Théâtre Blocry

Hêtre

Distribution

Auteur : Céline Delbecq – Mise en scène : Céline Delbecq – Avec : Muriel Legrand, Charlotte Villalonga  

Résumé

Se confronter à son enfance Alors qu’elle remet les pieds pour la première fois depuis vingt ans dans l’atelier de menuiserie qui a bercé son enfance, Hêtre voit apparaître devant elle la petite fille qu’elle était. Entre l’Enfant aux rêves de strass et paillettes et la Femme responsable et submergée de travail, le temps s’est écoulé. Elle qui s’imaginait chanteuse de cabaret tient une librairie Gare du Midi. Hêtre est-elle passée à côté de quelque chose ? Comment devenir adulte sans rester figé par trop d’angoisses ? Faut-il abandonner son enfance sur le bord de la route ou l’apprivoiser ?

Hilda

Distribution

Interprétation : Nicolas Rossier – Auteur : Marie Ndiaye – Interprétation : Saskia Brichart, Valérie Bauchau – Décor : Thibault Vancraenenbroeck – Metteur en scène : Marc Liebens – Costumes : Catherine Somers – Lumières : Franck Thévenon

Résumé

Madame Lemarchand, bourgeoise de gauche, « achète » à Franck une femme de ménage. Ce sera Hilda, la femme de Franck, dont elle voudra le bonheur. Le bonheur surtout. Une Hilda qui saura l’aimer, qu’elle pourra assimiler, en qui elle pourra disparaître. Mais Hilda, l’enjeu du désir de Madame Lemarchand, omniprésente dans son discours, n’a pas droit à la parole. Le récit d’une passion égoïste, d’un vampirisme domestique, coupant comme l’acier de la lame, où chacun se consume jusqu’à la négation de soi. Coproduction Théâtre de l’Ancre, Ensemble Théâtral Mobile et Atelier Théâtre Jean Vilar, avec la participation du Centre des Arts Scéniques.

Histoire du tigre et autres histoires

Distribution

Auteur : Dario Fo – Traduction : Valeria Tasca – Sous la conduite de : Jean-Louis Danvoye – Interprétation : Hervé Guerrisi

Résumé

Avec un imaginaire explosif, Hervé Guerrisi, seul en scène, jongle avec une trentaine de personnages. Ses qualités de pantomime, ses mimiques hilarantes et son enthousiasme débordant émerveillent. Une véritable performance d’acteur ! Un soldat chinois, un déluge, une grotte, une tigresse sont les points de départ d’un récit haut en couleur et en rebondissements. Notre héros, tantôt conteur, tantôt dans le vif de l’action, nous fait revivre sa vie de soldat qui descend des confins de la Mandchourie pour entamer la Longue Marche… Choisissez ensuite vous-même l’histoire que vous voulez entendre et embarquez pour un enchevêtrement de cascades, de farces et d’aventures sur fond historique ou mythologique… Hervé Guerrisi est comédien et musicien. Sorti du Conservatoire de Bruxelles en 2004, il a joué chez nous – et rejouera cette saison ! – dans « Peines d’amour perdues ». Jean-Louis Danvoye, son professeur de formation corporelle au Conservatoire, orchestre la dimension gestuelle du spectacle. Une production de la Compagnie DéZir.

Honor

Distribution

Auteur : Joanna Murray-Smith – Texte français : Claude Baignères, Anne Tognetti – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Michel de Warzée, Cécile Van Snick, Stéphanie Moriau, Myriem Akheddiou – Décor et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Jacques Magrofuoco – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

« Le bonheur, l’usure, le rire, la déchirure… » Rob Spencer, journaliste estimé de la Tribune, la soixantaine, charmant, intelligent, drôle… est marié à Honor, la cinquantaine fleurie. Ils ont une fille. Rob aime sa femme, leur couple inspire la stabilité, la confiance et… l’amour ! L’amour comme il peut exister après trente-deux ans de mariage, un amour sage mais profond, qui ne peut être remis en cause. Pourtant, au détour d’une interview, Rob se retrouve face à Claudia, jeune (trente ans plus jeune !) et belle journaliste. Une impression forte, un jeu de séduction, la crise de la routine… autant d’ingrédients qui pourraient bien faire chavirer les sentiments de Rob… Une reprise pour quelques dates après une tournée à Bruxelles et en Wallonie. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa. La pièce Honor est représentée par l’agence DRAMA – Suzanne Sarquier en accord avec Sarah Jane Leigh, Sterling Standard à New York. Musiques du spectacle – extraits de Sonates de Beethoven, interprétées par Wilhelm Backhaus – « Aria » du Cosi Fan Tutte de Mozart, dirigé par Georg Solti

Honor

Distribution

Auteur : Joanna Murray-Smith – Texte français : Claude Baignères, Anne Tognetti – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Michel de Warzée, Nathalie Hugo, Stéphanie Moriau, Cécile Van Snick – Décor et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Jacques Magrofuoco – Réalisation des décors : Christophe Beaugé, Georges Delhez, Vincent Rutten, Marc Cocozza, Mathieu Regaert, Nicolas Perretier – Réalisation des costumes : Carole Lefort – Régie plateau : Geoffrey Lesseigne, Mathieu Regaert – Régie lumières et son : Jacques Perera – Habilleuse : Liliane Thomas – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

CREATION MONDIALE EN LANGUE FRANCAISE Rob Spencer, journaliste estimé de la Tribune, la soixantaine, charmant, intelligent, fin, drôle… est marié à Honor et père de Sophie. Rob aime sa femme, leur couple inspire la stabilité, la confiance et… l’amour ! L’amour comme il peut exister après trente-deux ans de mariage, un amour sage mais profond, qui ne peut être remis en cause. Pourtant, au détour d’une interview, Rob se retrouve face à Claudia, jeune et belle journaliste. Claudia est ambitieuse et aguichante. Une impression forte, un jeu de séduction, la crise de la routine… autant d’ingrédients qui pourraient bien faire chavirer les sentiments de Rob… Au fil d’un scénario inattendu, les personnages dévoilent peu à peu leur complexité. Il est question d’amour certes, mais aussi de carrière, d’ambition, de choix, du temps qui passe, d’affrontements de générations… Je suis très heureux et fier de monter cette très belle pièce (création mondiale en langue française) avec cette belle distribution. Elle m’est confiée avant sa création à Paris. J’en remercie vivement l’agent de l’auteur, Madame Suzanne Sarquier. Armand Delcampe Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa. La pièce Honour de Joanna Murray-Smith dans la version française de Anne Tognetti et Claude Baignères est représentée par l’agence DRAMA – Suzanne Sarquier en accord avec Sarah Jane Leigh, Sterling Standard à New York.

