve – D’après le roman éponyme de : Marie Denis – Mise en scène : Cécile Van Snick – Avec : Eléonore Meeùs (Cécile), Stéphanie Van Vyve (Camille) – Lumières : Jacques Magrofuoco – Scénographie et costumes : Renata Gorka – Régie son/lumières : Manu Maffei – Construction décors : Marc Cocozza, Quentin Huwaert, Mathieu Regaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco  

Résumé

Désirs de femmes En 1961, Cécile a 32 ans et pense être enceinte. Cette mère de famille nombreuse dont les grossesses s’enchaînent avec plus ou moins de bonheur ne sait comment accueillir la nouvelle. Muselée par les convenances de l’époque, elle s’interroge sur sa condition de femme, de mère et d’épouse. Des sentiments contradictoires qu’elle nous livre avec pudeur et sensibilité. En 2011, Camille a 32 ans. Elle ne souhaite pas d’enfant. Après une histoire de 7 ans, elle est fraîchement séparée d’Alex et revient dans la maison vide de sa grand-mère Cécile. L’occasion pour elle de faire le point et de se remémorer avec tendresse son enfance. Voici que les voix des deux jeunes femmes se croisent et se font écho, à 50 ans de distance. Et même si les mentalités ont changé, Camille se confronte à une société dans laquelle la maternité reste une évidence.

Deux Petites Dames vers le Nord

Distribution

Texte et musique : Pierre Notte – Metteur en scène : Patrice Kerbrat – Interprétation : Marie-Line Lefebvre, Cécile Van Snick – Scénographie : Edouard Laug – Lumières : Laurent Béal – Costumes : Caroline Martel – Accordéon, conseils et arrangements musicaux : Stany Mannaert – Régie son et lumières : Manu Maffei, Gary De Beys – Régie plateau : Mathieu Regaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décor : Mathieu Regaert, Marc Cocozza, Christophe Beaugé – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Un road movie désarmant Elles sont sœurs, d’âge mûr. Un peu tassées, peut-être ? Non. Disons embellies par le temps. A la mort de leur mère (quatre-vingt-dix-sept ans), Annette et Bernadette réalisent qu’elles n’ont jamais revu la tombe de leur père, enterré vingt-cinq ans plus tôt dans un cimetière, quelque part dans le Nord. Armées de la fraîcheur candide d’une complicité retrouvée, elles décident de partir à l’aventure : pour embrasser papa et pour lui dire que maman est partie. Il se dégage une étonnante tendresse de Deux Petites Dames vers le Nord. C’est un jeu de petites filles léger, désinvolte et irrévérencieux. Un savoureux petit bijou de douceur et de drôlerie, qui laisse un goût de bonheur incomparable. On pouffe, on ouvre la bouche, on cligne des yeux. On est ému. On est touché. Philippe Minyana De cimetière en vieux dancing, de petit coup de bière en petit coup de main, en train, à pied ou en voiture, elles taillent la route en chantant pour se donner du courage. L’important n’est pas d’arriver, ni même de partir, c’est le voyage. C’est de s’offrir une petite cigarette bien méritée. C’est de mordre la vie à belles dents. A belles dents. Dents de sagesse ou dents de folie ? Patrice Kerbrat Pierre Notte est poète, journaliste, romancier, pédagogue, metteur en scène et dramaturge. Il est l’auteur de deux romans et d’une vingtaine de pièces de théâtre. Sa pièce Moi aussi, je suis Catherine Deneuve, créée au Théâtre de la Pépinière-Opéra, a été couronnée par le Molière 2006 du Théâtre Privé. La même année, Pierre Notte est nommé secrétaire général de la Comédie-Française et fait Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa

Dolla Monna ou l’Ecole des patrons

Distribution

Auteur Michel Huisman – Mise en scène Toni Cecchinato, Toni Cecchinato – Dolla Monna Eve Bonfanti – Patro, Ambassy André Burton – Harry, para, flic Gilbert Charles – La bonimenteuse, Charlotte Nicole Colchat – Paula Anne Darden – Techna Danièle Denie – Cogolais, Maïtre Buvar, flic, para Micheline Hardy – Chrysanthème, Bise Nessman, La Rosselle Michel Israël – Saint Nicolas, flic Marc Lebreton – Assistant mise en scène Patrick Quinet – Musique Umberto Smaila – Régie générale Richard Joukovsky

