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Théâtre Jean Vilar

« Contes et berceuses »

Distribution

Interprétation : Laure Delcampe (Soprano), Ensemble 21 (Ensemble) – Chef d’orchestre : Marc Collet

Résumé

Souvenirs d’enfance Contes et berceuses est une mosaïque de petites histoires, fables et contes drôles, cocasses et pétillants enchâssés dans quelques-unes des plus belles berceuses de l’histoire de la musique des XIXème et XXème siècles. Au fil de ce large éventail de miniatures sonores, Absil, de Falla, Chopin, Stravinsky, Poulenc, Berio, Schumann, Prokofiev, Dvorak, Lachenmann, Debussy nous invitent à un voyage imaginaire au pays de leur enfance. Fondé à la veille du XXIème siècle, l’Ensemble 21 est né de l’urgence de proposer un regard alternatif sur la musique d’aujourd’hui. Convaincu de la nécessité de faire de la musique actuelle un art vivant et proche du public, l’Ensemble 21 privilégie sa relation aux arts de l’espace et à la dimension poétique dans le choix de son répertoire. La soprano Laure Delcampe se forme au Conservatoire royal de musique de Bruxelles dans la classe de Jules Bastin, ainsi qu’auprès d’Elena Nentwig et de Michelle Wegwart. Elle suit les master classes de Walter Berry, Mitsuko Shiraï et Hartmut Höll. Elle est lauréate de la Fondation belge de la Vocation et remporte le concours des Voix d’Or en France pour l’opéra, ainsi que le troisième Prix pour la mélodie. Ainsi, je me souviens d’avoir écrit trois petites pièces pour chant et piano que j’intitulai Souvenirs de mon enfance et dédiai à mes enfants. C’étaient des mélodies de mon invention sur lesquelles, dans mes années lointaines, je faisais souvent des improvisations pour amuser mes camarades. Igor Stravinsky L’Ensemble 21 et Laure Delcampe, Direction Marc Collet interprètent Contes et berceuses, un concert du Festival Musical du Brabant wallon et de l’Atelier Théâtre Jean Vilar avec le soutien de la Communauté Wallonie-Bruxelles.

2043

Distribution

D’après le roman Blackout de : Sam Mills – Conception et adaptation : Collectif Mensuel – Mise en scène : Baptiste Isaia – Avec : Sandrine Bergot, Renaud Riga, Vincent Van Laethem – Création musicale et interprétation (live) : Quentin Halloy, Philippe Lecrenier

Résumé

Londres, 2043. Les sociétés occidentales ont évolué vers un régime ultra-sécuritaire. Pour maintenir l’ordre, le gouvernement exerce une censure musclée sur les œuvres artistiques et particulièrement sur la littérature. Classiques « réécrits », auteurs persécutés, librairies contrôlées, tous les moyens sont mis en place pour réprimer les tentatives d’émancipation individuelle. Dans cet environnement formaté, Stéfan, 16 ans, cherche sa place. Il ne doute pas du bien-fondé du système. Mais lorsque son père est emprisonné pour avoir conservé des éditions originales, l’adolescent prend peu à peu conscience de l’endoctrinement ambiant… Que sera devenu le monde dans 30 ans ? Baptiste Isaia propose une adaptation dépouillée et rythmique du roman « Blackout » de Sam Mills, sorti en 2010. Prix de la Ville de Huy pour la création sonore et musicale et Prix de la Ministre de l’enseignement secondaire aux Rencontres de Huy 2013.

30/40 Livingstone

Distribution

Auteur : Sergi López, Jorge Picó – Auteurs – metteurs en scène – interprètes : Sergi López, Jorge Picó – Création musicale : Oscar Roig – Lumières : Lionel Spycher – Costumes : Pascual Peris – Casquette : Amadeu Ferrer, Clap Produccions – Technicien son et lumière : Bernat Tresserra – Régisseur : Pepe Miró

Résumé

Sergi López, acteur catalan bien connu du cinéma, et Jorge Picó atteignent des hauteurs folles dans un face-à-face déjanté entre un explorateur anthropologue et une créature à tête de cerf, muette, craintive et joueuse de tennis ! « 30/40 Livingstone » est la chronique intelligente et drolatique d’un voyage à la découverte de soi. Depuis sa création, « 30/40 Livingstone » connaît un succès international : en Espage, en France (Festival OFF d’Avignon en 2014), en Suisse et en Amérique latine. A chaque fois, les éloges sont au rendez-vous pour ce spectacle fin et surprenant, où les interprètes se donnent sans compter.

A 50 ans elle découvrait la mer

Distribution

Auteur Denise Chalem – Mise en scène Gabriel Garran – Avec Isabelle Sadoyan, Christiane Millet

Résumé

De retour des Etats-Unis, une jeune fille apprend que sa mère est morte. Seule, dans l’appartement à la fois vide et habité par le souvenir, elle se met à écrire sur cette mère désormais absente. Elle se laisse flotter dans ce temps intemporel qu’est la mémoire. Revoit. Invente. Revit les gestes et les paroles passées, jusqu’à recomposer charnellement l’image de la morte. Création par le Théâtre de la commune d’Aubervilliers (Centre Dramatique National), en accord avec le Théâtre International de Langue Française.

A la porte

Distribution

Auteur : Vincent Delecroix – Mise en scène : Marcel Bluwal – Avec : Michel Aumont – Décor et costumes : Catherine Bluwal – Lumière : Jacques Rouveyrollis – Musique : Jean-Baptiste Favory – Assistante mise en scène : Anne Hérold

Résumé

On appelle un « grand acteur » celui qui rend le public libre… Le spectacle a reçu deux Molières en 2007 : meilleur spectacle seul en scène pour Michel Aumont et meilleure adaptation pour Marcel Bluwal. Après 25 ans de Comédie-Française et trois Molières, Michel Aumont occupe la scène avec pour seul partenaire le texte brillant d’un jeune auteur philosophe et romancier. Son roman A la porte est remarqué dès sa parution en 2004. Il est adapté pour la scène avec brio par Marcel Bluwal, « non pas séduit mais stupéfait par le roman ». Un dimanche matin, une porte claque. Sur le palier, un ancien professeur de philosophie. Ses clés sont restées à l’intérieur et le voici coincé à la porte de son appartement. En attendant l’heure raisonnable pour déranger sa sœur qui possède un double, le malchanceux va errer dans Paris, entre veille et cauchemars, réalité et surnaturel. Commence le monologue d’un vieil homme, seul, un peu ours, plein de ressentiment pour ses contemporains. Les événements réels se mêlent à d’autres sans doute imaginaires, les choses les plus simples font place à des réflexions noires, amères, ironiques. Une production des Tournées de l’Œuvre / G.M. Spectacles. Rencontre avec l’auteur le jeudi 6 novembre de 15h à 16h30 (entrée libre sur réservation au 0800/25 325)

A toi pour toujours, ta Marie-Lou

Distribution

Auteur Michel Tremblay – Mise en scène André Brassard – Décor et costumes François Laplante – Eclairages et régie Mario Bourdon – Avec Monique Mercure, Gilles Renaud, Sophie Clément, Rita Lafontaine –Par la Compagnie des Deux Chaises de Montréal.

Résumé

Un samedi matin du printemps 1961, Marie-Louise et son mari Léopold, peut-être pour la première fois de leur vie, se parlent. Dix ans plus tard, leurs deux filles, Carmen et Manon, se remémorent ce qu’elles ont entendu ce fameux samedi matin-là et parlent des conséquences qui en ont résulté. Ces deux conversations qui se font à dix ans d’intervalle se croisent, se mêlent, se fondent durant toute la pièce pour n’en former qu’une seule. Un sommet du théâtre contemporain québéckquois.

Acte 3

Distribution

Auteur : Claudia Nellens, David Ambrose – Mise en scène : Cécile Van Snick – Avec : Marie-Line Lefebvre, Jacques Viala – Décor et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Nathalie Borlée – Construction décors : Marc Cocozza, Quentin Huwaert, Manu Maffei – Régie son et lumières : Gary De Beys – Régie plateau : Mathieu Regaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco – Stagiaire assistante mise en scène : Alexandra Pirotte

Résumé

Jeu de dupes Elle et Lui sont mariés depuis une dizaine d’années. Lui est un écrivain à succès, narcissique et sensible à toutes les flatteries féminines que son charme et sa notoriété lui apportent. Souffrant de plus en plus des tensions qui s’immiscent entre eux, Elle décide de le mettre à l’épreuve de manière inattendue. Mais quand ce jeu dangereux se transforme en piège, comment le couple peut-il en sortir indemne ? Une écriture drôle, piquante, enlevée et délicieusement observée. Le texte a été écrit à « quatre mains » par Claudia Nellens, d’origine belge et David Ambrose, Anglais pure souche. Elle amène le sujet, lui le « façonne » grâce à ses talents redoutables de dialoguiste. Et la pièce prend vie… Après Amour, amour, Cécile Van Snick choisit à nouveau de mettre en scène un auteur contemporain. Séduite par cette écriture féminine qui interroge l’amour, c’est à Marie-Line Lefebvre et Jacques Viala qu’elle confie ce jeu de dupes jubilatoire. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar. Une collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be La pièce ACTE 3 de Claudia NELLENS et de David AMBROSE est représentée dans les pays de langue française par l’agence DRAMA-Suzanne SARQUIER, Paris.

Album ou Les Chevaliers, c’est une autre histoire

Distribution

Auteur : Véronique Dumont – Mise en scène : Véronique Dumont – Avec : Cyril Briant, Sébastien Chollet, Brigitte Dedry, Véronique Dumont, Marie-Noëlle Hébrant, Guillemette Laurent, Emmanuelle Mathieu, Anne Romain, Catherine Salée, Martin Staes-Polet, Marcha Van Boven, Laurence Warin

Résumé

Avec virtuosité, Véronique Dumont se joue des codes et des conventions théâtrales pour nous offrir une suite de saynètes irrésistiblement drôles et franchement décalées… Imaginez des personnages vulnérables, en danger de mort, dans des situations souvent absurdes et toujours cocasses. Bienvenue au cœur de cet album dont chaque page feuilletée recèle des trésors d’inventivité et d’humanité… Dès les premières répliques, les clefs de lecture sont données. Les chevaliers qui entrent en scène ne savent pas pourquoi ils sont là, ni ce qu’ils doivent dire. Alors, inspirés par le grand Will, ils décident de jouer ce qu’il leur plaira !

Alex au pays des poubelles

Distribution

Auteur : XL Production – Chorégraphie : Maria Clara Villa Lobos – Avec : Clara Henry, Gaspard Herblot, Antoine Pedros, Clément Thirion

Résumé

Projetée dans un pays imaginaire fait de déchets et d’objets de récup’, Alex – comme sa lointaine cousine Alice – entame un extraordinaire voyage. Au cours de celui-ci, elle rencontre des créatures atypiques, des personnages tantôt attachants, tantôt un peu plus effrayants et vit toutes sortes d’aventures. Entre danse et acrobaties, vidéo et théâtre d’objets, ce spectacle ludique aborde avec un humour décalé les enjeux de la surconsommation et l’affolante production de déchets qu’elle génère ! Un périple fantastique destiné à éveiller les consciences pour amener, qui sait, à transformer nos modes de consommation…

Alive

Distribution

Auteur : Emmanuel Dekoninck, Gilles Masson et Benoît Verhaert – De et avec : Emmanuel Dekoninck, Gilles Masson et Benoît Verhaert – Regards extérieurs : Philippe Blasband – Scénographie : Renata Gorka – Musique : Gilles Masson – Lumières et son : Juan Borrego – Chorégraphie des combats : Emilie Guillaume – Avec l’aide de l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Dans les plaines mythiques de l’Arizona, Black, cow-boy désabusé, ne croit plus en la conquête de l’Ouest. Il part à la recherche du sens de sa vie. Assoiffé de liberté et d’absolu, il va vivre une aventure palpitante. Mais qui est Black ? Un vrai cow-boy ? Certes, c’est ce qu’il croit… mais en réalité Black est un personnage de fiction, le compagnon de jeu imaginaire d’un adolescent en plein décrochage scolaire et familial. Placé en internat, il s’est inventé un ami avec qui faire les quatre cents coups pour échapper au quotidien. Aujourd’hui, cet ado devenu adulte est sur scène face à nous. Aujourd’hui, Emmanuel Dekoninck décide qu’il est temps pour lui de se séparer de Black. Black est condamné. Il doit mourir. Un western détourné qui nous emmène dans un va-et-vient entre réel et imaginaire et bouscule avec jubilation les codes du théâtre. Sur scène, de la bagarre, des frissons et une musique créée et interprétée en live par Gilles Masson. Un pur moment de théâtre, drôle, généreux, intelligent et terriblement attachant offert par trois comédiens-musiciens complices.

Amour, amour

Distribution

Auteur : Jacques Henrard – Mise en scène : Cécile Van Snick – Avec Catherine Decrolier, Hervé Guerrisi, Cachou Kirsch, Pierre Poucet, Cécile Van Snick – Décor et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Alain Collet – Son : Nicolas Dufranne – Assistante mise en scène : Adrienne Gérard – Réalisation du décor : Georges Delhez, Christophe Beaugé, Vincent Rutten – Peinture décor : Christophe Beaugé – Régie : Manu  Maffei – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco.

Résumé

Jeux d’enfants cabossés par la vie Tino, Hugues, Lily et Paula ont neuf ans, l’âge de l’école, des remarques cruelles des copains, de la révolte aussi. Tino veut buter le monde entier avec son rayon de la mort, surtout ceux qui toucheraient à sa petite soeur. Hugues est diabétique, gourmand, et doit manger du chocolat « spécial » sous peine de tomber en syncope. Lily, la fille de la coiffeuse, a un trop gros derrière, et trop de vêtements pour tenter de le cacher. Tandis que Paula, elle, rêve d’une vraie baignoire et de sentir bon… Pour Madame, l’institutrice, la vie est la plus grande des merveilles. Elle leur parle avec une passion égale de l’amour, de la mort et de la vie qui a mis trois milliards d’années pour tout inventer. Et quand la vie rate, quand elle se trompe ? Et quand les parents ne font pas les enfants exprès ? Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa Le spectacle sera également en tournée cette saison.