Huis clos

Distribution

Auteur : Jean-Paul Sartre – Metteur en scène : Richard Kalisz – Interprétation : Denis Carpentier, Jo Deseure, Julien Roy, Isabelle Wéry – Scénographie et costumes : Catherine Somers – Lumières : Christian Léonard – Collaboration musicale: Greg Houben – Maquillage : Martine Lemaire – Assistante à la mise en scène : Bénédicte Bantuelle – Construction décor : Marc Cocozza, Georges Delhez, Mathieu Regaert et Vincent Rutten – Peinture décor et toile : Marc De Meyer – Réalisation de la statue : Lionel Lê – Technique : Nicolas Perretier, Jacques Perera – Régie lumières et son : Gary De Beys – Habilleuse : Liliane Thomas – Régie générale : Vincent Rutten – Direction technique : Jacques Magrofuoco.

Résumé

Un garçon d’étage introduit dans un salon Garcin, journaliste-publiciste, Inès, ancienne employée des Postes et Estelle, riche mondaine. Ils ne se connaissent pas, viennent de milieux très différents, ne partagent pas les mêmes convictions, ni les mêmes goûts. Pourtant, pas de hasard, ils sont réunis pour l’éternité en Enfer. Pas de bourreau, pas d’issue. Aucune fuite possible. Rien pour échapper aux Autres. Ainsi débute un hallucinant huis clos, où chacun se livre à une joute oratoire pour défendre son cas. Jouant de plaidoiries et d’emballages, les protagonistes trouvent des stratagèmes pour maquiller leurs histoires personnelles souvent glauques… en vain. Car s’ils sont en Enfer, c’est pour une bonne raison ! Petit à petit, les masques de la mauvaise foi tombent, le triangle malsain est percé à jour : le meurtre les réunit. Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Théâtre Jacques Gueux avec le soutien de la Communauté française Wallonie-Bruxelles, Service du Théâtre.

Impromptu de Blocry

Distribution

Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Gudule, Marie-Line Lefebvre, Olivier Leborgne, Bernard Sens, Patrick Ridremont.

Résumé

Le texte n’est à personne, il est à tout le monde : une symphonie de mots vous est présentée comme une suite de sons fondamentaux, de passions et d’émotions nécessaires. Le rideau se lève sur l’univers de la scène, des coulisses, de l’avant et de l’après spectacle, dévoilant la magie, les acteurs, la vie, l’instant de fragilité suspendu à un soupir…

J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne

Distribution

Interprétation : Nade Dieu, Valérie Bauchau, Marie-Ange Dutheil, Janine Godinas, Anne Chappuis – Costumes : Jorge Jara – Lumières : Philippe Sireuil – Décor : Vincent Lemaire – Metteur en scène : Philippe Sireuil – Auteur : Jean-Luc Lagarce

Résumé

Cinq femmes : la vieille, la mère, l’aînée, la seconde et la plus jeune. Cinq femmes qui ont attendu. Des jours. Des mois. Des années. Assises dans l’arrière – cuisine à guetter derrière la fenêtre, le retour du jeune frère. Aujourd’hui, il est là, revenu de ses guerres, épuisé, malade, au bord de mourir dans la chambre de l’enfant qu’il fut. Aujourd’hui, il est là et les voilà qui parlent, ces cinq femmes, comme libérées du poids du silence dans lequel elles s’étaient réfugiées. Aujourd’hui, il est là, le jeune frère… Vraiment ? Pas si sûr… Co-réalisation Théâtre de l’Ancre et Atelier Théâtre Jean Vilar

Je suis un poids plume

Distribution

Auteur : Stéphanie Blanchoud – Mise en scène : Daphné D’Heur – Avec : Stéphanie Blanchoud – Et la participation de : Ben Messaoud Hassen – Scénographie : Maud Grommen – Lumières : Benoît Théron – Création musicale : Pierre Slinckx – Direction technique : Pierre Hendrickx – Coach : Ben Messaoud Hassen

Résumé

C’est l’histoire d’une rupture.Une jeune femme, au lendemain d’une séparation. Sa chute et le moment fragile où elle décide de se relever. Ce jour-là, à l’arrière d’un petit immeuble au fond d’une cour, elle a franchi la porte d’une salle de boxe. Poussée par une nécessité alors indicible. Elle a chaussé ses gants et laissé faire le geste. Elle a frappé pour sentir la vibration de la vie jusqu’au bout de ses doigts. Elle a appris à parer et à recevoir les coups, a appris à les rendre. Elle a écouté et reconnu son instinct. Elle a rencontré et repoussé ses limites. Quand le corps est en mouvement, les pensées deviennent précises comme des frappes, moins chaotiques, elles font mouche. Les mots prennent un sens nouveau. Dans cette danse du boxeur, tout se concentre, devient plus tranquille. Et au bout du souffle et des forces, on écoute les dictées du cœur. Alors, le temps d’un entraînement, sur le plateau ring, baisser la garde et retrouver la vie. Un récit bref et intense, impressionnant de précision. Stéphanie Blanchoud est chanteuse, actrice – elle est Chloé Muller dans la série belge « Ennemi Public » – et auteur. Après « Jackson Bay », joué au Théâtre Jean Vilar en février 2017, elle est de retour sur les planches de Louvain-la-Neuve pour un spectacle « autofictif », entre autobiographie et fiction.

Jean et Béatrice

Distribution

Auteur : Carole Fréchette – Mise en scène : Cathy Min Jung – Assistant mise en scène : Alexis Goslain – Scénographie et costumes : Renata Gorka – Création lumières : Thomas Vanneste – Régie : Mathieu Bastyns – Avec : Myriem Akheddiou (Béatrice), Nicolas Ossowski (Jean)

Résumé

Jeune femme cherche homme idéal « Jeune héritière recherche un homme qui pourra l’intéresser, l’émouvoir et la séduire. Récompense substantielle à la clé. » Béatrice placarde cette annonce sur tous les murs de la ville, avant de s’enfermer dans son appartement au 33eme étage d’une tour. Princesse des temps modernes, elle attend l’homme qui la délivrera de sa solitude. Jean, un chasseur de primes expérimenté, se soumet aux épreuves par appât du gain. Commence alors un jeu étrange, drôle et fascinant. En tentant de correspondre à l’homme idéal selon Béatrice, Jean s’égare et se dévoile, malgré lui. A force de trop vouloir mener la danse, Béatrice s’emmêle les pieds. L’appartement se transforme en piège et la rencontre devient un duel…

Jennifer Muller

Distribution

Chorégraphie Jennifer Muller – Avec Marla Bingham, Anne Dreyfus, Rae Kraus, Jean-Marie Marion, Jennifer Muller, Christofer Pila Fian, John Preston, Kidane Sa Yfou, Angeline Wolf

Résumé

TUB (création en juin 1973, à New-York). LOVERS (création en mai 14978, au Festival de Saint-Denis). SPEEDS (création en juin 1974, à New-York. Cette troupe américaine pratique la « modern dance » avec tout ce que cela comporte de perfection technique, de liberté et de vertus professionnelles. On y trouve l’esprit corrosif, la puissance et l’imagination créatrice. Son talent la porte vers la représentation réaliste et subversive de la vie quotidienne.

