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2006 - 2007

1914, Le Grand Cabaret

Distribution

Par : les Baladins du Miroir – Idée originale et mise en scène : Gaspar Leclère – Scénario et dialogues : Vincent Zabus, Gaspar Leclère – Interprétation : Line Adam, Alain Boivin, Stéphanie Coppé, Xavier Decoux, Wout De Ridder, Monique Gelders, Geneviève Knoops, Sophie Lajoie, Gaspar Leclère, Mathieu Moerenhout, Vincent Zabus, Nele Paxinou, Coline Zimmer

Résumé

29 juillet 1914, l’Europe entière vit dans l’attente angoissante de la déclaration de guerre imminente. La troupe Cippolini, héritière d’une lointaine tradition familiale de spectacle forain et de grandes illusions, s’apprête à présenter la première de son cabaret. Venue spécialement à Montmartre, la famille compte sur un final grandiose pour séduire le Tout-Paris en ébullition. Une histoire comme on les aime, où s’entremêlent amour filial, conflits de générations et intrigues ; le tout rythmé de danses, musiques et de beaucoup de fantaisies. Avec, en apothéose, un dénouement théâtralement… cinématographique ! Les Baladins du Miroir, c’est 7000 kilomètres tous les ans dans 20 ou 25 villes belges mais aussi à l’étranger. Les Baladins, ce sont les roulottes, le chapiteau et une vingtaine d’artistes. Mais ce sont aussi et surtout les héritiers d’une tradition, celle de la troupe ambulante. Entre les multiples disciplines du théâtre et des arts forains : commedia dell’arte, acrobatie, chant, musique, danse, maquillage,… les Baladins sont toujours là pour nous enchanter ! Un spectacle des Baladins du Miroir. Film en coproduction avec l’Institut des Arts de Diffusion (IAD).

Avanti

Distribution

Mise en scène : Pierre Richards – Avec : Gérard Corbion, Patricia Gomis, Jeannine Gretler

Résumé

Au début, presque rien : un petit lopin de terre tout rond, quelques pierres (oud es pommes de terre?), presque pas de bruit, presque pas de vie. Quand tout à coup, la lumière s’allume ! Commencent alors à exister trois créatures ventrues, fessues et bossues, avec pour seul bagage une drôle de démarche et un air ahuri ; ils ont peur, forcément, c’est le début. Ils ne savent rien, rien de rien. Il leur faut tout découvrir, tout inventer, tout apprendre : Avanti ! Alors, du bout de leurs doigts jusqu’au bout de leurs orteils, du bout de leurs orteils jusqu’au bout de leur « champ », ils explorent et expérimentent tout, par hasard, par accident, par le jeu et par instinct aussi. Au moyen de gestes et de mimiques, le trio s’invente et nous invente ainsi « un monde à part ».

Bouvard et Pécuchet

Distribution

Auteur : Gustave Flaubert – Adaptation et mise en scène : Michel Tanner – Interprétation : Jean-Marie Pétiniot, Guy Pion – Scénographie : Vincent Lemaire – Assistante à la scénographie : Aline Breucker – Lumières : Guy Simard – Costumes : Isabelle Chevalier – Musique : Eloi Baudimont – Assistante à la mise en scène : Béatrix Férauge – Construction du décor : Claude Duquenne – Régie son : Amaury Pottie – Régie plateau : Josiane Blicq – Régie lumière : Maximilien Westerlink

Résumé

Bouvard et Pécuchet, copistes de leur état, la cinquantaine venue, se retirent à la campagne et décident, après avoir inspecté l’univers, d’embrasser la totalité des connaissances humaines. Ils veulent ainsi comprendre et maîtriser le monde par le savoir. Dans une débauche de recherche de travail, de bonne volonté, d’amitié… et de sottises, ils vont être les représentants de la bêtise humaine, chose, chacun le sait, la mieux partagée de l’univers. Si Bouvard et Pécuchet sont des « cloportes » selon leur créateur, ils sont aussi capables d’analyses pertinentes et ironiques des gens et de la société qui les entourent. Bouvard et Pécuchet est une œuvre géniale, clairvoyante, visionnaire… et drôle de l’histoire de la pensée unique. C’est une lecture éblouissante du mythe de l’éternel recommencement, c’est un moment de rage bienveillante de Gustave Flaubert, ultime roman de la personnalité majeure de la littérature française. Création – Production du Théâtre de l’Eveil / Le Manège.Mons / Le Service Provincial des Arts de la Scène (SPAS) / La Province de Hainaut / L’Atelier Théâtre Jean Vilar. Avec l’aide de la Communauté française Wallonie-Bruxelles.