Amour(s) secret(s) (The Pride)

Distribution

Auteur : Alexi Kaye Campbell – Adaptation : Sabine Haudepin, Tanya Lopert – Mise en scène : Tanya Lopert – Interprétation : Didier Colfs – Dramaturgie : Armand Delcampe – Assistant mise en scène : Jean-François Viot – Avec : Didier Colfs, Alexis Goslain, Sabine Haudepin, Olivier Massart – Scénographie : Renata Gorka – Lumières : Jacques Magrofuoco – Son : Quentin Huwaert – Construction décors : Olivier Waterkeyn, Alain-Max La Roche – Régie générale et Lumières : Manu Maffei – Régie son : Quentin Huwaert – Régie plateau : Marc Cocozza – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique – Jacques Magrofuoco

Résumé

Trio d’enfer 1958. Philippe, marié à Sylvia, rencontre Olivier, auteur pour enfants qui collabore avec son épouse. Entre les deux hommes naît une attirance forte, refoulée dans un premier temps, vécue en cachette par la suite, finalement découverte par Sylvia. En 2008, Philippe et Olivier sont amants, mais Philippe vit mal les aventures furtives et malsaines d’Olivier. Ils ne cessent de rompre et de renouer tandis que Sylvia tient le rôle d’amie et confidente. S’ils ont en commun leur âge et leur prénom, Philippe, Olivier et Sylvia ne sont pas les mêmes personnages en 1958 et en 2008, bien que les événements de 1958 laissent comme des traces imperceptibles, un écho, dans les scènes ultérieures. Dans une construction audacieuse qui fait alterner deux époques, Alexi Kaye Campbell se penche sur les changements de mentalités et de comportements dans le domaine des relations intimes. Contrairement à ce que l’on peut penser, la libération sexuelle n’a pas nécessairement simplifié les choses… Si, en 1958, les aventures homosexuelles – marginalisées – ne se vivent pas au grand jour, 50 ans après, la solitude et la détresse sont toujours bien présentes. Car, paradoxalement, la tolérance accrue vis-à-vis d’une communauté autrefois pointée du doigt a ouvert la voie à une consommation sexuelle débridée. Au-delà de l’homosexualité, l’auteur aborde le couple et la responsabilité individuelle de son maintien, nous renvoyant tous à nos propres expériences. Une écriture résolument contemporaine – crue parfois –, un texte en coup de poing. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar. La pièce a été pour la première fois représentée par The English Theatre Company au Royal Court Theatre et produite par Matthew Byam Shaw et St Elmo Productions Ltd.

Angelo tyran de Padoue

Distribution

Auteur : Victor Hugo – Mise en scène : Pierre Abs – Avec : Jacqueline Bir (La Tisbé), Gérald Marti (Angelo Malipieri), Manuela Servais (Catarina Bragadini), Erico Salamone (Rodolfo), Stephen Shank (Homiodeï), Muriel Bersy (Reginella), Gudule (Dafné), David Pion (Gaboardo), Jean-François Brion (Ordelafo), Emmanuel Guillaume (Orfeo), Eric Delhaye (Anafesto Galeofa), Michel Hinderyckx (Le Doyen de Padoue), Alain Mutanganwa (Le Page noir), Olivier Francart, Marcel Gonzalez, Frédéric Kusiak, Bernard Michiels, Stéphane Pelzer, Grégory Vandenbussche – Musique originale et décor sonore : Todor Todoroff – Costumes : Thierry Bosquet – Scénographie : Patrick de Longrée – Lumières : Christian Stenuit – Création des maquillages : Jean-Pierre Finotto – Assistanat mise en scène : Frédéric Kusiak – Régie générale : Jacques Magrofuoco – Habilleur : Michael Trevisanato – Régie lumière : Jacques Perera – Régie son : Claude Detry – Régie plateau : Christophe Huart – Régie poursuites : Félicien Van Kriekinge, Christophe Chausson – Construction décors : Christophe Chausson, Jacques Perera, Vincent Rutten, Félicien Van Kriekinge – Chef construction décors : Paolo Bruno – Patines : James Block – Recouvrement décor : Olivier Waterkeyn, Christophe Huart – Peinture des toiles : André Grammet – Maquilleuses : Katia Piepenstock, Julie Rombaudt, Laure Salvert

Résumé

Angelo, le puissant potentat de Padoue, est marié à une aristocrate de haut vol, Catarina, qu’il n’aime pas et il n’en est pas aimé. Amoureux fou de La Tisbé, une superstar absolue qui se produit dans toute l’Italie, il est surtout attiré par l’aura qui se dégage du vedettariat de l’actrice. La Tisbé, elle, est amoureuse d’un homme qu’elle fait passer pour son frère et qui s’appelle Rodolfo. Celui-ci est épris d’une jeune femme rencontrée à Venise… et qui n’est autre que Catarina. Une production Del Diffusion

Anna Prucnal

Distribution

Auteur Anna Prucnal – Adaptation scénique Jean Mailland – Adaptation musicale Oswald d’Andréa – Piano Oswald d’Andréa, Nicole d’Andréa.

Résumé

On l’appelle déjà « la » Prucnal. Anne Prucnal, comme un oiseau… Chanteuse lyrique qui passe en se jouant du cristallin ingénu à la gouaille, elle est aussi une clownesse de charme, vibrante d’énergie, généreuse sans réticence. Présenté par Alpha Fnac, Le Centre d’animation du Forum des Halles et le théâtre Gérard Philipe

Antigone

Distribution

Auteur : Bertolt Brecht – Mise en scène : Gérard Gelas – Texte français : Maurice Regnaut – Musiques : Juan Cedron – Interprétées sur scène par le : Cuarteto Cedron – Avec : Laurent Benoit (Tirésias), Nini Crépon (Créon), Luc Fonteyn (Un garde, un messager), David Neveux (Hémon), Nathalie Rjewsky (Ismène), Natalie Royer (Antigone)

Résumé

L' »Antigone » de Brecht : un double refus. Croire, Suisse, 1948. L’Allemagne a perdu la guerre. Hitler est mort. Bertolt Brecht, avec Caspar Neher, monte à son tour cette « Antigone », qu’il a réécrite, également d’après le texte de Höderlin. Une coproduction : Théâtre du Chêne Noir, Théâtre National La Métaphore, Maison des Cultures du Monde, Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve

Après la pluie

Distribution

Auteur : Sergi Belbel – Traduit du catalan par : Jean-Jacques Préau – Mise en scène : Derek Goldby – Décor et costumes : Jean-Marie Fiévez – Lumières : Jacques Magrofuoco – Décor sonore : François Veys – Assistanat mise en scène : Yann Bittner – Avec : Patrick Ridremont (Le programmateur-informaticien), Jean-Paul Dermont (Le chef administratif), Véronique Biefnot (la secrétaire blonde), Patricia Houyoux (La secrétaire brune), Manuela Servais (La secrétaire rousse), Stéphane Excoffier (La secrétaire châtain), Olivier Leborgne (Le coursier), Rosalia Cuevas (La directrice exécutive)

Résumé

La terrasse d’un gratte-ciel de 49 étages, ciel toujours plombé, sans que la pluie ne menace pour autant. La pluie ? Mais cela fait deux ans, peut-être même plus ! Est-ce à cause de la sécheresse que l’atmosphère semble détraquée et le comportement des personnages si étranges ? Une création de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve et de la compagnie Armand Delcampe

Ariane ou l’Age d’Or

Distribution

Auteur Philippe Caubère – Mise en scène Philippe Caubère – Avec Philippe Caubère.  