Josette

Distribution

Auteur : Compagnie Arts et couleurs – Ecriture : Martine Godard, Vincent Raoult – Mise en scène : Vincent Raoult – Avec : Martine Godard – Dramaturgie : Louis-Dominique Lavigne

Résumé

Josette, c’est la grande godiche sur la photo de classe, celle qui regarde tout le temps par la fenêtre, la grande qu’on voit passer dans le village. La fille qui ne répond pas. Sa maman dit : « Autant parler à une chaise ! ». La maîtresse crie : « On ne peut plus rien faire avec elle à part la mettre à la poubelle ! » Les enfants rient : « Josette-la-grenouille ! Josette la grosse nouille ! » Et tous lèvent les yeux au ciel. Josette est perdue dans les nuages, cachée dans ses dessins, enfouie sous un fouillis de mots jolis. Qu’elle cueille, recueille, arrange, accole comme pour ne pas les égarer. Y a de la joie dans son cœur. Y a de la musique dans sa tête. Quand elle lève les yeux au ciel. Josette ! Pourquoi tu n’es pas là ? Pourquoi tu ne comprends rien ? Pourquoi tu n’entends pas ? « Josette », c’est l’histoire d’une petite fille, un peu différente, née en 1940, à Muno, un petit village gaumais au sud de la Belgique. Muno est libéré par les Américains en 1945. Oui, mais Josette, pour être libérée, sur qui peut-elle compter ? Martine Godard, magicienne du théâtre d’objets nous raconte cette histoire vraie, entre solitude et résilience. Coup de Cœur de la Presse aux Rencontres Jeune public de Huy 2017 et Prix de la Ville de Huy pour l’interprétation.

Jour d’été

Distribution

Auteur : Slawomir Mrozek – Traduction : Jean-Yves Erhel – Mise en scène : Alan Bourgeois – Avec : Rachid Benbouchta, Isabelle Renzetti et Fabrice Rodriguez – Scénographie et lumières : Thibault Sinay – Création sonore : Fabian Coomans – Création vidéo : Julien Marcelle

Résumé

Une station balnéaire, un jour d’été. Deux hommes semblent bien décidés à se suicider. Déveinard désire tout, mais n’obtient rien. Éveinard ne veut plus rien puisqu’il a déjà tout. Chacun envie l’autre et ils se disputent le privilège de la mort. Soudain, une apparition fugace, une jolie dame au coin de la rue. Cette rencontre inopinée marque le début d’une succession de situations incongrues, irrésistiblement drôles. Lucide et provocant, Slawomir Mrozek est reconnu comme l’un des plus grands dramaturges et auteurs satiriques européens. Il a également publié dans la presse des caricatures et autres dessins caustiques. Traduite dans plus d’une vingtaine de langues, son œuvre dépeint les absurdités de la vie quotidienne et dénonce le système établi en révélant sa grotesque aberration. La réussite à tout prix valorisée par notre société apporte-t-elle vraiment bonheur et bien-être ? Chacun risque de se reconnaître dans cette irrésistible tragi-comédie qui a la saveur insensée de la réalité. Créée au Festival Royal de Théâtre de Spa en 2015, la pièce a été unanimement appréciée par le public et la presse.

Karl Marx, le retour

Distribution

Auteur : Howard Zinn – Traduction : Thierry Discepolo – Mise en scène : Fabrice Gardin – Avec : Michel Poncelet – Régie : Nicolas Fauchet – Avec l’aide de l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

« Ok, ok, tu peux y aller, mais pas d’agitation ! » Monsieur Karl Marx, né en 1818, décédé en 1883, a enfin obtenu une autorisation spéciale du paradis : revenir sur Terre – une heure, pas plus – afin de donner une ultime leçon de philosophie. Mais l’administration, un peu bordélique et paresseuse – même aux cieux –, cafouille, et Marx atterrit non pas dans le Soho londonien, où il avait trouvé refuge, mais dans le Soho new-yorkais. Damned ! Aux States, le pays du libéralisme le plus forcené, son ennemi de toujours ! Karl, fin orateur, ne se démonte pas. Avec bonhomie, il salue son auditoire et se met tout de go à l’apostropher. Ses critiques sont adressées au capitalisme dont il mesure l’évolution de son époque jusqu’à aujourd’hui. Au fil des mots, c’est l’humanité, les colères, l’entrain et la truculence d’un Marx bien vivant que l’auteur nous invite à partager. De quoi passer un bon moment en compagnie d’un homme de caractère, fin polémiste et définitivement révolté. « J’avais tort en 1848 quand je pensais que le capitalisme était sur le déclin. Mon calcul était un peu en avance disons de… 150 ans. » Extrait du spectacle

Korczak, la tête haute

Distribution

Auteur : Jean-Claude Idée – Mise en scène, scénographie et lumières : Jean-Claude Idée – Avec : Stéphanie Moriau, Cécile Van Snick, Alexandre von Sivers – Assistante stagiaire à la mise en scène : Estelle Lavency – Régie générale, lumières, son, vidéo : Manu Maffei – Construction décor : Vincent Lamer, Jean-Philippe Hardy – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Vie et mort exemplaires du célèbre pédiatre et pédagogue polonais. Varsovie, pendant la Seconde Guerre mondiale. Alors que les Allemands lui offrent la possibilité de s’expatrier, Janusz Korczak choisit de rester directeur de son orphelinat dans le ghetto. Il mourra déporté à Treblinka, où il accompagnera jusqu’au bout ses petits protégés. Sur le quai de la gare, à un officier allemand qui tentait encore de l’écarter, Korczak répondra : « Moi sans les enfants ? J’aurais trop peur de vous ressembler ». Nous sommes à quelques jours de la déportation. Korczak, aux côtés de sa fidèle Stefa et de la jeune et rebelle Esther, doit trouver le moyen de préparer les enfants à ce qui les attend. C’est aussi pour l’inventeur des Droits de l’Enfant le moment de faire le point sur sa vie, lui qui s’est passionné pour les enfants, leur a consacré de nombreux ouvrages et a inventé une pédagogie nouvelle dont l’épicentre est l’autogestion de l’école par les élèves.

