Théâtre Jean Vilar

Le Maître de go

Distribution

Auteur : Yasunari Kawabata – Metteur en scène : Jean-Paul Lucet – Adaptation : Philippe Faure – Interprétation : Michel Bouquet, Juliette Carré, Jacques Spiesser, Jérôme Anger, Valentine Varela, Isabelle Moulin, Xavier Renoult.

Résumé

Un vieux maître, Shusai décide de mettre son titre en jeu pour la dernière fois au cours d’un tournoi qui l’oppose à son ancien élève Otaké. Le jeu clair , limpide et éclatant du maître est confronté au jeu diabolique, sombre et douloureux d’Otaké…

Le mal court

Distribution

Auteur : Jacques Audiberti – Metteur en scène : Pierre Franck – Interprétation : Claude Evrard, Nicolas Pignon, Clément Harari, Ronny Coutteur, Isabelle Carré, Philippe Lefebvre, Philippe Jeupeu

Résumé

Il était une fois une princesse venue d’Orient pour épouser un roi d’occident. En chemin, elle fait une halte dans un hôtel proche de la frontière qui sépare les deux royaumes. Si l’histoire commence comme un conte, très vite on sent poindre la déconvenue. C’est le matin de la cérémonie. La princesse Alarica n’arrive pas à dormir. Soudain, on frappe à la porte : « c’est Parfait, le roi d’occident », annonce une voix. La princesse commence à rêver, elle ignore encore qu’elle va au devant de grandes déceptions… Une production du Théâtre de l’Atelier

Le malade imaginaire

Distribution

Auteur : Molière – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Armand Delcampe, Patricia Houyoux, Isabelle Paternotte, Jean-Michel Vovk, Gilles Wiernik, Gérard Vivane, Olivier Leborgne, Gilbert Charles, Yann Bittner, Georges Pirlet, Marie-Line Lefebvre

Résumé

Comédie-ballet de Molière

Le malade imaginaire

Distribution

Auteur : Molière – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Armand Delcampe, Patricia Houyoux, Isabelle Paternotte, Jean-Michel Vovk, Gilles Wiernik, Gérard Vivane, Olivier Leborgne, Gilbert Charles, Yann Bittner, Georges Pirlet, Marie-Line Lefebvre – Direction musicale : Louis Devos

Résumé

« Le malade imaginaire » est présenté comme un divertissement offert au plus grand des rois par Flore, Pan et une troupe de bergers et bergères, pour le délasser de ses glorieuses fatigues et de ses exploits victorieux. Des intermèdes de musique et des danses sont glissés dans les entractes de la comédie. Une production de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve et de la Compagnie Armand Delcampe

Le malade imaginaire

Distribution

Auteur Molière – Mise en scène Pierre Boutron – Décor Emile Ghigo – Costumes Daniel Ogier – Musique originale Roland Romanelli – Avec Michel Bouquet, Arièle Séménoff, Dolorès Torrès, Vanessa Zaoui, Franck Lapersonne, Bertrand Lacy, André Burton, Jean-Damien Barbin, Alain Mac Moy, Idriss, Jean-Jacques Giry, Juliette Carré

Résumé

Pièce singulièrement amère, malgré, peut-être à cause de la gaieté qui, par moments, l’emporte. Au centre, Argan, bourré de médecines et de lavements ; sa vie est scandée par des trottinements précipités, bâton à la main, de son fauteuil à sa « chaise d’affaires ». De là un comique, pas trop délicat, mais d’efficacité éprouvée. Si Argan n’était que ridicule ! Mais sa passion des soins médicaux est une forme désespérée de la terreur de la mort ; elle va donc jusqu’aux extrémités les plus odieuses de l’égoïsme. De l’idée fixe d’Argan vivent des parasites : médecins, apothicaires, héritier et notaire… Une production du Théâtre de l’Atelier.

Le Mariage de Figaro

Distribution

Auteur : Beaumarchais, Mozart – Adaptation et mise en scène : Jean Hervé Appéré – Collaboration artistique : Gil Coudène – Direction musicale : Pierre Gallon – Avec : Guillaume Collignon (Figaro), Antoine Lelandais (Figaro), Pauline Paolini (Suzanne), Bérangère Melh (Suzanne), Antonine Bacquet (La Comtesse), Pierre Audigier (Le Comte), Audrey Saad (Chérubin), Stéphan Debruyne (Bartholo), Marie Némo (Marceline), André Fauquenoy (Bazile), Frédéric Barthoumeyrou (Bri d’Oizon), Agnès Mir (Double Main) – Musiciens : Damien Fourchy (hautbois), Jean Brice Godet (clarinette), Jonathan Jolin (clarinette basse), Nicolas Bénedetti (trombone à coulisse) – Assistante à la mise en scène : Mélanie Le Duc – Chorégraphies : Guillaume Jablonka – Pantomime : Valérie Bochenek – Masques et décors : Stefano Perocco – Perruques : Alex Bonnefoy – Costumes : Delphine Desnus – Lumières : Edwin Garnier

Résumé

Rien ne va plus au château d’Aguas Frescas ! Le valet Figaro se prépare à épouser le soir même Suzanne, la femme de chambre de la Comtesse Almaviva. Mais la journée se transforme en une véritable course d’obstacles : le Comte tente de séduire la future mariée tandis que Marceline, la femme de charge du domaine, veut obliger Figaro à l’épouser, et Chérubin, amoureux de toutes les femmes de la maison, perturbe les plans des protagonistes par ses tentatives de séduction… Heureusement, tout rentrera dans l’ordre au terme de cette folle journée et le couple pourra enfin s’unir ! C’est le peuple qui triomphe et Figaro ne manque pas d’exprimer ses griefs à l’égard des aristocrates, représentés par le Comte : « Noblesse, fortune, un rang, des places : tout cela rend si fier ! Qu’avez-vous fait pour tant de biens ? Vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus… »

Le Mariage de Figaro (création)

Distribution

Mise en scène Pierre Laroche – Auteur Beaumarchais – Décor Jean-Marie Fiévez – Costumes Elena Mannini – Avec Gérald Marti, Stéphane Excoffier, Armand Delcampe, Fanny Delbrice, Gisèle Oudart, José Jolet, Alida Latessa, Michel Wouters, André Lenaerts, Christian Crahay, Gérard Vivane, Patrick Sluys, Philippe Dupont, Michel Bawedin, Annouck Dupont, Jean-Henri Compère, Pierre Laroche, Marie-Christine Baeyens, Peter Brouns, Fabienne Coppens, Chantal Corthals, Marie-France Preutens, Michel Verheyden.

Résumé

Une création de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve. Le mariage de Figaro contient une véritable revue de la société française au XVIIIème siècle, et il faut entendre le mot revue au double sens du mot : inventaire et dérision. Critique de la censure et de l’autorité, des privilèges et des atteintes aux libertés de penser, de parler et d’écrire. Satire des grands. Tableau misérable de la condition des femmes. Caricature de la justice. Satire du monde dramatique. La diplomatie n’est pas non plus oubliée.