Résumé

« Ariane ou l’âge d’or », c’est le second spectacle en solitaire de Philippe Caubère. Dans le premier, « La danse du diable », il évoquait son enfance à travers sa mère, un personnage pittoresque et haut en couleur. Ici, on retrouve son héros autobiographique, devenu adulte, qui fait l’apprentissage de la vie et du métier de comédien à travers l’épopée d’une compagnie théâtrale unique en son genre et témoin de toute une époque : le Théâtre du Soleil, créé et dirigé par Ariane Mnouchkine depuis 1964. Ceux qui connaissent de près ou de loin le Théâtre du Soleil ne se priveront pas de quelques plaisirs, mettront sans mal des noms sous les prénoms. Mais ces clés ne ferment en rien les portes d’un spectacle qui sera pour tous émouvant, comique, caustique et tendre. Une production du Théâtre du Soleil.

Au But

Distribution

Auteur : Thomas Bernhard – Texte français : Claude Porcell – Mise en scène : Michel Raskine – Son : Franck Morel – Interprétation : Marief Guittier, Anne Rotger, Josy Lopez, Roger Planchon – Lumières : Thierry Gouin – Costumes : Josy Lopez – Son : Franck Morel – Interprétation : François Godart

Résumé

La veille de partir en villégiature annuelle à Katwijk, une mère et sa fille vont applaudir le succès d’un jeune auteur de théâtre : Sauve qui peut. « Pas un mauvais titre », fait remarquer la mère. Et elle invite l’auteur à les accompagner à Katwijk. Alors qu’au fond, rien ne l’intéresse plus, en tout cas pas le théâtre. Sa fille, docile instrument de sa mère, sert à boire, fait les bagages, tandis que sa mère rabâche leur histoire sans joie, leur existence monotone, où « tout est déjà écrit », comme le dit l’auteur lui-même. Entre causticité et ironie, un formidable personnage de femme campe la vacuité de nos existence avec un humour ravageur. Un spectacle du Théâtre du Point du Jour de Lyon.

Au Fond du bois

Distribution

Interprétation : Brenda Bertin, Paola Bartoletti, Graziella Boggiano, Merel De Vilder Robier, Leen De Veirman, Carla Hoogewijs, Ineke Nijssen – Auteur : Eric De Volder – Metteur en scène : Eric De Volder – Décor : Eric De Volder – Costumes : Claudine Grinwis

Résumé

Sept comédiennes-chanteuses sur le plateau. Entre grotesque expressionniste et tragédie poignante, elles viennent exprimer par leur corps et leur voix un texte débordant d’émotion jouant avec les rythmes, les sons du langage. Maquillées à la James Ensor, elles nous invitent à pénétrer dans leur univers commun, celui des femmes blessées par une société qui a permis la profanation de leurs enfants. Tout le monde connaît l’histoire qu’elles racontent, le public comprend, à demi-mot… Peu à peu, la musique se substitue à la parole pour qu’une « terrible chanson » puisse exprimer les sentiments ressentis face à l’horreur. Poupées de combat, carnaval expressionniste où les danses rituelles et les clowneries ricanantes exorcisent la peur du Grand Méchant Loup. Un spectacle résolument contemporain qui alterne chants, danses et récits. Un joyau d’émotion pure à la fois superbe et dérangeant. Un spectacle produit par Het muziek Lod (Lauréat du prix Océ 2002), en coproduction avec les Halles de Schaerbeek.

Au Jardin

Distribution

Avec : Gwennaëlle La Rosa, Geoffrey Magbag – Mise en scène : Charlotte Fallon – Auteur : Théâtre de la Guimbarde

Résumé

En mêlant le théâtre, la vidéo, les ombres découpées, la peinture, le dessin et les animations simples, « Au Jardin » propose aux tout-petits une expérience visuelle ludique et active. Un spectacle où les images se construisent et se transforment, où le réel et l’imaginaire s’entremêlent par la grâce de deux magiciens.

Au Perroquet vert (création)

Distribution

Auteur Arthur Schnitzler – Traduction Dominique Auclères – Adaptation et mise en scène Otomar Krejca – Adaptation scénique Isabelle Cardin, Anne Wibo – Assistanat mise en scène Isabelle Cardin – Décor Yves Cassagne – Costumes Jan Skalicky – Musique Jan Hapka – Eclairage Richard Joukovsky – Son Richard Aubry – Avec Christian Crahay, Fanny Delbrice, Philippe Dupont, José Jolet, André Lenaerts, Henri Monin, Jean-Marie Pétiniot, Isabelle Petit-Jacques, Guy Pion, Jean-Marie Schwanen, Bruno Sermonne, Patrick Sluys, Anne Van Rymenam, Gérard Vivane, Marie-Christine Baeyens, Peter Brouns, Jean-Henri Compère, Fabienne Coppens, Chantal Corthals, Marie Debuyst, Bernadette Demarche, Bénédicte De Ryck, Annouck Dupont, Gaëtan Gabriel, Brigitte Hoffelt, Marie-Christine Kervin, Alida Latessa, Patricia Macaux, Marie-France Preutens, Vincent Radermecker, Marie-Pascale Rouet, Catherine Van der Stichelen, Martine Vandevoorde, Michel Verheyden, Joëlle Waterkeyn, Michel Wouters, Béatrix Férauge

Résumé

Joué par la compagnie de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve, par des élèves de l’école de théâtre de Louvain-la-Neuve, l’Institut des Arts de Diffusion et par les techniciens de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve. Au Perroquet vert est une pièce grotesque en un acte dont l’action se déroule le jour même de la révolution française lors de la prise de la Bastille, le 14 juillet 1789.Le Perroquet Vert est le nom donné à un cabaret dont le patron est un directeur de théâtre failli, qui utilise, pour animer son établissement, sa troupe d’anciens comédiens. Le cabaret est fréquenté par des aristocrates, des nobles et des bourgeois qui viennent s’y divertir. les acteurs prennent place chaque soir aux tables du cabaret conversant entre eux, avec les clients et le patron ; Les acteurs inventent des forfaits atroces, se targuent de crimes monstrueux qu’ils n’ont jamais commis ce qui émoustille ce public qui n’attend que la sensation délicieuse de côtoyer les pires « canailles » de Paris. Les conversations sont dirigées de façon telle qu’il est parfois difficile de discerner si ce qui se dit est réel ou joué. Est-ce du théâtre ou est-ce la vie ?… Mais le théâtre est-il dissociable de la vie ?

