Théâtre Jean Vilar

Sol. L’univers est dans la pomme

Distribution

Metteur en scène Sol – Auteur Marc Favreau (Sol) – Avec Marc Favreau (Sol)

Résumé

Sol travaille seul, silhouette de clown, petite fleur épinglée sur un rideau noir en forme de néant… Ses accessoires : un maquillage, un chapeau, un grand manteau rapiécé. Mais si le clown traditionnel, c’est avant tout le geste, le gag en cascade avec ce que ça comporte d’acrobatie, de jonglerie, avec Sol tout se passe dans la tête et ça donne du verbe : Sol verbalise. Insufflant au langage une vie nouvelle, il cherche dans les mots leur sens caché, les brise, les entrechoque, les dissèque, les percute, les projette les uns contre les autres. Les idées les plus simples sont prétexte à escalade, les mots rapiécés, truffés de syllabes parasites créent le vertige… Soudain ils semblent acquérir leur vie propre, dans un extraordinaire foisonnement qui échappe au rationnel, le dépasse, exprime ce qu’on voulait taire…

Sonate d’automne

Distribution

Auteur : Ingmar Bergman – Traduction française : Carl Bjurström, Lucie Guillevic, ©Editions Gallimard – Mise en scène : Bruno Emsens – Avec : Jo Deseure, Julie Duroisin, Francesco Mormino et la participation d’Inès Dubuisson – Scénographie : Vincent Bresmal – Création costumes : Chandra Vellut – Création sonore : Sébastien Fernandez – Création lumière : Renaud Ceulemans – Réalisation et montage vidéo : Bruno Emsens – Création images (vidéo) : Sylvain Dufayard – Création sonore (vidéo) : Quentin Jacques – Pianiste : Tim Mulleman

Résumé

Charlotte vient rendre visite à sa fille Eva, qui habite avec son mari pasteur au fin fond de la campagne suédoise. Cela fait sept ans que les deux femmes ne se sont pas vues. Passée la chaleur des retrouvailles, les rancœurs refont vite surface et la nuit tourne au règlement de compte entre la mère autoritaire, brillante pianiste à la carrière internationale, et la fille effacée, en manque d’amour maternel. A l’étage, Helena, la petite sœur handicapée, veille. Et si sa mère était à l’origine de son infirmité ? L’accusation d’Eva tombe comme un couperet. Bruno Emsens transpose du grand écran à la scène le chef-d’œuvre d’Ingmar Bergman. Récompensé de nombreux prix (Oscar, Golden Globes, Palme, Ours d’or…), le réalisateur a fait de l’introspection psychologique et de l’analyse des comportements humains ses sujets de prédilection.

Stoel

Distribution

Auteur : Cie Nyash – Un spectacle de : Caroline Cornélis – Avec : Colin Jolet, Miko Shimura    

Résumé

Au rythme du violoncelle et de la voix, deux danseurs revisitent des objets familiers. Ils organisent, transforment, traversent les espaces, entre stabilité et déséquilibre. Une quinzaine de chaises, petites, grandes, en osier, en bois ou en métal deviennent une salle de classe, un lit, une farandole ou même une montagne ! Colin Jolet et Miko Shimura évoluent sur scène entre danse et équilibrisme de manière amusante et variée. Aérienne et ludique, la chorégraphie captive les tout-petits. Ils ne verront plus jamais une chaise de la même manière… Meilleur spectacle Jeune public (Prix de la critique 2015-2016)

Sud (spectacle annulé)

Distribution

Auteur : Julien Green – Avec : Jacques Dacqmine, Anthony Delon

Résumé

L’action de « Sud » se déroule en Caroline, très exactement à la veille du premier coup de canon qui donne le départ de la guerre de Sécession.

Sur la route de Montalcino

Distribution

Auteur : Jean-François Viot – Metteur en scène : Olivier Leborgne – Interprétation : Grégoire Baldari, Michaël Manconi, Maud Pelgrims, François Sikivie, Alexandre von Sivers – Décor et costumes : Edouard Laug – Lumières : Laurent Béal – Assistante à la mise en scène : Emilie Fromont – Construction décor : Mathieu Regaert, Marc Cocozza, Christophe Beaugé – Peinture décor : Marianne De Wil, et son équipe – Régie lumières : Jacques Perera – Régie son : Manu Maffei – Régie plateau : Mathieu Regaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Le Big Bang en question 1957. Au milieu de la campagne toscane, une panne de voiture force un couple de Britanniques et leur ami belge à regagner le village le plus proche. Barbara souffre de la chaleur. Fred Hoyle, son mari, râle contre le monde entier. Georges Lemaître, lui, prend les choses avec bonhomie. Certes, le contretemps est fâcheux : ils ne pourront sans doute pas honorer le rendez-vous que leur a fixé le Saint-Père le lendemain. Mais leur cohabitation forcée n’est-elle pas, après tout, une extraordinaire occasion ? Car dès qu’ils ont été rassérénés par l’accueil tout italien de l’aubergiste Virgilio, la querelle éclate entre Georges, chanoine et concepteur de la théorie du Big Bang, et Fred, son opposant le plus farouche Basée sur des faits historiques, Sur la route de Montalcino s’en écarte avec une joie évidente pour explorer une rivalité intelligente et pleine d’humour. Traitant avec une légèreté déconcertante d’un problème aussi scientifique que le Big Bang, la pièce invite à une réflexion sur le sens de l’existence. Brillant, raffiné et drôle. En 1927, Monseigneur Georges Lemaître, cosmologiste belge et professeur à l’Université de Louvain, affirme que l’univers est en expansion et propose une évolution de l’univers à partir d’un « atome primitif ». Une vingtaine d’années plus tard, Fred Hoyle, cosmologiste britannique issu de l’Université de Cambridge, considère que cette théorie résiste au bon sens et met au point l’idée d’un univers globalement stationnaire. Hoyle, qui entendait ridiculiser la théorie de Lemaître en faisant un bon mot, rebaptisa celle-ci « Big Bang » en 1949, au cours d’une émission de la BBC. En 1951, Pie XII, qui suivait de près les évolutions de la science, fit un discours devant l’académie pontificale sur « les preuves de l’existence de Dieu à la lumière de la science actuelle de la nature ». Il y invoquait, sans jamais nommer ni Lemaître ni sa théorie, l’idée nouvelle que le monde serait né d’une singularité qui, pour lui, était précisément la création par Dieu. Lemaître n’apprécia pas que le Pape récupère les théories du Big Bang, car elles n’étaient encore qu’une hypothèse, mais surtout parce qu’il voulait que religion et science restent bien séparées. Guy Duplat, La Libre Belgique, novembre 2008 Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve www.poleculturel.be Soirée rencontre le jeudi 12 novembre Conférence-débat : Georges Lemaître et la théorie du Big Bang en partenariat avec l’Unité de physique théorique et de physique mathématique de la Faculté des Sciences de l’UCL. Exposition Georges Lemaître du 5 au 13 novembre présentée par les Archives Georges Lemaître Visitez le site de l’auteur : www.viotart.eu

Sur la route de Montalcino

Distribution

Auteur : Jean-François Viot – Mise en scène : Olivier Leborgne – Avec : Grégoire Baldari, Michaël Manconi, Maud Pelgrims, François Sikivie, Alexandre von Sivers

Résumé

La douceur de la Toscane, la fragilité de la théorie En route pour une discussion contradictoire devant le Pape, le chanoine belge Georges Lemaître, concepteur de la théorie du Big Bang et son plus farouche opposant, l’Anglais Fred Hoyle accompagné de son épouse, tombent en panne. Perdus dans la campagne toscane, ils se retrouvent pour une nuit dans une auberge typique. S’ensuit une mémorable soirée de querelle métaphysique, arbitrée malgré lui par un aubergiste, Saint-Père de fortune. Basée sur des faits historiques, Sur la route de Montalcino s’en écarte avec une joie évidente pour explorer une rivalité intelligente et pleine d’humour. Traitant avec une légèreté déconcertante d’un problème aussi scientifique que le Big Bang, la pièce invite à une réflexion sur le sens de l’existence, dans la douceur de l’été toscan.

Tailleur pour dames

Distribution

Auteur Georges Feydeau – Dialogues additionnels Jean Poiret – Metteur en scène Bernard Murat – Avec Pierre Arditi, Claude Evrard, Valérie Rojan, Brigitte Chamarande, Maurice Baquet, Frédérique Tirmont, Marc de Jonge, Annik Alane, Rébecca Potok, Stéphanie Murat

Résumé

Un vaudeville de Feydeau dormait dans un tiroir, écrit à 22 ans et un peu oublié. Un metteur en scène, Bernard Murat, s’en empare, un complice, Jean Poiret, prête sa plume, un comédien, Pierre Arditi, entouré d’une distribution tonique, le stimule avec une énergie déconcertante, et voilà des rires en rafale ! Une production du Théâtre des Bouffes Parisiens.

Tarte aux Puces

Distribution

Auteur : Jean-Christophe Lefèvre – Avec : Lidia Cherton, Jean-Christophe Lefèvre, Eric Giersé

Résumé

« Tous les chiens ont des puces ! », c’est bien connu. Pour Josette et le Petit, ce n’est pas grave… Le chien, on l’aime comme il est. En plus, il fait tout à la maison : il range, il fait la vaisselle et il s’occupe si bien du Petit ! Le chien, il aime tout le monde, même ses puces ! Et puis voilà qu’arrive ce Monsieur Hercule… Monsieur Hercule a peur des chiens, c’est évident ! Mais il aime Josette et Josette l’aime… Aïe, Aïe, Aïe… !!!

Temps contre Temps

Distribution

Auteur : Ronald Harwood – Metteur en scène : Laurent Terzieff – Interprétation : Laurent Terzieff, Michel Etcheverry, Pascale de Boysson, Vincent de Boüard, Jacques Jacquemin, Jean-Claude Schenke

Résumé

Raconte les douleurs, les grandeurs de la filiation : comment les fils reprennent à leur compte les erreurs des pères, répètent à jamais leurs fautes, comme pour tenter de les disculper. On y regarde vieillir une famille haute en couleurs ; on y voit se perdre et se retrouver des personnages à jamais solitaires et mal aimés. Et si le personnage principal de cette pièce était le temps ? Ce temps qui fait semblant de changer le monde et les hommes; ce temps contre lequel on ne peut rien ; si ce n’est le jouer à contre-temps, comme les comédiens, comme les musiciens… L’air de rien, « Temps contre Temps » nous parle de la responsabilité de l’artiste et du devenir incertain de notre société xénophobe. Une production Théâtre de l’Atelier

Théâtre en miettes

Distribution

Auteur : Eugène Ionesco – Conception et réalisation : Marcel Cuvelier – Interprétation : Nicolas Bataille, Bernard Jousset, Jean-Michel Bonnarme, Marie Cuvelier, Roger Defossez, Thérèse Quentin

Résumé

Moins qu’une « cérémonie commémorative », cette re-création de pièces un peu oubliées de Eugène Ionesco représente un retour aux sources, une évocation de Ionesco première manière, de l’esprit des mises en scène et des décors de création. Une production du Théâtre de la Huchette

Titre Provisoire

Distribution

Mise en scène : Frédéric Dussenne – Avec : Philippe Constant, Miguel Decleire, Pascale Goubert, Christine Leboutte – Auteur : Véronika Mabardi – Avec : Thierry Lefebvre, Fabienne Mainguet, Jean Vercheval, Michel Verheyden, Véronique Willemaers

Résumé

Le spectacle, c’est neuf solitudes qui se livrent. Neuf monologues adressés à la foule anonyme des spectateurs. Neuf corps solitaires qui cherchent la chaleur. Une épaule. Un bras.

Tohu-Bohu

Distribution

Auteur : André Borbé – Avec : Hervé Borbé, Patrick Shouters, Calo Marotta

Résumé

Quelle effervescence, quelle dose d’énergie ! Ca pétille, ça fait des bulles et ça croustille. Un délicieux mélange d’optimisme et de folie. Une jolie formule pur toute la famille. André Borbé accompagné de trois musiciens de talent nous offre un concert qui gigote, qui remue. Et qui fait du Tohu-bohu. Un vrai coup de coeur !

Top Dogs

Distribution

Interprétation : Thierry Wasseige, Célia Torrens, Laurent Van Wetter, Stéphane Excoffier, Jan Pauwels, Hélène Theunissen, Angelo Dello Spedale, Bernard Cogniaux – Metteur en scène : Franz Marijnen – Adaptation : Jacques De Decker – Auteur : Urs Widmer

Résumé

Les personnages de Top Dogs appartiennent à une nouvelle classe sociale : les managers licenciés. Jusqu’ici privilégiés, intouchables, ces « top dogs » (jeu de mots partant de l’expression « under dogs : les perdants ») sont alors accueillis par un bureau de replacement où, à travers des jeux de rôles, des techniques de combat japonaises, ils apprennent à accepter leur chagrin et leurs frustrations.

Tout ça du vent

Distribution

Auteur : Philippe Grand’Henry – Metteur en scène : Françoise Bloch – Interprétation : Philippe Grand’Henry

Résumé

Ça se passe près de chez nous… Seul en scène, Philippe Grand’Henry nous mène à travers la Wallonie de son enfance. Tour à tour drôles, tendres ou difficiles, ses souvenirs du quotidien nous touchent, peut-être parce que ce sont un petit peu les nôtres aussi… Une écriture fantaisiste, débridée même, qui sert une mémoire sans cesse à l’affût de nouvelles émotions. Meilleur « Seul en scène » au Prix du Théâtre 2001. Une création de Zoo Théâtre en coproduction avec le Théâtre de la Place et le Théâtre Les Tanneurs, avec l’aide du Théâtre de la Balsamine.

Tout est bien qui finit bien

Distribution

Auteur : William Shakespeare – Adaptation et mise en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Véronique Biefnot, Gilbert Charles, Jean-Paul Dermont, Stéphane Excoffier, Bruno Georis, Michel Kartchevsky, Olivier Leborgne, Olivier Massart, Jean-Marie Pétiniot, Manuela Servais, Gérard Vivane, Gisèle Oudart

Résumé

Tout se passe en Toscane et dans le Roussillon, régions bénies d’arts, d’amours et de rêves par excellence ! Vous y trouverez pêle-mêle : un bouffon qui détend l’atmosphère quand les nerfs sont à vif, une veuve colorée, un vieux monsieur bon vivant qui rit d’un œil et pleure de l’autre, … Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et de la Compagnie Armand Delcampe

Trac !

Distribution

Auteur : Bruno Coppens – Mise en scène : Eric De Staercke – Avec : Bruno Coppens – Assistante à la mise en scène : Lise Dineur

Résumé

Ce spectacle va enfin réparer un oubli majeur du théâtre : parler du trac… du public ! En effet, si les comédiens et les auteurs de théâtre se gargarisent en parlant du « trac de l’acteur », ils oublient celui, majeur, du spectateur ! Etre assis dans le noir pendant une heure et demie, entouré d’inconnus, ne sachant quel rôle jouer dans cette salle de spectacle, angoissé à l’idée d’être appelé sur scène et en même temps, le désirant inconsciemment… C’est un trac monumental dont on ne parle jamais ! Bruno Coppens dans ce nouveau seul-en-scène tentera de trouver l’origine de ce foutu trac pour le… traquer. Quand est-il apparu la première fois, le trac ? Lorsqu’Adam et Eve débarquèrent sur la terre, si naïfs ? Comment se reproduit-il ? L’histoire du monde n’est-elle pas qu’une course-poursuite pour fuir le trac ? Est-il possible de vivre « décontraqué »? Et vous, quel est votre plus grand trac ?

Traversée de Paris

Distribution

D’après la nouvelle de Marcel Aymé – Adaptation, mise en scène et interprétation : Francis Huster.

Résumé

Un solo de haut vol pour un périple nocturne Paris, 1943. Martin trimballe des colis au marché noir pour arrondir ses fins de mois. Grandgil, un peintre qui s’ennuie lui vient en aide. Les deux compères entreprennent de traverser de nuit le Paris de l’Occupation, flanqués d’un cochon découpé en morceaux dans des valises… Seul en scène, Francis Huster joue l’acrobate en campant tous les personnages. Martin et Grandgil, mais aussi les autres, rencontrés lors du périple nocturne : commerçants, policiers, tenanciers de bar… Ni costumes, ni grimages pour cette prouesse, l’inflexion de la voix et le changement d’attitude suffisent. Arrivez bien à l’heure… sous forme de confidence, l’acteur s’adresse au public pour livrer la genèse du spectacle et honorer Marcel Aymé. Un préambule à ne pas manquer ! Certains rôles sur les planches ont rendu Francis Huster inoubliable : dans Lorenzaccio de Musset, Hamlet de Shakespeare, Le Sablier de Nina Companeez, Le Cid de Corneille (accueilli en 1993 par l’Atelier Théâtre Jean Vilar), La Peste de Camus, Crime et châtiment de Dostoïevski… En parallèle, sa carrière au cinéma le fait accéder à une notoriété, que renforce encore la télévision. Nous sommes touchés et honorés qu’il ait choisi de passer le cap de l’an 2011 en notre compagnie ! Avec sincérité, générosité et talent, Francis Huster rend à Marcel Aymé sa place au panthéon des grands auteurs. (Pariscope) Francis Huster est dense, intense, incandescent. (L’Express) L’Atelier Théâtre Actuel présente un spectacle du Théâtre des Bouffes Parisiens. Le texte de « Traversée de Paris » est composé de la nouvelle « Traversée de Paris » issue du recueil « Le Vin de Paris » de Marcel Aymé © Editions Gallimard, 1947 et de quelques emprunts au roman du même auteur « Le Chemin des écoliers »  © Editions Gallimard, 1946.

Tristesse animal noir

Distribution

Auteur : Anja Hilling – Traduction : Silvia Berutti-Ronelt en collaboration avec Jean-Claude Berutti – Mise en scène : Georges Lini – Avec : France Bastoen (Jennifer), Nargis Benamor (Miranda), Laurent Capelluto (Paul), Serge Demoulin (Martin), Itsik Elbaz (Oskar), Julien Lemonnier (Flynn) – Musicien : François Delvoye – Assistanat à la mise en scène : Nathalie Huysman – Dramaturgie : Florence Klein et Nathalie Huysman – Scénographie et costumes : Renata Gorka – Lumières : Alain Collet – Musique : François Delvoye – Vidéo et son : Sébastien Fernandez – Régie lumière et vidéo : Damien Zuidhoek – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Avec l’aide de l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Trois couples pique-niquent autour d’un feu, dans une forêt où ils vont passer la nuit. Miranda, Paul, Martin, Jennifer, Oskar et Flynn sont amis. Ils ont entre 30 et 45 ans, mènent une vie confortable de citadins branchés. Ils boivent et les langues se délient. Derrière les platitudes échangées émergent les inimitiés, les blessures mal refermées, les ambiguïtés. Soudain, un incendie éclate, dévastateur, et tout bascule. Pour les survivants, plus rien ne sera jamais comme avant. Après le succès d’ »Un Conte d’hiver » la saison dernière, le metteur en scène Georges Lini nous fait découvrir une œuvre saisissante, terriblement poétique. Le spectacle « Tristesse animal noir » était nommé aux Prix de la critique 2015-2016 dans la catégorie « meilleur comédien » pour l’interprétation d’Itsik Elbaz et a reçu le prix de la « meilleure scénographie ».

Trois grandes femmes

Distribution

Auteur : Edward Albee – Metteur en scène : Roumen Tchakarov – Texte français : Isabelle Anckaert, Jules-Henri Marchant – Interprétation : Jacqueline Bir, Anne Chappuis, Damien Gillard, Evelyne Rambeaux

Résumé

Met en scène la fulgurante trajectoire de la vie : rien ne peut être plus effroyable que d’arriver à son terme et réaliser qu’on n’y a pas pleinement pris part. Le génie d’Edward Albee est de faire se confronter trois générations dont les souvenirs et les espoirs s’opposent et se renient. Le terme de la vie n’est-il pas inéluctablement le même pour tous ? Est-ce pour cela que ces trois grandes femmes se ressemblent ? Une production du Rideau de Bruxelles

Tu te souviendras de moi

Distribution

Auteur : François Archambault – Adaptation du français québécois : Patrice Mincke – Mise en scène : Patrice Mincke – Assistante à la mise en scène : Aurélie Trivillin – Avec : Sandrine Bonjean (Isabelle), Laurie Degand (Bérénice), Jo Deseure (Madeleine), Benoît Verhaert (Patrick), Alexandre von Sivers (Edouard) – Scénographie et costumes : Ronald Beurms – Lumières : Alain Collet – Décor sonore : Laurent Beumier – Vidéo : Sébastien Fernandez – Figuration vidéo : Nicolas Lamant (le cadreur), Nell Lambert (Nathalie), Elisa Mincke (Isabelle enfant), Patrice Mincke (le réalisateur), Chloé Struvay (Madeleine jeune), Aurélie Trivillin (la preneuse de son) – Remerciements pour le tournage : Hôtel Ibis Louvain-la-Neuve – Régie lumières : Mathieu Bastyns, Benoît Ausloos – Régie son et vidéo : Eric Degauquier – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy, Louis Eylenbosch – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Régie générale : Manu Maffei – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Pourquoi un homme se souvient-il des détails de guerres lointaines, mais ne reconnaît-il pas une personne rencontrée la veille ? Pourquoi oublie-t-il ce dont il aimerait se rappeler, mais ne parvient-il pas à occulter ce qu’il voudrait oublier ? Edouard, ex-professeur d’université brillant et médiatisé, est atteint d’Alzheimer. Il le sait, en souffre, en joue aussi. Lui qui était un « pater familias » un peu écrasant, devient peu à peu un petit vieux fragile, drôle ou cruel malgré lui, un fardeau pour son entourage. Qui peut, qui doit s’occuper de lui ? Sa femme, sa fille, son nouveau gendre, des inconnus ? François Archambault est un auteur canadien à qui l’on doit une douzaine de pièces dont « La Société des loisirs », récompensée du Masque du Meilleur texte original en 2003. Quatre ans plus tard, Patrice Mincke met en scène cette pièce en Belgique. Aujourd’hui, c’est lui aussi qui monte « Tu te souviendras de moi ». Lauréat du Prix Huisman en 2011, Patrice Mincke joue et met en scène des spectacles au Théâtre de Poche, au Public, au Théâtre des Galeries, à Villers-la-Ville… Mais ce sera une première pour lui à l’Atelier Théâtre Jean Vilar !

Twin Houses

Distribution

Musique : Christian Genet – Lumières : Patrick Bonté – Création des mannequins : Jean-Pierre Finotto – Scénographie : Johan Daenen – Costumes : Colette Huchard – Chorégraphie : Patrick Bonté – Conception et actions : Nicole Mossoux

Résumé

Twin Houses met en scène une danseuse et cinq mannequins articulés, confondus dans un corps à corps où l’on ne sait plus, de l’acteur ou du mannequin, qui manipule qui, qui détient le pouvoir sur l’autre. L’enjeu du spectacle est de confronter un corps vivant et des corps inanimés : comment peuvent-ils accéder à une égale présence ? Le spectacle se présente comme une suite de contes brefs, tantôt cruels tantôt burlesques. Ici, musique et danse se nouent et se dénouent pour suggérer, sans les décrire, des univers où le spectateur puisse glisser ses propres fantasmes. Spectacle de la Compagnie Mossoux-Bonté.

Ubu enchaîné

Distribution

Auteur Alfred Jarry – Mise en scène Peter Brook – Avec Miriam Goldsmidt (Mère Ubu), Andreas Katsulas (Le Père Ubu), Urs Bihler, Malick Bowens, Mireille Maalouf, Alain Maratrat, François Marthouret, Bruce Myers et Jean-Claude Perrin.

Résumé

Une production du Centre International de Recherche Théâtrale (Paris, France). Par La Troupe du théâtre des Bouffes du Nord – Création à Paris le 23 novembre 1977. Ubu Roi a été représenté pour la première fois à Paris, le 10 décembre 1896, au Théâtre de l’Oeuvre. Alfred Jarry, né à Laval en 1873, avait 23 ans mais la pièce existait depuis plusieurs années. On en connaît une première version dès 1888, sous le titre Les Polonais. Elève au lycée de Rennes, âgé de 15 ans, Jarry mit en forme un texte composé par lui-même et plusieurs de ses condisciples. Il y avait, au lycée de Rennes, un professeur de physique nommé Hébert, qui incarnait aux yeux de ses élèves « tout le grotesque qui est au monde ». Il est le premier visage de Ubu. La représentation suit à peu près le texte d’Ubu Roi jusqu’à la scène de la caverne et de l’ours. A partir de cette scène, apparaît le texte d’Ubu sur la Butte qui est une version plus courte et plus tardive d’Ubu Roi. Ubu sur la Butte a été représenté pour la première fois le 10 novembre 1901 par les marionnettes du Théâtre Guignol des Gueules de Bois, aux Champs-Elysées. Après le départ de Pologne et l’arrivée à Paris, nous sommes dans Ubu Enchaîné, pièce qui fut écrite en 1899. Alfred Jarry y voyait une « contre-partie d’Ubu Roi ».La « Chanson du décervelage » – dont la musique est de Claude Terrasse, ami et collaborateur d’Alfred Jarry – vient d’Ubu Cocu, la quatrième pièce du cycle. Une première version de cette pièce existait déjà à l’époque du lycée de Rennes. C’est vers 1896 que Jarry lui donna une forme définitive. La chanson elle-même fut ajoutée en 1900. La pièce n’a pas été représentée du vivant de l’auteur pas plus qu’Ubu Enchaîné.Jarry mourut le 1er novembre 1907 à l’hôpital de la Charité, rue Jacob. Il allait avoir 34 ans.

Un Air de famille

Distribution

Auteur : Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri – Mise en scène : Olivier Leborgne – Avec : Olivier Cuvellier, Marie-Line Lefebvre, Julien Lemonnier, Frédéric Lepers, Cécile Van Snick, Stéphanie Van Vyve

Résumé

Chaque vendredi soir, la famille Mesnard se réunit au bar-restaurant de banlieue « Au père tranquille », tenu par l’un des fils, Henri. Ce soir-là est particulier : Philippe, le second fils de la famille vient de passer à la télévision régionale et son épouse Yolande fête son anniversaire. Betty, la sœur cadette, vient quant à elle de dire ses quatre vérités à son patron, qui est aussi celui de son frère Philippe… Tous s’apprêtent à poursuivre la soirée au restaurant. Ils n’attendent plus qu’Arlette, l’épouse d’Henri, mais elle tarde. Lorsqu’elle se décide à appeler, c’est pour annoncer à Henri qu’elle ne reviendra pas ce soir.

Un air de famille

Distribution

Auteur : Jean-Pierre Bacri, Agnès Jaoui – Metteur en scène : Yves Larec – Interprétation : Manuela Servais, Guy Theunissen, Yves Claessens, Olivier Cuvellier, Patricia Houyoux, Marion

Résumé

Tous démarrent au quart de tour… Ils se déchirent verbalement et s’humilient, se méprisent les uns les autres et se lancent les vieilles rancunes à la tête. Ambiance, ambiance… Tant de tensions en si peu de temps, on croit rêver ! Et pourtant, chaque réplique fait mouche, le public s’amuse du début à la fin tellement c’est gros, tellement c’est fort, tellement c’est criant de vérité. Une production du Théâtre Royal du Parc

Un Air de famille

Distribution

Auteur : Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri – Mise en scène : Olivier Leborgne – Avec : Marie-Line Lefebvre, Julien Lemonnier, Frédéric Lepers, Patrick Ridremont, Cécile Van Snick, Stéphanie Van Vyve – Lumières : Jacques Magrofuoco – Scénographie et costumes : Lionel Lesire – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot

Résumé

Ce soir, tout sera dit. Chaque vendredi, les Ménard se réunissent au restaurant tenu par l’un des fils, Henri. Ce soir-là est particulier : le second fils vient de passer à la télé régionale et son épouse fête son anniversaire. La sœur cadette vient quant à elle de dire ses quatre vérités à son patron. Ils n’attendent plus qu’Arlette, la femme d’Henri, mais elle tarde… Des dialogues justes, un humour implacable et une fine observation des relations familiales ont porté cette pièce au rang de succès international. En 1997, elle est adaptée pour le cinéma par Cédric Klapish et rafle trois Césars. En 2014, Olivier Leborgne met en scène ce petit bijou au Théâtre Jean Vilar avant une tournée en Belgique. Six ans après cette création plébiscitée, les Ménard remettent le couvert !

Un Bar à Tokyo

Distribution

Interprétation : Rachid Benbouchta, Gérard Maro, Roger Van Hool – Adaptation : Armand Delcampe – Interprétation : Tanya Lopert – Metteur en scène : Armand Delcampe – Auteur : Tennessee Williams

Résumé

Création mondiale en langue française d’une grande oeuvre de Tennessee Williams. Un peintre d’avant-garde (Roger Van Hool), usé par la vie et l’alcool se meurt sous nos yeux, laissé pour compte par sa luxueuse et désinvolte femme américaine (Tanya Lopert). Un spectacle émouvant, de grands acteurs, un grand poète… Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et de l’Atelier Théâtre Actuel

Un Bar à Tokyo

Distribution

Interprétation : Rachid Benbouchta, Gérard Maro, Roger Van Hool – Adaptation : Armand Delcampe – Interprétation : Tanya Lopert – Metteur en scène : Armand Delcampe – Auteur : Tennessee Williams

Résumé

Création mondiale en langue française d’une grande oeuvre de Tennessee Williams. Un peintre d’avant-garde (Roger Van Hool), usé par la vie et l’alcool se meurt sous nos yeux, laissé pour compte par sa luxueuse et désinvolte femme américaine (Tanya Lopert). Un spectacle émouvant, de grands acteurs, un grand poète… Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et de l’Atelier Théâtre Actuel

Un Conte d’hiver

Distribution

D’après : William Shakespeare – Adaptation et mise en scène : Georges Lini – Assistante à la mise en scène : Nathalie Huysman – Avec : Julien Besure (Florizel), Anne-Pascale Clairembourg (Hermione), Didier Colfs (Polixènes), Michel de Warzée (le Berger), Daphné D’Heur (Paulina), Itsik Elbaz (Léontès), Louise Jacob (Mamilius / le Temps ), Thierry Janssen (Antigonus / le Clown), Sarah Messens (Perdita), Luc Van Grunderbeeck (Camillo) – Scénographie et costumes : Renata Gorka – Chant : Daphné D’Heur – Lumières : Alain Collet – Vidéo et son : Sébastien Fernandez – Régie lumières et vidéo : Manu Maffei – Régie son : Eric Degauquier – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Polixènes, le roi de Bohême, rend visite à son ami Léontès, le roi de Sicile, lorsque soudain une jalousie féroce, aussi inexplicable que destructrice, s’empare de Léontès. Il soupçonne Polixènes d’avoir eu une relation adultère avec sa femme Hermione, enceinte jusqu’aux yeux ; l’enfant ne serait pas le sien. Dans le tourbillon dévastateur qui l’emporte, Léontès ordonne l’exécution de son ami, l’emprisonnement de son épouse et l’exil de la fillette à laquelle elle donne naissance. Seize ans plus tard, on retrouve l’enfant dans sa famille adoptive. Comble du destin, la jeune fille est courtisée par le fils de Polixènes… « Le Conte d’hiver » est l’une des dernières pièces de William Shakespeare et parmi les plus mystérieuses et extravagantes du dramaturge anglais : une suite de rebondissements incroyables, une ellipse de seize ans, un retournement de situation digne d’un conte de fées en font une œuvre à part.

Un de la Canebière

Distribution

Auteur : Vincent Scotto – Opérette marseillaise de : René Sarvil, Henri Alibert – Mise en scène : Frédéric Muhl Valentin – Adaptation : Frédéric Muhl Valentin – Adaptation musicale : Pascal Versini, Stéphane « Bouba » Lopez – Conseiller artistique : Cristos Mitropoulos – Chorégraphie : Martine Hebette – Lumières : Jean-Marie Prouvèze – Costumes : Virginie Breger – Avec : Laure Dessertine (Margot), Benjamin Falletto (Garopouloff et le Pélican), Barthélémy Giulj (Bienaimé), Léo Guillaume (Girelle), Amala Landré (Francine), Cristos Mitropoulos (Toinet), Edwige Péllissier (Tante Clarisse), Sonia Pintor i Font (Malou), Marc Pistolesi (Pénible), Pascal Versini (Piano, chant), Patrick Gavard-Bondet (Guitare), Stéphane « Bouba » Lopez (Contrebasse)  

Résumé

Du soleil, de l’amour et des sardines Les Carboni, troupe de théâtre forain marseillaise, se lancent dans un pari à leur mesure – c’est-à-dire parfaitement irraisonnable et déjanté ! – en reprenant cette opérette d’anthologie façon Commedia dell’arte. 12 comédiens, chanteurs et musiciens se jettent à corps perdu dans un cabaret bondissant, visages poudrés, pommettes peinturlurées, bretelles claquantes et marcels blancs. En découle un spectacle insolent qui allie la tradition de l’opérette à une mise en scène audacieuse. Rien ne va plus dans le petit port de pêche du Vallon des Auffes. Pour séduire deux jolies filles, Toinet et Girelle s’inventent propriétaires d’une usine de sardines à l’huile. Aidés par Pénible, un camarade poète lui-même amoureux d’une tierce jeune fille, ces joyeux drilles vont devoir aller au bout de leur mensonge, en usant et abusant de la légendaire faconde marseillaise. Ils s’empêtrent dans leur imposture, finissent par tomber dans le piège tendu par les trois belles – qui ne sont pas en reste au niveau des faux-semblants – et signent un contrat de vente de 500 000 boîtes de sardines.

Un Faust

Distribution

Auteur : Jean Louvet – Mise en scène : Lorent Wanson – Avec : Edwige Baily (Marguerite), Christian Crahay (Faust), Anne-Marie Loop (Baucis), Jean-Marie Pétiniot (Méphisto), Guy Pion (Philémon / Dieu), Netka (le chien) – Scénographie : Daniel Lesage – Costumes : Daniel Lesage, Françoise Van Thienen – Lumières : Laurent Kaye – Avec des variations sur « People united » de Frédéric Rzewski interprétées par : Fabian Fiorini – Assistant à la mise en scène : Rémi Pons – Construction décor : Georges Delhez, Christophe Beaugé, Nicolas Perretier, Vincent Rutten – Régie générale : Vincent Rutten – Régie plateau : Geoffrey Lesseigne – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco  

Résumé

Variations sur un mythe et sur le monde… Jean Louvet et l’Atelier Théâtre Jean Vilar, un compagnonnage de plus de 30 ans. Un Faust, variation actualisée du célèbre mythe, traite du problème universel de la rencontre entre la pensée et le corps. Faust, intellectuel frustré de la vie, a sacrifié son existence à défendre les opprimés. Méphisto lui envoie une femme pour le tenter : la jeune Marguerite est chargée de séduire celui qui échappe au nouvel ordre mondial des rapports humains. Mais ce Faust a-t-il l’envergure de son illustre ancêtre ? Il est « Un Faust », parmi d’autres. Il va aimer Marguerite et croira ainsi « se perdre » dans le flux d’une société de bonheur narcissique. Pourtant, par la sincérité de son amour, Marguerite permettra à Faust de découvrir que l’amour rassemble et qu’il n’existe pas de confrontation entre désir et devoir. Dans cette pièce nourrie par l’imaginaire intense de son auteur, tous les personnages sont déboussolés. Méphisto, l’envoyé diabolique du divin, ne sait plus où il en est ; le désarroi de Faust est palpable ; Philémon et Baucis, inquiets de tous les dangers d’un monde dur, ne cessent de rappeler à Faust son passé. Le résultat : une fable sensuelle, teintée d’émotion avec pour toile de fond un monde chaotique ; un tourbillon d’images, évoquant un univers surréaliste et un questionnement, cher à Louvet, sur la place de l’homme d’esprit dans le monde. Un texte dans lequel réalité et mythe entrent en dialogue. Le spectacle est présenté cette saison à Mons, Louvain-la-Neuve, Ath, La Louvière… Rencontre avec l’auteur le mercredi 12 novembre à l’issue de la représentation

Un homme de compagnie

Distribution

Auteur : Jean Louvet – Metteur en scène : Armand Delcampe – Avec : Patricia Houyoux, Marie-Line Lefebvre, Armand Delcampe, Pascal Racan, François Sikivie, Bernard Sens

Résumé

François a encore tout : emploi, argent, aisance. Il le pressent : cette sécurité est fragile. Jérémie, lui, plus âgé, a déjà perdu son emploi, mais il garde l’espoir d’une société qui bannirait l’exclusion sociale; il conserve le regard d’un homme pour qui l’utopie ne serait pas tout à fait éteinte. Un soir c’est la rencontre des deux hommes. Pas dans un salon. Aux alentours d’une poubelle. Un débat dur, serré s’engage entre les deux hommes. Ils s’apprivoisent, se lient d’amitié. Et le clochard-philosophe entraîne François dans un voyage initiatique au pays de l’exclusion sociale.

Un Homme de Compagnie

Distribution

Auteur : Jean Louvet – Mise en scène : Armand Delcampe – Assistanat : Yann Bittner – Maquillages : Françoise Joset – Avec : Patricia Houyoux, Marie-Line Lefebvre, Armand Delcampe, Pascal Racan, François Sikivie, Bernard Sens

Résumé

François a encore tout : emploi, argent, aisance. Il le pressent : cette sécurité est fragile. Jérémie, lui, plus âgé, a déjà perdu son emploi, mais il garde l’espoir d’une société qui bannirait l’exclusion sociale ; il conserve le regard d’un homme pour qui l’utopie ne serait pas tout à fait éteinte. Un soir, c’est la rencontre des deux hommes. Pas dans un salon. Aux alentours d’une poubelle. Un débat dur, serré, s’engage entre les deux hommes. Ils s’apprivoisent, se lient d’amitié. Et le clochard-philosophe entraîne François dans un voyage initiatique au pays de l’exclusion sociale.

Un Macbeth

Distribution

D’après : William Shakespeare – Adaptation et mise en scène : Guy Theunissen – Avec : Denis M’punga (Macbeth), Anne-Pascale Clairembourg (Lady Macbeth), Philippe Allard (Macduff), Hippolyte Bohouo (une sorcière), Caroline Donnelly (une sorcière), David Ilunga (Malcolm et le Roi Duncan), Doris Meli (Dora), Virginie Pierre (Virga), Fabrice Rodriguez (Banquo), Anne Schmitz (une sorcière) – Conseil chorégraphique : Serge Aimé Coulibaly, Sayouba Sigué – Création sonore : Sam Serruys – Vidéo : Grégory Hiétin, avec des emprunts vidéo de Vidir Bjornsson et Kamal Redouani (Capa Presse Prod.) – Scénographie : Michel Suppes – Lumières : Laurent Kaye – Costumes : Claire Farah – Assistée de : Laura Ughetto – Maquillages : Djennifer Merdjan – Assistante à la mise en scène : Tiphaine Van der Haegen – Production : Orianne Ondel – Régie générale / vidéo / son : Manu Maffei – Régie lumières : Damien Zuidhoek – Régie plateau : Nicolas De Raeymaeker – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Equipe technique : Eric Degauquier, Gulcan Sen, Jean-Philippe Hardy – Construction et peinture décor : Ateliers du Théâtre de Liège – Accessoires : Michel Suppes, Ateliers du Théâtre de Liège – Direction technique ATJV : Jacques Magrofuoco  

Résumé

Fort d’une collaboration de plus de quinze ans avec l’Afrique, Guy Theunissen crée « Un Macbeth » multiculturel, porté par des comédiens aux différentes religions, cultures, couleurs de peau. Citoyen du Sud, citoyen du Nord, quel est notre rapport au pouvoir ? Que l’on soit de l’un ou l’autre côté de la rivière, les problématiques se rencontrent, mais diffèrent aussi. Macbeth et Banquo s’en reviennent de guerre, victorieux. Sur la lande, ils croisent trois sorcières qui prédisent un destin royal à Macbeth. Poussé par l’ambition dévorante de sa femme, ce dernier va tout mettre en œuvre pour se hisser sur le trône. Cette histoire vaut pour hier et pour aujourd’hui. Macbeth qui fait assassiner son compagnon de combat, c’est Mobutu qui conspire à la disparition de son frère de lutte Patrice Lumumba. Et au Nord, ce sont des trahisons politiques en tout genre, des élections gagnées à coup de « vérités relatives »… Avec une esthétique inspirée du Nord comme du Sud, Guy Theunissen monte « Un Macbeth » actuel, ponctué de chorégraphies dans un univers sonore mêlant musiques africaines, rock et classique.

Un petit chat dans un grand sac

Distribution

Avec : Nathalie de Pierpont, Stéphane Groyne – Mise en scène : Bernard Massuir

Résumé

Quand un chat part en voyage, qu’emporte-t-il dans son sac ? Tout au fond, bien au chaud, bien cachés, les secrets d’un gros gourmand et la malice de mémé qui valse en froufrous.

Un Tailleur pour dames

Distribution

Auteur : Georges Feydeau – Mise en scène : Georges Lini – Avec : France Bastoen (Suzanne), Isabelle Defossé (Yvonne), Eric De Staercke (Aubin), Stéphane Fenocchi (Moulineaux), Michel Gautier (Etienne / Madame d’Herblay), Louise Jacob (Rosa / Pomponnette), Thierry Janssen (Bassinet), Marie-Paule Kumps (Madame Aigreville) – Scénographie et costumes : Thibaut De Coster, Charly Kleinermann – Vidéo et son : Sébastien Fernandez – Lumières : Jacques Magrofuoco – Assistante à la mise en scène : Nargis Benamor – Régie générale, son, lumières : Manu Maffei – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy, Vincent Lamer – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décor : L’Entrepool (Vincent Rutten) (Vincent Rutten) – Techniciens lumières : Mathieu Bastyns, Damien Zuidhoek – Technicien son : Eric Degauquier – Direction technique : Jacques Magrofuoco – Stagiaire assistanat : Malika Temoura – Stagiaire observation : Elise Deschambre

Résumé

Quand on aime le comique au théâtre, il n’y a pas mieux que Feydeau et sa mécanique implacable ! Ça virevolte à un rythme d’enfer, ça court, ça se cache, ça se débat. Et au-delà du rire, on perçoit le portrait acide d’une époque pas si éloignée de la nôtre… Tout réussit à Moulineaux, jusqu’à ce Bal de l’Opéra ! Il n’a pas dormi chez lui, occupé toute la nuit à attendre son éventuelle future maîtresse. Au petit matin, sa femme Yvonne attend des explications. Par chance, Bassinet, un ami, vient lui demander un service. Et s’il devenait son alibi ? De quiproquos en mensonges, face à sa femme, sa belle-mère, le mari de sa maîtresse, l’amante de celui-ci qui fut jadis la sienne, Moulineaux est emporté dans un tourbillon d’événements qu’il essaie de maîtriser tant bien que mal. On peut compter sur le talent et l’inventivité de Georges Lini – qui avait revisité « Un Conte d’hiver » de Shakespeare en 2016 – pour proposer un Feydeau contemporain, étonnant et ludique. Dans un décor qui réserve quelques surprises, nos huit comédiens complices s’en donnent à cœur joie. Un régal à l’approche des fêtes !

Un Tango en bord de mer

Distribution

Auteur : Philippe Besson – Mise en scène : Patrice Kerbrat – Avec : Jean-Pierre Bouvier, Fred Nyssen

Résumé

Nuit trouble Un bar d’hôtel en bord de mer, la nuit. Deux hommes esquissent les pas d’une danse compliquée, celle des retrouvailles. Ils se sont aimés à se faire mal, ils se sont perdus. Après des mois de distance, ils se retrouvent (par hasard ?) et interrogent leur amour. Cette première pièce de Philippe Besson, virtuose de l’écriture dialoguée, a été montée à l’Atelier Théâtre Jean Vilar en septembre 2010. Plébiscités par le public et la presse, Jean-Pierre Bouvier et Frédéric Nyssen sont très attendus pour cette reprise. Deux acteurs de talent, également à l’affiche de Démocratie cette saison.

Un tramway nommé Désir

Distribution

Auteur : Tennessee Williams – Traduction inédite : Isabelle Famchon – Direction artistique et mise en scène : Salvatore Calcagno – Avec : Lorenzo Bagnati, Marie Bos, Salvatore Calcagno, Sophia Leboutte, Réhab Mehal, Lucas Meister, Pablo-Antoine Neufmars, Bastien Poncelet, Tibo Vandenborre – Conseiller artistique : Pablo-Antoine Neufmars – Assistante à la mise en scène : Daphné Liegeois – Scénographie et costumes : Bastien Poncelet – Création lumière : Amélie Géhin – Création et régie son : Jean-François Lejeune – Création vidéo : Zeno Graton – Accessoiriste en répétition : Camille Chateauminois – Stage supervisor : Saïd Abitar – Maquettistes : Saïd Abitar, Ignacio Plaza de Giles – Création maquillages : Edwina Calcagno – Habilleuse-maquilleuse : Cindy Planckaert – Conseiller musical musique live : François Deppe – Chorégraphie du combat : Cédric Cerbara – Dramaturgie : Sébastien Monfè – Régie générale : Nicolas Oubraham – Régie lumière : Angela Massoni – Stagiaire création lumière : Lionel Ueberschlag – Direction technique : Nathalie Borlée – Chargée de production : Manon Faure – Réalisation des décors et des costumes : Ateliers du Théâtre de Liège

Résumé

Découvrez une version contemporaine de cette pièce mythique de la littérature américaine, immortalisée au cinéma par le duo Vivien Leigh et Marlon Brando. Avec cette nouvelle traduction, Salvatore Calcagno, jeune metteur en scène belge dont le talent et l’esthétique séduisent les scènes étrangères, donne un nouveau souffle à l’œuvre. Après une longue séparation, Blanche Dubois rend visite à sa sœur Stella, qui vit dans un quartier populaire, avec son mari Stanley, bel homme impulsif. C’est la confrontation entre deux mondes qui s’opposent, mais ce que l’esprit rejette, le corps peut le désirer. Dans ce huis-clos sous un soleil accablant, la sensualité de Blanche et Stanley irradie le plateau pour explorer les territoires intimes où se côtoient fragilité et férocité. « Un Tramway nommé désir » est, avant tout, un portrait de femme. On y sonde sa place dans la société, les choix auxquels elle fait face, sa liberté acquise et restant à saisir, l’expression de ses désirs. Élu meilleur dramaturge du XXe siècle par le magazine TIME, Tennessee Williams a laissé une empreinte majeure dans la culture américaine. Le spectacle confirme l’actualité de l’œuvre, intense et touchante, de cet écrivain à nul autre pareil.

Une Flûte enchantée

Distribution

Auteur : Mozart – Adaptation : Peter Brook, Franck Krawczyk, Marie-Hélène Estienne – Metteur en scène : Peter Brook – Piano : Franck Krawczyk – Piano en alternance : Rémy Atasay – Interprétation : sept chanteurs lyriques en alternance : Dima Bawab, Malia Bendi Merad, Leïla Benhamza, Aylin Sezer, Jean-Christophe Born, Patrick Bolleire, Thomas Dolié, Antonio Figueroa, Virgile Frannais, Betsabée Haas, Vincent Pavesi, Adrian Strooper, Anne Emmanuelle Davy, Romain Pascal, Abdou Ouogolem, Stéphane Soo Mongo

Résumé

L’Opéra de Mozart revisité par Brook L’immense metteur en scène Peter Brook adapte « librement » l’ultime partition de Mozart, La Flûte enchantée, œuvre féerique, magique, qui ne cesse d’émerveiller tous ses publics, qu’ils soient connaisseurs, néophytes ou encore jeunes enfants ! Un ravissement à savourer en famille. Juvénile, troublante, drôle, cette histoire d’un jeune prince découvrant l’amour et la sagesse après avoir traversé les grandes épreuves du monde se déroule dans une clairière entourée de joncs en bambou. Pieds nus, sobrement vêtus, sans maquillage, les comédiens-chanteurs nous offrent la fable loin des conventions figées de l’opéra. Un spectacle léger et intense qui a su conserver la portée initiatique de l’œuvre de Mozart. Cette Flûte sera loin d’être celle qu’on peut attendre. La panoplie habituelle d’effets scéniques, le symbolisme ne feront pas partie du voyage. A leur place, le public pourra trouver un Mozart éternellement jeune, entouré de jeunes chanteurs talentueux, prêts à improviser, transposer, explorer de nouvelles couleurs, de nouvelles formes. Peter Brook, Franck Krawczyk et Marie-Hélène Estienne Les chants sont surtitrés en français : n’en perdez pas une miette ! Une coproduction C.I.C.T. / Théâtre des Bouffes du Nord ; Festival d’Automne à Paris ; Attiki Cultural Society, Athènes ; Musikfest Bremen ; Théâtre de Caen ; MC2, Grenoble ; Barbican, Londres ; Les Théâtres de la Ville de Luxembourg ; Piccolo Teatro di Milano – Teatro d’Europa ; Lincoln Center Festival, New York. Production déléguée : C.I.C.T. / Théâtre des Bouffes du Nord, Paris. Avec le soutien du Centre International de Recherche Théâtrale.

Une Heure avec Rainer Maria RILKE

Distribution

Auteur Malte Laurids Brigge – Avec Laurent Terzieff, Claude Aufaure, Pascale de Boysson.

Résumé

Une heure de grâce. C’est ce qu’a voulu offrir Laurent Terzieff avec un montage de textes de Rainer Maria Rilke. Au centre, l’interrogation ardente du poète à travers les Cahiers de Malte Laurids Brigge, ce combat avec l’ange. Et un peu en retrait, comme les donateurs dans un tableau médiéval, une femme et un jeune homme qui disent « les Nouveaux Poèmes », le goût des choses et « la suprême douceur des sucs dans le vin lourd ». Le Figaro. Poèmes et extraits des « Cahiers de Malte Laurids Brigge »

Une Soeur de trop

Distribution

Auteur : Sophie Landresse – Metteur en scène : Georges Lini – Interprétation : Sophie Landresse, Bernadette Mouzon, Jacqueline Nicolas, Jean-François Rossion – Scénographie : Renata Gorka – Lumières : Benoît Lavalard – Assistant à la mise en scène : Xavier Mailleux – Régie : Benoît Lavalard, Marc Paulus

Résumé

Une tragicomédie sur la fratrie et le bled wallon Quelque part dans le grand sud wallon… Rien n’a bougé depuis la mort de la mère : de la nappe en plastique qui colle sous la thermos à l’écoulement d’eau qui fuit jusque sous la moquette… Les deux soeurs sont au bord du naufrage. Entre médocs et feuilletons désastreux, Hélène tente d’oublier Luc, son gentil voisin. Sûre de son sex appeal, Sylvia, coeur d’artichaut à la dérive, rêve, elle, de la ville, la vraie, la grande. J’aime les pièces de famille. J’aime les secrets et les fantômes dans le placard. J’aime quand ce qui est dit n’est pas ce qui est. J’aime quand les personnages jouent à « même pas mal ». Quand ils débordent d’amour. Quand les silences sont ravageurs. Quand ça t’empoigne le cœur. Quand ils rient pour ne pas pleurer. Georges Lini Comédienne depuis 15 ans, Sophie Landresse a joué dans de nombreux classiques, avant de se mettre à écrire. Elle prête sa voix pour de nombreux films, séries et dessins animés. Une Sœur de trop, sa première pièce, a reçu le prix Georges Vaxelaire 2007 de l’Académie Royale. Premier Prix au Conservatoire de Bruxelles en juin 1999, Georges Lini est comédien, metteur en scène, fondateur et directeur du Zone Urbaine Théâtre à Bruxelles. Il a mis en scène notamment Incendies de Wajdi Mouawad et Ouest solitaire de Martin Mc Donagh. Une création-production des Riches Claires/Compagnie Belle de nuit

Une Vue sur le ciel (Skylight)

Distribution

Interprétation : Damien Gillard, Manuela Servais, Armand Delcampe – Metteur en scène : Armand Delcampe – Auteur : David Hare

Résumé

Un soir, il sonne à la porte et, avec lui, c’est tout le passé qui resurgit. Après l’effet de surprise, l’intimité renaît et puis… c’est l’affrontement. Ces deux-là ce sont rencontrés dix ans auparavant. Lui, né pauvre, était déjà devenu le riche propriétaire d’une chaîne de restaurants. Issue d’un milieu bourgeois, elle avait tout quitté. Il avait dans les quarante ans, elle, à peine vingt. Ils se sont aimés pendant six ans et, un jour, elle est partie, d’un coup. Ce soir, ils reparlent de leur histoire, de leur amour. Et la tension monte, à cause de leurs différences, de leurs oppositions, des cicatrices non refermées. Ce soir, ils règlent les comptes… Une Vue sur le ciel est une pièce intimiste, une histoire d’amour sur fond de fracture sociale, une histoire d’amour ancrée dans l’actualité. Un affrontement déchirant entre deux acteurs/personnages. Une création de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Vieilles Chansons maléfiques

Distribution

Auteur : Jon Marans – Adaptation : Thomas Joussier – Mise en scène : Jean-Claude Idée – Avec : Jean-François Brion, Alexandre von Sivers

Résumé

Désaccords parfaits 1986. Depuis une année entière, Stephen Hoffman, jeune pianiste prodige américain, souffre d’un blocage artistique. Il débarque à Vienne pour prendre des cours avec le réputé professeur Schiller. A sa grande surprise, il découvre qu’avant de pouvoir rencontrer le « maître », celui-ci lui a prévu deux mois de cours de chant avec le professeur Mashkan. Stephen refuse au départ ce qu’il considère comme un affront à son talent : n’est-il pas pianiste virtuose? Les leçons démarrent donc mal… Sur fond de campagne électorale – le controversé Kurt Waldheim est sur la voie de la présidence autrichienne -, Stephen débute son étude avec les Dichterliebe de Schumann, un bouleversant cycle de chansons écrites sur des poèmes de Heinrich Heine. Choc des cultures, des générations, des méthodes de travail, auquel s’ajoutent les commentaires antisémites du professeur Mashkan, rien ne prédispose les deux hommes à s’entendre. Pourtant, note après note, l’oeuvre insuffle son lyrisme dans la vie de chacun d’eux et ils finiront par se rapprocher grâce à un passé commun.

Virginia

Distribution

Auteur Edna O’Brien – Mise en scène Simone Benmussa – Adaptation Guy Dumur – Avec Catherine Sellers, Hélène Arié, Pierre Tabard.

Résumé

Par la Compagnie Renaud-Barrault Virginia retrace la vie de l’auteur des Vagues depuis son adolescence jusqu’à son suicide en 1941. Elle évoque les grands chocs de cette existence, tels qu’on les retrouve plus ou moins transposés dans son oeuvre romanesque : Mort de sa mère et de son père Leslie Stephen ; fondation du groupe de Bloomsbury où avant la guerre de 1914 se réunirent autour de Virginia, de sa soeur et de leurs frères, les plus grands esprits du temps ; le mariage avec Leonard Woolf ; amour passionné pour la belle et aristocratique Vita Nicolson, née Sackville-West, dont virginia Woolf s’inspira pour le personnage d’Orlando.Les crises de dépression qui menèrent Virginia au bord de la folie et au suicide sont également décrites avec force, toujours à travers ces écrits qui transposent avec génie une réalité extérieure et psychologique qu’elle a sentie et vécue plus profondément qu’aucun écrivain de son temps.

Viva !

Distribution

Auteur : Vivaldi et Vincent Engel – Mise en scène et scénographie : Gabriel Alloing – Avec : Pietro Pizzuti (comédien), Julia Szproch (soprano), Sarah Théry (mezzo-soprano) et l’ensemble baroque Les Muffatti – Assistante à la mise en scène : Joëlle Franco – Création costumes : Astrid Michaelis – Création lumière : Benjamin Struelens – Création vidéo : Benjamin Struelens et Jérôme Heiderscheidt – Ingénieur son : Dominique Maertens – Maquilleuse : Djennifer Merdjan

Résumé

Un spectacle théâtral et musical autour de Vivaldi écrit par Vincent Engel. Il s’appelle Antonio Vivaldi. Il a à son actif des centaines de concertos, d’opéras, de prières et combien encore qui piaffent dans sa tête et dans son cœur. Il vit pour composer et jouer. Pour prier et aimer. Pour briller aussi… Et s’il a toujours eu du mal à quitter sa Venise natale, sa musique a quant à elle voyagé dans le monde entier. Fasciné par le compositeur des « Quatre saisons », Vincent Engel signe un portrait subjectif de l’homme et de l’artiste. Sur scène, se met en place un subtil équilibre entre le texte interprété par Pietro Pizzuti, la musique jouée par l’ensemble baroque des Muffatti, et la création lumière et vidéo. Un spectacle total mis en scène par Gabriel Alloing.

Vivons heureux en attendant la mort

Distribution

Auteur : Pierre Desproges – Mise en scène : Fabrice Gardin – Interprétation : Dominique Rongvaux – Scénographie : Pierre Martens – Lumière : Félicien Van Kriekinge – Avec l’aide de l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

« Il faut vivre avec les morts, surtout quand ils sont bien vivants. ». Pierre Desproges ne se prenait pas pour un con, mais, fort heureusement, il ne nous prend pas pour des imbéciles non plus. Ce qu’il écrit est intelligent, érudit et pourtant drôle. « Pourquoi riez-vous ? J’aimerais tellement vous émouvoir… », disait-il. Et il y arrivait, à faire rire et à émouvoir, car son talent résidait dans la réplique cinglante autant que dans la pudeur des vérités. Derrière la gaieté du clown se cachait (à peine) un métaphysicien de la vie. L’esprit ouvert, la plume acérée, Desproges maniait la critique ironique sur bon nombre de sujets. Le temps d’une décennie, il a pulvérisé l’humour à la radio, à la télé et dans ses livres. Son rire était vital, car il touchait aux régions de l’âme où ça fait mal. « Ça fait moins mal quand on en a ri », disait-il. L’occasion de redécouvrir au-delà de l’humoriste un auteur à l’écriture ciselée. « Dominique possède le style, le phrasé, le rythme, la stature pour faire passer les textes de Desproges. Ce n’est pas un comique, ni d’ailleurs un humoriste, c’est un comédien sensible qui comprend ce qu’il dit et le fait admirablement bien comprendre aux autres. N’est-ce pas le plus important ? ». Fabrice Gardin

Voltaire’s folies

Distribution

D’après : Voltaire – Un spectacle de : Jean-François Prévand – Interprétation : Charles Ardillon, Olivier Claverie, Gérard Maro, Mouss Zouheyri

Résumé

Pamphlet cocasse et satirique contre la bêtise : « Lumière! Lumière! Et vive la philosophie du même nom! » Il y a trente-sept ans déjà, Voltaire’s folies, dans son ancienne mouture, interpellait les consciences au cours d’une tournée mondiale. Aujourd’hui, la pièce retrouve pleinement sa vocation thérapeutique, apparaissant comme un vaccin contre la pensée unique, l’intolérance, le fanatisme politico-religieux. Toutes sortes de maladies, en somme, dont souffre le monde moderne. A l’heure du politiquement correct, nous osons vous proposer une piqûre de rappel ! Jean-François Prévand a donc opéré un léger lifting de sa version des années ’70, composée de textes les plus épicés d’un Voltaire indigné et virulent qui s’étouffait de rage devant la bêtise humaine et l’intolérance de ses concitoyens et trempait sa plume dans le vitriol pour tenter de réveiller les consciences amorphes. Il en résulte un théâtre politique version music-hall, emmené par quatre larrons en délire qui dénoncent les fanatismes religieux de tous poils sur un rythme endiablé. Une attaque, non contre la foi, mais contre ceux qui en usent pour manipuler les foules. Parmi les agitateurs, soulignons la présence de Gérard Maro, homme de théâtre complet et directeur du Théâtre de L’Oeuvre à Paris. Une fois de plus, il fait preuve d’audace en programmant ces nouvelles Voltaire’s folies sur les planches de son propre théâtre. Une production des Tournées de l’Œuvre / G.M. Spectacles.

Voyage au bout de la nuit

Distribution

Auteur Louis-Ferdinand Céline – Mise en scène Fabrice Luchini – Avec Fabrice Luchini.

Résumé

Trois chaises, une écharpe, quelques jeux de lumière, le texte du « Voyage au bout de la nuit », c’est tout ce qu’il faut à Fabrice Luchini pour raconter les banlieues grises dans années vingt, la Seine au petit matin, la quotidienne pauvreté, la vie d’un médecin sans clientèle ou presque, au cœur d’un monde résigné et douloureux. Présenté par Théâtre Actuel.

Waff !

Distribution

Mise en scène : Caroline Leboutte – Avec : Scarlett Schmitz, Yvan Tjolle – Auteur : Colas Gutman

Résumé

Aujourd’hui, c’est son anniversaire ! Ils sait ce qu’il va recevoir : un chien ! C’est ça qu’il a demandé : un grand chien, avec des longs poils… « Je vais le dresser », il a dit. Mais seulement, voilà… « Waff ! » c’est une histoire tout en moquette et en chansons, qui parle de désillusions, de vraies, de fausses larmes et de rencontre.

Wielopole – Wielopole

Distribution

Auteur Tadeusz Kantor – Avec Tadeusz Kantor

Résumé

« Wielepole – Wielopole » est le spectacle le plus autobiographique de Kantor. Le titre déjà fait référence à son lieu de naissance, Wielopole. Puis, la mémoire mise en branle appelle les personnages familiers. Dans des tableaux d’une grande force évocatrice, vibrant de rythmes obsédants, les souvenirs – les éléments intimes, personnels, familiaux et nationaux – s’imbriquent, s’embrouillent, pour se recomposer brusquement en images d’un valeur universelle, ponctuées par quelques phrases qui reviennent comme un refrain. Par l’auteur de « La Classe morte ». Par le Cricot 2 de Cracovie. UN EVENEMENT THEATRAL EN EXCLUSIVITE EN BELGIQUE Une date dans le théâtre actuel. Un spectacle d’une portée universelle. Une création bouleversante. Le théâtre visuel d’un des plus grands artistes d’aujourd’hui : Tadeusz Kantor.

Zizi Jeanmaire

Distribution

Avec Zizi Jeanmaire – Mise en scène Roland Petit – Direction musicale Maurice Vander – Avec Jean-Charles Verchère, Rodolphe Cassad

Résumé

Zizi Jeanmaire n’a pas froid à ses grands yeux dévorants. Elle assure avec panache un vrai tour de chant, une vingtaine de chansons agencées et mises en scène par Roland Petit. Cinq musiciens conduits par Maurice Vander. Un danseur… Elle a toujours surpris et elle surprend encore. Co-production Théâtre des Bouffes du Nord, Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve, Théâtre de la Criée, Maison de la Culture de Loire-Atlantique et la Sept.

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