Résumé

Une production de l’Atelier théâtral / Une création de L’Atelier de la Nouvelle Scène. Ce spectacle a été créé à Avignon, au Cloître des Carmes, le 21 juillet 1976. C’est une farce populaire et musicale. L’ensemble de cette farce représente une allégorie sur le pouvoir capitaliste tel qu’on peut le voir en 1976. Les différents rebondissements de l’action sont calqués sur des événements économiques et politiques belges qui se sont produits, pour la plupart, entre 1960 et 1976. Le style d’écriture, volontairement naïf, demande à la mise en scène et au décor, un non-réalisme qui traduise l’idée de bande dessinée ou, qui mieux est, de théâtre de marionnettes dont les acteurs seraient les pantins et le décor une main gigantesque tombant du ciel : « La manipulation du système capitaliste ». Le plateau deviendrait alors un castelet où tout changement de lieu n’est plus qu’un jeu d’enfants.Le système capitaliste de l’ancien monde, vieux, démodé, dépassé, voit Cogolais accaparé par Dolla qui, elle, travaille pour les intérêts du quartier présidé par sa mère, La Noëlle (les Etats-Unis). Les patrons sont présentés tels qu’ils sont… : intelligents, cultivés et drôles. Ils font figure de clowns gentils, et pourtant, on s’aperçoit que ce sera sans doute sous cette forme qu’ils seront le plus redoutables.

Du Coq à Lasne

Distribution

Auteur : Laurence Vielle – Ecriture et jeu : Laurence Vielle – Regard extérieur à l’écriture et à la mise en scène : Pietro Pizzuti – Images : Jean-Michel Agius – Composition et interprétation : Vincent Granger (clarinettes), Helena Rüegg (bandonéon)

Résumé

Pendant la Deuxième Guerre mondiale, une femme voit ses deux fils résistants partir en camp de concentration. L’un reviendra, l’autre pas. Le frère de cette femme est condamné à mort à la fin de la guerre pour collaboration. Cette femme est l’arrière-grand-mère de Laurence Vielle, qu’elle a eu la chance de connaître car elle a vécu jusqu’à ses 104 ans. Laurence avait alors 12 ans.

Du temps que les bêtes parlaient

Distribution

Interprétation : Pierrette Laffineuse, André Debaar

Résumé

Récital de fables de Jean de La Fontaine, dont certaines sont mises en musique par Jacques Offenbach. Un spectacle exempt de toute morale et bourré de joie complice où s’entremêlent fables, chants et contes.

Emma

Distribution

Auteur : Dominique Bréda – Metteur en scène : Dominique Bréda – Interprétation : Julie Duroisin

Résumé

Un talent comique est né : Julie Duroisin David Bowie s’appelle David. Gustave Flaubert s’appelle Gustave. David a sorti Ziggy Stardust dans les années 70. Gustave a écrit Madame Bovary à une époque genre Moyen Age. David est une star du rock, le symbole androgyne de toute une génération. Gustave est mort il y a tellement longtemps qu’on ne sait même plus très bien quelle tête il avait, sauf que c’était un gros moustachu. Franchement, entre les deux, vous auriez choisi lequel vous? Je m’appelle Emma, j’ai dix-sept ans et j’ai d’autres choses à me taper que Flaubert. Cette histoire est mon histoire. La pièce retrace le parcours d’une femme moderne, depuis ses premiers pas, jusqu’à la fin de sa vie en passant par l’adolescence et la quarantaine. Un spectacle drôle, enlevé et vitaminé à souhait ! Julie Duroisin passe d’un âge à un autre avec habileté, adaptant le jeu du corps, de la voix, des expressions du visage pour atteindre le ton juste. Cet exercice difficile de métamorphose semble naturel tant elle est sincère et ne tombe jamais dans la caricature. (La Libre Belgique, mai 2008) Une production de l’asbl Lato Sensu.