Au Perroquet vert (reprise)

Distribution

Auteur : Arthur Schnitzler – Régie : Otomar Krejca

Résumé

Créé en 80-81. Joué par la compagnie de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve, par des élèves de l’école de théâtre de Louvain-la-Neuve, l’Institut des Arts de Diffusion et par les techniciens de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve. Au Perroquet vert est une pièce grotesque en un acte dont l’action se déroule le jour même de la révolution française lors de la prise de la Bastille, le 14 juillet 1789. Le Perroquet Vert est le nom donné à un cabaret dont le patron est un directeur de théâtre failli, qui utilise, pour animer son établissement, sa troupe d’anciens comédiens. Le cabaret est fréquenté par des aristocrates, des nobles et des bourgeois qui viennent s’y divertir. les acteurs prennent place chaque soir aux tables du cabaret conversant entre eux, avec les clients et le patron ; Les acteurs inventent des forfaits atroces, se targuent de crimes monstrueux qu’ils n’ont jamais commis ce qui émoustille ce public qui n’attend que la sensation délicieuse de côtoyer les pires « canailles » de Paris.Les conversations sont dirigées de façon telle qu’il est parfois difficile de discerner si ce qui se dit est réel ou joué.Est-ce du théâtre ou est-ce la vie ?… Mais le théâtre est-il dissociable de la vie ?

Au Soleil de Daudet

Distribution

Un spectacle conçu par : Jacques Sereys – A partir des textes de : Alphonse Daudet – Metteur en scène : Jean-Luc Tardieu – Interprétation : Jacques Sereys

Résumé

ACCUEIL FRANCAIS EXCLUSIF Oui, bien sûr, vous les avez déjà lus ou entendus, ces contes extraits des « Lettres de mon moulin » ou du « Petit Chose ». Des générations entières les ont appris à l’école ! Et pourtant, même si la chute est connue, se souvient-on vraiment de l’histoire ? « Le Curé de Cucugnan », « Le Secret de Maître Cornille », « La Chèvre de Monsieur Seguin »… Autant d’épisodes mythiques que Jacques Sereys distille avec gourmandise de sa voix lyrique et canaille. Un coin de Provence en poche, le comédien, sociétaire honoraire de la Comédie-Française déploie tout son art de conteur. Avec délice et fantaisie, il enchaîne subtilement les récits de Daudet et nous emmène à la rencontre de ses personnages pittoresques, si familiers, qui ressurgissent de l’enfance sous un nouveau jour. Laissez-vous emporter dans ce monde merveilleux où un moulin devient une usine à rêves… D’origine marseillaise, Jacques Sereys est tombé sous le charme de Daudet dès les bancs de l’école. Rêvant de devenir comédien, il monte à Paris et s’évertue à perdre son accent du sud. Il le retrouve aujourd’hui, très légèrement, clin d’œil à un auteur plein de soleil. La saison dernière, vous avez pu le voir dans « Du côté de chez Proust », qui lui a valu le Molière 2006 du meilleur acteur. Fidélité indéfectible aux grands acteurs ! Constante du « Jean Vilar » ! Un spectacle du Théâtre Montparnasse présenté par Atelier Théâtre Actuel.

Aura popularis

Distribution

Auteur : Dominique Bréda – Mise en scène : Emmanuel Dekoninck – Avec : Ahmed Ayed, Bruno Borsu, Martin Goossens, Zoé Janssens, Ilyas Mettioui, Mathilde Mosseray, Taïla Onraedt, Camille Sansterre, Iara Scarmato, Corentin Skwara, Gaël Soudron, Gentiane Van Nuffel – Chorégraphies : Bérengère Bodin – Création lumières : Thomas Vanneste – Avec l’aide de : l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

« Aura popularis », littéralement « le souffle du peuple », c’est d’abord douze jeunes artistes sortis ensemble de l’Institut des Arts de Diffusion qui se questionnent sur le monde dans lequel ils vivent. La plume affûtée de Dominique Bréda leur offre un texte mordant mis en scène par Emmanuel Dekoninck et chorégraphié par Bérengère Bodin. « Aura popularis », c’est l’histoire de ces gens qui, chaque jour, subissent la crise. Des gens comme tout le monde, du ministre au délégué syndical, du policier au cambrioleur, de l’ouvrier au président de multinationale, qui tentent de faire face comme ils peuvent à une situation qui les dépasse. Loin d’être sinistres, ces dix tableaux ciselés racontent les effets de l’ultra-libéralisme avec un humour dévastateur.

Avant la retraite

Distribution

Auteur : Thomas Bernhard – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Michel Bouquet, Juliette Carré, Fanny Delbrice

Résumé

Nous fait pénétrer dans un univers lourd et empoisonné d’un ancien nazi. Président du tribunal et ancien officier SS, Rudolf s’est fait une nouvelle respectabilité dans l’après guerre. Il vit avec ses deux sœurs : Véra et Clara. Aujourd’hui, comme chaque année, ils vont fêter en secret l’anniversaire de Himmler… Une production de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve

Avanti

Distribution

Mise en scène : Pierre Richards – Avec : Gérard Corbion, Patricia Gomis, Jeannine Gretler

Résumé

Au début, presque rien : un petit lopin de terre tout rond, quelques pierres (oud es pommes de terre?), presque pas de bruit, presque pas de vie. Quand tout à coup, la lumière s’allume ! Commencent alors à exister trois créatures ventrues, fessues et bossues, avec pour seul bagage une drôle de démarche et un air ahuri ; ils ont peur, forcément, c’est le début. Ils ne savent rien, rien de rien. Il leur faut tout découvrir, tout inventer, tout apprendre : Avanti ! Alors, du bout de leurs doigts jusqu’au bout de leurs orteils, du bout de leurs orteils jusqu’au bout de leur « champ », ils explorent et expérimentent tout, par hasard, par accident, par le jeu et par instinct aussi. Au moyen de gestes et de mimiques, le trio s’invente et nous invente ainsi « un monde à part ».