Kosmos

Distribution

Écriture et interprétation : Lara Hubinont, Jasmina Douieb – Mise en scène : Jasmina Douieb – Scénographie : Thibaut De Coster, Charly Kleinermann – Assistanat à la mise en scène : Sophie Jallet – Coaching manipulation : Isabelle Darras – Lumières : Philippe Catalano – Musique et bande son : Guillaume Istace – Production et diffusion : Anna Giolo

Résumé

Dès 6 ans Une ode à l’importance des histoires pour penser et rêver le monde. Qui ne s’est jamais demandé ce qu’il y avait avant la préhistoire, avant les dinosaures, avant le Big Bang, avant le temps ? Depuis toujours, l’Homme, sans réponse, invente des histoires… Comme celle de Gaïa, une fille qui a fabriqué le ciel, les montagnes et les chips, puis qui a eu un fils, un certain Cronos, qui lui-même eut des enfants assez célèbres. Equipées d’une multitude d’objets, les deux comédiennes jouent aux démiurges transformistes et revisitent la mythologie grecque avec humour et poésie.

KubiK

Distribution

Auteur : Théâtre de la Guimbarde – Mise en scène : Charlotte Fallon – Avec : Gwennaëlle La Rosa, Geoffrey Magbag

Résumé

Un comédien et une comédienne manipulent un grand jeu de construction blanc. Empilements, écroulements, alignements, tout bouge et se métamorphose. Dans ce présent sans cesse renouvelé, les personnages se surprennent eux-mêmes. Par cette architecture en mouvement, les volumes s’organisent et des formes apparaissent. Elles deviennent des écrans de projection pour les images.

L’Apostat

Distribution

Auteur : Régis Debray – Metteur en scène : Jean-Claude Idée – Interprétation : Jean-Claude Frison – Scénographie, costumes, lumières, son : Jean-Claude Idée – Assistante à la mise en scène : Camille de Bonhome – Réalisation sculptures : Lionel Lesire – Réalisation vidéo : Pierre-Michel Chevignie – Régie lumières, vidéo : Gary De Beys – Régie son et machinerie : Nicolas Perretier – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco – Remerciements : Michel Wouters, Serge Beeckman, Jean-François Sevrin, Antoine Bruyns, Frédéric Lepers

Résumé

Plaidoyer contre le fanatisme religieux Le Panthéon, symbole de la tolérance religieuse au cœur de Rome, abrite, en ce début septembre 2037, une grande exposition consacrée à la conversion de l’Empereur Constantin. Lorsque le bâtiment est frappé par un attentat terroriste, un homme émerge des décombres et prétend être Julien l’Apostat, le dernier des empereurs romains à avoir autorisé en 362 la pratique libre des cultes, face au jeune christianisme triomphant et fanatique. S’agit-il d’un fou ? Ou bien cette apparition fantomatique est-elle la responsable de l’attentat qu’elle dénonce ? Régis Debray rend ici la parole, par un artifice purement théâtral, à Julien l’Apostat. Son regard sur les dangers de dérive intégriste des monothéismes est pour notre passé et notre futur très éclairant. Un texte décapant, ironique et profond, qui interpelle et surprend. Jean-Claude Idée Jean-Claude Idée avait monté chez nous Copenhague de Michael Frayn. Régis Debray adhère au parti communiste jeune. Il part s’installer à Cuba et suit Che Guevara en Bolivie où il est arrêté. Il rentre en France à sa libération. Il est conseiller du président François Mitterrand de 1981 à 1984. Il a publié une dizaine d’ouvrages dont La neige brûle, prix Femina en 1977. Régis Debray est actuellement président de l’Institut européen en sciences des religions et membre de la commission Stasi. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa

L’Avare

Distribution

Auteur : Molière – Metteur en scène : Jean-Claude Idée – Interprétation : Eric Delhaye, Georges Delnoy, Pierre Pigeolet, Raymond Avenière, Jean Knepper, Léon Dony, Bénédicte Chabot, Nessym Guetat, Micheline Goethals, Marie-Line Lefebvre, Jean-Claude Frison, François Pinte

Résumé

Découvrir que chez certains êtres une machine à calculer et un coffre-fort peuvent remplacer une cervelle et un cœur et procurer un étrange bonheur n’a pas de quoi réjouir et ne ferait pas une comédie. Mais l’avare comporte des lazzis, des mots à la fois comiques et pénétrants. Et surtout les délicatesses de l’amour fraternel, les tendresses de l’amour donnent de l’humanité à une pièce tout entière grinçante…

L’Ennemi

Distribution

Mise en scène : Bernard Massuir – Avec : Thierry Boivin, Stéphane Groyne

Résumé

Dans un univers qui flirte avec la bande dessinée, L’Ennemi propose une réflexion décalée, absurde et parfois drôle sur la guerre.Amateurs d’images sanglantes s’abstenir… L’ennemi est bête : il croit que c ‘est nous l’ennemi alors que c’est lui! (Pierre Desproges)

L’Entraînement du champion avant la course

Distribution

Auteur Michel Deutsch – Mise en scène Philippe Sireuil – Avec Alix Dugauquier, Janine Godinas, Gil Lagay. Une production du Théâtre du Crépuscule.

Résumé

Fabrice, père de deux enfants et passionné de vélo, mène une vie sentimentale banale entre sa femme et sa maîtresse. Insatisfait de ses amours, il se montre violent.

L’épreuve

Distribution

Auteur Marivaux – Mise en scène Jules-Henri Marchant – Costumes Françoise Van Thienen – Décor Jules-Henri Marchant – Avec Olivier Cuvellier, Christian Dalimier, Joël Delsaut, Evelyne Rambeaux, Delphine Roy – Réalisation du décor Yvan Harcq.

Résumé

Lucidor, tombé malade dans une de ses terres, y est devenu amoureux d’Angélique, fille de Madame Argante, petite bourgeoise du pays. Il sait qu’il ne lui est pas indifférent, mais veut éprouver son cœur avant de la demander en mariage, malgré l’inégalité des conditions. Il ordonne à son valet Frontin de se présenter en riche bourgeois et comme prétendant au titre de mari auprès d’Angélique. Titre convoité en fait par lui-même mais aussi par Maître Blaise, riche fermier, voisin de Lucidor et de Madame Argante. Une production du Théâtre 7.

L’Eveil du Printemps (création)

Distribution

Auteur Frank Wedekind – Mise en scène Christian Crahay, Guy Pion – Costumes Richard Joukovsky – Avec Béatrix Férauge, Anne Van Rymenam, Chantal Corthals, Alida Latessa, Jean-Marie Pétiniot, Michel Verheyden, Philippe Dupont, Patrick Sluys, Michel Wouters, Vincent Radermecker, Marie-Christine Baeyens, Catherine Van der Stichelen, Michel Bawedin

Résumé

« L’Eveil du printemps » montre comment l’instinct de vie est étouffé par la société et sa morale, comment les préjugés moribonds des adultes conduisent des adolescents au suicide, à la mort. Création-production autonome des acteurs de la compagnie de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve. « L’Eveil du printemps » s’adresse tout particulièrement aux adolescents : pour la première fois dans l’histoire du théâtre, on y parle des problèmes spécifiques de la jeunesse. Spectacle important par les moyens qu’il nécessite, l’Eveil du printemps réunit vingt comédiens qui, tous, ont participé à la réalisation du spectacle.