En toute inquiétude

Distribution

Texte de : Jean-Luc Piraux – Mise en scène : Olivier Boudon – Avec : Jean-Luc Piraux – Conseiller en dramaturgie : Anne-Marie Loop, Marianne Hansé, Didier De Neck, Olivier Boudon – Costumes et accessoires : Natacha Belova – Régie, création lumières : Marc Defrise – Productrice et assistante : Brigitte Petit

Résumé

Chemins de vie L’histoire de Séraphin, c’est celle d’un quinqua qui voudrait bien, mais qui n’en peut plus. Cadre dans une grande entreprise, il vit sans se poser la moindre question sur son avenir ou sur celui du monde, jusqu’au jour où, sans l’avoir vu venir, il est licencié. Déchu du modèle patriarcal où le père est censé subvenir aux besoins matériels de sa famille, il est perdu. Largué au boulot, dépassé en famille, il est prêt à tout : apprendre l’anglais, la natation, le langage HTML, la rébellion. Pourtant quelque chose résiste. Et si c’était lui-même ? Seul en scène, Jean-Luc Piraux s’inspire du cheminement de son père perdu à l’adolescence, un père sans révolte face à un jeune en pleine révolte. Portrait touchant d’un homme discret, hésitant et malgré ses efforts toujours un peu en décalage avec le monde dans lequel il vit. Une pièce qui interroge avec un appétit drôle et cruel la science aléatoire des trajectoires de vie. Coup de coeur du Festival Royal de Théâtre de Spa cet été !

Encore une histoire d’amour

Distribution

Auteur : Thomas Gunzig – Mise en scène : David Strosberg – Avec : Anne-Pascale Clairembourg et Alexandre Trocki – Scénographie : Marie Szersnovicz – Lumières : Harry Cole

Résumé

Vous connaissez déjà Thomas Gunzig, son humour piquant et sa plume acérée. Auteur de romans, nouvelles, ouvrages pour la jeunesse, scénarios – pour Jaco Van Dormael notamment -, il est l’un des écrivains francophones les plus lus et les plus polyvalents de Belgique. Trois fois par semaine, il signe la chronique « Café serré » sur la Première. Il sonde ici avec finesse la complexité des rapports amoureux et nous entraîne dans l’intimité d’une chambre à coucher. Un homme et une jeune femme viennent de faire l’amour. Ils sont serrés l’un contre l’autre. Manifestement, ils sont amoureux. Mais dans une heure, l’homme va partir. Il doit rentrer chez lui, retrouver sa femme. Durant cette heure qui s’écoule, ils vont parler d’amour, de désir, de sexe, de fidélité et d’infidélité, des normes sociales et de la puissance des sentiments. C’est une histoire sans salauds, sans méchantes, où tous les personnages sont des gens bien. C’est une histoire triste parce qu’on sait qu’elle est impossible. C’est une histoire gaie parce que c’est gai quand les gens s’aiment. En un mot, c’est encore une histoire d’amour. Thomas Gunzig

Entre Cime et Racines

Distribution

Auteur : Krystina Vassileva – Avec : Anne Yernaux, Krystina Vassileva – Accompagnement artistique : René Georges

Résumé

Yana et Jeanne, jeunes grands-mères, se retrouvent autour de Chêne Eugène, l’arbre qui a marqué leur enfance. A l’aide de marionnettes et d’autres objets étranges de la nature (fruits, morceaux de bois, champignons…) elles racontent leurs histoires. Un spectacle sur l’Amitié qui a pour objectif de familiariser les jeunes spectateurs à la nature, de développer leur imaginaire, de leur montrer qu’il est possible de jouer avec des petits bouts de « rien »…

Expresso Circus

Distribution

Théâtre du N-ombr’île – De et avec : Anne Peeters, Antoine Clette – Musique live (composition et interprétation) : Rachel Ponsonby – Oeils extérieurs : Kevin Brooking, Aurélie Coppens  

Résumé

Ladies and Gentlemen, Mesdames et Messieurs, approchez, le spectacle va commencer ! Du jamais vu ! Des acrobates extraordinaires, des magiciens, des équilibristes, des animaux fantastiques… Accrochez-vous ! Laissez-vous emporter dans l’univers poétique, drôle et absurde de ce spectacle forain en ombres chinoises avec musique live. Derrière l’écran, deux marionnettistes-comédiens manipulent 250 silhouettes pour vous éblouir. A l’avant-scène, une musicienne polyvalente, véritable « femme-orchestre », rythme le spectacle. De la piste aux étoiles, surgissent émotions et performances inoubliables. Epatant ! Les numéros s’enchaînent tandis que les codes majeurs de ce divertissement millénaire vacillent subtilement dans une portée absurdement jubilatoire. [Les Jeunesses Musicales->http://www.jeunessesmusicales.be/Expresso-Circus-Theatre-du-N-Ombr]

Faut y aller !