Le Mariage de Figaro (reprise)

Distribution

Auteur Beaumarchais – Mise en scène Pierre Laroche – Décor Jean-Marie Fiévez – Costumes Elena Mannini – Avec Fanny Delbrice (Suzanne), Armand Delcampe (Figaro), Stéphane Excoffier (La Comtesse), Pierre Laroche (Beaumarchais), Gérald Marti (Le Comte), Michel Wouters (Chérubin), Marie-Christine Baeyens, Michel Bawedin, Fabienne Coppens, Christian Crahay, Jean-Marie Deblin, Sylvie de Braekeleer, Annouck Dupont, Philippe Dupont, Ioanna Gkizas, Peter Grouns, José Jolet, Gisèle Oudart, Marie-France Preutens, Patrick Sluys, Michel Verheyden, Gérard Vivane

Résumé

Avec Figaro, Beaumarchais a créé un des personnages les plus riches du théâtre et de la littérature, devenu symbole de la lutte contre toute oppression. Au point que « Le Mariage de Figaro » apparaît comme un spectacle révolutionnaire marquant une étape fondamentale dans l’histoire des formes dramatiques et inspirant un chef-d’oeuvre musical à Mozart.

Le Minotaure

Distribution

D’après une fable de Friedrich Dürrenmatt – Mise en scène Josef Svoboda – Par L’Ensemble artistique Laterna Magika – Scénographie et costumes Jindrich Smetana – Musique Michal Pavlicek.

Résumé

Le minotaure, à la fois homme, dieu, animal est isolé dans un labyrinthe de miroirs. Le moindre de ses gestes est réfléchi à l’infini. Survient Thésée caché derrière le masque d’un taureau. Pour le Minotaure, c’est la découverte de l’autre qui n’est pas un reflet. Mais cette rencontre est aussi le moment tragique de sa mort. Laterna Magika de Prague.

Le Misanthrope

Distribution

Auteur : Molière – Mise en scène : Dominique Serron – Avec : Laure Voglaire (Célimène), Alexia Depicker (Arsinoé et Eliante), Patrick Brüll (Alceste), François Langlois (Philinte), Vincent Huertas (les autres personnages) – Assistante artistique générale : Florence Guillaume – Set design : Manon Meskens – Vidéo, teaser et photos : Abdel El Asri – Costumes : Chandra Vellut – Lumières : Xavier Lauwers – Assistants artistiques dramaturgie et pédagogie : Vanessa Fantinel et Paul-Henry Crutzen – Construction décor : Jean-Philippe Hardy et Vincent Lamer (ATJV) – Régisseur général : Bruno Smit – Régie lumières : Manu Maffei – Régie son/vidéo : Eric Degauquier – Stagiaire assistanat artistique : Maïlys Dumon – Stagiaire préparation scénographie : Clémentine Gomez – Photos de plateau : Pierre Bolle

Résumé

Au XVIIème siècle, les salons rassemblaient les coquets, les frivoles, les opportunistes et les arrivistes, mais aussi des artistes, tous gourmands d’existence et de reconnaissance sociales.Au XXIème siècle, le mondain possède un compte Twitter, le hipster poste des photos sur Instagram, et la coquette tient salon sur son blog ou sur Facebook, Flickr, Tumblr… Pour ce « Misanthrope », l’Infini Théâtre fait entendre avec subtilité le texte original de Molière (quel plaisir !) ancré dans notre réalité actuelle. La superficialité des salons précieux de l’époque ne se retrouve-t-elle pas aujourd’hui dans la virtualité des réseaux sociaux ? Alceste voudrait voir Célimène, lui parler, capter son attention, connaître ses sentiments. Mais comment contourner sa futilité ? Et surtout, comment la soustraire, ne fût-ce qu’un instant, à la société virtuelle dont elle s’est faite reine à travers les écrans ? Accro aux réseaux sociaux, elle veut être admirée, recherchée, « likée »… à tout prix.

Le Misanthrope (création)

Distribution

Régie Armand Delcampe – Décor Guy-Claude François – Costumes Elena Mannini – Avec Armand Delcampe (Alceste), Frédéric Latin (Philinte), Christian Maillet (Oronte), Fanny Delbrice (Célimène), Sylvie de Braekeleer (Eliante), Danièle Denie (Arsinoé), Gérard Vivane (Acaste), Michel Wouters (Clitandre), Jean-Henri Compère (Basque), Eric De Staercke, José Jolet (Du Bois)

Résumé

Le misanthrope, ou l’impossibilité d’accorder deux êtres que le désir rapproche, mais que tout le reste éloigne l’un de l’autre, dont les valeurs divergent radicalement, même si une fascination réciproque les attire l’un vers l’autre… Armand Delcampe nous en donne une vision admirable de lucidité et de maturité. Ce travail fait honneur au théâtre de notre pays. Une production de l’Atelier Théâtral de Louvain-la-Neuve

Le Misanthrope (reprise)

Distribution

Auteur Molière – Metteur en scène Armand Delcampe – Décor Guy-Claude François – Costumes Elena Mannini – Musiques Léo Ferré – Avec Armand Delcampe, Frédéric Latin, Christian Maillet, Fanny Delbrice, Sylvie de Braekeleer, Danièle Denie, Gérard Vivane, Michel Wouters, Jean-Henri Compère, Eric De Staercke, José Jolet, Florence Ducatteau, Dominique Meunier, Lorette Goosse, Cécilia Kankonda

Résumé

Une production de l’Atelier Théâtral de Louvain-la-Neuve. La première de ce spectacle a eu lieu le 5 février 1986. Le misanthrope, ou l’impossibilité d’accorder deux êtres que le désir rapproche, mais que tout le reste éloigne l’un de l’autre, dont les valeurs divergent radicalement, même si une fascination réciproque les attire l’un vers l’autre… Armand Delcampe nous en donne une vision admirable de lucidité et de maturité. Ce travail fait honneur au théâtre de notre pays.

Le Nombril

Distribution

Auteur Jean Anouilh – Mise en scène Jean Anouilh, Roland Pietri – Avec Bernard Blier, Jeanine Sudreau, Jean-Simon Prevost, Benoit de Leu de Cecil, Marie-Georges Pascal, Hugues Debiolle, Bernard Charlan, Hubert De Lapparent, Catherine Menetrier, Catherine Alcover, Erick Desmarestz, Claudia Coste

Résumé

Par les tournées du Théâtre de l’Oeuvre. Seul le théâtre permet, sans quitter ses pantoufles, d’être un farouche aventurier. Le héros de cette pièce – sous les traits de Bernard Blier – fait partie de cette race. En robe de chambre et, en plus, condamné à boitiller dans sa chambre par une forte attaque de goutte, il voudrait reconstruire le monde « en mieux » et écrire une pièce sur les égocentristes…

Le Non de Klara

Distribution

Auteur : Soazig Aaron – Adaptation théâtrale : Soazig Aaron, Carole Drouelle – Metteur en scène : Patricia Houyoux – Interprétation : Isabelle Paternotte, Anaël Snoek

Résumé

Bouleversant voyage aux confins de l’humanité Paris, août 1945. Klara, jeune juive allemande revient d’Auschwitz après 29 mois d’absence. Sa belle-sœur Angélika l’accueille. D’emblée, Klara refuse de revoir Victoire, sa fille de trois ans. Jour après jour, Angélika écoute Klara et tente, en rappelant leur passé et leur ancienne complicité, de ramener son amie à une vie normale… Mais Klara, « comme un champ de ruines », chargée de la mémoire de tous ceux qui ne sont pas revenus, dit non à tout, pour préserver la vie autour d’elle. Anaël Snoek fascine et terrifie de bout en bout et Isabelle Paternotte joue sur une très belle palette de nuances, toutes deux dans une intense sobriété ponctuée de silences, qui laisse l’émotion surgir jusque dans le regard de ces formidables interprètes. (Le Soir, novembre 2010) Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar. Le roman est paru aux éditions Maurice Nadeau.