L’Impro Show

Distribution

Auteur : Jean-Claude Dubiez, Patrick Ridremont, Olivier Leborgne – Interprétation : Olivier Lemont, Claude Ridrebiez, Jean-Patrick Duborgne

Résumé

DERNIÈRE MINUTE… Vous pensiez avoir déjà vu un Show ? Vous pensiez tout savoir sur l’Improvisation ? Vous pensiez que l’humour ne vous faisait pas rire ? Attendez-vous à être surpris ! L’Impro Show, c’est l’improvisation dans tous ses états. Tous les soirs, 8.000 improvisations différentes sont proposées par le public et le hasard choisit celles que les trois comédiens devront exécuter sans décor, sans artifice, sans filet… et sans hésiter ! Trois compagnons de la Ligue d’Impro vous invitent à un spectacle interactif débordant d’imagination. Du bonheur délirant, neuf et jamais vu…

L’impromptu : Bis!

Distribution

Résumé

Suite de textes et scènes

L’Ami des Belges

Distribution

Auteur : Jean-Marie Piemme – Interprétation : Fabrice Schillaci – Mise en jeu : Jean Lambert assisté de Elsa Poisot – Lumières : Ophélie Kern – Scénographie et costumes : Catherine Somers – Son : Vincent Cahay – Avec l’aide de l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

« L’Ami des Belges », c’est l’histoire d’un milliardaire qui veut devenir belge et qui tombe en panne dans notre campagne. Entre un champ de betteraves et des bouses de vache. Simple panne de moteur ou le présage d’une terrible catastrophe ? Quelle injustice, ces « persécutions » dont les plus nantis font l’objet, contraints à l’exil fiscal. Car il est vrai qu’aujourd’hui les riches n’ont même plus le droit d’être riches ! Tel un personnage de farce contemporaine, tantôt drôle et séduisant, tantôt terrible et abject, ce « grand » de ce monde joue sa propre tragédie, celle du puissant qui peut tout acheter sauf sa naturalisation belge. Après sa première rencontre avec l’auteur de « Dialogue d’un chien avec son maître… », Fabrice Schillaci s’est vu confier par celui-ci un texte impertinent, savoureusement cinglant sur un sujet brûlant d’actualité. Avec « Les Pâtissières », ce texte sera le second de Jean-Marie Piemme présenté cette saison.

L’Ecole est finie !

Distribution

Auteur : Jean-Pierre Dopagne – Mise en scène : Cécile Van Snick – Avec : Chloé Struvay

Résumé

Comment évoluer à l’école quand un dix sur vingt représente un « Très bien » ? De la maternelle avec ses rayons de couleurs et ses chansons, à l’université, en passant par la désillusion de l’école primaire, Caroline, 22 ans, future professeure, se raconte. A 14 ans, Caroline préfère le David Copperfield de Charles Dickens aux héros édulcorés, prêts-à-consommer des livres pour adolescents. C’est à ce moment-là que, sans crier gare, la passion des mots s’empare d’elle : le charme du subjonctif imparfait, la beauté d’une tournure, la précision de la grammaire l’émerveillent. Quelques années plus tard, elle, l’élève médiocre, entame avec audace des études universitaires littéraires. Entre les subtilités du latin et les tout-puissants pédagogues, elle revient sur le parcours des professeurs qu’on forme (conformes ?). Elle partage ses déceptions et son rêve d’une Ecole avec un grand E.

L’Homme du hasard

Distribution

Auteur : Yasmina Reza – Mise en scène : Bruno Emsens – Avec : Christian Crahay et Jo Deseure – Scénographie et marionnettes : Valentin Périlleux – Assistant marionnettes : Simon Vialle – Lumières : Gaëtan van den Berg – Création sonore : Sébastien Schmitz – Costumes : Mathieu Chevalier – Coiffure : Thierry Pommerell – Maquillage : Patricia Timmermans – Coach marionnettes : Noémie Vincart – Régie : Showup ! – Avec l’aide de l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Un homme. Une femme. Assis l’un en face de l’autre dans un train qui relie Paris à Francfort. Ils ne se parlent pas. Elle l’observe car elle l’a reconnu. Lui ressasse son prochain roman, la critique imbécile, les femmes qu’il a connues, sa fille qui va se marier. Elle est seule dans la vie, elle a aimé les livres de cet homme, à défaut d’avoir aimé tout court. Et s’il n’était pas trop tard ? Comment entrer en contact avec lui ? Que dire ? Que faire ? Les âmes se jaugent, puis iront bientôt à la rencontre l’une de l’autre, jusqu’à ce qu’enfin corps et âmes décident de se parler. Une conversation banale au début, mais qui va révéler le chemin parcouru : « On se fabrique soi-même, on forge la matière qu’on donne au hasard ». Et finalement jaillira l’étincelle.

L’Ours qui n’était pas là

Distribution

Adapté du texte d’Oren Lavie – De et avec : Caroline Husson

Résumé

Dès 8 ans Un voyage aussi poétique que philosophique. Il sortit un papier de sa poche : Es-tu bien moi ? « Bonne question ! », se dit-il, et il se mit en route. Joyeux et naïf, notre ours s’émerveille de tout, rencontre des personnages cocasses et peu à peu apprend à se connaitre… Mêlant récit, théâtre d’objet et jeu clownesque, ce spectacle nous révèle des espaces imaginaires, des possibles parmi lesquels chacun peut choisir sa route. Merveilleusement clownesque, Caroline Husson affiche une belle audace, osant le décalage et la douceur. Le Soir Prix de la Province de Liège aux Rencontres de Huy 2019

La Chute

Distribution

Auteur Albert Camus – Mise en scène Hervé Dubourjal – Adaptation Catherine Camus – Avec François Chaumette – Décor Claude Lemaire – Lumières Jean Grison.

Résumé

« La chute » est un récit dont la théâtralité est telle qu’il semble tout naturel de le porter à la scène. C’est un monologue, celui d’un homme qui prétend s’appeler Jean-Baptiste Clamence. Ou plutôt c’est ce qu’on appelle un dialogue à une voix.Clamence s’adresse à un interlocuteur, mais celui-ci ne répond pas… Etrange et multiple Clamence, bien construit pour tenter un grand comédien : ancien avocat, juge et pénitent, don Juan, recéleur, exilé, poursuivi par la fantôme d’une femme qu’il n’a pas secourue, il nous apprend qu’heureux ou malheureux nous sommes tous coupables. Présenté par Théâtre Actuel.