Distribution

Auteur : Jean-Luc Piraux – Metteur en scène : Félicie Artaud – Interprétation : Jean-Luc Piraux

Résumé

Bouffée de tendresse revigorante A la base du spectacle, une étonnante rencontre entre un jeune homme et Marie, une « vieille indienne » des temps modernes. Jean-Luc Piraux s’est inspiré d’un souvenir pour écrire ce texte. Il y a 30 ans, il a croisé Marie sur le bord d’un sentier. Revenant de sa « tournée des œufs », la dame de 80 ans pousse son vélo dont le pneu est crevé. Il propose de la reconduire chez elle. Marie vivait seule dans une petite ferme, au milieu des champs, près d’un bois, derrière un étang où deux cygnes faisaient la loi. Devant la maison, les poules picoraient. Elle me les présenta une à une : Soleil, Gratte-sol, N’a-qu’un-œil… Elle les remerciait pour chaque œuf pondu. C’était un petit bénéfice qui s’ajoutait à sa maigre pension de veuve. Je lui rendis visite de nombreuses fois tant sa bizarrerie m’attirait. Ces rencontres ont résonné longtemps en moi. Elles ont ouvert une porte et partout où j’ai vécu, que ce soit en ville ou à la campagne, j’ai rencontré une « Marie ». J’ai creusé ma mémoire, avivé mes souvenirs, pour relater et partager avec le public de théâtre quelques moments privilégiés avec Marie, ou plutôt ces « Marie » multiples, ces femmes Chaplin, ces femmes à la Tati, ces Buster Keaton féminines, ces Karl Valentine en dehors du temps, ces dernières des Mohicans… Une amitié singulière qui prend aujourd’hui la forme d’un hommage où se mélangent humour, tendresse et poésie sur fond de nostalgie d’une époque révolue. Seul en scène, Jean-Luc Piraux incarne tour à tour cette vieille dame fougueuse – archétype d’une grand-mère que nous avons tous aimée – , le jeune garçon qu’il était à 17 ans lorsqu’il la rencontra et l’homme qu’il est devenu aujourd’hui. Une production du Théâtre Pépite.

Ficelles

Distribution

Foule Théâtre, Compagnie Les Pieds dans le vent – De et par : Valérie Joyeux, Vincent Raoult – Mise en scène : Véronique Dumont

Résumé

Au début, rien, ou presque, mais les petits sont rassurés : il ne fera jamais noir ! Les secrets de fond de tiroir se révèlent. De nouveaux univers se créent, surgissent de nulle part, habités de petits bouts de rien, de petits bouts de ficelles qui s’animent, deviennent êtres vivants, malicieux et créatifs, qui s’illusionnent de mondes neufs, emplis de prodiges, l’imagination est au pouvoir. Pas besoin de texte pour cette création inventive qui imagine des merveilles avec trois fois rien, surprend par ses astuces amusantes et délicates, captive et émeut par sa bonhomie poétique et pleine de fraîcheur. Prix du Ministre de la Jeunesse Marc Tarabella aux Rencontres Jeune public de Huy 2008

François le Saint jongleur

Distribution

Adaptation : Nicole Colchat – Metteur en scène : Toni Cecchinato – Adaptation : Toni Cecchinato – Interprétation : Jean-Marie Pétiniot – Auteur : Dario Fo

Résumé

Fabulation extraite de textes canoniques ou de vieilles fables populaires d’Ombrie. En cinq épisodes de la vie du Saint jongleur, Dario Fo exerce sa verve à l’encontre des puissants, des nantis, des frileux, des avares du cœur. Ce n’est pas sans arrière-pensées qu’il a choisi cette figure emblématique pour dénoncer une fois encore les dangers de toute pensée unique. Le Saint d’Assise fut le premier grand réformateur d’une Eglise assise, établie, trop encline à accorder au pouvoir ce qu’elle déniait au peuple. Coproduction Festival de Théâtre de Spa et Atelier Théâtre Jean Vilar

Garden Party

Distribution

par le Théâtre Expérimental de Montréal

Résumé

Le T.E.M. est né de la volonté déterminée de quelques professionnels du théâtre (comédiens, techniciens, auteurs, metteurs en scène) désireux de pratiquer leur art d’une autre façon.Dans « Garden Party », les spectateurs, regroupés autour d’une aire de jeu restreinte et couverte de gazon naturel, sont conviés à une étrange « partie » où le temps, seconde après seconde, détraque la mécanique pourtant si bien huilée d’une réception mondaine et nous amène au chaos final.

George Dandin

Distribution

Auteur Molière – Mise en scène Patrick Roegiers – Par le Théâtre Provisoire

Résumé

Une extrême modernité, une vision superbe…

Grincements et autres bruits

Distribution

Auteur : Paul Emond – Mise en scène : Michel Tanner – Avec : Jo Deseure, Frédéric Hérion, Marie-Rose Roland, Dominique Tack

Résumé

Deux hommes. Deux femmes. Tout est possible et pourtant… C’est une valse à cinq temps sur toutes les histoires d’amour qui démarrent sur une fesse et n’en finissent pas d’avoir des ratés. Il y a de l’amour, des ruptures, des règlements de comptes, des doutes, des moqueries, l’indifférence, le quotidien, la migraine… C’est drôle à en pleurer… Triste à en rire. Une coproduction du Centre Dramatique Hainuyer, de la Province de Hainaut, du Phénix/ Scène Nationale de Valenciennes et de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Guy Béart

Distribution

Avec Guy Béart.

Résumé

En avant-première de son récital à l’Olympia. Le travail de son père, comptable participant à la création d’entreprises, nécessitant des déplacements fréquents, Guy Béart grandit dans différentes villes d’Europe et du Mexique avant de se fixer au Liban, où il suit la majorité de ses études, entre dix et dix-sept ans, âge auquel il part pour Paris. Inscrit à l’École nationale de musique (il y joue de nombreux instruments : violon, mandoline), il est parallèlement accepté au lycée Henri-IV (classes préparatoires maths sup et maths spé) puis reçu à l’École nationale des ponts et chaussées, d’où il sort avec un diplôme d’ingénieur. Il débute au bureau d’études de l’entreprise Sainrapt et Brice3, et dirige notamment la construction d’un pont à Maxéville (près de Nancy) pour l’accès aux carrières Solvay. Guy Béart se lance dans la chanson à partir de 1954, dans les cabarets parisiens de la Rive gauche, notamment La Colombe de Michel Valette ou Les Trois Baudets de Jacques Canetti qui le fait signer sur son label de musique Philips4 en 1957. Il y chante le Bal chez Temporel, dont les paroles adaptent le poème Le Tremblay de l’écrivain André Hardellet. Ce premier succès lui apportera, dès 1958, le Grand Prix du disque de l’Académie Charles-Cros. Il sera suivi de nombreux autres, comme L’Eau vive et Qu’on est bien (1958), Les Grands Principes (1965), Le Grand Chambardement (1967), La Vérité (1968), devenus des classiques. Puis il enregistre deux albums de chansons françaises traditionnelles, dont Vive la rose. Il écrit pour de nombreux artistes (Patachou, Zizi Jeanmaire, Juliette Gréco, qui chante Chandernagor et Il n’y a plus d’après).

Hannah K.

Distribution

D’après : Renaud Meyer – Conception et interprétation : Marianne Epin – Costumes : Pascale Bordet – Régie

Résumé

ACCUEIL FRANCAIS EXCLUSIF Madame K., rescapée de la Shoah et réfugiée à Paris se lie d’amitié avec la jeune Hélène, sa turbulente voisine. Inlassablement, Madame K. raconte, comme pour exorciser le passé détestable. Elle évoque les moments de bonheur, avant le génocide ; comment devenue une actrice renommée elle se déplace à travers l’Europe. Et comment, ensuite, elle est chargée, avec le metteur en scène Léon Schiller, d’animer au sein du ghetto de Varsovie, un « conseil clandestin » destiné à conforter la résistance intellectuelle par l’organisation de soirées théâtrales. Avec ses compagnons, elle communique aux habitants du ghetto la force d’endurer et la foi des valeurs humaines. Après la mort de Madame K., la curiosité d’Hélène l’amène à découvrir, enfouie dans une cave de l’immeuble, une boîte rouillée qui contient trois carnets relatant l’existence au jour le jour dans le ghetto de Varsovie, de février 1941 à septembre 1942. Un pan de l’Histoire s’ouvre, Hannak K. livre ses autres secrets… Un spectacle présenté par Polyfolies.

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