Le Pain dur

Distribution

Auteur : Paul Claudel – Metteur en scène : Agathe Alexis, Alain Alexis Barsacq – Interprétation : Agathe Alexis, Robert Bouvier, Grégory Fernandes, Georges Goubert, Carine Baillod, Hervé Van der Meulen

Résumé

Une langue magnifique, un auteur incontournable 1840, la révolution industrielle bat son plein en France. L’époque est à la modernité, la technologie, la finance et l’aventure coloniale algérienne. Le régime a remplacé les vieux crucifix par le roi « bourgeois » Louis Philippe. Dans le microcosme familial des Coûfontaine, Dieu s’est retiré depuis longtemps, laissant libre cours aux instincts féroces. Tout a un prix, les sentiments y compris. L’affrontement devient sans merci entre le patriarche Toussaint Turelure, qui cumule pouvoir, conquêtes et influences, et son fils Louis de Coûfontaine. Mais dans ce jeu, ce sont les femmes qui tirent les ficelles : Sichel, maîtresse juive de Turelure et Lumîr, ressortissante polonaise fiancée à Louis, s’allient pour tuer le vieillard. Elles décident que c’est Louis qui sera chargé du meurtre… Volet central de la célèbre trilogie dite « des Coûfontaine », initiée avec L’Otage, Le Pain dur dénonce le matérialisme triomphant du début du XXème siècle et son adjuvant, l’athéisme. Chaque personnage est mû par sa passion, qui évince sa foi en Dieu : la Pologne pour Lumîr, l’argent pour Turelure, la colonisation pour Louis, la volonté d’intégration pour Sichel. Une coproduction Compagnie Agathe Alexis et Compagnie des Matinaux – compagnies conventionnées par le Ministère de la Culture – DRAC Ile-de-France.

Le Pélican (reprise)

Distribution

Auteur August Strindberg – Mise en scène Armand Delcampe – Décor Josef Svoboda – Avec Colette Emmanuelle, Robert Guilmard, Yvette Merlin, Evelyne Rambeaux, Bernard Sens.

Résumé

Un monde où aucune frontière ne sépare plus le vrai du faux, le dedans du dehors, où Strindberg recherche, avec les deux enfants incendiaires, « le paradis des ‘grandes vacances’ où les parents étaient encore sans tache » … Reprise de la production de l’Atelier Théâtre de Louvain-la-Neuve.

Le Pilier (Orta Direk)

Distribution

Auteur : Yachar Kemal – Mise en scène : Mehmet Ulusoy – Avec : Evelyne Istria, Ayla Algan, Valérie Beaugier, Zaïra Benbadis, Ayberk Cölok, Fabrice Eberhard, Michel Hermouet, Peter Morin, Pierre Puy, Hugues Quester, Fatoche Sezer-Ulusoy, Olivier Thomas, Véronique Viel.

Résumé

Chaque année, à la même époque, tout ce qu’un village de montagne compte de vivant, hommes et bêtes, se met en marche, poussé par la faim, vers Tchoukour-Ova, la plaine d’Adana où pousse le coton. Tous ceux qui participent à cette expédition savent, en mettant les choses au mieux, qu’ils pourront peut-être trouver là-bas du travail, et une maigre pitance. Le pilier c’est Méryémdjé, la vieille paysanne anatolienne. Fidèle à la mémoire de son mari, elle veut empêcher l’ami roublard du défunt, Halil, de monter sur le cheval qui doit la porter jusqu’à la plaine. Le cheval meurt de vieillesse. Ali portera sa mère sur son dos jusqu’à Tchoukour-Ova. Liés par l’épuisement et l’exaspération grandissante qui les envahit, les deux personnages atteignent un degré d’amour et de haine aux limites de l’humain. Mais le personnage central de cette admirable épopée, c’est peut-être l’Asie Mineure, cette nature tantôt aride, tantôt diluvienne, tantôt glaciale, tantôt brûlante, qui détermine le destin de ses habitants. Une création du Théâtre de Liberté en coproduction avec le Théâtre National de la Colline et l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve.

Le Porteur d’histoire

Distribution

Auteur : Alexis Michalik – Mise en scène : Alexis Michalik – Avec : Allan Bertin, Baptiste Blampain, Nicolas Buysse, Julia Le Faou, Shérine Seyad – Assistant à la mise en scène : Patrick Blandin – Costumes : Marion Rebmann – Assistante costumes : Elise Abraham

Résumé

Alexis Michalik est un véritable phénomène. A 35 ans, il a déjà écrit quatre pièces, raflé 10 Molière, et trouvé sa place comme comédien en télé et au cinéma. Sa première pièce, « Le Porteur d’histoire », est créée en 2011 et ne devait être jouée au départ que trois fois. Mais l’engouement du public et des critiques la mène à Paris et Avignon, où elle brassera 400.000 spectateurs dans des salles combles chaque soir. Ce spectacle décroche deux Molières en 2014 : celui du meilleur auteur et du meilleur metteur en scène. Après un tel succès en France, nous sommes heureux de monter ce texte à l’inventivité renversante avec une distribution belge ! Cinq comédiens, cinq tabourets, un plateau nu et deux portants chargés de costumes : grâce au pouvoir illimité de notre imagination, le voyage peut commencer ! 1988. Par une nuit pluvieuse, au fin fond des Ardennes, Martin Martin doit enterrer son père. Il est alors loin de se douter que la découverte d’un carnet manuscrit va l’entraîner dans une quête fantastique à travers l’histoire et les continents. Quinze ans plus tard, au cœur du désert algérien, une mère et sa fille disparaissent mystérieusement… Une écriture qui file à toute allure. Truffé de rebondissements, de récits entremêlés, de clins d’œil historiques ou littéraires, ce conte haletant renoue avec l’enfance, avec le plaisir d’écouter une histoire. Il fait confiance à la puissance des mots et rappelle le pouvoir de la fiction. Jouissif !

Le Propre de l’homme

Distribution

Auteur : Jacques Viala – Metteur en scène : Eric De Staercke – Interprétation : Jacques Viala

Résumé

« Si vous trouvez que l’Education coûte trop cher, essayez l’Ignorance » (Abraham Lincoln) Le propre de l’homme ? Le rire bien entendu ! Enfoncés dans notre siège, confortés dans notre certitude, nous découvrons bien vite toute l’étendue de notre erreur… Face à nous, Jules Spindonègre, professeur de français passionné, expérimenté et excellent pédagogue, est chargé d’instruire les générations futures. Alors quand il nous certifie que le propre de l’homme, c’est le langage, il sait de quoi il parle… Nous voici projetés quelques belles années en arrière, assis sur les bancs de l’école, buvant les paroles d’un prof dont l’enseignement restera à jamais gravé dans nos mémoires. Car il est devant nous, ce professeur qui nous a marqué pour toujours, celui que tous nous avons connu et que Jacques Viala incarne à merveille. Ses élèves, il les a aimés, il le confesse aujourd’hui, lors de sa dernière heure de cours. Il lui reste 50 minutes pour armer sa classe de connaissances, 50 minutes pour tout donner, c’est trop peu, tout juste le temps d’aborder de manière toute personnelle la question essentielle, celle du propre de l’homme. Comédien, metteur en scène et auteur, Jacques Viala a travaillé sur de nombreuses scènes en Belgique et à l’étranger. Il a également enseigné, notamment aux Conservatoires de Bruxelles et de Liège. Il a participé à de multiples tournages de films et de téléfilms de fiction, et à l’enregistrement de dramatiques radiophoniques. Il se définit lui-même, non pas comme un «artiste» (notion trop vague) mais comme un travailleur et un militant de la culture. Il met toute son expérience de vie au service de ce projet créé avec succès aux Riches-Claires. Un discours humaniste qui interpelle chaque génération, interprété avec générosité et talent ! Une production des Riches-Claires.

Le Purgatoire de Robin Vandenbos

Distribution

Auteur : Pietro Pizzuti – Mise en scène : Rachid Benbouchta – Avec : France Bastoen, Dominique Rongvaux – Conception des éclairages : Sébastien Mercial – Création sonore : Fabian Coomans

Résumé

Pour nos 50 ans, souvenez-vous, nous avions programmé une soirée exceptionnelle où s’enchaînaient huit courtes pièces inédites. Parmi les auteurs sollicités, l’enthousiaste Pietro Pizzuti. Aujourd’hui, il nous livre la suite de son histoire ! Robin Vandenbos est une star de séries télévisées, il fête ses quarante ans aujourd’hui. Comme tous les matins, il se lève au son de son radio réveil, se dirige vers la salle de bain, écoute les nouvelles et… en entend une qui bouleverse le cours de sa vie : il est mort cette nuit… Mais voilà qu’il se réveille en sueur. Il est seul dans son grand lit.

Le Regard

Distribution

Adaptation : Pascale de Boysson – Auteur : Murray Schisgal – Metteur en scène : Laurent Terzieff – Interprétation : Vincent de Boüard, Emilie Chevrillon, Francine Walter, Laurent Terzieff

Résumé

Un inquiétant et insaisissable moment de théâtre qui laisse dans le cœur une belle et sournoise amertume. La jeunesse perdue, la solitude, les doutes du créateur, et la mort : un nouveau spectacle plus grave qu’ironique de l’auteur américain de « Love ». « Le Regard » est composé de deux courtes pièces juxtaposées et entrelacées sur la scène. Dans la première, un peintre âgé fait poser un modèle féminin. Dans la seconde, une femme peintre, plus toute jeune, elle non plus, croque un athlète. Nus tous les deux, les modèles qui ne parlent guère servent de miroir, de confesseurs, de psychanalystes aux deux artistes, l’un assis, l’autre debout, qui tentent de fixer leurs poses sur papier. De chaque côté de la scène, les gestes et les paroles se succèdent et, souvent se font écho… Coproduction Théâtre Rive Gauche, Alain Mallet, la Compagnie Laurent Terzieff et Wallworks

Le Repas des fauves

Distribution

Auteur : Vahé Katcha – Adaptation et mise en scène : Julien Sibre – Interprétation : Cyril Aubin, Olivier Bouana, Pascal Casanova, Stéphanie Hédin, Pierrejean Pagès, Jérémy Prévost, Julien Sibre, Caroline Victoria

Résumé

Pour sauver sa peau, tout est-il permis ? 1942. Dans la France occupée, sept amis se retrouvent pour fêter l’anniversaire de leur hôte. La soirée se déroule sous les meilleurs auspices, jusqu’à ce qu’au pied de leur immeuble soient abattus deux officiers allemands. Par représailles, la Gestapo investit le bâtiment et décide de prendre deux otages par appartement. Le Commandant Kaubach, qui dirige cette opération, reconnaît en la personne du propriétaire, Monsieur Pélissier, un libraire à qui il achète régulièrement des ouvrages. Soucieux d’entretenir les rapports courtois qu’il a toujours eus avec le commerçant, le Commandant Kaubach décide de ne passer prendre les otages qu’au dessert… Et mieux : il leur laisse la liberté de choisir eux-mêmes les deux convives qui l’accompagneront. C’est ainsi que peut commencer Le Repas des fauves. Monter Le Repas des fauves, c’est mettre au jour la capacité vitale qu’ont toujours eue les Hommes à se préserver joyeusement, à s’étourdir d’égoïsme et d’insouciance quand l’orage gronde autour, (…) c’est (également) impliquer le spectateur dans cette aventure, non comme juge, mais comme acteur d’une histoire à laquelle il aurait pu, ou pourrait être un jour confronté. Julien Sibre 4 nominations aux Molières 2011 – 3 Molières remportés Une coproduction de Atelier Théâtre Actuel en accord avec le Théâtre Michel, la Compagnie Minus & Cortex et Circé Productions.

Le Rêve d’Ariane ou Le Quatuor raconté aux enfants

Distribution

Avec : Delphine Veggiotti, le Quatuor à cordes Alfama

Résumé

Embarquez pour un conte musical vitaminé où créativité rivalise avec malice. On voyage à Vienne et Paris à la rencontre de Mozart et Debussy. Puis, dans la froide Russie, Chostakovich nous révèle son langage codé… mais chut… c’est un secret !

Le Roi se meurt

Distribution

Auteur : Eugène Ionesco – Metteur en scène : Georges Werler – Avec : Michel Bouquet, Juliette Carré, Fanny Delbrice, Bernard Spiegel, Bernard Waver, Chantal Deruaz

Résumé

On annonce au Roi qu’il lui reste « une heure vingt-cinq minutes à vivre ». Le roi refuse d’abord cette vérité. Pris de panique, il ne peut admettre qu’il n’est pas au-dessus des lois de la condition humaine. S’il reconnaît que rien ne va plus comme par le passé, il croit aux effets réparateurs de sa volonté : « je mourrai, dit-il, quand je voudrai, je suis le roi, c’est moi qui décide ». Peu à peu, de cris en cocasseries (« je veux être un bébé ») ou en méditations lyriques, il va accepter l’inacceptable.

Le Sacre et L’Eveil

Distribution

D’après « L’Eveil du printemps » de Franck Wedekind et des extraits du « Sacre du printemps » d’Igor Stravinsky – Texte original : Frank Wedekind – Traduction : Jacques De Decker – Concept, adaptation et mise en scène : Dominique Serron – Avec des extraits de la musique originale d’Igor Stravinsky – Avec : Paul-Henry Crutzen, Abdel El Asri, Florence Guillaume, Vincent Huertas, François Langlois, Félix Vannoorenberghe, Laure Voglaire – Choix des extraits musicaux et création sonore : Line Adam – Piano : Line Adam – Basson : Daniel Demoustiez – Scénographie et costumes : Renata Gorka – Vidéo : Nadia Benzekri – Lumières : Xavier Lauwers – Ingénieur du son : Colin Burton – Assistanat à la mise en scène : Lucie Pousset – Construction des décors : Atelier Théâtre Jean Vilar – Régie lumières : Manu Maffei – Régie vidéo : Jean-Philippe Hardy – Photos : Pierre Bolle

Résumé

Théâtre, danse et vidéo au service d’un cri du cœur ! A 35 ans, Melchior revient sur les pas de son adolescence, à l’instant où son cœur balançait entre la vie et la mort. Lui qui a choisi la vie rejoue son passé. Autour de lui, le cadavre « vivant » de son ami Moritz, l’homme masqué qui lui a tendu la main vers un nouveau souffle, le fantôme de son amoureuse Wendla, et enfin les adultes, parents et professeurs. Pour cicatriser ses blessures anciennes, Melchior passe derrière la caméra et réalise un film qui met en scène des adolescents sur la musique de Stravinsky. La force vitale de la vidéo, véritable ode à la jeunesse, répond à la détresse des personnages de l’histoire de Melchior. Relier « Le Sacre du printemps » de Stravinsky et « L’Eveil du printemps » de Wedekind, c’est associer la musique et le théâtre, qui se répondent et se complètent pour ne former qu’une seule voix. Deux œuvres fondamentales et subversives pour célébrer la jeunesse. Un réquisitoire pour la liberté et la force de la nature. Un souffle énergique et puissant.

Le Serment d’Hippocrate

Distribution

Auteur : Louis Calaferte – Mise en scène : Patrick Pelloquet – Avec : Gérard Darman, Pierre Gondard, Patrick Pelloquet, Christine Peyssens, Yvette Poirier, Georges Richardeau – Assistante à la mise en scène : Hélène Gay – Scénographie : Sandrine Pelloquet – Costumes : Anne-Claire Ricordeau – Lumières : Emmanuel Drouot – Maquillages : Carole Anquetil

Résumé

Lucien et Madeleine, un couple de la cinquantaine, hébergent chez eux « Papa », 78 ans, père de Lucien et « Bon maman », 77 ans, mère de Madeleine. Un beau jour, Bon maman fait une syncope. Le médecin de famille étant absent, ils font appel au docteur Blondeau. C’est là que l’aventure commence… A peine le praticien parti, nouveau coup de sonnette. C’est le docteur Blondeau fils qui apparaît, s’excusant de la malencontreuse méprise. Son père, ne supportant pas la retraite, a tendance à fouiller son carnet de rendez-vous. Évidemment, les diagnostics des deux hommes divergent totalement, ce qui plonge la famille de Madeleine dans le doute.

Le Souper

Distribution

Auteur : Jean-Claude Brisville – Mise en scène : Jean-Pierre Miquel – Avec : Claude Brasseur, Claude Rich, Laurent Roy, Serge Krakovsky

Résumé

Un souper historique mettant face à face deux talents de la politique, mais aussi du théâtre : Claude Brasseur : Fouché et Claude Rich : Talleyrand. Tous les coups sont permis. Claude Rich a été nominé au Molière du meilleur acteur pour ce spectacle. Présenté par Théâtre Actuel.

Le Sourire du diable

Distribution

Auteur : Paul Emond – Metteur en scène : Patrice Kerbrat – Interprétation : Myriem Akheddiou, Olivier Cuvellier, Marie-Line Lefebvre, Othmane Moumen, Pierre Poucet, Pascal Racan, Patrick Ridremont – Décor et costumes : Edouard Laug – Lumières : Laurent Béal – Maquillage : Martine Lemaire – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot – Réalisation des décors : Christophe Beaugé, Marc Cocozza, Georges Delhez, Nicolas Perretier, Vincent Rutten, Mathieu Regaert – Réalisation des costumes : Maghet costumier – Régie générale : Vincent Rutten – Régie plateau : Mathieu Regaert, Marc Cocozza – Régie lumières : Gary De Beys, Jacques Perera – Régie son : Nicolas Perretier – Habilleuse : Liliane Thomas – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Un jour, quelque part, un régime totalitaire. Bruno vit dans sa tour d’ivoire d’artiste un peu prétentieux. Il a pour projet de dénoncer par un texte assassin les procédés du tyran local. Mais voilà qu’il se voit récompensé du « grand prix national de littérature », et il est invité au palais pour rencontrer le président, Christo Lafaro. Bien décidé à lui faire part de ses contestations, l’auteur se laissera peu à peu séduire malgré lui par les flagorneries habilement déployées du dictateur. Zico, son intarissable perroquet, sera le plus clairvoyant, mais pourra-t-il éviter à Bruno de se compromettre ? Une réflexion subtile et pleine d’humour sur le narcissisme de l’homme et de l’artiste, que Paul Emond – auteur bien vivant de notre petite terre d’héroïsme – aborde avec lucidité et intelligence, en y glissant d’amusantes allusions… Ecrit il y a deux ans, le texte paraîtra aux Editions Lansman en janvier 2007. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar. Spectacle proposé en collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve.

Le Tartuffe ou l’imposteur

Distribution

Auteur : Molière – Metteur en scène : Armand Delcampe – Décor : Guy-Claude François – Costumes : Elena Mannini – Lumières : Jacques Rouveyrollis – Musiques : Pascal Charpentier, Couperin – Interprétation : Jean-Marie Pétiniot, Jean-Paul Dermont, Colette Emmanuelle, Marie-Line Lefebvre, Véronique Biefnot, Patrick Ridremont, Bruno Georis, Carmela Locantore, Michel Kartchevsky, Gérard Vivane, Olivier Leborgne – Les solistes : Laure Delcampe, Priscille Lorent, Gilles Wiernik

Résumé

Comédie de Molière, Tartuffe est le quatrième chef-d’oeuvre de Molière (après Le Misanthrope, le Bourgeois gentilhomme, Le Malade imaginaire). Une production de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve et de la Compagnie Armand Delcampe

Le Tartuffe ou l’imposteur

Distribution

Auteur : Molière – Mise en scène : Armand Delcampe – Avec : Véronique Biefnot, Jean-Paul Dermont, Colette Emmanuelle, Bruno Georis, Michel Kartchevsky, Olivier Leborgne, Marie-Line Lefebvre, Carmela Locantore, Jean-Marie Pétiniot, Patrick Ridremont, Gérard Vivane

Résumé

Orgon est un bon père, un bon époux, un bon catholique, un bon citoyen. Il incarne à la perfection les valeurs bourgeoises glorifiées par le XVIIè siècle. Jusqu’au jour où un personnage inquiétant s’introduit dans la famille… Une production de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve et de la Compagnie Armand Delcampe avec l’aide du Festival de Spa

Le Vent souffle sur Erzebeth

Distribution

Auteur : Céline Delbecq – Mise en scène : Céline Delbecq – Avec : Muriel Bersy (La mère), Julien Roy (Le médecin), Réal Siellez (Le Coryphée), Charlotte Villalonga (Erzebeth) – Les habitants du village : Sylvie Bouchez, Yves Bouguet, Simon Braem, Martine Courtois, Pascale Crombez, Liam Debruel, Hugues Dutrannois, Nancy De Fauw, Véronique Lambrechts, Louison Martens, Lucie Pousset, Dominique Rinchiuso – Et la voix de : Zoë Glinne – Fanfare : Cyril Crepel (Accordéon chromatique), Christian Dumeunier (Sax ténor), Emmanuel Florio (Tuba basse), Joël Grigolato (Trombone), François Houx (Sax alto) – Musique : Eloi Baudimont – Scénographie : Delphine Coërs – Lumières : Clément Papin – Vidéo : Thyl Mariage, Delphine Coërs – Costumes : Anna Terrien – Assistant à la mise en scène : Virgile Magniette – Régisseur son : John Cooper – Régisseur lumière : Clément Papin

Résumé

À Somlyo, petit village encerclé par la mer, les montagnes et un volcan, le vent souffle six jours par mois. Parmi les villageois, Erzebeth, 20 ans et déjà angoissée par le temps qui passe et la vieillesse. Chaque tempête déclenche chez elle de surprenantes réactions… Un jour, elle sauve une enfant et devient l’héroïne du village. Mais le sang de la petite fille blessée n’a-t-il pas rajeuni les mains d’Erzebeth ? Pour ce nouveau projet très ambitieux, Céline Delbecq crée l’événement en transposant un village sur un plateau de théâtre. Généreuse et impliquée, elle travaille depuis plusieurs mois déjà avec une fanfare de 5 musiciens et 12 comédiens amateurs qui incarneront le chœur des habitants de Somlyo. Une formidable aventure humaine ! Laissez-vous transporter par la plume unique, éminemment touchante, de cette jeune autrice belge et par ses 21 interprètes…

Le Visiteur

Distribution

Auteur : Eric-Emmanuel Schmitt – Mise en scène : Gérard Vergez – Décor : Carlo Tommasi

Résumé

Un soir, à Vienne, après l’Anschluss. Sigmund Freud se prépare à fuir le nazisme. Sa fille Anna vient d’être arrêtée par la Gestapo. Le savant est seul, malade, inquiet. Un étrange visiteur s’introduit chez lui. Qui est-il ? Peut-être un mythomane qui vient de s’échapper d’un asile ou alors un envoyé divin ou, incroyable, Dieu lui-même. Le doute remet en question les certitudes du père de la psychanalyse. Rêve éveillé, projection de ses propres questions, mystification, Papa Freud ne sait plus…

Le Voyage de Monsieur Perrichon

Distribution

D’après : Eugène Labiche – Adaptation et chansons : Pierre Forrester – Mise en scène : Cécile Van Snick – Avec : Nicolas Janssens (Joseph / le Porteur de bagages / l’Aubergiste / Jean), Julia Le Faou (Henriette), Quentin Minon (Armand), Nicolas Ossowski (le Commandant), Bernard Sens (Majorin), Stéphane Stubbé (Monsieur Perrichon), Julien Vargas (Daniel), Laurence Warin (Madame Perrichon) – Décors et costumes : Ronald Beurms – Décor sonore : Laurent Beumier – Création lumières : Gaëtan van den Berg – Vidéo : Allan Beurms – Conseil vocal / chants : Stany Mannaert – Maquillages : Martine Lemaire – Assistante à la mise en scène : Arlette Spanoghe – Assistante stagiaire : Justine Hautenauve – Régie générale / lumière / vidéo : Manu Maffei – Régie son : Eric Degauquier – Régie plateau : Louis Eylenbosch, Jean-Philippe Hardy – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décor : Ronald Beurms, Allan Beurms, Noé Francq, Bruno Wtoreck, Clara Le Jeune, Emilie Thonet – Réalisation costumes : France Lamboray, Anicia Echevarria – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Une comédie alerte considérée comme un chef-d’œuvre du genre ! Monsieur Perrichon – carrossier très aisé – a tout de l’honnête bourgeois : la suffisance, l’ingénuité et une morale quelque peu soumise aux circonstances… Lorsqu’il part en voyage avec sa femme et sa fille Henriette, il n’imagine pas que les deux prétendants officiels de cette dernière donneront à ce séjour à la montagne une tournure rocambolesque. Qui de Daniel ou d’Armand saura s’attirer les faveurs de la fille et surtout du père ? De rebondissements en quiproquos, Labiche dresse un portrait drôle, cruel et étrangement contemporain de la fatuité.

Le Voyage de Monsieur Perrichon

Distribution

Auteur : Eugène Labiche – Adaptation et chansons : Pierre Forrester – Mise en scène : Cécile Van Snick – Avec : Nicolas Janssens (Joseph / le Porteur de bagages / l’Aubergiste / Jean), Julia Le Faou (Henriette), Quentin Minon (Armand), Nicolas Ossowski (le Commandant), Bernard Sens (Majorin), Stéphane Stubbé (Monsieur Perrichon), Julien Vargas (Daniel), Laurence Warin (Madame Perrichon) – Décors et costumes : Ronald Beurms – Décor sonore : Laurent Beumier – Création lumières : Gaëtan van den Berg – Conseil vocal / chants : Stany Mannaert – Vidéo : Allan Beurms – Maquillages : Martine Lemaire – Assistante à la mise en scène : Arlette Spanoghe – Assistante stagiaire : Justine Hautenauve – Régie générale – lumière – vidéo : Manu Maffei – Régie son : Eric Degauquier – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy, Vincent Lamer – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décor : Ronald Beurms, Allan Beurms, Noé Francq, Bruno Wtoreck, Clara Le Jeune, Emilie Thonet – Réalisation costumes : France Lamboray, Anicia Echevarria – Direction technique : Jacques Magrofuoco  

Résumé

Après une tournée dans plusieurs villes belges et françaises, le succès de la saison dernière revient pour quelques dates sur les planches du Théâtre Jean Vilar. Embarquez avec la famille Perrichon dans cette savoureuse comédie. Monsieur Perrichon – carrossier très aisé – a tout de l’honnête bourgeois : la suffisance, l’ingénuité et une morale quelque peu soumise aux circonstances… Lorsqu’il part en voyage avec sa femme et sa fille Henriette, il n’imagine pas que les deux prétendants officiels de cette dernière donneront à ce séjour à la montagne une tournure rocambolesque. Qui de Daniel ou d’Armand saura s’attirer les faveurs de la jeune fille et surtout de son père ? De rebondissements en quiproquos, Labiche dresse un portrait drôle, cruel et étrangement contemporain de la vanité. Une comédie alerte et enlevée, en chansons : un chef-d’œuvre du genre ! A voir en famille dès 10 ans

Léo Ferré

Distribution

Auteur Léo Ferré – Avec Léo Ferré

Résumé

Les grands solitaires portent en eux toute une génération de refus qui peuplent leur cabinet de travail et, quand ils méditent, ils ne retournent pas dans le siècle. Dans le refus on dresse l’oreille, on ouvre l’œil et on reste dans le refus. C’est dans la négation que l’œuvre d’art s’engendre. Nier les couleurs, mettre du mauve dans ce qui ne paraît pas mauve et s’appeler Gauguin, voilà qui est du refus transmis. L’art. La liberté est un renoncement. La liberté s’apprend dans une pièce carrée, fermée. C’est de la pure négation. Si quelques fous n’avaient pas dit « non », contre toute évidence, depuis que nous roulons sous les saisons, nous serions encore dans nos arbres. L’évidence, c’est la seule préoccupation du pouvoir. Le soleil se lève à l’est, pas vrai ? Vous autres de l’affirmative, vous ne m’intéressez pas. Moi, je suis contre.

Léo Ferré

Distribution

Avec Léo Ferré

Résumé

Léo Ferré vous chantera quelques dizaines de ses plus belles chansons près de trois heures durant. Comme un vieux et beau chien : « seul… »

Léo Ferré chante Ferré (spectacle annulé)

Distribution

Léo Ferré

Résumé

Nous vous convions à un nouveau rendez-vous de l’amitié avec ce grand poète, toujours en train de réinventer les murmures et les fracas, de se raconter et de parler de nous-mêmes avec ses débordements de mots et ses cris, avec sa violence et sa tendresse. Sa voix incomparable monte du tumulte du « bas-fond », claque comme un fouet et épouse fiévreusement les passions de la vie.

Les Affaires sont les affaires

Distribution

Interprétation : Damien Gillard, Didier Colfs, Bruno Georis, Olivier Leborgne, Bernard Detti, Olivier Monneret, Jean-Marie Pétiniot, Jean Rovis, Armand Delcampe, Véronique Biefnot – Metteur en scène : Armand Delcampe – Auteur : Octave Mirbeau – Metteur en scène : Nicole Valberg

Résumé

Pour illustrer la puissance corruptrice de l’argent, qui permet de tout acheter, Octave Mirbeau place au centre de son oeuvre un brasseur d’affaires, qui résume à lui seul tout un ordre social ne reposant que sur des vols et des meurtres dûment légalisés. Isidore Lechat brasse des millions, caresse des projets « grandioses » à l’échelle de la planète. Il est le prototype des grands prédateurs de l’avenir, qui feront feu de tout bois, diversifieront leurs affaires et cumuleront pouvoir économique, puissance médiatique et influence politique.

Les Aiguilleurs

Distribution

Interprétation : Didier Colfs, Jean-Claude Frison, Léonil Mc Cormick – Metteur en scène : Michel Wright – Adaptation : Isabelle Famchon – Auteur Brian Phelan

Résumé

Albert et Alfred, « aiguilleurs », travaillent ensemble depuis bientôt quarante ans, maintenus par erreur administrative à leur poste. Rivés à leurs leviers, isolés dans leur cabine, ils vont jouer à exister le plus sérieusement du monde. Edward, apprenti aiguilleur envoyé par l’Administration Centrale, vient bouleverser leur existence dérisoire.

Les Aventures de Pinocchio

Distribution

Auteur Carlo Collodi – Mise en scène Patrick Roegiers – Par le Théâtre Provisoire

Résumé

Par le Théâtre Provisoire.

Les Carnets de Peter

Distribution

Auteur : Théâtre du Tilleul – Conception du spectacle : Carine Ermans, Sylvain Geoffray – D’après la vie et l’œuvre de : Peter Neumeyer – Mise en scène : Sabine Durand – Avec : Carlo Ferrante, Sylvain Geoffray, Alain Gilbert, Nathalie Mellinger – Musique : Alain Gilbert – Scénographie : Pierre-François Limbosch, Alexandre Obolensky – Vidéo : Patrick Theunen, Ateliers Graphoui – Lumières : Mark Elst – Ombres : Mark Elst, Carine Ermans, Sylvain Geoffray, Christophe Morisset – Conseil à l’écriture : Louis-Dominique Lavigne – Travail du mouvement : Isabelle Lamouline – Peinture : Alexandre Obolensky, Eugénie Obolensky – Accessoires : Amalgames – Régie : Thomas Lescart

Résumé

Spectacle d’ombres et de musique dès 7 ans Peter, 87 ans, se souvient de son enfance : l’Allemagne de 1936, le bruit des bottes, l’émigration en Amérique. Depuis tout petit, il est fasciné par les livres. Un jour, dans la grande bibliothèque de son père, il s’invente les aventures d’un petit garçon, Donald, qui lui ressemble énormément… Dans un décor somptueux, le Théâtre du Tilleul aborde tout en finesse la résilience, à travers deux histoires qui s’entremêlent : la vie réelle de Peter Neumeyer, auteur jeunesse, et celle rêvée de son héros.

Les Colombaïoni

Distribution

Auteur : Alberto Vitali, Carlo Colombaïoni.

Résumé

Des clowns, les Colombaïoni ? Oh, attention, pas d’impair ! Même si Fellini les avait engagés comme tels dans « La Strada » et « Les Clowns ». 3 enfants de la balle, nous sommes héritiers de la tradition, de la commedia dell’arte ».

Les Contes d’Hoffmann

Distribution

Auteur : Jacques Offenbach – Adaptation et mise en scène : Henri de Vasselot – Direction musicale : Sophie Lacombe, Pierre Santus – Avec : Florence Alayrac (La Muse / Nicholas / La mère), Isabelle Debauve (Antonia / La Voyante / Stella), Henri de Vasselot (Hoffmann), Martin Jeudy (Luther / Spalanzani / Crespel / Shlémil – en alternance), Guillaume Zabé (Luther / Spalanzani / Crespel / Shlémil – en alternance), Clémence Olivier (Olympia / Giulietta / L’élève), Pierre Santus (Piano / Le Conteur), Jean-Marc Savigny (Lindorf / Coppélius / Miracle / Dapertutto) – Arrangements : Nicolas Bercet – Scénographie : Kaveh Kishipour – Lumières : Thomas Jacquemart – Chorégraphie : Mika Fau – Costumes : Géraldine Ingremeau – Masques : Alberto Nason – Claquettes : Victor Cuno – Perruques : Youenn Peoc’h – Avec l’aide de : l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar  

Résumé

Un excellent divertissement de fin d’année, joyeux, vif et coloré ! Masques, danses, humour malicieux et musicalité de haut vol sont au rendez-vous dans cette adaptation résolument accessible de l’opéra-comique d’Offenbach. Dans un univers fantastique, moderne et débridé, Hoffmann raconte comment il a brûlé de passion pour Olympia, la poupée mécanique, Antonia, la fragile cantatrice, et Giulietta, la volage courtisane. Trois femmes pour une quête de l’amour idéal… Et autour de ce triple récit, s’enchevêtrent de multiples contes, aboutissant à une véritable synthèse de l’œuvre d’Hoffmann. Prix du public du meilleur spectacle musical : Avignon Off 2014 A voir en famille dès 10 ans

Les Démineuses

Distribution

Auteur : Milka Assaf – Mise en scène : Jean-Claude Idée – Assistante à la mise en scène : Adrienne Gérard – Avec : Myriem Akheddiou (Shéhérazade), Perrine Delers (Raja), Sophie Dewulf (Salma), Alexandra Georgiadis (Lina), Julie Hautphenne (Amina), Sandra Raco (Leila) – Voix off : Annette Brodkom, Simon Lecomte – Scénographie / lumières / costumes : Jean-Claude Idée – Régie son : Benoît Ausloos – Régie lumières et vidéo : Manu Maffei – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décor : Benoît Ausloos – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Héritage du conflit de 2006, deux millions de mines antipersonnel sont encore aujourd’hui dispersées sur le territoire du Liban. L’équipe formée au déminage par l’ONG Scandinavian Aid est composée de six femmes libanaises, toutes originaires des villages touchés par les destructions. Ce travail, elles l’ont choisi pour différentes raisons. Certaines sont expérimentées, d’autres moins. Leur engagement met tous les jours leur vie en péril. Entre elles, ces femmes parlent de tout, de rien. Passant du drôle au tragique, leurs échanges nous plongent dans leur quotidien et leurs rêves. Un texte fort qui questionne la condition de la femme en général et des femmes au Moyen-Orient en particulier. Comment se libérer des dogmes des religions, et plus spécifiquement de l’Islam ? Comment s’affranchir des règles de la famille et de la communauté, qui ont une telle emprise sur leur existence ? Il faut souligner la maîtrise et le courage de Milka Assaf, l’auteur de ce texte audacieux et libre, qui traite d’un sujet méconnu, original et passionnant entre Histoire et émancipation féminine.

Les démons (création)

Distribution

Auteur Mikhaïlovitch Dostoïevski – Régie Otomar Krejca – Adaptation Otomar Krejca – Collaboration à la version française Armand Delcampe – Avec Jean-Jacques Scheffer, Gisèle Oudart, Dounia Sadow, Fanny Delbrice, Philippe Dupont, Armand Delcampe, Jean-Marie Pétiniot, Christian Crahay, Anne Van Rymenam, Bruno Sermonne, Henri Monin, Isabelle Petit-Jacques, Gérard Vivane, Anath Ben-Yacov, Jean-Marie Schwanen, Gérald Marti, André Lenaerts, Annouck Dupont, Michel Bawedin, Guy Pion, Patrick Sluys, José Jolet, Michel Wouters, Vincent Radermecker, Béatrix Férauge.

Résumé

Toute sa vie, Otomar Krejca s’est préparé à monter Dostoïevsky au théâtre sans oser s’y risquer. Le moment est venu de cette « rencontre, spirituelle et artistique, au sommet. » Création de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve

Les démons (création)

Distribution

Auteur Mikhaïlovitch Dostoïevski

Résumé

Spectacle annulé et remplacé par « Au Perroquet Vert ». Pour des raisons de politique financière (retard dans les décisions de subvention et retard dans les versements de la part des gouvernements qui se succèdent…) nous avons dû reporter la création « Les Démons » à la saison 81/82… si elle a lieu. Nous préférons prendre cette initiative et attendre les décisions sûres et sérieuses (qui nous permettront, espérons-le de travailler dans des conditions artistiques suffisantes) plutôt que de subir les événements extérieurs et replâtrer nos spectacles en fonction de leurs évolutions capricieuses et imprévisibles.

Les Femmes savantes

Distribution

Auteur : Molière – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Patrick Brüll (Chrysale), Morgane Choupay (Armande), Agathe Détrieux (Henriette), Alain Eloy (Vadius), Marie-Line Lefebvre (Martine), Julien Lemonnier (Clitandre), Pierre Poucet (Trissotin), Freddy Sicx (Ariste), Julie Thiele (Julienne), Cécile Van Snick (Bélise), Jean-François Viot (Le notaire), Nathalie Willame (Philaminte)

Résumé

« J’ai cru jusque ici que c’était l’ignorance qui faisait les grands sots, et non pas la science. » Henriette et Clitandre sont amants mais, pour se marier, ils doivent obtenir le soutien de la famille de la jeune fille. Son père et son oncle sont favorables à l’union, mais sa mère veut lui faire épouser Trissotin, un faux savant aux dents longues, plus intéressé par l’argent que par l’érudition. Et voilà la famille partagée en deux clans : d’un côté, Chrysale, le père, et son frère Ariste ont bien perçu la duplicité de Trissotin, mais le maître de maison ne veut pas s’opposer fermement aux volontés de son épouse. De l’autre, la mère, Philaminte, et sa fille aînée, Armande, autrefois courtisée par Clitandre qu’elle a éconduit, sont rejointes par Bélise, la belle-sœur de Philaminte, vieille fille « fleur bleue fofolle » qui s’invente des soupirants du matin au soir. Leur trio forme le groupe des « femmes savantes », ridicules mais touchantes, convaincues du bel esprit de Trissotin. Au risque de répéter un lieu commun, l’oeuvre de Molière reste étonnamment jeune. Quel propos plus moderne en effet que celui des Femmes savantes ? Dans un siècle – le nôtre – où l’intellectualisme a remplacé l’intelligence, où la limite devient indistincte entre connaissance et prétention, Les Femmes savantes apparaissent comme le plaidoyer nécessaire de la raison contre les envolées lyriques mais improductives. Leçon de réalisme, la pièce résonne aussi comme une violente défense de la sincérité et de l’honnêteté. Face à ceux qui se montent le bourrichon avec des mots et des idées, triomphent de la folie, finalement, ceux qui incarnent la mesure, le pragmatisme, la franchise et la vérité. Armand Delcampe Enthousiasmé par le succès du Tartuffe ou l’imposteur, l’Atelier Théâtre Jean Vilar poursuit avec la grande tradition des « classiques bien montés ». On se souvient notamment des tournées du Malade imaginaire (monté dans sa version originale de comédie-ballet) et du Bourgeois gentilhomme, mais également d’une première version de Tartuffe (mise en scène par Armand Delcampe) programmée partout en France. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival Royal de Théâtre de Spa, avec la participation du Centre des Arts Scéniques. Avec le soutien de la Province du Brabant wallon

Les Femmes savantes

Distribution

Auteur : Molière – Mise en scène : Armand Delcampe – Avec : Patrick Brüll, Morgane Choupay, Agathe Détrieux, Alain Eloy, Marie-Line Lefebvre, Julien Lemonnier, Pierre Poucet, Freddy Sicx, Julie Thiele, Cécile Van Snick, Jean-François Viot, Nathalie Willame

Résumé

Belle époque Henriette et Clitandre sont amants mais, pour se marier, ils doivent obtenir le soutien de la famille de la jeune fille. Son père et son oncle sont favorables à l’union, mais sa mère veut lui faire épouser Trissotin, un faux savant aux dents longues, plus intéressé par l’argent que par l’érudition. Armand Delcampe choisit de plonger dans l’univers « belle époque » des années ‘20. Gérald Watelet signe sa première création de décor et de costumes pour le théâtre. Un défi relevé de manière magistrale par ce grand monsieur qu’on connaît maître d’hôtel, chef, couturier, chroniqueur (Sans Chichis) et présentateur (C’est du belge). Une reprise attendue pour ces Femmes savantes créées en plein air au Festival d’Anjou à Angers et au Festival des Jeux du Théâtre à Sarlat en juillet 2011. Cette saison, la pièce part en tournée à Versailles, Marseille, Tours, Nice, Arlon, Verviers, Ciney, Ath, Woluwé-Saint-Pierre, Sens et Binche début 2013.

Les Femmes savantes

Distribution

Auteur : Molière – Dramaturgie et mise en scène : Armand Delcampe – Avec : Patrick Brüll, Morgane Choupay, Agathe Détrieux, Alain Eloy, Marie-Line Lefebvre, Julien Lemonnier, Pierre Poucet, Freddy Sicx, Valéry Stasser, Cécile Van Snick, Jean-François Viot, Nathalie Willame – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot – Décor et costumes : Gérald Watelet – Lumières : Jacques Magrofuoco – Régie vidéo : Manu Maffei – Régie lumières : Gary De Beys – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Henriette et Clitandre sont amants mais, pour se marier, ils doivent obtenir le soutien de la famille de la jeune fille. Son père et son oncle sont favorables à l’union, mais sa mère veut lui faire épouser Trissotin, un faux savant aux dents longues, plus intéressé par l’argent que par l’érudition. Et voilà la famille partagée en deux clans : d’un côté, Chrysale, le père, et son frère, Ariste, qui ont bien perçu la duplicité de Trissotin, de l’autre, la mère, Philaminte, et sa fille aînée, Armande. La mise en scène d’Armand Delcampe plonge la pièce dans l’univers des années folles, admirablement transcrites par Gérald Watelet qui signe sa première création de décor et de costumes pour le théâtre.

Les Fines Bouches

Distribution

Auteur : Jean-Pierre Dopagne – Metteur en scène : Olivier Leborgne – Interprétation : Bernard Cogniaux, Christian Labeau, Alexandre von Sivers – Scénographie et costumes : James Block – Lumières : Jacques Magrofuoco – Son : Free Son Production, Jean-Pierre Everaerts, Benoît Dobbelstein – Assistante à la mise en scène : Adrienne Gérard – Réalisation des décors : Vincent Rutten, Marc Cocozza, Mathieu Regaert, Nicolas Perretier – Régie lumières : Gary De Beys – Régie son : Nicolas Perretier – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

CREATION MONDIALE À l’heure où le « capitalisme est roi », où « le temps c’est de l’argent » ; à cette époque où nous baignons dans le bruit et la productivité… Imaginons que nos chers « Pouvoirs Publics » décident de financer un espace de quiétude. Un « patrimoine silence » qui donne à chacun la possibilité de rêver, de s’évader, de s’ennuyer. C’est dans ce lieu qu’Albert, Fernand et Lucien se rencontrent. Ils n’ont pas les mêmes vies, ne partagent ni les mêmes convictions, ni les mêmes loisirs. Cette curieuse cohabitation leur serait-elle davantage bénéfique qu’une thérapie ? Ne faites pas la « fine bouche », plongez au cœur de ce petit traité du « savoir-vivre ensemble » ! Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa. Le texte est publié aux éditions Lansman.

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