Battlefield

Distribution

D’après le Mahabharata et la pièce de Jean-Claude Carrière – Adaptation et mise en scène : Peter Brook et Marie-Hélène Estienne – Musique : Toshi Tsuchitori – Costumes : Oria Puppo – Lumières : Philippe Vialatte – Avec : Carole Karemera, Jared McNeill, Ery Nzaramba, Sean O’Callaghan – Musicien : Toshi Tsuchitori – Régie plateau : Thomas Becelewski – Régie lumières : Philippe Vialatte – Surtitrage : Peter Chase – Avec l’aide de l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Les liens qui unissent Peter Brook et l’Atelier Théâtre Jean Vilar sont puissants. Dès 1978, lors de la saison d’ouverture du Théâtre Jean Vilar, il présente pour la première fois un spectacle à Louvain-la-Neuve. On se souvient ensuite de « La Mort de Krishna » ou « Une Flûte enchantée » sur le plateau du Vilar. Aujourd’hui, nous avons la grande fierté de vous offrir la dernière réalisation de ce formidable créateur en exclusivité en Belgique cette saison, avec la complicité du Théâtre de Liège ! Créé à Paris en septembre 2015 avant une tournée internationale qui l’emmène au Japon, au Royaume-Uni, en Inde et aux Etats-Unis, « Battlefield » est la quintessence du travail de l’immense metteur en scène Peter Brook. Trente ans après sa version légendaire du « Mahabharata », il revient vers le poème sacré de l’Inde qui traite de questions essentielles, contemporaines et urgentes. La guerre que se livraient les cent frères Kauravas et leurs cinq cousins, les Pandavas, est finie. Des millions de cadavres couvrent le champ de bataille. Yudishtira a gagné le trône mais la victoire a le goût amer des défaites. Comment, ayant perdu les leurs, le nouveau Roi et le vieux Roi, son oncle, pourront-ils trouver la paix intérieure ?

Bella Figura

Distribution

Auteur : Yasmina Reza – Mise en scène : Michel Kacenelenbogen – Avec : Nicolas Buysse, Janine Godinas, Jeanne Kacenelenbogen, Michelangelo Marchese, Nicole Oliver – Scénographie : Renata Gorka – Musique : Pascal Charpentier – Lumières : Laurent Kaye – Costumes : Bea Pendesini

Résumé

Une soirée qui part en vrille. De sa plume acérée, Yasmina Reza compose une comédie drôle et cruelle. Dialogues aussi géniaux que féroces et silences lourds de sens : un régal ! Retrouvez-y Nicolas Buysse, que vous avez pu applaudir la saison dernière dans « Ce qui arrive » et « Le Porteur d’histoire ». Un homme et sa maîtresse se disputent sur le parking d’un restaurant. Andrea reproche à Boris de l’avoir emmenée dans un établissement recommandé par son épouse, Patricia. Quel manque de tact ! Pour couronner le tout, ils renversent par mégarde une vieille dame. Plus de peur que de mal, si ce n’est qu’Yvonne – la vieille dame – est venue avec son fils et sa belle-fille, qui n’est autre que la meilleure amie de Patricia… Aïe ! Ces cinq-là n’avaient pas prévu de passer la soirée ensemble. Yasmina Reza en a décidé autrement et prend un malin plaisir à faire tomber les masques.

Big Bang

Distribution

Auteur Philippe Avron – Avec Philippe Avron

Résumé

« Big Bang », c’est un questionnement à voix haute. Un regard libre posé sur le monde. Une pensée profonde et grave énoncée par un clown philosophe plein d’humour et de drôlerie, de tendresse et de poésie qui fraternise avec son public.

Bigre

Distribution

Un spectacle de : Pierre Guillois – Co-écrit avec : Agathe L’Huillier, Olivier Martin-Salvan – Avec : Pierre Guillois, Eléonore Auzou-Connes, Jonathan Pinto-Rocha – Assistant artistique : Robin Causse – Costumes : Axel Aust – Décor : Laura Léonard – Lumières : Marie-Hélène Pinon, David Carreira – Coiffures et maquillage : Catherine Saint-Sever – Son : Roland Auffret, Loïc Le Cadre – Effets spéciaux : Abdul Alafrez, Ludovic Perché, Judith Dubois, Guillaume Junot – Construction décor : atelier JIPANCO, l’équipe technique du Quartz – Scène nationale de Brest – Régie générale et lumières : David Carreira – Régie générale plateau : Ludovic Perché, Mouton François – Régie plateau : Marion Le Roy – Régie son : Clément Lopez

Résumé

A voir en famille ! Après une tournée triomphale dans toute la France, le Molière 2017 de la meilleure comédie pose ses bagages à Louvain-la-Neuve ! Véritable pépite du théâtre de l’absurde où cris, soupirs, rires et chansons remplacent la parole, « Bigre » offre une performance d’acteurs désopilante. Dans trois petites chambres accolées sous les toits de Paris vivent trois voisins : une femme aux allures bourgeoises et deux hommes, l’un un peu bohème et l’autre maniaque jusqu’au bout des ongles. Des personnages complètement loufoques, que tout semble opposer mais pourtant que tout rapproche… Seuls dans leur univers, pathétiques dans leurs efforts et, en même temps, si terriblement touchants qu’on ne peut que les aimer dans leurs maladresses et leurs mesquineries de grands enfants. « Bigre » c’est une succession infinie de gags inventifs, de rires et d’émotions. Le spectacle, par son humour et sa poésie, parle aussi avec justesse de la solitude dans les villes.

Bleue

Distribution

Auteur : Geneviève Laloy – Créé par : Geneviève Laloy – Avec : Thierry Crommen, Geneviève Laloy, Paul Prignot, Marie-Sophie Talbot, Jacques Verhaegen

Résumé

Après la terre (Si la terre…) et l’air (Hirondelles), Bleue nous plonge dans un troisième élément, l’eau. Accompagnée de 4 solides musiciens, Geneviève Laloy se balade au fil de l’eau, s’y jette, s’y mouille.Elle nous emporte dans un tourbillon de chansons à reprendre à l’envi en classe, en famille, en voiture ou sous la douche !

Bolu

Distribution

Auteur : Olivier Appart – Mise en scène : Marie-Odile Dupuis, Olivier Appart – Avec : Véronique Decroës, Benoit de Leu de Cecil, Marie Van R

Résumé

Au lointain de la forêt, la lueur d’une chaumière soudain brille… La vaisselle sonne dans la cuisine, le parfum du rôti envahit le hall d’entrée… C’est la maison de Claire. Jean, le papa de Claire, a passé son tablier de cuisine. Il attend sa nouvelle fiancée! Claire est déjà en pyjama, elle cherche le foulard de sa maman pour dormir ! Le coq, le chat, le chien veillent, mais la nuit arrive, avec sa part de rêves ou de cauchemars…

Bonjour, on est un tsunami

Distribution

Cie Renards – Écriture et mise en scène : Arthur Oudar – Interprétation : Baptiste Toulemonde – Création lumière : Amélie Géhin

Résumé

Quatre adolescents de 18 ans décident de retaper une deux-chevaux et de partir pour la première fois à l’aventure, de goûter à la liberté et à l’émancipation. Un voyage inoubliable rythmé par de grandes nuits étoilées, de longues départementales, des histoires de filles, des chansons révolutionnaires jouées à la guitare… Baptiste Toulemonde nous conte avec ferveur et sensibilité ce périple, incarnant à lui seul tous les personnages de ce road trip. Prix de la Ministre de la Jeunesse, Huy 2014

Borgia, comédie contemporaine

Distribution

Auteur : Thomas Gunzig – Mise en scène : Jean-Michel d’Hoop – Avec : Cyril Briant, Sébastien Chollet, Bruce Ellison, Pierre Jacqmin, Emmanuelle Mathieu, Héloïse Meire, Fabrice Rodriguez, Anne Romain, Coralie Vanderlinden, Isabelle Wéry – Costumes et marionnettes : Natacha Belova – Assistée de : Bia Kaysel, Zoé Pautet, Valérie Perin, Françoise Van Thienen, Noémie Vincart – Scénographie : Aurélie Deloche, Jean-Michel d’Hoop – Assistés de : Louison De Leu – Cinéma d’animation : Yoann Stehr – Chef-opérateur et photos : Robin Montrau – Musique : Pierre Jacqmin – Création lumières et régie : Benoît Ausloos – Combat : Emilie Guillaume – Déléguée de production : Catherine Ansay – Assistée de : Marina Yerlès – Assistantes : Céline Decastiau, Amalia Rodriguez – Régie vidéo : Jean-Philippe Hardy – Construction décor : Louis Eylenbosch, Jean-Philippe Hardy – Avec l’aide de : l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Pour sa nouvelle création, Jean-Michel d’Hoop réunit son équipe autour d’une envie commune de se pencher sur la famille, ce cadre aux contours flous qui constitue pour nous tous, qu’on le veuille ou non, notre patrimoine. Il nous invite à pénétrer dans une maison de famille, à ouvrir les portes cadenassées et explorer les pièces interdites, à traquer les dysfonctionnements derrière le masque de la normalité. Un spectacle qui se veut non pas une fresque historique mais, une frasque familiale. Parce que raconter une histoire de famille, c’est presque raconter l’Histoire. Chacun a la sienne, unique et fantastique (le surréalisme n’est jamais loin), et pourtant toutes se rejoignent pour donner une certaine image de l’Homme. Les générations qui nous ont précédés sont encore là si on veut bien les voir. Ecoutez ! Les fantômes nous parlent…

Boris

Distribution

Mise en scène Yves Pignot – Costumes Pascale Bordet – Avec Gilles Gaston-Dreyfus, Gilles Tamiz, Valérie Karsenti, Yvan Garouel, Alexis Desseaux, Antoine Malaquias, Sylvie Tamiz – Auteur Jacques Mondoloni.

Résumé

En 1957, Boris Vian devient conseiller de variétés auprès de la maison de disques Philips. De cette expérience et de celle d’auteur de chansons, de musiciens et d’interprète, il tirera « En avant la zizique… et par ici les gros sous ».

Britannicus

Distribution

Auteur : Jean Racine – Metteur en scène : Tatiana Stepantchenko – Interprétation : Jacques Allaire, Magaly Godenaire, Laurent Letellier, Mathias Maréchal, Claire Mirande, Catherine Mongodin, Damien Rémy

Résumé

Aux portes de l’enfer Mère possessive et manipulatrice, Agrippine n’a reculé devant aucun forfait pour placer son fils Néron à la tête de l’Empire romain, au détriment du prétendant légitime au trône, Britannicus. Le puissant ascendant qu’elle exerce sur l’empereur en herbe fait d’elle la secrète détentrice du pouvoir à Rome, dont elle use avec un admirable sens politique. Tout va pour le mieux entre la mère et le fils, jusqu’au jour où le jeune homme s’éprend de la belle Junie, l’amante de Britannicus. Il s’affranchit alors soudainement de la tutelle de sa mère pour laisser libre cours à ses passions et révéler son vrai visage, cruel et tyrannique. De l’aube à la tombée de la nuit, Néron va se métamorphoser sous nos yeux en un souverain brutal et sanguinaire, en un véritable monstre dont le destin sera désormais de « courir de crime en crime ». C’est au plus près de l’épicentre de ce cataclysme dévastateur que se propose de nous mener la mise en scène de Tatiana Stepantchenko, là où s’opère la singulière transmutation des êtres sous l’effet de la passion (amoureuse et politique) et où se conçoivent les pires déraisons d’État. Ce spectacle plonge dans l’incandescence des âmes, dans l’antre de l’alchimiste Racine où se transmuent non seulement les âmes mais aussi le monde. (La Voix du Nord) Une production Cie Or.Azur, aidée par le Ministère de la Culture (DRAC Nord / Pas-de-Calais) et par la Région Nord / Pas-de-Calais | Coproduction Le Phénix-Scène Nationale de Valenciennes. Coréalisation série parisienne : Théâtre de l’Atalante.

Brooklyn Boy

Distribution

Auteur : Donald Margulies – Adaptation française : Michel Fagadau – Dramaturgie et mise en scène : Armand Delcampe – Avec : Armand Delcampe (Many Weiss), Richard Ruben (Eric Weiss), Freddy Sicx (Ira Zimmer), Catherine Conet (Sandy Weiss), Deborah Amsens (Alison), Rosalia Cuevas (Mélanie), Julien Lemonnier (Tyler Shaw) – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot – Assistantes stagiaires : Tatiana del Marmol, Justine Hautenauve – Scénographie et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Jacques Magrofuoco – Vidéo : Manu Maffei – Son : Eric Degauquier – Maquillages : Martine Lemaire – Régie générale : Manu Maffei – Régie lumières : Gary De Beys – Régie son : Eric Degauquier – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy, Louis Eylenbosch – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

A 45 ans, Eric Weiss connaît enfin le succès avec son livre inspiré de son enfance dans la communauté juive de Brooklyn. Encensé par les médias, il est en pleine tournée promotionnelle de son nouvel ouvrage lorsqu’il rend visite à son père, vieil homme malade et bougon. Entre le petit gars de Brooklyn devenu un écrivain reconnu et le paternel vendeur de chaussures, le courant a souvent eu du mal à passer. Aujourd’hui, les deux hommes ne parviennent toujours pas à se comprendre d’autant qu’Eric a tout fait pour échapper à la pesante hérédité familiale. Il a fréquenté l’université, est devenu athée, s’est marié à une non-juive, a fui ses origines. Son roman autobiographique mettra-t-il un terme à sa quête d’identité ? Dans ce spectacle, on rit, car cette pièce souligne avec tendresse et humour la difficulté d’échanger et de communiquer avec ceux que l’on aime. Un humour fin, typiquement américain, proche de Woody Allen. Puis on est ému par l’histoire, celle d’un fils cherchant désespérément la reconnaissance d’un père, leur déchirante incapacité à se dire des mots tendres. Parvenu au bout de sa quête, l’écrivain n’est pas seulement réconcilié avec son identité juive, il est avant tout un fils dans les bras de son père. La pièce de Donald Margulies est simple, efficace, bien construite. En six scènes, tout est dit. Humour, vacherie, ironie, tendresse, les Américains savent marier les couleurs, touiller les styles et finir par nous émouvoir. Figaroscope, M. T., 27/10/04 (lors de la création française)

Bye Bye Show Biz

Distribution

Auteur Jérôme Savary – Avec Jérôme Savary, Mona Heftre  

Résumé

Spectacle musical écrit, mis en scène et joué par Jérôme Savary et tous les comédiens du Magic. Jérôme le magnifique dans une nouvelle création délirante et bariolée. L’histoire du théâtre… depuis l’homme des cavernes! Un étonnant et détonnant show épico-burlesque. Les années passent, le Grand Magic Circus reste. Mais il bouge. Il a parcouru quasiment toutes les gammes de l’Orphéon théâtral.Il a joué dans les rues, sur les plages, dans les stades et sur les scènes des théâtres les plus « respectables ». Il s’est acoquiné avec le boulevard (et y a laissé quelques plumes d’autruche). Il a fait faillite plusieurs fois et fortune tous les matins.Il a joué dans vingt pays dans le monde plus plus d’un million de spectateurs. Il a commis toutes les erreurs. Mais pas celle, fatale, de s’endormir mollement sur ses lauriers.

C’est tout moi

Distribution

Auteur : Virginie Hocq, Victor Scheffer, Patrick Chaboud – Metteur en scène : Victor Scheffer – Interprétation : Virginie Hocq

Résumé

Généreuse et chaleureuse face à son public, pétillante et drôle, Virginie Hocq nous présente son troisième spectacle, plus personnel, puisant son inspiration dans ses souvenirs et son quotidien. Avec un naturel déroutant, elle nous balade à travers une impressionnante galerie de personnages. Une directrice de séniorie qui n’a rien à envier à la fameuse Cruella ; un Frankie différent mais pas méchant ; une ménagère bien en peine de terminer sa liste de courses… Débordante d’énergie et de dynamisme, Virginie aux mille visages et aux multiples personnages ajoute une dose de sensibilité à son spectacle, car ça aussi c’est « tout elle » ! En 2000, la toute jeune Virginie présentait son premier spectacle « Dis oui ! » au Festival de Théâtre de Spa. Trois ans après, nous l’accueillions avec « Qui a dit faible ? » Fidélité du Jean Vilar au talent : nous la retrouvons avec grand plaisir dans son troisième one woman show, qui a notamment fait salles combles au Théâtre de Dix heures à Paris. Au cinéma, Virginie Hocq a récemment joué dans « Un fil à la patte » de Michel Deville aux côtés d’Emmanuelle Béart et dans le dernier long métrage d’Alain Berliner. Une production de Corniaud & Co Production.

C’était bien

Distribution

Auteur : James Saunders – Mise en scène : Stephan Meldegg – Avec : Béatrice Agenin, Jacques Frantz, Stéphane Freiss, Stephan Meldegg

Résumé

Londres… Diana est mariée avec Adrien. Au début, c’était bien! Ca ne l’est plus tout autant que ça : elle s’en est accomodée. Diana travaille à la « Radio Internationale » », dont le but est de diffuser un message de paix et de démocratie vers les pays de l’Est.

Camille

Distribution

Auteur : François Ost – Adaptation : François Ost, Nele Paxinou – Mise en scène : Nele Paxinou – Avec : Marie Avril, Virgile Magniette, Bernard Sens – Danseurs : Robin Capelle, Juliette Colmant, Caroline Givron – Avec la participation de : Marie-Claire Clausse (la mère), Quentin Milo (le docteur) – Avec la voix de : Mathieu Moreau – Assistant à la mise en scène : Nathan Michel – Chorégraphie : Nono Battesti – Scénographie : Lionel Lesire – Musique : Pascal Charpentier – Costumes : Sylvie Van Loo, France Lamboray – Vidéo et régie : David Taillebuis – Maquillages : Margaux Cabuy

Résumé

Camille Claudel, artiste de génie, a suscité quantité de biographies, de romans, d’adaptations cinématographiques… Et pourtant, cette figure énigmatique ne cesse d’interpeller, comme le mystère de son œuvre. Solidement documentée, la pièce de François Ost dresse le portrait complexe et vibrant de cette sculptrice de caractère. A travers quatre saisons, elle plonge aux sources de l’imaginaire artistique : le printemps de la jeunesse complice avec son frère Paul (l’auteur), l’été des amours avec Rodin, l’automne des grandes ruptures de la maturité, l’hiver de l’enfermement psychiatrique… L’écriture puissante et poétique est sublimée par une très belle mise en scène signée Nele Paxinou, fondatrice des Baladins du Miroir, où dialoguent sculpture, jeu et chorégraphie. L’ensemble reflète la force créatrice intense qui habitait Camille Claudel, entre génie et folie, au cœur d’une société dominée par les hommes. Un hymne à la création, beau, simple, évident !

Ce que voit Fox

Distribution

Auteur James Saunders – Mise en scène Laurent Terzieff – Adaptation Suzanne Lombard, Laurent Terzieff – Avec Pascale de Boysson, Michèle Simonnet, Hermine Karagheuz, Dominique Hollier, Laurent Terzieff.

Résumé

Déclin du jour, fin d’un père : temps suspendu. Trois filles et leur mère s’interpellent, tentent parfois de se comprendre, réfléchissent à leur récente expérience de vie. Fox, invisible au milieu d’elles, miroir et seconde conscience, comment, réajuste leurs propos. Présenté par le Théâtre de l’Atelier. Création en langue française. Accueil en exclusivité.

Ce qui arrive

Distribution

De : Coline Struyf – Inspiré de la bande dessinée « Ici » de Richard McGuire – Mise en scène : Coline Struyf – Avec : Nicolas Buysse (Dean), Pierre Gervais (Matthew), Vincent Hennebicq (Dereck), Marie Lecomte (Jackie), Emilie Maquest (Jo) – Assistanat à la mise en scène : Alice De Cat – Scénographie et vidéo : Arié van Egmond – Lumières : Amélie Géhin – Chorégraphie : Anne-Laure Lamarque – Dramaturgie : Manolo Sellati aidé de Nelly Latour – Costumes : Claire Farah assistée de Marine Vanhaesendonck – Son : Laurent Gueuning et Marc Doutrepont – Régie générale : Nicolas Oubraham – Régie son : Guillaume Le Boisselier – Régie lumières : Dimitri Wauters – Régie vidéo : Gwenaël Laroche – Régie costumes : Camille de Sancy – Aide technique : Nicolas Sanchez – Conseil artistique : Selma Alaoui et Emilie Maquest – Administration et production : Aline Defour – Diffusion : Cécile Jeanson et Bureau Formart

Résumé

« Ce qui arrive est toujours magie, maléfice ou charme. » Une fratrie est réunie dans la maison d’enfance à la mort du père. Le futur se mêle au passé, les diverses étapes de la vie resurgissent, un parallèle vertigineux apparaît entre les différents espaces-temps qui nous rassemblent : celui de notre existence et celui, infini, du cosmos. Coline Struyf – s’inspirant de la bande dessinée à succès « Ici » de Richard McGuire – nous propose une expérience sensorielle inédite, puissante et presque magique du temps qui passe. « Ici » raconte l’histoire d’un lieu vu d’un même angle. Et celle des êtres qui l’ont habité à travers les siècles. Dans cet espace délimité, les existences se croisent, s’entrechoquent et se font étrangement écho, avant d’être précipitées dans l’oubli. « Ici » a reçu le Prix du meilleur album au Festival international de la bande dessinée d’Angoulême 2016 et le Prix LIRE 2015 de la meilleure bande dessinée.