Bouvard et Pécuchet (en tournée)

Distribution

Auteur : Gustave Flaubert – Metteur en scène : Michel Tanner – Interprétation : Jean-Marie Pétiniot, Guy Pion

Résumé

Bouvard et Pécuchet, copistes de leur état, la cinquantaine venue, se retirent à la campagne et décident, après avoir inspecté l’univers, d’embrasser la totalité des connaissances humaines. Ils veulent ainsi comprendre et maîtriser le monde par le savoir. Dans une débauche de recherche de travail, de bonne volonté, d’amitié… et de sottises, ils vont être les représentants de la bêtise humaine, chose, chacun le sait, la mieux partagée de l’univers. Si Bouvard et Pécuchet sont des « cloportes » selon leur créateur, ils sont aussi capables d’analyses pertinentes et ironiques des gens et de la société qui les entourent. Bouvard et Pécuchet est une œuvre géniale, clairvoyante, visionnaire… et drôle de l’histoire de la pensée unique. C’est une lecture éblouissante du mythe de l’éternel recommencement, c’est un moment de rage bienveillante de Gustave Flaubert, ultime roman de la personnalité majeure de la littérature française. Création – Production du Théâtre de l’Eveil / Le Manège.Mons / Le Service Provincial des Arts de la Scène (SPAS) / La Province de Hainaut / L’Atelier Théâtre Jean Vilar. Avec l’aide de la Communauté française Wallonie-Bruxelles.

Demain, c’est le printemps (en tournée)

Distribution

Réalisation des décors : Nicolas Perretier, Vincent Rutten, Mathieu Regaert – Lumière : Jacques Magrofuoco – Réalisation des décors : Marc Cocozza – Décor et costumes : Sylvie Deschampheleire – Assistante à la mise en scène : Danielle Fire – Interprétation : Alexandre von Sivers, Cécile Van Snick, Danielle Fire – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Xavier Campion – Auteur : Eve Calingaert.

Résumé

Comédie dramatique Sans rancœur ni tristesse, un homme a vécu. Une vie avec ses joies, ses peines, ses nostalgies…La constante dans cet itinéraire ? L’humour, l’ingrédient indispensable pour maintenir le cap face au temps. Une femme l’accompagne. Avec tendresse. Une comédie dramatique tout en finesse et en émotions… Eve Calingaert a été journaliste. À côté de cette activité, elle peint et écrit. Son écriture, fine et intelligente, interpelle sans choquer et questionne sans moraliser. Première oeuvre portée à la scène pour cet auteur belge, ce spectacle a été créé au Festival de Théâtre de Spa 2005. Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa

Dis à ma fille que je pars en voyage

Distribution

Auteur : Denise Chalem – Metteur en scène : Denise Chalem – Interprétation : Denise Chalem, Christine Guerdon, Christine Murillo – Décor : Chantal Thomas – Assistante décor : Natacha Le Guen – Lumières : Gaëlle de Malglaive – Son : Philippe Donnefort – Costumes : Cidalia Da Costa – Assistante à la mise en scène : Nathalie Bensard

Résumé

Deux femmes qui n’auraient jamais dû se rencontrer. Une cellule de prison et deux intimités confrontées à quelques mètres carrés… Leurs seules ouvertures sur le monde : une fenêtre à travers laquelle elles entrevoient un coin de ciel et les intrusions des surveillantes. Face à nous, la promiscuité qui dévoile sans ménagement les jardins secrets, pas toujours fleuris ; le premier temps de l’indifférence, de l’apprivoisement, puis petit à petit la naissance d’une amitié. Un huis clos à la fois réaliste et cocasse. Caroline et Dominique n’ont rien en commun, les raisons de l’emprisonnement, le milieu social dont elles sont issues, tout les sépare. Caroline a de l’éducation et de l’instruction, elle est en prison pour falsification de comptes ; Dominique a les manières rudes d’une mère de famille dont l’existence a toujours été pénible, elle a tué. La prison les réunira, pour le meilleur, et souvent pour le pire. Et c’est dans le pire qu’elles s’épauleront, donnant envers et contre tout une humanité à cet univers carcéral sordide et impitoyable, où harcèlement et mépris sont monnaie courante. Avec un texte fort et direct, des dialogues vifs, justes et simples, des silences qui en disent long et deux personnages féminins attachants, Denise Chalem nous confronte à la question des droits fondamentaux lorsque la dignité humaine est en jeu. Molières 2005 du meilleur spectacle et de la meilleure comédienne pour Christine Murillo. Une production des Tournées du Théâtre de l’Oeuvre G.M. Spectacles. Spectacle proposé en collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve.

Dramuscules

Distribution

Auteur : Thomas Bernhard – Traduction : Claude Porcell – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Marie-Claire Clausse, Hervé Guerrisi, Marie-Line Lefebvre, Alix Mariaule, Patrick Ridremont, Cécile Van Snick, Gérard Vivane, Alexandre von Sivers

Résumé

Ils sont drôles, ces gens qui parlent des petits riens de la vie de tous les jours, avec leurs raisonnements un peu étroits : les deux voisines qui évoquent le décès de Monsieur Geissrathner, la femme du policier qui l’empêche de regarder son match de foot tranquillement, les deux couples de politiciens en vacances à la mer… C’est tellement drôle qu’on en oublierait presque leurs propos… Mais voilà que leurs esprits s’échauffent, ça ne fait plus aucun doute, ils sont sérieux : leurs idées fascistes les aveuglent complètement ! Et les 5 saynètes comiques imaginées par Bernhard basculent dans l’horreur : ces citoyens respectables n’en peuvent plus d’étouffer toute cette rancœur et déversent avec fracas des flots de haine raciste trop longtemps contenue, relents d’un nazisme qu’on croyait oublié. Avec un humour caustique, Thomas Bernhard dénonce une fois de plus l’hypocrisie de l’Autriche d’après-guerre, qui au-delà d’une apparente tolérance, refuse d’abandonner les valeurs nazies. Aujourd’hui, alors que la montée de l’extrême droite n’est plus un secret pour personne dans nos contrées, ces courtes pièces sont d’une comique actualité. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar avec la participation de la Maison de la Culture d’Arlon/ Centre Dramatique. —————————————————————- Débat – rencontre : Tolérance ? Au-delà des apparences… Le vendredi 23 mars à l’issue du spectacle (vers 22h) Intervenants : Maître Simon Gronowski, ancien déporté échappé du convoi vers les camps, Monsieur Philippe Hensmans, directeur d’Amnesty International Belgique Francophone et Monsieur Patrick Charlier, coordinateur du Département racisme et intégration au Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme. – Dans le cadre de la Semaine d’Actions Contre le Racisme organisée par le MRAX –

Dramuscules (en tournée)

Distribution

Auteur : Thomas Bernhard – Traduction : Claude Porcell – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Marie-Claire Clausse, Hervé Guerrisi, Marie-Line Lefebvre, Alix Mariaule, Patrick Ridremont, Cécile Van Snick, Gérard Vivane, Alexandre von Sivers.

Résumé

Ils sont drôles, ces gens qui parlent des petits riens de la vie de tous les jours, avec leurs raisonnements un peu étroits : les deux voisines qui évoquent le décès de Monsieur Geissrathner, la femme du policier qui l’empêche de regarder son match de foot tranquillement, les deux couples de politiciens en vacances à la mer… C’est tellement drôle qu’on en oublierait presque leurs propos… Mais voilà que leurs esprits s’échauffent, ça ne fait plus aucun doute, ils sont sérieux : leurs idées fascistes les aveuglent complètement ! Et les 5 saynètes comiques imaginées par Bernhard basculent dans l’horreur : ces citoyens respectables n’en peuvent plus d’étouffer toute cette rancœur et déversent avec fracas des flots de haine raciste trop longtemps contenue, relents d’un nazisme qu’on croyait oublié. Avec un humour caustique, Thomas Bernhard dénonce une fois de plus l’hypocrisie de l’Autriche d’après-guerre, qui au-delà d’une apparente tolérance, refuse d’abandonner les valeurs nazies. Aujourd’hui, alors que la montée de l’extrême droite n’est plus un secret pour personne dans nos contrées, ces courtes pièces sont d’une comique actualité. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar avec la participation de la Maison de la Culture d’Arlon/ Centre Dramatique.

Du côté de chez Proust

Distribution

Interprétation : Jacques Sereys – Metteur en scène : Jean-Luc Tardieu – Auteur : Marcel Proust

Résumé

Seul en scène, Jacques Sereys vous convie à une promenade enchantée dans les jardins du temps perdu. Tel un orfèvre se penchant sur la formidable horlogerie du souvenir, il réveille avec délicatesse un monde qui n’est plus. Et si vous pensez encore que l’univers de Proust est rasoir ou alambiqué, le comédien, sociétaire honoraire de la Comédie-Française, vous prouvera le contraire et convertira même les plus rétifs, grâce à sa passion pour l’œuvre de l’auteur. Prenant du recul par rapport à ses analyses torturées, Jacques Sereys donne chair et vie à un texte que l’on redécouvre avec ravissement. Avec une joie ostensible, il campe une douzaine de personnages nés de la plume de Proust. Tour à tour, il incarne ainsi Mme Verdin, Françoise, la mère de l’auteur ou sa tante Léonie, pour évoquer les dernières vacances à Combray, une certaine madeleine chargée d’effluves, le clocher de l’église « comme une grosse brioche »… Tantôt facétieux, attendri, drôle ou mélancolique, il nous plonge dans les méandres de la mémoire proustienne et en extrait avec merveille toute la cocasserie, sans lourdeur, avec élégance et sobriété. Molière 2006 du meilleur comédien pour Jacques Sereys. Un spectacle du Petit Théâtre Montparnasse présenté par Atelier Théâtre Actuel.

En allant à Saint-Ives

Distribution

Interprétation : Yane Mareine, Béatrice Agenin – Metteur en scène : Béatrice Agenin – Adaptation : François Bouchereau – Auteur : Lee Blessing

Résumé

« En allant à Saint-Ives » met en scène deux mères, chacune avec une douleur liée à son enfant. L’une, est en deuil d’un fils, l’autre, veut assassiner le sien devenu tyran d’un petit pays africain. Rien ne les rassemble a priori. L’une est blanche, vivant en Angleterre pour fuir la violence des grandes villes américaines, l’autre est noire et vient d’un pays – d’un empire précise-t-elle – encore meurtri par la colonisation. Deux cultures, deux sensibilités s’affrontent. Le fils de Mary l’a envoyée en Angleterre pour une opération aux yeux. Lorsqu’elle rencontre Cora, l’ophtalmologue, Mary lui propose un étrange marché… Si la femme a des droits nouveaux dans l’Histoire, elle reste celle dont la chair est accrochée à l’enfant. Une mère a-t-elle le pouvoir de faire justice sur sa descendance ? Un sujet grave que l’auteur américain Lee Blessing aborde à travers une écriture fluide et simple. Le nectar du thriller psychologique allié à l’intelligence du propos. Une coproduction de la Compagnie M.E.L.O.D.I Béatrice Agenin et du Festival de Théâtre de Spa. En collaboration avec le Théâtre Marigny-Robert Hossein. Spectacle proposé en collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve.

Grouba

Distribution

Mise en scène : Tania Malempré – Avec : Fred Malempré, Marc Malempré, Didier Laloy

Résumé

Ils sont trois. Trois musiciens énigmatiques, farceurs et quelque peu… décalés. Ils viennent montrer sur scène leurs complicités, petites farces et rivalités à coup de jeux, à coup de notes. De brouilles en réconciliations, de violon en cornemuse, ces trois prodiges nous emmènent dans un univers complètement farfelu : un voyage joué, dansé, chanté, parlé en langue imaginaire où chacun se frotte à l’univers de l’autre, l’envahissant, le bousculant, le partageant.

Huis clos

Distribution

Auteur : Jean-Paul Sartre – Metteur en scène : Richard Kalisz – Interprétation : Denis Carpentier, Jo Deseure, Julien Roy, Isabelle Wéry – Scénographie et costumes : Catherine Somers – Lumières : Christian Léonard – Collaboration musicale: Greg Houben – Maquillage : Martine Lemaire – Assistante à la mise en scène : Bénédicte Bantuelle – Construction décor : Marc Cocozza, Georges Delhez, Mathieu Regaert et Vincent Rutten – Peinture décor et toile : Marc De Meyer – Réalisation de la statue : Lionel Lê – Technique : Nicolas Perretier, Jacques Perera – Régie lumières et son : Gary De Beys – Habilleuse : Liliane Thomas – Régie générale : Vincent Rutten – Direction technique : Jacques Magrofuoco.

Résumé

Un garçon d’étage introduit dans un salon Garcin, journaliste-publiciste, Inès, ancienne employée des Postes et Estelle, riche mondaine. Ils ne se connaissent pas, viennent de milieux très différents, ne partagent pas les mêmes convictions, ni les mêmes goûts. Pourtant, pas de hasard, ils sont réunis pour l’éternité en Enfer. Pas de bourreau, pas d’issue. Aucune fuite possible. Rien pour échapper aux Autres. Ainsi débute un hallucinant huis clos, où chacun se livre à une joute oratoire pour défendre son cas. Jouant de plaidoiries et d’emballages, les protagonistes trouvent des stratagèmes pour maquiller leurs histoires personnelles souvent glauques… en vain. Car s’ils sont en Enfer, c’est pour une bonne raison ! Petit à petit, les masques de la mauvaise foi tombent, le triangle malsain est percé à jour : le meurtre les réunit. Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Théâtre Jacques Gueux avec le soutien de la Communauté française Wallonie-Bruxelles, Service du Théâtre.

L’Amérique

Distribution

Auteur : Serge Kribus – Metteur en scène : Serge Kribus – Interprétation : Serge Kribus, Bernard Sens – Décor et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Jacques Magrofuoco – Son : Nicolas Perretier – Guitare électrique enregistrée : Alain Lapiower – Violon enregistré : Emmanuel Emerich – Training physique : Boris Herszbojn – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot – Régie lumières : Jacques Perera – Régie son : Nicolas Perretier – Régie plateau : Mathieu Regaert – Construction décor : Vincent Rutten, Marc Cocozza, Georges Delhez – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Babar vit à Bruxelles. Il est étudiant en médecine. Idéaliste et révolté, il pense que le monde doit changer. Mais il a peur de tout, et il ose pas avec les filles. Un jour, il en a marre, alors il part à Paris, comme ça pour voir. Il est dans un bar, et Jo lui parle. Jo, il n’a peur de rien. Il se bat. Il vole dans les magasins. Il fume. Il claque des doigts et il couche avec une fille. Le voyage qu’ils feront ensemble ne sera pas seulement celui de la liberté, des odeurs interdites, et des déconnades. Ce sera aussi celui d’un apprentissage violent qui les mènera vers une fin difficile et douloureuse. La fin de l’adolescence. Dans une langue électrique et rapide comme le rock, Serge Kribus nous plonge dans l’époque subversive et revigorante des années ’70. Nomination comme meilleur auteur aux Molières 2006 et Prix Théâtre de la SACD en 2006. Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa.

L’Avare

Distribution

Auteur : Molière – Metteur en scène : Michel Dezoteux – Interprétation : Karim Barras, Frédéric Dezoteux, Raphaële Germser, Erwin Grünspan, Christian Hecq, Denis Laujol, Anne-Marie Loop, Blaise Ludik, Fanny Marcq, Achille Ridolfi – Scénographie : Vincent Lemaire – Lumières : Eric Vanden Dunghen – Composition musicale : Rosario Amedeo – Costumes : Souad Kajjal – Maquillages et perruques : Jean-Pierre Finotto – Assistant à la mise en scène : Glenn Kerfriden – Régie son : Eric Ronsse – Régie lumières : Eric Vanden Dunghen – Régie plateau : Mohamadou Niane

Résumé

Michel Dezoteux va en secouer plus d’un… Dans une mise en scène osée et débordante d’énergie, il revisite la joyeuse comédie en prose de Molière. Pas une seconde d’ennui, dix comédiens complètement speed pour un spectacle drôle et subversif où le rire se nourrit de l’éternel défaut de l’homme : l’avarice ! Le canevas est connu : Harpagon, riche bourgeois veuf et tyrannique est avare jusqu’à l’obsession. Il entend bien marier ses deux enfants, Cléante et Elise à de « bons » partis. Mais les deux jeunes gens sont déjà amoureux, Cléante de Marianne et Elise de Valère, intendant au service d’Harpagon. Le vieil homme a non seulement d’autres projets pour ses rejetons, mais en plus il se destine la fiancée de son fils ! De quoi méchamment contrarier les jeunes… et comiquement l’histoire. S’ensuivent quiproquos, mensonges, disputes et intrigues, dans un climat fantaisiste et déjanté. Christian Hecq est un Harpagon outrancié, explosif et poétique qui retrouve ici avec grand plaisir son ami de longue date, le metteur en scène Michel Dezoteux. Un spectacle du Théâtre Varia. En coproduction avec Le Manège.Mons-Centre dramatique et La Rose des Vents – Scène Nationale de Villeneuve d’Ascq.

La Balade du grand macabre

Distribution

Auteur : Michel de Ghelderode – Metteur en scène : Stephen Shank – Interprétation : Philippe Allard, Eric Breton Le Veel, Didier Colfs, Jessica Gazon, Peter Ninane, Françoise Oriane, Michel Poncelet, Pascal Racan, Jean-François Rossion – Scénographie et costumes : Thierry Bosquet – Lumières : Alain Collet – Décor sonore : Nicolas Marchant – Maquillages : Jean-Pierre Finotto – Assistant à la mise en scène : Luis Vergara Santiago – Régie son : Nicolas Perretier – Régie lumières : Alain Collet – Régie plateau : Noël Baye et Pierre Ronti – Habilleuse : Marianne Braconnier – Maquilleuses : Véronique Dubray, Daphné Durieux, Marjorie Mathieu

Résumé

Breugellande est une contrée paisible. A sa tête, le Prince Goulave, bégayant, gourmand et maladroit, s’occupe peu des affaires du royaume. Ses ministres, corrompus et manipulateurs, en font leur affaire. Voici tout à coup l’insouciante population en émoi, un grand escogriffe du nom de Nekrozotar clame la fin du monde à qui veut l’entendre. Pour le débonnaire Porprenaz, tant qu’il y a du vin… Le philosophe Videbolle quant à lui est enchanté : depuis le temps que de savants calculs astronomiques lui prédisaient l’apocalypse prochaine, voici qu’on le prendrait enfin au sérieux ! Et puis, l’occasion semble rêvée pour se débarrasser de sa mégère Salivaine… Temps mythique, espace fabuleux rappelant Bruegel, langue âpre et imagée : tout l’univers de Ghelderode se retrouve dans cette farce truculente ! Une rencontre avec un des auteurs les plus marquants de la Belgique, mort en 1962, sans même se douter que sa désignation pour le prix Nobel était à l’étude… Une production de DEL Diffusion et du Théâtre Royal des Galeries

La Veuve rusée

Distribution

Auteur : Carlo Goldoni – Traduction : Michel Arnaud – Metteur en scène : Patrice Kerbrat – Interprétation : Delphine Charlier, Olivier Cuvellier, Laurence d’Amélio, Jean-Claude Dubiez, Olivier Leborgne, Marie-Line Lefebvre, Clément Manuel, Nicolas Mispelaere, Fred Nyssen, Pierre Poucet, Patrick Ridremont, Jean-François Viot, Gérard Vivane – Décor : Edouard Laug – Costumes : Renato Bianchi – Lumières : Laurent Béal – Maquillages : Martine Lemaire – Musique originale : Paul Uy – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot – Régie générale : Vincent Rutten – Régie plateau : Marc Cocozza – Régie lumières : Gary De Beys – Habilleuse : Liliane Thomas – Maquilleuse : Martine Lemaire – Direction technique : Jacques Magrofuoco – Réalisation des décors : Marc Cocozza, Mathieu Regaert, Vincent Rutten, Nicolas Perretier, Yvan Harcq, Jacques Perera

Résumé

Une comédie virevoltante en costumes d’époque et aux décors somptueux, interprétée avec énergie et bonne humeur… Une jeune vénitienne mariée par obligation à un vieux marchand se retrouve, du jour au lendemain, veuve et riche. Dans l’atmosphère du carnaval de Venise, elle redécouvre la joie de vivre et décide de se remarier. Mais, cette fois, elle entend bien choisir l’heureux élu ! Quatre prétendants se bousculent à sa porte, chacun incarnant avec force et conviction les stéréotypes de sa nation. Qui de l’Anglais inconstant, du Français volage, de l’Espagnol trop sérieux ou de l’Italien jaloux gagnera le cœur de la belle ? Pour s’assurer de la sincérité de leur amour, la jeune femme entreprend de les mettre à l’épreuve… Quelle sera donc l’issue de cette délicieuse rencontre entre la subtilité féminine et les délires exubérants de ces mâles passionnés ? Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa.

La Veuve rusée (en tournée)

Distribution

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Résumé

Une comédie virevoltante en costumes d’époque et aux décors somptueux, interprétée avec énergie et bonne humeur… Une jeune vénitienne mariée par obligation à un vieux marchand se retrouve, du jour au lendemain, veuve et riche. Dans l’atmosphère du carnaval de Venise, elle redécouvre la joie de vivre et décide de se remarier. Mais, cette fois, elle entend bien choisir l’heureux élu ! Quatre prétendants se bousculent à sa porte, chacun incarnant avec force et conviction les stéréotypes de sa nation. Qui de l’Anglais inconstant, du Français volage, de l’Espagnol trop sérieux ou de l’Italien jaloux gagnera le cœur de la belle ? Pour s’assurer de la sincérité de leur amour, la jeune femme entreprend de les mettre à l’épreuve… Quelle sera donc l’issue de cette délicieuse rencontre entre la subtilité féminine et les délires exubérants de ces mâles passionnés ? Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa.

La Vieille au bois dormant

Distribution

Tour de chant théâtral de Clémence Massart – Régisseur : Paul Triadou

Résumé

Clémence Massart est avant tout comédienne. Elle est passée du Théâtre du Soleil – où vous avez pu la voir dans L’Age d’Or – au Magic Circus puis au Footsbarn Theatre, entre autres. Elle en garde une puissance d’interprétation et un goût certain pour l’improvisation. Lorsque Clémence Massart entre en scène, avec son accordéon, sa trompette, son petit décor, sa couronne de reine, c’est un univers qui nous apparaît comme sorti d’un café parisien des années ’30. La vieille au bois dormant a 100 ans, espère toujours le Prince charmant et souhaite que ce soit le marquis de Sade ! Clémence Massart chante ses terribles chansons oubliées, mais aussi des nouvelles, écrites pour elle, cruelles et drôles, sur sa décrépitude annoncée, sur les paradis artificiels, l’alcool, la jalousie, le crime et le rhume. C’est toute une palette colorée et sensible de petites histoires en musique, des textes de Desnos et d’autres… Un petit monde où la truculence du verbe n’a d’égale que l’authenticité du propos. Car Clémence Massart est une rigolote descendue des gouailleuses, une artiste à tripes et à tempérament, une conteuse à la fibre populaire, revigorante ; mais aussi une philosophe, tendre et sensible. Elle nous amuse par sa malice, nous étonne par sa fantaisie et nous prend par la main sur le chemin des émotions ! Une production de la Comédie Nouvelle.

Le Jeu de l’amour et du hasard

Distribution

Interprétation : Fabrizio Rongione, Toni D’Antonio, Laurent Capelluto, Patrick Brüll, Stéphane Fenocchi, Jean-François Rossion, Luc Van Grunderbeeck, François Houart, Laure Voglaire, Joëlle Franco, Stéphane Bissot, France Bastoen – Metteur en scène : Dominique Serron – Auteur : Marivaux

Résumé

Avec fraîcheur et volupté, la troupe de l’Infini Théâtre s’empare du grand classique de Marivaux. Une version résolument moderne et enjouée qui nous tient en haleine de bout en bout ! Car ce soir, pas de lever de rideau. De la tringle à costumes aux miroirs à ampoules, tout l’indique… vous êtes en coulisses. Chut… vous pourrez à votre tour épier les moindres gestes de chacun. Comme un ultime ballet avant la vraie représentation, les protagonistes entrent dans la danse. Ils mémorisent une dernière fois les repères, encore un petit coup de blush et… ça commence… Dorante et Silvia sont promis l’un à l’autre. Mais, avant de faire le grand saut, la demoiselle souhaite sonder le cœur de son futur en secret. Pour mieux l’épier, elle échange son habit de noblesse avec le costume de la soubrette, Lisette. Mais ce qu’elle ignore, c’est que Dorante a recours au même subterfuge… Une coproduction de l’Infini Théâtre en résidence dans la commune d’Ixelles. Avec le soutien du Théâtre de Namur et de la Communauté française Wallonie-Bruxelles, Service du Théâtre et des Tournées Art et Vie. Spectacle proposé en collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve

Le Sourire du diable

Distribution

Auteur : Paul Emond – Metteur en scène : Patrice Kerbrat – Interprétation : Myriem Akheddiou, Olivier Cuvellier, Marie-Line Lefebvre, Othmane Moumen, Pierre Poucet, Pascal Racan, Patrick Ridremont – Décor et costumes : Edouard Laug – Lumières : Laurent Béal – Maquillage : Martine Lemaire – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot – Réalisation des décors : Christophe Beaugé, Marc Cocozza, Georges Delhez, Nicolas Perretier, Vincent Rutten, Mathieu Regaert – Réalisation des costumes : Maghet costumier – Régie générale : Vincent Rutten – Régie plateau : Mathieu Regaert, Marc Cocozza – Régie lumières : Gary De Beys, Jacques Perera – Régie son : Nicolas Perretier – Habilleuse : Liliane Thomas – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Un jour, quelque part, un régime totalitaire. Bruno vit dans sa tour d’ivoire d’artiste un peu prétentieux. Il a pour projet de dénoncer par un texte assassin les procédés du tyran local. Mais voilà qu’il se voit récompensé du « grand prix national de littérature », et il est invité au palais pour rencontrer le président, Christo Lafaro. Bien décidé à lui faire part de ses contestations, l’auteur se laissera peu à peu séduire malgré lui par les flagorneries habilement déployées du dictateur. Zico, son intarissable perroquet, sera le plus clairvoyant, mais pourra-t-il éviter à Bruno de se compromettre ? Une réflexion subtile et pleine d’humour sur le narcissisme de l’homme et de l’artiste, que Paul Emond – auteur bien vivant de notre petite terre d’héroïsme – aborde avec lucidité et intelligence, en y glissant d’amusantes allusions… Ecrit il y a deux ans, le texte paraîtra aux Editions Lansman en janvier 2007. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar. Spectacle proposé en collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve.

Moins 2

Distribution

Auteur : Samuel Benchetrit – Metteur en scène : Samuel Benchetrit – Interprétation : Roger Dumas, Manuel Durand, Alexandra London, Jean-Louis Trintignant – Décor : Hélène Arlaud, Yan Arlaud – Lumières : Alain Poisson – Costumes : Hanna Sjödin – Assistante costumes : Emilie Kayser – Assistante à la mise en scène : Marie Hélène Sarrazin – Collaboration artistique : Gabor Rassov

Résumé

Et si deux patients sexagénaires décidaient un soir de se faire la malle du service réanimation… Selon les médecins, Paul Blanchot et Jules Tourtin n’en ont plus pour longtemps, alors, autant en profiter et aller faire un tour dehors ! L’histoire d’une échappée belle, sarcastique et drôle. Une épopée des temps modernes, avec pour chevaliers insolites deux chenapans en pyjamas d’hôpital et pour princesse une fille sur le point d’accoucher rencontrée au bord d’une route. Ni une, ni deux, voilà nos valeureux gaillards partis à la recherche d’un père pour le bébé. Au fil de ces improbables rencontres, où les solitudes se croisent, Paul est le meneur, le plus facétieux et le plus insolent ; Jules le suit toujours avec une demi-seconde de retard. L’occasion pour les deux hommes des tester une amitié sans lendemain, forte et sans jugement. Une amitié surprenante qui mène à la confidence. Un superbe moment de vie quand approche le temps du grand départ ! Samuel Benchetrit nous livre un texte à la fois sérieux et drôle, grave et touchant. Le tandem Jean-Louis Trintignant – Roger Dumas est irrésistible d’humour et de finesse, une rencontre sur scène qui vaut le détour, alors puisqu’ils viennent jusque chez nous, ne les manquez sous aucun prétexte ! Molière 2006 du meilleur comédien dans un second rôle pour Roger Dumas. Une production de Pascal Legros Productions et du Théâtre Hébertot.

Molly à vélo

Distribution

Auteur : Geneviève Damas – Metteur en scène : Pietro Pizzuti – Interprétation : Geneviève Damas – Scénographie et costume : Emilie Cottam – Lumières : Michel Delvigne, Jacques Magrofuoco – Régie : Eric Degauquier – Création musicale : Jean-Philippe Collard-Neven

Résumé

Geneviève Damas, seule en scène, fait vivre sous nos yeux l’histoire de Molly dans le petit village de Saint-Péravy-la-Colombe. Alors que son père rêve de la caser caissière chez Carrefour, c’est à vélo que Molly prendra son envol, par le plus grand hasard. Mais ne dit-on pas qu’il fait bien les choses ? Avec beaucoup d’humour, la pièce aborde entre autres la problématique de l’insertion des jeunes dans la vie active… Une bulle de fraîcheur et de vivacité à ne manquer sous aucun prétexte ! Une coproduction de la Compagnie Albertine, du Festival de Théâtre de Spa et du Centre Culturel des Riches-Claires.

Ohne (en tournée)

Distribution

Auteur : Dominique Wittorski – Metteur en scène : Dominique Wittorski

Résumé

Fable sarcastique « Ohne », c’est « Sans » en allemand. Sans quoi ? Sans prénom, sans contours, sans profil, sans travail, sans mots… « Ohne », c’est trois fois l’histoire d’un homme qui cherche un emploi. Plongeant d’emblée dans l’univers de l’absurde, Dominique Wittorski s’aventure avec humour dans le dédale de l’Administration. Dominique Wittorski est belge, acteur, auteur de théâtre, de scénarios, réalisateur et metteur en scène. Sa jeune carrière est émaillée de nombreux prix. A suivre ! Une coproduction Atelier Théâtre Jean Vilar, Festival de Théâtre de Spa, Fédération des ATP, « Pétrouchka » et Théâtre des 2 Rives

Un petit chat dans un grand sac

Distribution

Avec : Nathalie de Pierpont, Stéphane Groyne – Mise en scène : Bernard Massuir

Résumé

Quand un chat part en voyage, qu’emporte-t-il dans son sac ? Tout au fond, bien au chaud, bien cachés, les secrets d’un gros gourmand et la malice de mémé qui valse en froufrous.

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