La Demoiselle

Distribution

Auteur : Jean-Pierre Dopagne – Mise en scène : Olivier Leborgne – Avec : Alix Mariaule

Résumé

Une comédie belge à la sauce riche. La comédie qui vous déshabille. C’est l’histoire drôle d’une demoiselle, belle, intelligente, qui a tout pour elle… mais qui est seule. A trente ans bien sonnés, elle cherche toujours le Prince charmant. Ou peut-être l’attend-elle tout simplement sans le chercher. Ses armes pour affronter cet échec ? Elle sait qu’elle est belge et parfaitement bilingue… Coproduction Festival de Théâtre de Spa et Atelier Théâtre Jean Vilar

La Demoiselle

Distribution

Auteur : Jean-Pierre Dopagne – Metteur en scène : Olivier Leborgne – Interprétation : Alix Mariaule

Résumé

La comédie qui vous déshabille. C’est l’histoire drôle d’une demoiselle, belle, intelligente, qui a tout pour elle… mais qui est seule. A trente ans bien sonnés, elle attend toujours le Prince Charmant. Ses armes pour affronter cet échec ? Elle sait qu’elle est belge et parfaitement bilingue… Elle sait que son pays est celui de tous les possibles… Après son succès à Spa et à Louvain-la-Neuve la saison dernière, Alix Mariaule revient sur les planches pour nous faire partager ses aventures et ses inquiétudes, entre éclats de rire et moments de tendresse. Une coproduction Festival de Théâtre de Spa et Atelier Théâtre Jean Vilar

La femme de Gilles

Distribution

D’après le roman de : Madeleine Bourdhouxe – Adaptation : Luc Fonteyn – Metteur en scène : Luc Fonteyn, Laurence Vielle – Interprétation : Anne-Sophie de Bueger, Luc Fonteyn, Nathalie Rjewsky

Résumé

La plume de Madeleine Bourdouxe, écrivain belge, court sur le fil de l’amour absolu. Elle traduit dans ce récit tout simple l’approche de la vie oscillant entre la cendre et l’étincelle. Se laisser submerger par le sentiment d’une vie entravée jusqu’à l’impossible ou partir à la conquête de soi-même et assurer son propre destin ? Une production du « Théâtre…à suivre… »

La Folle Allure

Distribution

D’après Christian Bobin – Conception : Stéphanie Blanchoud – Adaptation scénique : Stéphanie Blanchoud et Jean-Louis Danvoye – Interprétation : Stéphanie Blanchoud, Jean-Louis Danvoye et Alessandro Petrasso.

Résumé

CREATION MONDIALE Lucie a été élevée dans un cirque. Elle a grandi, et court toujours à folle allure après la vie, à moins que ce ne soit après l’amour ou le rêve ou, pourquoi pas, les trois à la fois. Portrait d’une jeune femme en quête d’inédits, qui se perd et se retrouve au détour de ses fugues et de son imaginaire… Stéphanie Blanchoud est actrice, chanteuse et écrivain. Charmante, sensible et émouvante, on la retrouve avec autant de plaisir en concert, avec son album « A cœur ouvert », que sur les planches de théâtre. Christian Bobin est ce poète merveilleux chez qui plaisirs minuscules et douleurs du monde se côtoient dans un style épuré. Leurs univers ne pouvaient que se rencontrer… Aujourd’hui, la jeune femme incarne Lucie, entourée par l’élégance du mime (Jean-Louis Danvoye) et l’envolée du pianiste (Alejandro Petrasso). Un fin dosage pour un spectacle qui respire la vie, une vie tout en légèreté. Pour une fin d’année subtile, tendre et délicate. La Compagnie DéZir présente La Folle Allure de Christian Bobin (Editions Gallimard), une production du Festival de Théâtre de Spa et de l’Atelier Théâtre Jean Vilar.

La mienne s’appelait Régine

Distribution

Auteur Pierre Rey – Mise en scène Armand Delcampe – Décor Raymond Renard – Costumes Elena Mannini – Eclairages Richard Joukovsky – Son Jacques Herbet – Avec Yvette Merlin, Claude Etienne, Gérald Marti, Chantal Corthals

Résumé

Dans cette comédie amère à l’écriture ascétique, l’auteur touche à l’essentiel : famille, amour, espoir, souffrance, trahison… Papa, maman, leur fils Camille (5 kilos dès la naissance) actuellement la cinquantaine bien corpulente et rayonnante, et Régine sa jeune et discrète fiancée d’un jour. La comédie des apparences du couple, le « matrimoine » en action (du calcul silencieux à la possession hystérique) et l’ambivalence paternelle sont merveilleusement interprétés par quatre des plus grands comédiens actuels.

La mienne s’appelait Régine (reprise)

Distribution

Auteur Pierre Rey – Mise en scène Armand Delcampe – Décor Raymond Renard – Costumes Elena Mannini – Eclairages Richard Joukovsky – Son Jacques Herbet – Avec Yvette Merlin, Claude Etienne, Gérald Marti, Chantal Corthals.

Résumé

Dans cette comédie amère à l’écriture ascétique, l’auteur touche à l’essentiel : famille, amour, espoir, souffrance, trahison… Papa, maman, leur fils Camille (5 kilos dès la naissance) actuellement la cinquantaine bien corpulente et rayonnante, et Régine sa jeune et discrète fiancée d’un jour. La comédie des apparences du couple, le « matrimoine » en action (du calcul silencieux à la possession hystérique) et l’ambivalence paternelle sont merveilleusement interprétés par quatre des plus grands comédiens actuels.

La Molière (ou Madeleine B.)

Distribution

Auteur : Joëlle Gardes – Metteur en scène : Patrice Kerbrat – Interprétation : Frédérique Tirmont – Costumes : Brigitte Faure-Perdigou – Réalisation des décors : Edouard Laug – Assistante à la mise en scène : Clara Borras

Résumé

La beauté d’un texte alliée au talent d’une comédienne magnifique L’histoire n’attribue le plus souvent qu’un rôle de second plan à Madeleine Béjart. Et pourtant, sans elle, Jean-Baptiste Poquelin aurait-il pu devenir Molière ? Les témoignages et les documents historiques la dépeignent comme une femme remarquable qui n’hésita pas à se consacrer au théâtre à une époque où les femmes y étaient encore rares : c’est elle qui fonda l’Illustre Théâtre, qu’elle dirigea avant Molière. Au soir de sa vie, dans la chambre où elle guette le retour de celui qu’elle continue à aimer, elle retrace les principales joies et souffrances de sa riche existence d’actrice, de femme amoureuse et blessée, qui eut comme rivale sa propre sœur et finit par se tourner vers Dieu. Plongez dans les coulisses de la vie de Molière. Découvrez l’homme qu’il était à travers les yeux de la femme qui l’épaula au quotidien et surtout qui l’aima envers et contre tout. Un spectacle présenté par DIDASCALIES en accord avec DG Conseil.

