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2008 - 2009

A la porte

Distribution

Auteur : Vincent Delecroix – Mise en scène : Marcel Bluwal – Avec : Michel Aumont – Décor et costumes : Catherine Bluwal – Lumière : Jacques Rouveyrollis – Musique : Jean-Baptiste Favory – Assistante mise en scène : Anne Hérold

Résumé

On appelle un « grand acteur » celui qui rend le public libre… Le spectacle a reçu deux Molières en 2007 : meilleur spectacle seul en scène pour Michel Aumont et meilleure adaptation pour Marcel Bluwal. Après 25 ans de Comédie-Française et trois Molières, Michel Aumont occupe la scène avec pour seul partenaire le texte brillant d’un jeune auteur philosophe et romancier. Son roman A la porte est remarqué dès sa parution en 2004. Il est adapté pour la scène avec brio par Marcel Bluwal, « non pas séduit mais stupéfait par le roman ». Un dimanche matin, une porte claque. Sur le palier, un ancien professeur de philosophie. Ses clés sont restées à l’intérieur et le voici coincé à la porte de son appartement. En attendant l’heure raisonnable pour déranger sa sœur qui possède un double, le malchanceux va errer dans Paris, entre veille et cauchemars, réalité et surnaturel. Commence le monologue d’un vieil homme, seul, un peu ours, plein de ressentiment pour ses contemporains. Les événements réels se mêlent à d’autres sans doute imaginaires, les choses les plus simples font place à des réflexions noires, amères, ironiques. Une production des Tournées de l’Œuvre / G.M. Spectacles. Rencontre avec l’auteur le jeudi 6 novembre de 15h à 16h30 (entrée libre sur réservation au 0800/25 325)

Amour, amour

Distribution

Auteur : Jacques Henrard – Mise en scène : Cécile Van Snick – Avec : Catherine Decrolier (Lily), Hervé Guerrisi (Tino), Cachou Kirsch (Paula), Pierre Poucet (Hugues), Cécile Van Snick (Voix de Madame) – Décor et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Alain Collet – Son : Nicolas Dufranne – Assistante mise en scène : Adrienne Gérard – Réalisation du décor : Georges Delhez, Christophe Beaugé, Vincent Rutten – Peinture décors : Christophe Beaugé – Régie : Juan Borrego – Habilleuse : Liliane Thomas – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Un jeu d’enfants autorisé aux adultes Tino, Hugues, Lily et Paula ont neuf ans, l’âge de l’école, des remarques cruelles des copains, de la révolte aussi. Le papa de Tino est un fossoyeur au chômage. Tino veut buter le monde entier avec son rayon de la mort, surtout ceux qui toucheraient à sa petite soeur. Hugues est diabétique, gourmand, et doit manger du chocolat « spécial » sous peine de tomber en syncope. Lily, la fille de la coiffeuse, a un trop gros derrière, et trop de vêtements pour tenter de le cacher. Tandis que Paula, elle, rêve d’une vraie baignoire et de sentir bon… Pour Madame, l’institutrice, la vie est la plus grande des merveilles. Elle leur parle avec une passion égale de l’amour, de la mort et de la vie qui a mis trois milliards d’années pour tout inventer. Et quand la vie rate, quand elle se trompe ? Et quand les parents ne font pas les enfants exprès ? Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa.

Amour, amour (en tournée)

Distribution

Auteur : Jacques Henrard – Mise en scène : Cécile Van Snick – Avec : Catherine Decrolier (Lily), Hervé Guerrisi (Tino), Cachou Kirsch (Paula), Pierre Poucet (Hugues), Cécile Van Snick (Voix de Madame)

Résumé

Un jeu d’enfants autorisé aux adultes Tino, Hugues, Lily et Paula ont neuf ans, l’âge de l’école, des remarques cruelles des copains, de la révolte aussi. Le papa de Tino est un fossoyeur au chômage. Tino veut buter le monde entier avec son rayon de la mort, surtout ceux qui toucheraient à sa petite soeur. Hugues est diabétique, gourmand, et doit manger du chocolat « spécial » sous peine de tomber en syncope. Lily, la fille de la coiffeuse, a un trop gros derrière, et trop de vêtements pour tenter de le cacher. Tandis que Paula, elle, rêve d’une vraie baignoire et de sentir bon… Pour Madame, l’institutrice, la vie est la plus grande des merveilles. Elle leur parle avec une passion égale de l’amour, de la mort et de la vie qui a mis trois milliards d’années pour tout inventer. Et quand la vie rate, quand elle se trompe ? Et quand les parents ne font pas les enfants exprès ? Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa.

Bash, latterday plays

Distribution

Auteur : Neil Labute – Traduction : Pierre Laville – Mise en scène et adaptation : René Georges – Interprétation : Edwige Baily, Bruno Mullenaerts, Lara Persain, Fabrice Rodriguez

Résumé

« Trash et bouleversant » Bash, c’est trois histoires « vraies » transformées en monologues. Les personnages nous ressemblent tous un peu, mais un instant de leur vie, une triste coïncidence ou un amour déçu font basculer cette normalité dans la folie… Un voyage qui parle de nos existences mornes derrière l’image glacée du rêve américain, des musiques superbes et des images envoûtantes qui ajoutent une touche âpre et douce en interludes… On reçoit le choc, on en rit, on frémit. Une production de l’XK Theater Group, en coréalisation avec le ZUT (Zone Urbaine Théâtre) et le Théâtre Jardin Passion, et la participation d’Hypothésarts. En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be

Fame

Distribution

Conception : David De Silva – Livret : José Fernandez – Paroles : Jacques Levy – Musique : Steve Margoshes – Adaptation : Stéphane Laporte, Danielle Mathieu-Bouillon – Metteur en scène : Ned Grujic – Chorégraphie : Raphaël Kaney Duverger – Direction musicale et vocale : Samuel Sené – Interprétation : Annick Cisaruk, Sandrine Seubille, Patrice Dozier, Eric Chantelauze, Aurélie Konate, Jean-Michel Vaubien, Léovanie Raud, Fabian Ballarin, Joseph Emmanuel, Dan Menasche, Hélène Buannic, Charlotte Filou, Chloé Pimont, Eric Jetner, Sylvain Rigault, Etienne Ducamain, Rachel Valéry, Joss Costalat, Sofia Naït-Abdelaziz, Carole Deffit.

Résumé

Comédie musicale Pour la première fois en français… Tiré du célèbre film des années ’80, ce spectacle musical mythique a déjà fait le tour du monde. Il est enfin créé à Paris et accueilli chez nous en exclusivité pour 4 dates ! Seize jeunes apprennent à chanter, à danser et à jouer la comédie, en suivant l’enseignement d’un lycée new-yorkais spécialisé. Issus d’horizons sociaux et ethniques différents, réunis par une même passion et une formidable envie de réussir, encadrés par des professeurs dévoués à leur discipline, certains tiendront jusqu’au bout, d’autres se brûleront les ailes à la recherche d’une gloire précoce. Entre rêves et désillusions, tous comprendront au terme de leurs quatre années d’études que cette école est aussi l’école de la vie, celle où l’on apprend à être un artisan pour, peut-être, un jour devenir un artiste. Plus de trente artistes et musiciens sur scène en « live » absolu : Fame est un spectacle musical époustouflant qui touchera toutes les générations, tant son message et sa musique sont porteurs d’espoir et de fraternité. Un spectacle présenté par Le Théâtre Comédia, Lorenzo Vitali Entertainment et Atelier Théâtre Actuel.

Héron ascendant Rivière

Distribution

Auteur : Vincent Cuvellier – Mise en scène : Daniel Tanson – Avec : Nathalie de Pierpont, Cédric De Lièvre

Résumé

D’une naissance à l’autre, voici l’histoire tendre et cocasse des premières fois. En suivant chaque moment de la vie avec le regard curieux de tous les âges qui en jalonnent le cours. Petits instantanés de pure poésie, avec des voix, des mélodies et des couleurs. Gracieux comme loe vol du héron remontant la rivière.

Honor

Distribution

Auteur : Joanna Murray-Smith – Texte français : Claude Baignères, Anne Tognetti – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Michel de Warzée, Cécile Van Snick, Stéphanie Moriau, Myriem Akheddiou – Décor et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Jacques Magrofuoco – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

« Le bonheur, l’usure, le rire, la déchirure… » Rob Spencer, journaliste estimé de la Tribune, la soixantaine, charmant, intelligent, drôle… est marié à Honor, la cinquantaine fleurie. Ils ont une fille. Rob aime sa femme, leur couple inspire la stabilité, la confiance et… l’amour ! L’amour comme il peut exister après trente-deux ans de mariage, un amour sage mais profond, qui ne peut être remis en cause. Pourtant, au détour d’une interview, