Théâtre Jean Vilar

La Chasse aux cafards

Distribution

Auteur Janusz Glowacki – Adaptation Jean-Louis Livi – Mise en scène Andréas Voutsinas – Décor Charlie Mangel – Avec Virgil Darin, Claire Denieul, Daniel Longlet, Tanya Lopert, Antoine Mikola, Michel Santelli, Jean-Louis Trintignant.

Résumé

Anka est comédienne ; Janek est écrivain. Ils sont polonais ; ils sont venus s’installer à New-York. Ils attendent leur permis de travail. Ils vivent dans une pièce unique, sordide et misérable entre les sachets de thé mis à sécher sur un fil, les cafards qui se nourrissent exclusivement d’ordures, des petites effigies de la statue de la liberté et une immense carte des Etats-Unis. « Quel drôle de pays ! » Une production du Théâtre de l’Atelier. Création en langue française. Accueil en exclusivité.  

La cité radieuse

Distribution

Auteur François Sikivie – Avec Francine Landrain, Monique Ghyssens, Michel Delamarre, Thierry Devillers, François Sikivie, Véronique Stas, Marie-Paule Brauers

Résumé

La cité radieuse est l’adaptation pour la scène d’un feuilleton RTBF diffusé il y a quelques années dans le magazine Radio Titanic. Il y eut une soixantaine d’épisodes en deux ans avant qu’on ne songe à en faire un spectacle pour le théâtre, avec les mêmes personnages. Succès fou à Liège, présentation en Avignon, tournées… C’est donc un spectacle qui nous vient de Liège, co-production du Théâtre de la Place et de la RTBF-Liège, spectacle né et mûri dans un contexte et dans un esprit scientifiquement liégeois, comédiens issus pour la plupart du Conservatoire de Liège et formant le noyau du théâtre expérimental du Groupov. Une coproduction Théâtre de la Place – RTBF Liège

La Cuisine d’Elvis

Distribution

Auteur : Lee Hall – Traduction : Frédérique Revuz, Louis-Charles Sirjacq – Metteur en scène : Georges Lini – Interprétation : Isabelle Defossé, John Dobrynine, Catherine Grosjean, Vincent Lecuyer

Résumé

Famille déjantée et humour noir pour une soirée décoiffante… Une famille anglaise pas vraiment comme les autres… Un père imitateur d’Elvis Presley et réduit à l’état de légume après un accident, qui rêve d’un succès passé. Sa fille, Jill, adolescente passionnée de cuisine, qui élabore des recettes fantaisistes, persuadée qu’elle parviendra à guérir son père. Et une mère, la quarantaine toujours aguicheuse, qui convie son jeune amant à leur table. Voici planté le décor de ce succulent huis-clos familial, savant mélange de cynisme, de cruauté et de réalisme. Le tout fourré, et c’est salutaire, d’une bonne dose d’humour corrosif ! Âmes sensibles s’abstenir… La Cuisine d’Elvis de Lee Hall, est une de ces pièces anglaises inimitables, entre cru et cuit, rêve et pulsions, à mourir de rire et à méditer, un revigorant nœud d’amour en tous sens, pris à bras-le-corps (même dénudé) par les désopilants et émouvants Cathy Grosjean, Isabelle Defossé, Vincent Lecuyer et le King, John Dobrynine. (Le Vif, juin 2007) Une comédie sur le bonheur, le sexe, la bouffe et… Elvis Presley. Cruauté, tendresse et kitsch mêlés sans tabou. (La Libre Belgique, mai 2006) 210 Productions présente un spectacle de La Compagnie Belle de Nuit.

La danse de mort

Distribution

Auteur August Strindberg – Metteur en scène Claude Chabrol – Adaptation Claude Chabrol – Décor Jacques Noël – Costumes Agnès Nègre – Musiques Matthieu Chabrol – Avec Michel Bouquet, Juliette Carré, Gabriel Cattand, Yvonne Décade, Olivier Lefèvre.

Résumé

Un couple à la veille de ses noces d’argent : voici un quart de siècle qu’Alice et le Capitaine mutuellement se tourmentent. Ils se sont usés peu à peu : l’ironie méchante qui imprègne leur dialogue a quelque chose de naturel, de quotidien, elle ne monte même pas jusqu’à la colère. La demeure qui leur a été assignée (le capitaine a été envoyé en garnison dans une île), une vieille tour qui a servi autrefois de prison, fournit le décor exactement approprié à leur querelle : un champ-clos dont ils ne sortiront pas. Une production du Théâtre de l’Atelier

La Danse du Diable

Distribution

Auteur : Philippe Caubère – Mise en scène et interprétation : Philippe Caubère – Lumières : Roger Goffinet – Direction technique et régie lumière : Claire Charliot – Régie son : Mathieu Faedda

Résumé

Présentée pour la première fois en 1981, « La Danse du Diable » est un spectacle autobiographique qui avait fait l’événement à sa création. Cette reprise est un véritable cadeau pour le public car, 33 ans plus tard, la magie reste intacte… Pendant trois heures, Philippe Caubère tient son auditoire en haleine grâce à son talent et sa présence ensorcelante. Il est irrésistible, à la fois bouleversant et terriblement comique, il fait mouche à chaque réplique. On vit avec lui son enfance et son adolescence au pays provençal. On y croise De Gaulle, Sartre, Mauriac, Malraux, Johnny, Roger Lanzac, Lucien Jeunesse, Gaston Defferre, François Billoux, les vedettes des années 50-70. Mais surtout on rencontre Claudine Gautier, mère de l’auteur et son double imaginaire qui emporte tout son petit monde à un train d’enfer grâce à son bagout intarissable. « J’ai monté la première « Danse du Diable » en 1981, alors que j’avais 31 ans. Aujourd’hui, j’en ai 63. J’avais envie depuis très longtemps de remonter ce spectacle autobiographique. Aujourd’hui, cette recréation, c’est un peu mon « Temps retrouvé »… » « Je dédie « La Danse du Diable » à Jean Babilée, immortel interprète du ballet « Le Jeune homme et la mort » qu’il créa à 20 ans et reprit à mon âge. » Philippe Caubère

La Double Inconstance

Distribution

Auteur Marivaux – Mise en scène Bernard Murat – Avec Daniel Auteuil, Emmanuelle Béart, Denise Chalem, Michel Chaigneau, Jean Dalric, Isabelle Gelinas, Robert Rimbaud.

Résumé

L’on célèbre cette année le tricentenaire de la naissance de Marivaux. Peu argenté, il se consacra à la littérature. Il fut reçu à l’Académie Française, en 1743, de préférence à Voltaire. Les confrères hostiles ne lui manquaient pas : maintes cabales furent ourdies pour amener la chute des comédies, si bien que parfois il n’avouait être l’auteur de la pièce qu’après les premières représentations. Une production du Théâtre de l’Atelier.

La douzième nuit : La Nuit des Rois

Distribution

Auteur : William Shakespeare – Adaptation : Luc Delisse – Mise en scène : Herbert Rolland – Avec : Pierre Geranio, Hamadi, Valérie Lemaître, Philippe Vauchel, Philippe Martin, Patrick Waleffe, Laurence Warin, Isabelle Wéry

Résumé

Cette pièce est sans rois, et presque sans nuit. Tout commence par un naufrage. Le navire qui transporte un frère et une soeur, jumeaux parfaits, coule en mer. La soeur atteint le rivage. Le frère passe pour noyé. La soeur, pour trouver un gîte et un emploi, se déguise en garçon et entre au service du Duc qui règne sur la région. Ce Duc est plongé dans le malheur. Il est amoureux fou de la Comtesse sa voisine, laquelle ne l’aime pas et ne veut rien entendre. Pour tenter de la fléchir, il lui envoie un ambassadeur : son nouveau confident, qu’elle prend, comme chacun, pour un garçon. Cependant, le faux confident aime en secret son maître, le Duc, sans oser le lui avouer, à cause de son déguisement qui rend tout difficile. Cependant, le frère, qu’on croyait noyé, réapparaît à son tour, à la cour du Duc. Il porte les mêmes vêtements que sa soeur travestie, et leur ressemblance est plus absolue que jamais… L’ère des faux-semblants commence.

La Famille du collectionneur

Distribution

Auteur : Carlo Goldoni – Adaptation et mise en scène : Daniela Bisconti – Avec : Maroine Amimi, Aurélia Bonta, Toni D’Antonio, John Dobrynine, Emmanuel Guillaume, Manon Hanseeuw, Frédéric Lepers, Nicolas Ossowski, Valéry Stasser, Cécile Van Snick, Alexandre von Sivers – Assistante à la mise en scène : Agathe Cornez – Scénographie et costumes : Charly Kleinermann, Thibaut De Coster – Lumières : Alain Collet – Décor sonore : Laurent Beumier – Régie générale / régie lumière : Manu Maffei – Régie son : Eric Degauquier – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy, Louis Eylenbosch – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Maquillages : Martine Lemaire – Construction décor : Laurent Notte, Jean-Philippe Hardy, Louis Eylenbosch – Confection des costumes : Sarah Duvert, Charly Kleinermann, Thibaut De Coster – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Anselme, collectionneur passionné de médailles et autres antiquités, dilapide la fortune familiale en objets soi-disant précieux. Autour de lui gravitent des intrigants, une femme de chambre rusée, un duo belle-mère/bru conflictuel : le cocktail parfait pour chambouler toute la maisonnée ! Une comédie mordante et rythmée resituée dans les années ’50. Daniela Bisconti s’entoure de 11 comédiens pour donner vie à ce texte du génial Carlo Goldoni, le célèbre auteur vénitien qui a révolutionné le théâtre italien.

La Famille du collectionneur

Distribution

Auteur : Carlo Goldoni – Adaptation et mise en scène : Daniela Bisconti – Avec : Maroine Amimi (Gigi), Aurélia Bonta (Dorothée), Toni D’Antonio (Docteur Bassette), John Dobrynine (Monsieur Valmy), Emmanuel Guillaume (Sylvio), Manon Hanseeuw (Agatha), Frédéric Lepers (Charles-Edouard), Nicolas Ossowski (Monsieur Delbosco), Valéry Stasser (Emmanuel-Philibert), Cécile Van Snick (Isabella), Alexandre von Sivers (Anselme) – Assistante à la mise en scène : Agathe Cornez – Scénographie et costumes : Charly Kleinermann, Thibaut De Coster – Lumières : Alain Collet – Décor sonore : Laurent Beumier – Régie générale / régie lumière : Manu Maffei – Régie son : Eric Degauquier – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Maquillages : Martine Lemaire – Construction décor : Laurent Notte, Jean-Philippe Hardy, Louis Eylenbosch – Confection des costumes : Sarah Duvert, Charly Kleinermann, Thibaut De Coster – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Anselme, collectionneur passionné de médailles et autres antiquités, dilapide la fortune familiale en objets soi-disant précieux. Autour de lui gravitent des intrigants, une femme de chambre rusée, un duo belle-mère/bru conflictuel : le cocktail parfait pour chambouler toute la maisonnée ! Une comédie mordante et rythmée qui a récolté un beau succès la saison dernière. Daniela Bisconti s’entoure de 11 comédiens pour donner vie à ce texte du génial Carlo Goldoni, le célèbre auteur vénitien qui a révolutionné le théâtre italien. Le tout est placé dans un écrin rétro créé par Thibaut de Coster et Charly Kleinermann.

La fausse suivante ou le fourbe puni

Distribution

Auteur : Marivaux – Metteur en scène : André Debaar – Interprétation : Valéry Bendjilali, Marie Cecyl, André Debaar, Benoît Grimmiaux, Isabelle Roelandt, Gilles Wiernik, Frédéric Van Liefferinge, Paul Uy, Marie-Claude Buffenoir

Résumé

Une jeune femme pleine d’audace se déguise en homme : le Chevalier. Pleine d’énergie, elle jouera cette comédie jusqu’au bout. Une production de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve

La Forêt

Distribution

Auteur : Alexandre Ostrovski – Traduction et adaptation : Natacha Belova, Michèle Hubinon, Xavier Lukomski – Mise en scène : Xavier Lukomski – Avec : Olindo Bolzan (Vosmibratov), Paul Camus (Padveinev), Hélène Couvert (Axioucha), Brigitte Dedry (Oulita), Thibaut Delmotte (Piotr), Didier De Neck (Veinev), Jo Deseure (Gourmiskaia), Pierre Dherte (Milonov), Lazare Gousseau (Karp), Bernard Graczyk (Bodaev), Ilyas Mettioui (Boulanov) – Musiciennes : Bénédicte Chabot, Estelle Lannoy – Assistante mise en scène : Leila Putcuyps – Scénographie : Aurélie Deloche – Costumes : Lies Van Assche – Lumières : Xavier Lauwers – Son : Marc Doutrepont – Chargée de production et diffusion : Laetitia Noldé

Résumé

Comédie déraisonnable Prenez une forêt d’une dimension, disons, raisonnable. Prenez la propriétaire de cette forêt d’un âge, avouons-le, franchement raisonnable. Prenez cette propriétaire en manque d’argent à cause de ses penchants déraisonnables pour un jeune homme pourtant à l’âge de déraison. Prenez un vendeur de bois, spécialiste de l’entourloupe et grand connaisseur des penchants humains. Prenez une gouvernante que son désir pour les hommes gouverne. Prenez deux comédiens, Veinev le comique et Padeveinev le tragique, tous deux plus pauvres que Job. Prenez ces deux comédiens qui, pour passer l’hiver au chaud, se font passer pour ce qu’ils ne sont pas. Prenez une jeune fille pauvre dont certains savent très bien quoi faire et d’autres pas du tout. Prenez le fils du marchand de bois qui aime, à raison, la jeune fille pauvre… et entre coups fourrés, quiproquos, pièges et roublardise, assistez à la rencontre hautement comique et inflammable de la morale et du commerce, de l’art et de la vie concrète, du théâtre et du réel !

La Fourmi et la cigale

Distribution

« Variations sur un air connu » de : François Mougenot – Mise en scène et couplets : Jacques Mougenot – Interprétation : François Mougenot, Jacques Mougenot

Résumé

ACCUEIL FRANCAIS EXCLUSIF François Mougenot, avec impertinence et drôlerie, mais aussi un talent de pasticheur certain, a décliné le thème de « La Cigale et la fourmi » à la manière de nombreux auteurs de théâtre, de poésie ou de cinéma. Il détourne des scènes fameuses de Molière, Shakespeare, Feydeau, Rostand…, revisite allègrement quelques morceaux de bravoure de la poésie, sans oublier quelques clins d’œil obligés aux séries TV. Les références foisonnent et titilleront constamment la mémoire du spectateur en réveillant parfois de lointains souvenirs d’écolier… Dans cette comédie joyeuse, enlevée, aux multiples facettes, François Mougenot interprète le rôle de la fourmi, tandis que son frère, Jacques, incarne la cigale. Deux frères complices qui, devenant frères ennemis le temps d’une dispute pour un méchant grain de blé, rivalisent de talent et d’humour ! Le spectacle fait la part belle au jeu de l’acteur et se veut un hommage jubilatoire, ironique et tendre à la langue française. Un exercice de style théâtral, un numéro de transformiste verbal, une sorte de zapping amusé du patrimoine culturel, que se livrent deux comédiens rompus à tous les registres du répertoire classique et moderne. Un plaisir de l’esprit et un enchantement subtils ! Allez ! Champagne pour tout le monde ! Une coproduction Théâtre de l’Hébertot, Canal 33 et Pascal Legros Productions, présenté par Scène et Public – Pierre Beffeyte.

La Machine de Turing

Distribution

Auteur : Benoit Solès – Inspiré par la pièce Breaking the code de Hugh Whitemore – Basé sur Alan Turing : The Enigma de Andrew Hodges – Mise en scène : Tristan Petitgirard – Avec : Benoit Solès (Alan Turing) et Amaury de Crayencour (Ross, Murray et Alexander) – Décor : Olivier Prost – Lumières : Denis Schlepp – Musique : Romain Trouillet – Vidéo : Mathias Delfau – Costumes : Virginie H. – Assistante à la mise en scène : Anne Plantey – Enregistrement violoncelle solo : René Benedetti – Voix off : Bernard Malaka et Jérémy Prévost – Régie générale : Thierry Morin

Résumé

L’histoire vraie d’un homme qui a changé le monde. Manchester, 1952. Suite au cambriolage de son domicile, le professeur Turing porte plainte au commissariat. Face à cet homme atypique, l’interrogatoire du Sergent Ross prend une tournure tout à fait inattendue… On découvre alors l’incroyable destin de celui qui a brisé le langage codé généré par l’Enigma des nazis, contribuant à sauver de nombreuses vies. Un fait d’armes qui n’a pas empêché la justice de Sa Majesté de condamner le scientifique à cause de son homosexualité. Saluée à Avignon et à Paris, récompensée par 4 Molières en 2019, « La Machine de Turing » révèle un homme attachant, inventeur d’une « machine pensante », véritable genèse de l’intelligence artificielle et des ordinateurs.

La maison de Bernarda Alba

Distribution

Metteur en scène : Jean-Claude Berutti – Interprétation : Sabra Ben Arfa, Kaouthar Bardi, Pascale Binnert, Marie-Paule Brauers, Véronique Castanyer, Colette Emmanuelle, France Gilmont, Marie-Pierre Meinzel, Hélène Roussel – Auteur : Federico Garcia Lorca – Interprétation : Monia Ouertani

Résumé

C’est l’été. Le glas sonne sur le village écrasé de chaleur. Bernarda Alba, escortée de ses cinq filles, rentre de l’enterrement de son mari. Désormais, elle fera régner l’ordre. Bernarda défiera l’orgueil masculin et ses lois de soumission en refusant de voir ses filles livrées aux hommes ; elle guette la moindre menace qui pèse sur l’honorabilité des femmes de sa maison. Ces mêmes filles vont se déchirer autour d’une absence : celle d’un homme. Elles vont crier, chacune à leur façon, leur crainte d’exister sans amour. Autour de la maison, des bruits, des chants, des voix d’hommes courent, interpellent la solitude de ces femmes. Adela ne se soumet pas. Elle va rompre le pacte d’obéissance. Elle en meurt. Une production Athanor

La Malédiction de Camberwell

Distribution

Mise en scène : Sophie Museur – Avec : Jérôme Poncin, Tof Lefèvre, Anaïs Pétry

Résumé

Le mystère plane à Camberwell. Des événements terribles s’y déroulent. Sidney Parker, jeune inspecteur de police sans talent, va devoir affronter l’Etrange. Sa lâcheté et sa maladresse vont-elles perdre ?

La mort de Danton

Distribution

Auteur : Georg Buchner – Metteur en scène : Georg Buchner – Interprétation : Reno Rikir, Gilles Groppo, Jean-Michel Vovk, Gaëtan Lejeune, Fabrice Rodriguez, Didier Toupy, Stéphane Laudier, Frédéric Dupin, François Lefèbvre, Nathalie Willame, Philipp Sebastian, Catherine Salée, Mireille Fafra, Jean-Paul Fréhisse, Gersende Hospied, Henri Mortier, Alexandra Milgrom, Enzo Riguez

Résumé

Une bande de jeunes lancés à l’assaut des rêves et des désenchantements de la Révolution telle que la transfigura dans son style abrupt et sauvage un jeune génie de langue allemande qui croyait recréer Shakespeare alors qu’il inventait, dans un tourniquet de corps et de mots malaxés, brisés par l’histoire, la forme même du théâtre moderne. Une production du Nouveau Théâtre de Belgique

La Mort de Krishna

Distribution

Auteur : Jean-Claude Carrière, Marie-Hélène Estienne – Metteur en scène : Peter Brook – Interprétation : Maurice Bénichou, Sharmila Roy

Résumé

Extrait du Mahabharata de Vyasa L’épopée indienne de la naissance du monde. A la fin du Mahabharata, où les morts se comptent par millions, Krishna dit à l’enfant : « Je me suis battu contre des puissances terribles et j’ai agi comme j’ai pu ». Krishna dit qu’il mourra et il meurt. Peter Brook revient sur l’un des derniers chapitres de l’épopée-fleuve et ressuscite Krishna pour approfondir le thème. Maurice Bénichou est seul acteur en scène et incarne Krishna, ce dieu de l’Inde brahmanique, dont on dit qu’il est la huitième réincarnation de Vishnou. Il est accompagné par la voix et les doigts musiciens de Sharmila Roy, qui interprète notamment des extraits des upanisads et des chants soufis du Bengale. Production CICT et Théâtre des Bouffes du Nord

La Mouette (création)

Distribution

Auteur Anton Tchekhov – Mise en scène Armand Delcampe – Adaptation Karel Kraus – Mise en scène Armand Delcampe – Scénographie Josef Svoboda – Costumes Elena Mannini – Avec Stéphane Excoffier, Patrick Sluys, André Lenaerts, Lorette Goosse, Gérard Vivane, Suzanne Colin, Marie-Paule Kumps, Christian Crahay, Raymond Avenière, Olivier Cuvellier, Christian Dalimier, Delphine Roy.

Résumé

Dans « La mouette », nous vivons l’idéalisme tragique du poète passionné et sincère, en l’occurrence Treplev, qui se heurte et finalement s’écrase contre la stupidité et l’incompréhension de son milieu ambiant. Reprise de la production de l’Atelier Théâtral de Louvain-la-Neuve.

La Mouette (reprise)

Distribution

Auteur Anton Tchekhov – Adaptation Karel Kraus – Mise en scène Armand Delcampe – Scénographie Josef Svoboda – Costumes Elena Mannini – Avec Stéphane Excoffier, Patrick Sluys, André Lenaerts, Lorette Goosse, Suzanne Colin, Marie-Paule Kumps, Christian Crahay, Raymond Avenière, Olivier Cuvellier, Christian Dalimier, Delphine Roy.

Résumé

Dans « La mouette », nous vivons l’idéalisme tragique du poète passionné et sincère, en l’occurrence Treplev, qui se heurte et finalement s’écrase contre la stupidité et l’incompréhension de son milieu ambiant. Reprise de la production de l’Atelier Théâtral de Louvain-la-Neuve.

La Noce chez les petits bourgeois

Distribution

Auteur : Bertolt Brecht – Metteur en scène : Carlo Boso – Interprétation : Guy Pion, Grégory Praet, Hilde Uiterlinden, David Pion, André Lenaerts, Thierry Janssen, Béatrix Férauge, Sandrine Versele, Coralie Vanderlinden – Assistante à la mise en scène : Anouchka Vingtier – Costumes : Isabelle Chevalier – Lumière : Laurent Kaye – Musique : Pascal Charpentier, H. D. Hosalla – Maquillage : Zaza da Fonseca – Scénographie : Stefano Perocco – Traduction : Jean-Francois Poirier

Résumé

Comédie grinçante Un repas de noces qui tourne mal… nous en avons tous déjà rêvé – ou cauchemardé – Stop ! On se réveille, le repas avait bien commencé, mais là, tout chavire. L’atmosphère s’alourdit, les esprits échauffés par l’alcool et la danse chavirent et, peu à peu, le fragile vernis des convenances sociales se fissure… La fête alors se transforme en règlement de comptes où tous les coups sont permis ! Le naufrage auquel on assiste n’en demeure pas moins… à hurler de rire. Un tableau grinçant et caustique de la petite bourgeoisie des années ’20 interprété par une troupe menée tambour battant par un metteur en scène débordant d’énergie. Une production du Théâtre de l’Eveil Avec l’aide du Théâtre Le Public, du Festival de Théâtre de Spa, de l’Atelier Théâtre Jean Vilar, de la Fabrique de Théâtre et de la Communauté Wallonie-Bruxelles

La Panne

Distribution

D’après le roman de : Friedrich Dürrenmatt – Adaptation et mise en scène : Pierre Franck – Interprétation : Darry Cowl, Claude Evrard, André Falcon, André Chaumeau, Nathalie Niel, Stéphane Hillel

Résumé

C’est peut-être cette nouvelle qui fournit la plus belle parabole sur la culpabilité et la rédemption « modernes », qui constituent le foyer de toute l’oeuvre de Dürrenmatt. Présenté par Atelier Théâtre Actuel

La Peste

Distribution

Auteur : Albert Camus – Adaptation et mise en scène : Fabrice Gardin – Avec : Ronald Beurms, Frédéric Clou, Toussaint Colombani, Bruno Georis, Sébastien Hébrant, David Leclercq, Michel Poncelet, Fabio Zenoni – Musicien : Luc Van Craesbeeck – Scénographie : Lionel Lesire – Costumes : Françoise Van Thienen – Lumières : Félicien Van Kriekinge – Assistante à la mise en scène : Sandra Raco

Résumé

Chronique de la lutte de la Résistance contre le Nazisme, peste brune qui ravage l’Europe, « La Peste » interroge notre époque, tant le texte nous invite à comparer les faits et la montée du populisme des années 1930 avec notre actualité. Mais au-delà, Camus réfléchit au sens de l’existence humaine et à la manière de l’accepter. Adaptation originale du roman d’Albert Camus publié en 1947, le spectacle raconte la vie quotidienne des habitants pendant une épidémie qui frappe la ville d’Oran, la coupant du monde extérieur. Fabrice Gardin s’entoure de huit comédiens et d’un musicien pour donner vie à ce récit humaniste qui exprime la nécessité de l’engagement. Car Camus en est persuadé, c’est la force du collectif qui changera le monde, il n’y a pas de fatalité. Le spectacle nous encourage à l’action et à la résistance pour combattre les fléaux contemporains.

La Petite Fille aux allumettes

Distribution

Auteur : Pan ! la compagnie – Texte : Julie Annen, avec le soutien de Fabrice Melquiot, d’après Hans Christian Andersen – Mise en scène : Julie Annen – Avec : François de Saint-Georges, Salvatore Orlando, Viviane Thiebaud, Mathieu Ziegler

Résumé

Un soir de réveillon, une petite fille tente de vendre des allumettes dans les rues enneigées… Le conte d’Andersen résonne dans nos mémoires, avec ses images contrastées de fête chaleureuse et de misère glacée. Sa fin tragique, aussi, qui laissait les enfants désemparés. « Ah bon, elle meurt ? Mais quand tu dis qu’elle meurt, elle meurt mais pas vraiment, pas vrai ? Si ? Mais quelle idée de me lire ça, Maman… Tu veux que je fasse des cauchemars, Papa ? » Plutôt que de s’en tenir à cette fin si triste, Julie Annen a demandé à des enfants d’en inventer une autre. Elle a rencontré des enfants de 5 à 12 ans, pour leur poser cette question et évoquer avec eux la précarité, ce mal discret qui se cache parfois sous nos propres fenêtres. Et le résultat, c’est Andersen, la fatalité en moins, les questions en plus ; rien n’est édulcoré du conte original, car le XXIème siècle n’est pas moins dur que le XIXème siècle, mais l’humour bouscule, la tendresse renverse.

La Sonate à Kreutzer

Distribution

Adaptation Giancarlo Sbragia, Milli Martinelli – Musique Ludwig Van Beethoven – Pianiste Anna Piera Protopapa – Violoniste Adalberto Murari – Scénographie Vittorio Rossi.

Résumé

1888 : un salon à Moscou. Un écrivain, un peintre et un acteur écoutent « La Sonate à Kreutzer » de Beethoven. A la fin de l’exécution, ils décident de figer en un « geste » de création collective les émotions que la musique de Beethoven a fait naître en eux. L’écrivain (Tolstoï) devra écrire un monologue que l’acteur (André Burlak) récitera devant le tableau peint par le peintre (Repin), le tout inspiré par Beethoven… Présenté par PRO.SA. srl

La soupe au(x) caillou(x)

Distribution

Texte : Julie Annen – Scénographie, mise en scène, jeu et manipulation : Thibaut De Coster, Charly Kleinermann, Julie Annen – Regards extérieurs : Diana Fontannaz, Viviane Thiebaud – Lumières : Marc Defrise – Consultant réalisation : Eric Bellot – Consultant matériel vidéo : Sébastien Fernandez  

Résumé

A partir de 4 ans Comment ?! Vous ne connaissez pas la recette de la soupe aux cailloux ? Si Mémé n’est plus là pour la cuisiner, sa petite-fille va vous la mitonner. Tout commence par un caillou choisi avec attention. Et pour chaque nouveau légume qu’elle mettait dans la soupe, Mémé racontait une nouvelle histoire. Peu à peu, on découvre ses ingrédients préférés : l’accueil, la solidarité et le respect.

La Tempête

Distribution

Auteur William Shakespeare – Traduction François Barthélemy – Mise en scène François Marthouret – Traduction François Marthouret – Mise en scène Sylvie Fennec – Avec Jean-Pierre Bagot, Michel Caccia, Elise Caron, Gérard Chaillou, Christian Colin, Yann Collette, Yves Kerboul, Bernard Marcellin, Xavier Marchand, Bruce Myers, Jean-Gabriel Nordmann, Hélène Patarot, Michel Peyrelon.

Résumé

Une comédie fraîche, idyllique mais d’un fond très tragique. Dans une île mystérieuse pleine de chansons et de douces musiques – perdue sur l’immensité des mers – habite Prospero, l’homme juste, le sage que la foi, l’étude et la méditation ont élevé au-dessus de ses semblables après l’avoir soutenu dans l’adversité. La providence amène dans cette île ses ennemis. Il les éprouve par le pouvoir presque surnaturel que la science lui donné : il les confond, leur fait voir leur faute et, magnanime, leur pardonne. Par le Théâtre Gérard Philipe de St Denis.

La Tragédie du Roi Christophe

Distribution

Auteur Aimé Césaire – Mise en scène Jean-Marie Serreau – Direction artistique Raymond Hermantier – Décor Claude Lemaire – Avec Douta Seck

Résumé

Histoire politique, épisode de la décolonisation d’Haïti où s’affrontent despotisme éclaire et formalisme pseudo-démocratique mais aussi méditation métaphysique sur la nature du pouvoir et de la force. Par le Théâtre National Daniel Sorano de Dakar

La Vie comme elle vient

Distribution

Auteur : Alex Lorette – Mise en scène : Denis M’punga – Avec : Jo Deseure, David Ilunga, Elsa Poisot

Résumé

Quand je suis arrivée en Belgique, il pleuvait. C’était en 1958. Je suis arrivée comme ça, par la mer, sur le « Ville de Bruxelles ». Le bateau, c’est plus sûr que l’avion, disait mon grand-père. Le bateau, ça donne le temps de réaliser qu’on s’en va. C’est ainsi que Lucie, 17 ans, débarque du Congo où elle est née et a vécu une enfance heureuse… jusqu’à cet accident de jeunesse. Blanche de peau, elle s’est toujours sentie noire à l’intérieur. A peine arrivée en Belgique, la voilà recluse au couvent pendant 4 ans. Quand elle peut enfin en sortir, commence le chemin de l’errance… Un retour au Congo est impossible, les Blancs n’y sont plus les bienvenus. Et l’on découvre à travers son regard la société belge des années 1960, lourde de préjugés et cruelle pour tout qui s’écarte de la norme. L’auteur belge Alex Lorette se distingue par sa plume délicate, tout en finesse et en émotion. Il écrit ici le récit poignant d’un exil dans son propre pays et le portrait d’une Belgique peu connue, celle des années postcoloniales. Denis M’punga met en scène David Ilunga (tous deux dans « Un Macbeth » la saison dernière), Jo Deseure (également dans « Sonate d’automne » cette saison) et Elsa Poisot.

La Vie d’artiste racontée à ma fille

Distribution

Musiciens : Luigi Sigillo, Mirra Gianluca – Assistante costumes : Evelyne Heftre – Images : Elise Dutartre – Lumières : Pascal Noël – Collaboration artistique : Léonidas Strapatsakis – Chorégraphie : Laurence Roussarie – Musiciens : Didier Ithursarry – Musique originale : François Orenn, Jean-François Boisadan, Christian Hillion – Musiciens : Roland Romanelli, Jean-Luc Pagni – Costumes : Michel Dussarat – Musiciens : Gérard Daguerre – Son : Olivier « Aldo » Pedron – Interprétation : Nina Savary, Jérôme Savary – Mise en scène et décors : Jérôme Savary – Musique originale : Gérard Daguerre – Auteur : Jérôme Savary

Résumé

Petit show magique – En exclusivité en Belgique Accompagné de sa fille, artiste et enfant du Magic Circus, Jérôme Savary rejoue sur scène les moments forts de sa carrière. Une balade de l’Argentine natale à la France des années 80, sur les traces d’un grand metteur en scène. Une vie trépidante, incroyable et loufoque aux innombrables rencontres. En retour, Nina Savary chante les belles chansons du Magic Circus, celles de Topor, de Copi et de son père, le tout avec la complicité d’un petit orchestre. Une production Atelier Théâtre Actuel et Pica Productions

La vie de Galilée

Distribution

Auteur Bertolt Brecht – Mise en scène André Steiger – Scénographie Marie-Claire Van Vuchelen – Avec Michel Bawedin, Axel De Booseré, Anny Frenay, Evelyne Gouilleux, Robert Lemaire, André Lenaerts, Alexandre von Sivers, Valérie Lenaerts, Stéphane Ledune, Thierry Donk, Françoise Butil, Florence Lecomte, Olivier Darimont, Raoul Teuscher, Jean-François Politzer.

Résumé

A partir de l’histoire de l’un des fondateurs de la physique moderne (un « héros » de la science, complexe, contradictoire, ambigu), Brecht s’interroge, au début de l’âge atomique, sur la responsabilité de l’intellectuel. Une œuvre à la fois profondément critique et poétique. Coproduction théâtre de l’Echappée – Théâtre de la place.

La Vieille au bois dormant

Distribution

Tour de chant théâtral de Clémence Massart – Régisseur : Paul Triadou

Résumé

Clémence Massart est avant tout comédienne. Elle est passée du Théâtre du Soleil – où vous avez pu la voir dans L’Age d’Or – au Magic Circus puis au Footsbarn Theatre, entre autres. Elle en garde une puissance d’interprétation et un goût certain pour l’improvisation. Lorsque Clémence Massart entre en scène, avec son accordéon, sa trompette, son petit décor, sa couronne de reine, c’est un univers qui nous apparaît comme sorti d’un café parisien des années ’30. La vieille au bois dormant a 100 ans, espère toujours le Prince charmant et souhaite que ce soit le marquis de Sade ! Clémence Massart chante ses terribles chansons oubliées, mais aussi des nouvelles, écrites pour elle, cruelles et drôles, sur sa décrépitude annoncée, sur les paradis artificiels, l’alcool, la jalousie, le crime et le rhume. C’est toute une palette colorée et sensible de petites histoires en musique, des textes de Desnos et d’autres… Un petit monde où la truculence du verbe n’a d’égale que l’authenticité du propos. Car Clémence Massart est une rigolote descendue des gouailleuses, une artiste à tripes et à tempérament, une conteuse à la fibre populaire, revigorante ; mais aussi une philosophe, tendre et sensible. Elle nous amuse par sa malice, nous étonne par sa fantaisie et nous prend par la main sur le chemin des émotions ! Une production de la Comédie Nouvelle.

La Vraie Vie

Distribution

Auteur : Adeline Dieudonné – Mise en scène et adaptation : Georges Lini – Avec : Isabelle Defossé, Adeline Dieudonné, Georges Lini – Et un jeune, en alternance : Octave Delaunoy, Louis Fayt, Amos Suchecki – Collaboration dramaturgique / Coaching jeunes : Nargis Benamor – Scénographie et costumes : Thibaut De Coster, Charly Kleinermann – Création vidéo et son : Sébastien Fernandez – Création lumières : Jérôme Dejean – Avec la participation de : Blanche Mosselmans – Stagiaire assistanat : Nikita Dragomir

Résumé

La vie est une grande soupe dans un mixer au milieu de laquelle il faut essayer de ne pas finir déchiqueté par les lames qui vous attirent vers le fond. Après vous avoir fait chavirer avec « Un Tailleur pour dames », Georges Lini s’empare du premier roman coup de poing de l’atypique auteure belge Adeline Dieudonné, déjà gratifié de nombreux prix littéraires. Entre poésie de l’enfance et drame empreint de noirceur sociale, le récit d’Adeline Dieudonné déploie une atmosphère où l’étrange et le fantastique se mêlent à une réalité désespérée. On y suit une famille vivant dans une banlieue sinistre et soumise à un père amateur de chasse, tyrannique et violent. Le quotidien de la narratrice de dix ans est égayé par les jeux dans les carcasses de voitures du « cimetière de métal » et par le rire de son petit frère, Gilles. Un rire qui bientôt va s’effilocher… Pour lui rendre le sourire, elle va tout faire pour revenir en arrière et effacer cette vie qui lui apparaît comme le brouillon de l’autre. Alors, en guerrière des temps modernes, elle retrousse ses manches et plonge tête la première dans le cru de l’existence. Les histoires, elles servent à mettre dedans tout ce qui nous fait peur, comme ça on est sûr que ça n’arrive pas dans la vraie vie.

Le bal de N’Dinga

Distribution

Auteur : Tchicaya U Tam’si – Mise en scène : Gabriel Garran – Avec : Pascal N’Zonzi, Christine Sirtaine, Henri Delmas, Marius Yelolo, Jack Robineau.

Résumé

Le 30 juin 1960 à Léopoldville, l’indépendance du Zaïre est proclamée. Dans les rues de la ville, le peuple en liesse chante dans un cha cha effréné. N’Dinga, balayeur dans un bordel de luxe, tenu par un Belge, est lui aussi fou de joie. Enfin, il va pouvoir s’offrir une nuit d’amour avec la belle Sabine. Pour elle, depuis trois mois, il économise chaque sou de son salaire. Le désir de N’Dinga devient ivresse, délire. Se raillant des menaces de son patron, il se précipite dans la rue et se mêle aux émeutiers. A son tour, il chante ‘l’Independa cha cha ». Il ignore qu’il a rendez-vous avec la mort.Ce spectacle a été nominé au Molière du meilleur spectacle. Une production du Théâtre International de Langue Française.

Le Bon Vin de Monsieur Nuche

Distribution

Auteur Paul Willems – Musique André Souris – Mise en scène Henri Ruder – Assistant à la gestuelle Michel Carcan – Régie générale Marcel Derwael – Décors et costumes Raymond Renard – Avec Francis Besson (L’astronome), Bernard Cogniaux (Martin, le domestique des épiciers), Patricia Davia (Isabelle, fille des épiciers), Suzanne Gohy (Madame Nuche, la femme du riche épicier), Eric Pradier (Monsieur Nuche, riche épicier), Thierry Thomson (Premier vagabond) – Contrebasse Pierre Boigelot, Robert Devillers – Flûte Eric Procureur, Johan Reycken

Résumé

Un spectacle créé sous le signe de l’échange et de l’amitié à l’Atelier Théâtral de Louvain-la-Neuve : une nouveauté ! Dans un scintillement de fantaisie et de poésie, Le Bon Vin nous montre la victoire inattendue du rêve sur les valeurs matérielles et monnayables. Le texte est construit comme une musique, par échos et retours. Les mots ont la densité de la sensation. Ils sont la pluie, la joie, le sanglot. Il faut voir cette comédie pleine d’humour dans laquelle l’amour de deux jeunes gens triomphent, par astronome et vagabonds interposés, des contraintes d’un milieu qui, c’est le moins que l’on puisse dire, manque d’imagination. Et à tout moment, on frôle les charmes et les candeurs de la comédie musicale, grâce à l’étonnante musique d’André Souris.

Le bonnet de fou

Distribution

Auteur : Luigi Pirandello – Metteur en scène : Laurent Terzieff – Interprétation : Pascale de Boysson, Isabelle Sadoyan, Madeleine Assas, Olivier Brunhes, Laurent Terzieff, Philippe Laudenbach, Yvette Caldas, Gisèle Touret

Résumé

Le bonnet de fou est l’aboutissement de deux nouvelles de Pirandello « Certains devoirs » et « La vérité ». Ces deux textes évoquent l’histoire d’un mari qui se sait trompé et s’accomode de cette situation à condition que les apparences soient sauvées. Une coproduction Compagnie Laurent Terzieff, Théâtre de Saint Quentin en Yvelines, Scène Nationale, Printemps des Arts de Monte-Carlo, Atelier Théâtre Actuel

Le Bossu

Distribution

Auteur Carlo Collodi – Mise en scène Patrick Roegiers – Par la Compagnie Sang Neuf

Résumé

Par la Compagnie Sang Neuf.

Le Bourgeois Gentilhomme (création)

Distribution

Auteur Molière – Mise en scène Armand Delcampe – Décor Josef Svoboda – Costumes Elena Mannini – Avec Patrick Ridremont, Pierre Derthe, Yves Pignot, Gérard Vivane, Raymond Avenière, Robert Lemaire, Florence Crick, Colette Emmanuelle, Robert Guilmard, Lotfi Yahya Jedidi, Bernard Sens, Catherine Leriche, Stéphane Excoffier, Amaryllis Grégoire, Jean-Guy Devienne, Olivier Leborgne, Olivier Thomas, Jean-François Politzer, Maria M.R. Codina – Danses et choeurs Arielle Harcq, Nathalie Hugo, Violaine Van Cottom, Pascale Vander Zypen, Patrick Ridremont, Françoise Butil, Thierry Donk – Orchestre sous la direction de Paul Uy.

Résumé

D’où vient ce personnage si follement désireux de noblesse, si avide de se décrasser de sa roture originelle, comique par ses efforts de se travestir en ce qu’il ne sera jamais ? Comme à la création de la pièce, chacun aujourd’hui croira y trouver son voisin peint au naturel… Une pièce où la satire sociale se mêle à la fête de la musique et de la danse. Où Molière montre qu’il peut unir la force et la grâce. Création de l’Atelier Théâtral de Louvain-la-Neuve. En coproduction avec le Théâtre Royal de la Monnaie.

Le Bourgeois Gentilhomme (reprise)

Distribution

Musique Paul Uy – Mise en scène Armand Delcampe – Décor Josef Svoboda – Costumes Elena Mannini – Auteur Molière – Avec Patrick Ridremont, William Bégot, Yves Pignot, Gérard Vivane, Raymond Avenière, Robert Lemaire, Marie-Line Lefebvre, Robert Guilmard, Yves Claessens, Bernard Sens, Catherine Leriche, Stéphane Excoffier, Olivier Leborgne, Jean-François Politzer – Danses et choeurs Nathalie Hugo, Patrick Ridremont, Françoise Butil, Thierry Donk – Avec Amaryllis Grégoire, Jean-Guy Devienne, Olivier Thomas – Danses et choeurs Arielle Harcq, Pascale Vander Zypen – Flûte Marie-Claude Buffenoir – Clarinette Jean Ryckewaert, Pol Dusart – Clarinette basse Christian Debauve – Cor Pierre Jeanmenne, Fabrice Deroo – Trompette Guy Matelaert – Percussion Gérald Bernard – Synthétiseur Michel Mondy – Hautbois Pierre Devos

Résumé

Comédie-ballet. Où est le mal à quarante ans de vouloir tout apprendre pour raisonner avec les « personnes de qualités » ? On l’excuserait presque ce bourgeois de rêver dans la démesure. L’Atelier Théâtral reprend à Louvain-la-Neuve sa prestigieuse création de la saison 89/90, « Le Bourgeois Gentilhomme » de Molière. Un spectacle heureux et étincelant qui a déjà laissé – tant chez nous qu’à Paris et dans tout le France – des étoiles dans les yeux de plus de 50.000 spectateurs.

Le Bureau des histoires…*

Distribution

Auteur : Carine Ermans – Mise en scène : Sabine Durand – Avec : Carine Ermans, Benjamin van Thiel, Simon Elst, Jean-Dominique Kerignard

Résumé

Un salon vide avec juste un piano, une petite table et un téléphone en bakélite. Sur les murs de papier peint aux motifs noirs et blancs, on devine les traces de tableaux qui ont été suspendus là il y a des années, et aussi l’emplacement d’une ancienne cheminée. Une fenêtre ouvre sur la nuit qui tombe. Quatre personnages se retrouvent dans ce « Bureau » hors du temps pour accomplir une tâche de la plus haute importance : répondre aux appels pressants de personnes en demande d’histoires avant d’aller dormir…

Le C.V. de Dieu

Distribution

Auteur : Jean-Louis Fournier – Mise en scène : Françoise Petit – Avec : Jean-François Balmer, Didier Bénureau – Décors et costumes : Jean Bauer – Lumières : Hervé Gary – Vidéo : Tristan Sébenne – Son : Thibault Hédoin – Collaboratrice artistique à la mise en scène : Vanessa Varon – Construction décors : Théâtre des Nouveautés, Atelier Marigny – Peinture : Sylvie Mitault  

Résumé

Dieu passe un entretien d’embauche ! Impossible ? Pourtant, maintenant qu’il a terminé la Terre, le ciel, la mer et l’homme, le Créateur s’ennuie ferme et finit même par perdre confiance en lui. Il se met à chercher du travail et envoie son Curriculum Vitae. Et le voici sur terre, face au directeur des ressources humaines d’un grand groupe. L’entretien s’annonce serré car le recruteur est teigneux et va rapidement passer de l’admiration béate au règlement de comptes… La situation est folle, le dialogue aussi. Pas de métaphysique ici mais une délirante joute verbale servie par deux interprètes chevronnés : Jean-François Balmer (commandant désabusé de la série « Boulevard du Palais ») campe Dieu face à Didier Bénureau, irrésistible humoriste. On apprécie l’inventivité et l’impertinence de Jean-Louis Fournier, complice de Desproges, qui signe une pièce légère à l’humour absurde et piquant, déjà un beau succès au Festival d’Avignon !

Le Carnaval des ombres

Distribution

Auteur : Serge Demoulin – Mise en scène : Michael Delaunoy – Avec : Serge Demoulin  

Résumé

Serge, alors jeune étudiant au Conservatoire de Bruxelles, fait chaque vendredi la route Bruxelles-Waimes pour rentrer chez ses parents. Sur le trajet, il rêve à la région de son enfance, à son histoire. 1944. C’est ici que Allemands et Alliés se sont entretués. Que des civils belges sont devenus allemands du jour au lendemain. Mais Serge ce jour-là a du mal à rentrer au pays. Hier, il s’est fait traiter de « boche » par un camarade de classe bruxellois. « Ah tu viens des Cantons rédimés, de chez les… ». Il n’a rien pu répondre. Les questions se bousculent dans sa tête. Pourquoi le reste de la Belgique est-il resté silencieux lors de cette annexion ? Son grand-père et ses oncles ont été enrôlés de force dans l’armée nazie allemande. Comment résister ? Le plus jeune allait avoir 20 ans. Comment meurt-on sous cet uniforme-là ? De là où il vient, on ne parle pas du passé. De là où il vient, on parle et on rit wallon. Et c’est lors du très célèbre carnaval de Malmedy, lorsque la fête bat son plein au rythme des kermesses et de l’alcool que le passé rattrape Serge. Car si le déguisement permet l’évasion, il peut dans d’autres circonstances révéler une vérité douloureuse profondément enfouie dans les mémoires.

Le Champ de bataille

Distribution

Auteur : Jérôme Colin – Adaptation et mise en scène : Denis Laujol – Avec : Thierry Hellin – Collaboration artistique : Julien Jaillot – Scénographie : Denis Laujol – Création lumières : Xavier Lauwers – Costumes : Carine Duarte – Vidéo : Lionel Ravira – Merci à : Alice Olivier, Stéphane Arcas

Résumé

L’ennui avec les enfants, c’est qu’ils grandissent. C’est qu’un beau matin, sans prévenir, ils mettent des trainings, répondent par onomatopées, claquent les portes et écoutent de la mauvaise musique. La quarantaine galopante, voilà ce que se dit ce père, enfermé dans les toilettes, ultime forteresse inviolable, où il consulte des dépliants de voyage. Une manière d’échapper pour de bon à la pesanteur du quotidien, alors que son couple est sur le point de craquer face aux assauts répétés de leur fils de 15 ans. Enorme succès lors de sa création au Théâtre de Poche, cette adaptation du roman du journaliste Jérôme Colin dresse le portrait d’un amour familial où les sentiments sont à vif ! L’interprétation de Thierry Hellin est saisissante. Un spectacle qui questionne la violence sociale, notamment produite par l’école et la famille, mais gonflé d’espérance grâce à une écriture pleine de tendresse et de dérision.

Le Cocu magnifique

Distribution

Auteur : Fernand Crommelynck – Metteur en scène : Vincent Goethals – Interprétation : André Baeyens, Itsik Elbaz, Martin Firket, Pierre Haezaert, Fabienne Mainguet, Corinne Masiero, Anne-Catherine Regniers, … – Dix élèves du Conservatoire Royal de Mons : Baptiste Blampain, Damien De Dobbeleer, Laurie Jedwab, Alexis Julemont, Jeanne Kacenelenbogen, Izabela Karolczuk, Virgile Magniette, Nicolas Matthys, Corinne Pele, Léa Poirrier – Scénographie : Jean-Pierre Demas – Lumières : Philippe Catalano – Environnement sonore : Bernard Valléry – Vidéo : Aliocha Van der Avoort – Costumes : Dominique Louis, Sohrab Kashanian – Assistante à la mise en scène : Isabelle Lusignan

Résumé

La folle danse des amants éperdus Depuis le temps qu’on se marie, il y a des cocus de toute espèce. Celui-ci a une particularité : sa femme, qu’il adore, l’aime aussi et tient absolument à lui rester fidèle. Bruno vit dans l’exaltation de cet amour partagé jusqu’au moment où un regard, peut-être mal interprété, enclenche la machine infernale de la jalousie… Et pour être certain d’être cocu, c’est lui qui va pousser sa femme dans les bras d’autres hommes. L’œuvre de Fernand Crommelynck signe le début d’un renouvellement complet de l’esthétique théâtrale. L’art de mêler la farce au drame dans une démesure et un baroquisme déconcertants pour l’époque a entraîné dans sa dynamique des créations scéniques révolutionnaires tant dans la conception du décor que dans le jeu des acteurs. (…) Lors de la création en 1920 au Théâtre de l’Oeuvre de Lugné-Poe, à Paris, la pièce remporta un immense succès. En 1922, Meyerhold s’en empara à Moscou dans une optique révolutionnaire. Armand Delcampe, in Dictionnaire encyclopédique du Théâtre Vincent Goethals dirige la compagnie Théâtre en Scène depuis sa création en 1986. En tant qu’acteur et metteur en scène, il patrouille de préférence sur les terres du théâtre contemporain et singulièrement du théâtre francophone. Ces dernières années, il a été successivement artiste associé à l’Hippodrome – Scène Nationale de Douai, au Bateau Feu – Scène Nationale de Dunkerque et au Théâtre du Nord – Centre Dramatique National de Lille. Production Théâtre en Scène, le Rideau de Bruxelles, le Centre Dramatique Régional de Tours, l’Atelier Théâtre Jean Vilar de Louvain-la-Neuve, l’Avant-Seine de Colombes, avec la participation du Centre des Arts Scéniques

Le Coq combattant ou l’atrabilaire amoureux

Distribution

Auteur : Jean Anouilh – Mise en scène et version scénique : Armand Delcampe – Interprétation : Armand Delcampe, Myriem Akheddiou, Marie-Line Lefebvre, Isabelle Roelandt, Alexandre von Sivers, Gérard Vivane, Robert Guilmard, Jean-Marie Pétiniot, Patrick Ridremont, Olivier Leborgne, Jean-Claude Dubiez, Géromine Poulain, Fanny Bruyère, Valentine Jongen, Grégoire Turine, Maxime Nyamabu, Thomas Recht, Sacha Schildermans, Aurélien Comblez, Philémon Jongen – Scénographie et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Jacques Magrofuoco – Maquillages : Martine Lemaire – Gestuelle : Jean-Paul Corti – Assistants à la mise en scène : Jean-François Viot, Mélodie Axel – Construction décor : Georges Delhez, Christophe Beaugé, Nicolas Perretier, Vincent Rutten, Mathieu Regaert, Marc Cocozza – Peinture : Christophe Beaugé – Couturières : Odile Dubucq, Valérie Leclercq – Régie lumières : Gary De Beys, Jacques Perera – Régie son : Eric Degauquier, Nicolas Perretier – Régie plateau : Marc Cocozza, Mathieu Regaert, Vincent Rutten – Habilleuses : Emmanuelle Froidebise, Liliane Thomas – Maquilleuse : Martine Lemaire – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Méfions-nous des purificateurs ! Ludovic, général héroïque, décide de sauver le pays en prenant le pouvoir par une conspiration, sa seconde d’ailleurs, la première l’ayant conduit au limogeage et en prison ! S’entourant de ses fidèles amis, Bélazor, Lebelluc, Le Docteur et Ledadu, il décide de mettre sur pied un « noyau dur » de patriotes, prônant un nécessaire retour aux valeurs essentielles de la France. Le général ambitionne de rendre la France grande, propre et rigoureuse et – selon son expression – souhaite extirper les vers qui se sont glissés dans la pomme. La jeune et douce femme du général, Aglaé, promène son vague-à-l’âme dans ce foyer. Elle a deux enfants, Toto et Marie-Christine qui court précocement avec le fils du laitier. Pendant ce temps, Sophie, la grande fille que le général a eue d’un premier lit tombe amoureuse à tour de bras. Cette fois-ci, elle a jeté son dévolu sur l’ambitieux et « progressiste » David Edward Mendigalès. Le général règne sur ce petit monde. Combatif, mais progressivement abandonné de tous, il continue de lutter tel un Don Quichotte contre les moulins, essayant de retenir le mouvement inexorable de leurs ailes. Et bientôt de découvrir l’inutilité de sa conspiration devant la marche triomphale des vers dans le fruit… Anouilh emprunte certains traits à Alceste ou à Don Quichotte et nous livre un personnage entier et excessif. Amoureux aussi, attendrissant et ridicule dans son désir de pureté absolue. Sa devise pourrait être « la nostalgie n’est plus ce qu’elle était » ou mieux « Que revivent les vélos rouillés ! »… ou encore : « Les Anciens lavaient plus blanc ! ». « Le Coq combattant ou l’atrabilaire amoureux » paru sous le titre « L’Hurluberlu ou le réactionnaire amoureux » Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar. En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be Soirée spéciale Réveillon de Nouvel An Buffet somptueux à 25 € (en option)

Le Fantôme de Shakespeare

Distribution

Lumière : André Diot – Musique : Jean-Jacques Lemêtre – Interprétation Philippe Avron – Auteur : Philippe Avron

Résumé

De l’humour, de la tendresse… Un hymne au théâtre, au Grand Will, au public ! Dans une classe de terminale de lycée, peuplée d’élèves répondant aux doux noms de Tête de Silex, Carbone 14, Black Hole ou Aurélia, le professeur essaie de faire partager à ses ouailles la certitude de l’existence des messagers de l’au-delà. Le spectacle parle des fantômes qu’on ne voit pas, mais qui n’en existent pas moins, ce sont nos doubles, nos ancêtres, tous ceux qui nous habitent. Shakespeare est le roi des fantômes avec sa poésie et son panthéisme. Ce qui frappe le comédien-auteur, c’est que depuis deux générations, on a éliminé les fantômes de notre vie. C’est pourquoi les fantômes se sont réfugiés au théâtre, là est leur place. Le théâtre fait venir les spectres et revenir au passé. Ce spectacle a reçu en France le Molière 2002 du meilleur one man show. Production Acte 2 et Catherine de Courson en accord avec le Théâtre Le Ranelagh

Le Farré sifflera trois fois

Distribution

Auteur Jean-Paul Farré

Résumé

« C’est probablement le plus grand clown musicien qu’on ait vu depuis très longtemps » – Le Matin. Le Théâtre actuel présente Jean-Paul Farré dans son spectacle musical et burlesque en trois actes, un prologue, deux interludes et un final…

Le Gardien

Distribution

Interprétation : Christophe Giordano, Gildas Milin – Auteur : Harold Pinter – Interprétation : Alain Rimoux – Saxophone : Alain Bugelli – Texte français : Eric Kahane – Metteur en scène : Stuart Seide – Scénographie : Charles Marty

Résumé

Trois “laissés pour compte”, trois individus qui hantent les bas-fonds de nos villes, trois vies en quête d’attache et de sens. Deux frères et un clochard entreprennent, peut-être à leur insu, un voyage ludique et corrosif dans le faux semblant, dans un jeu de manipulation dont nul ne semble le maître et où tous les coups sont permis. Une restitution de notre existence quotidienne transposée dans un magistral équilibre de tension et d’humour. Une pièce à la fois énigmatique et jubilatoire qui tente de déceler les mécanismes et les rouages des êtres fascinants que nous sommes. Un spectacle du Théâtre du Nord, Théâtre National Lille Tourcoing Région Nord Pas de Calais, avec le soutien de la Spedidam.

Le Gardien de l’Horloge

Distribution

Avec : Alain Delval

Résumé

Le gardien de l’horloge est un homme très heureux. C’est sa bien-aimée horloge qui, heure après heure, lui indique ce qui est à faire dans l’île et dans le monde. En échange, il s’en occupe, la cajole et la chérit comme doit le faire un bon gardien. Et voilà qu’un visiteur inattendu, un petit garçon pleurnichard, vient rompre sa solitude, troubler la convenance des heures et mettre tout sens dessus dessous… Un spectacle baigné de musique, un poétique berceau de tendresse et de douceur.

Le grand jour

Distribution

Auteur : Les Troyens – Metteur en scène : Carina Bonan – Interprétation : Bernard Massuir, Pierrot Mol, Andréas Hartmann

Résumé

Trio de comiques musicaux. Défenseurs du nez rouge, amoureux de la musique, ces clowns subtils, naïfs, maladroits et volontaristes remettent la musique ustensilatoire au goût du jour. Parmi leurs instruments iconoclastes, la voix est leur atout majeur.

Le Grand Retour de Boris S.

Distribution

Auteur : Serge Kribus – Metteur en scène : Valérie Lemaître – Interprétation : Xavier Campion, Alexandre von Sivers

Résumé

Père-fils ; improbables retrouvailles Ils s’appellent tous les deux Spielman. Henri, c’est le fils de Boris. Boris, le père de Henri. Ça paraît évident, mais ce n’est pas si simple. Boris est toujours un peu largué. Henri, toujours un peu nerveux. Boris est dur, mais fragile. Henri, c’est l’inverse, il est fragile, mais dur. Et voilà que Boris débarque à l’improviste chez son fils, qu’il n’a pas vu depuis des mois. On vient de lui proposer de jouer, au Théâtre National, Le Roi Lear de Shakespeare. Mais pour Henri, le moment est douloureux. Sa femme l’a quitté et il vient de perdre son travail. Les deux hommes n’ont jamais su véritablement se parler et rapidement les conflits éclatent. Car comme on le sait, quand on s’aime beaucoup, on s’engueule tout le temps… Le Grand Retour de Boris S. est l’occasion d’un duel formidablement humain, vivant et drôle, entre un père et son fils qui prennent enfin un peu de temps pour s’avouer leur tendresse. L’occasion aussi de se poser quelques questions essentielles : qu’est-ce qu’un homme ? un Juif ? un père ? un fils ? Peut-on transmettre la mémoire sans transmettre la souffrance ? Serge Kribus n’assène aucun message, ne théorise pas, il fait mouche, en un dialogue toujours vif, toujours surprenant et, ce qui ne gâte rien, drôle. Les deux hommes se heurtent, parfois se blessent, se fuient, se retrouvent, ricanent pour mieux cacher les larmes…(Les Échos) En 2006, nous avions créé L’Amérique, pièce pour laquelle Serge Kribus a été nominé aux Molières dans la catégorie meilleur auteur. Le spectacle a été repris au Rideau de Bruxelles, au Festival de Théâtre de Spa, à Ath, Huy, Tournai et à Louvain-la-Neuve. Un projet du Théâtre du Grand Complot produit par l’Atelier Théâtre Jean Vilar. Deux représentations traduites en langue des signes le jeudi 9 février à 13h30 et 19h30 Rencontre avec l’auteur et l’équipe du spectacle le dimanche 12 février à l’issue de la représentation au bar (entrée libre – sans réservation)

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