La Musica deuxième

Distribution

Interprétation : Anne Chappuis, Patrick Descamps – Mise en scène, lumière et décor : Philippe Sireuil – Auteur : Marguerite Duras

Résumé

Que reste-t-il quand l’amour n’est plus ? Un homme et une femme, un dernier face à face avant l’ultime séparation ; une seule question qui les poursuit : que nous est-il arrivé ? Pendant longtemps, ils se sont aimés, passionnément, et puis le temps les a séparés petit à petit. Aujourd’hui, au moment de la séparation, les cœurs s’ouvrent puisque tout reste encore à dire. Une mise en scène sobre fait ressortir un texte de Duras grave et touchant dans lequel on pénètre comme par infraction, sur la pointe des pieds. Une co-réalisation du Théâtre Le Public et de l’Atelier Théâtre Jean Vilar.

La Seconde Vie d’Abram Potz

Distribution

Auteur : Foulek Ringelheim – Adaptation : Catherine Brutout, Foulek Ringelheim – Metteur en scène : Catherine Brutout – Interprétation : Freddy Sicx

Résumé

Un délice d’humour noir Abram Potz est un vieillard de quatre-vingt-six ans, ancien psychanalyste, qui a l’habitude des périples lointains organisés par les Voyages Hippocrate. Il y rencontre toujours les mêmes personnes – médecins et conjoints – qu’il apprécie très modérément ; il est vrai qu’Abram Potz n’aime pas grand monde et surtout pas les jeunes… « Moi, moi, Abram Potz, j’ai tué. De mes mains crevardes et frigides, sans mobile conscient, sans émotion perceptible, sans effort, d’une chiquenaude gratuite, j’ai jeté un homme à la mort. J’ai accompli mon premier meurtre et je retrouve, non pas une raison de vivre, ce serait trop demander, mais une raison de ne pas disparaître encore et une vigueur morale incroyable. Je dis premier crime comme on dit premier amour, car je présume qu’il y en aura d’autres. » La Seconde Vie d’Abram Potz est écrit par l’auteur belge Foulek Ringelheim, docteur en droit à l’Université de Liège, licencié en criminologie de l’ULB et membre du Conseil supérieur de la Justice. Le roman a obtenu le Prix des lycéens 2005. La cruauté joyeuse des mots et le cynisme du texte ont été transposés avec justesse et humour pour la scène par l’auteur et Catherine Brutout. Comédienne, metteur en scène et directrice du Théâtre du Méridien, elle compte à son actif la création lumière de nombreux spectacles et possède le don de découvrir des auteurs belges de talent. Sa sensibilité liée à l’interprétation espiègle de Freddy Sicx nous offre un régal d’humour noir, politiquement incorrect et souvent hilarant. Une production du Théâtre du Méridien.

La Solitude du mammouth

Distribution

Auteur : Geneviève Damas – Mise en scène : Emmanuel Dekoninck – Avec : Geneviève Damas – Scénographie : Thibaut De Coster, Charly Kleinermann – Lumières : Jean-Jacques Deneumoustier – Maquillage : Sylvie Evrard – Régie : Eric Degauquier, Mathieu Bastyns  

Résumé

« Les mammouths nous ont tout donné, leurs défenses, leur peau, leurs os, leur graisse, leurs poils… Et qu’est-ce que l’humanité a fait pour eux lorsque le froid est arrivé ? Nada. Elle les a laissés sombrer dans l’ère glaciaire. » « La Solitude du mammouth », c’est l’histoire de Bérénice, épouse et mère dévouée. Quand son mari la quitte pour une étudiante de 22 ans, son monde s’écroule. Elle qui s’est tant investie dans son couple refuse d’être laissée pour compte. Alors elle va donner une bonne leçon à son infidèle de mari… Ce monologue drôle et cruel parle de ce que nous faisons de nos colères et de notre désir de vengeance, de notre faculté à sublimer les émotions qui nous traversent.

La Soupe au(x) caillou(x)

Distribution

Auteur : Julie Annen – Scénographie, mise en scène, jeu et manipulation : Julie Annen, Thibaut De Coster, Charly Kleinermann – Regards extérieurs : Diana Fontannaz – Lumières : Marc Defrise – Consultant réalisation : Eric Bellot – Consultant matériel vidéo : Sébastien Fernandez

Résumé

Dès 4 ans. « Mémé disait : la meilleure des soupes, c’est celle que l’on partage ! » Comment ?! Vous ne connaissez pas la recette de la soupe aux cailloux ? Si Mémé n’est plus là pour la cuisiner, sa petite-fille va vous la mitonner. Tout commence par un caillou choisi avec attention. Et pour chaque nouveau légume qu’elle mettait dans la soupe, Mémé racontait une nouvelle histoire. Peu à peu, on découvre ses ingrédients préférés : l’accueil, la solidarité et le respect. Mention de l’imaginaire aux Rencontres de Huy 2019.

La tragique Histoire d’Hamlet, Prince de Danemark

Distribution

Auteur William Shakespeare – Mise en scène Benno Besson – Texte français François Bérault – Avec Alain Frérot, Françoise Brion, Philippe Avron, Dominique Serreau – Assistanat mise en scène Jean-François Prévand – Scénographie et costumes Ezzio Toffolutti

Résumé

Un jeune prince, Hamlet, travers une grave crise d’identité après la mort-meurtre de son père le roi, et le remariage de sa mère alors même que se décompose peu à peu le royaume de Danemark. Une coproduction du Théâtre de l’Est Parisien et de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve. Création à Avignon le 10 juillet 1977.

La Turnàta

Distribution

Auteur : Nicola Bonazzi et Mario Perrotta – Mise en scène : Mario Perrotta – Traduction et interprétation : Hervé Guerrisi – Régie : Eric Degauquier

Résumé

De Zurich à Lecce, dans le Salento, il y a 1400 kilomètres. Une aventure. Surtout si, dans la voiture, il y a un grand-père mort, un syndicaliste et un enfant qui a vécu pendant cinq ans enfermé dans une chambre. L’émigration italienne des années 50 a amené beaucoup de main-d’œuvre en Suisse. Volontairement peu intégrés par l’Etat helvétique, ces travailleurs n’ont pas le droit de faire venir leur famille sur le territoire. Les enfants nés sur place sont menacés d’expulsion, nombreux sont ceux qui, clandestins, restent calfeutrés à la maison. L’un de ces gamins raconte la première fois qu’il a quitté sa chambre pour rentrer au pays et enterrer Nonno. Un récit surprenant, qui lève le voile sur des conditions de vie difficiles.

La Voix est libre

Distribution

Spectacle vocal de Bernard Massuir – Écriture, mise en scène et interprétation : Bernard Massuir

Résumé

Un régal de fantaisie, en toute simplicité Clown, comédien, chanteur, faiseur de sons, Bernard Massuir est un homme libre qui a le charme de ne pas se prendre au sérieux, un artisan qui chante le langage universel : la voix débarrassée des mots. Il virevolte, rebondit, triture et ponctue, s’emporte et s’en va dans on ne sait quelles improvisations au service de l’humour musical et de la dérision. En 1989, Bernard Massuir crée le légendaire trio de clowns belges Les Troyens, de passage en 1993 au Théâtre Jean Vilar avec le spectacle Le Grand Jour. L’artiste poursuit depuis 1998 son odyssée en solo. Son premier album et one-man-concerto Itizzz…some sing connaît une tournée internationale de plus de 400 dates, parcourant l’Europe, le Canada, le Mozambique, le Cap Vert, la Réunion ou encore le Japon, après avoir été rodé à… New York ! Ces escapades autour du globe ont amené Bernard à découvrir de nombreuses musiques. Il y puise son inspiration pour nous offrir un florilège de sons inattendus et explore toujours plus loin les multiples facettes de la voix pour créer un univers tantôt facétieux, tantôt grave. En 2007, il revient sur les planches avec un nouvel opus La Voix est libre, créé cette fois au Portugal. Au cours de ce récital, Bernard Massuir accompagne sa voix d’un rare et vieil accordéon appelé « basse aux pieds », hérité de son grand-père qui en jouait dans les campagnes de la Belgique de l’entre-deux-guerres. Soyez curieux de le rencontrer, il vous le rendra bien ! Jeu de bouche et d’articulation, mixage de son et de puissance… Le résultat sur scène : une réelle liberté, un parcours acrobatique et virtuose au cœur de la voix humaine. A découvrir d’urgence dès l’âge de 6 ans ! (La Libre Essentielle, mars 2009) Une production de la Compagnie Les Troyens.

Le baiser de la femme araignée (création)

Distribution

Mise en scène Armand Delcampe – Auteur Manuel Puig – Décor Guy-Claude François – Costumes Elena Mannini – Avec Stéphane Jobert, Jean-Michel Dupuis.

Résumé

Dans une cellule de prison croupissent ensemble un militant révolutionnaire dont la police espère soutirer des renseignements par la torture, et un homosexuel arrêté pour avoir pratiqué son art. Deux hommes on ne peut plus étrangers, culturellement, l’un à l’autre. On assiste à la naissance, puis à l’ancrage de leur amitié et estime réciproques, basées sur le respect, y compris de leurs faiblesses respectives, et sur ce que chacun peut apporter à l’autre, sans exiger d’en rien recevoir en compensation. Coproduction Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve et Comédie des Champs-Elysées.

Le Bourgeois Schippel

Distribution

Mise en scène Philippe Van Kessel – Auteur Karl Sternheim – Par le Théâtre de l’Atelier Sainte Anne.

Résumé

Par le Théâtre de l’Atelier Sainte Anne.

Le Cirque à 3 pattes

Distribution

Auteur : Martin Staes-Polet – Avec : Nathalie Delvaux, Zosia Ladormiska, Florence Laloy

Résumé

Sur scène, trois femmes, lointaines cousines de la femme-tronc, femme à barbe, femme-poisson, plus attachantes qu’effrayantes. Trois femmes font leur cirque, sans lion, sans trampoline, ni câble suspendu. Sans filet, elles prennent des risques ! Elles créent du merveilleux avec trois fois rien… et le cirque est là, avec toute sa palette d’émotions. Chaque spectateur, du plus petit au plus grand, peut entrer et se laisser porter par cet univers onirique et enchanteur. Un voyage ponctué de musiques et de chants.

Le Courrier des enfants

Distribution

Théâtre du Tilleul – Conception et écriture du spectacle : Carine Ermans, Sylvain Geoffray – Sur une idée de : Carine Ermans – Mise en scène : Sabine Durand – Avec : Carine Ermans, Sylvain Geoffray, Benjamin van Thiel, Alain Gilbert – Conseil dramaturgique : Louis-Dominique Lavigne – Musique : Alain Gilbert – Films d’animation : Patrick Theunen, Ateliers Graphoui – Scénographie – lumière – vidéo : Mark Elst, Benjamin van Thiel – Costumes : Sylvia Hasenclever – Inventaire du courrier : Eric Dederen  

Résumé

Dans leur précédent spectacle, « Le Bureau des histoires », les comédiens du Théâtre du Tilleul ont invité les enfants à leur écrire. Promis, juré, ils répondront. Mais s’ils s’attendaient à ça… Des centaines de lettres d’enfants leur parviennent. Incroyablement variées, parfois insolites, parfois émouvantes, toujours très tendres. C’est alors qu’est née l’idée de créer un spectacle à partir de vraies lettres écrites par de vrais enfants. Sur scène, quatre personnages racontent ce courrier, le lisent, le chantent tandis qu’apparaissent à l’écran des enveloppes à l’écriture tâtonnante et à l’orthographe improbable. Des petits mots perdus sur de grandes feuilles de classeur à carreaux, ou écrits sur du papier à lettres ornementé de cœurs ou de papillons… Des dessins, des cartes postales, des petits bricolages, envoyés de l’école ou de la maison… Certaines lettres s’animent comme par magie, accompagnées au piano ou aux percussions. Des lettres pour rire, des lettres pour pleurer, des lettres à partager sans compter. Eh oui, ce courrier, c’est toute une histoire… Mention du jury pour « l’originalité du dialogue avec le jeune spectateur » aux Rencontres Jeune public de Huy 2014

Le Funambule

Distribution

Auteur Jean Genet – Mise en scène Pierre Constant – Avec Pierre Constant

Résumé

Au-delà du funambule et du cirque, c’est du théâtre que parle Genet, du comédien, du poète, de lui-même. Compagnie l’Azalaï.

Le Grand Saut

Distribution

Mise en scène : Martin Staes-Polet – Avec : Etienne Serck, Noemi Tiberghien

Résumé

Deux personnages partent à la découverte d’un chantier urbain habité d’objets insolites et sonores. Mus par la curiosité, ils se collent le nez au plâtre, font sonner les ustensiles, empilent les briques, envoient balader sable et eau dans les tuyaux et terminent leurs aventures par un grand plongeon.

Inscription à la newsletter

Restez au courant de toutes les annonces de festival, programmation, actualité, offres et plus encore!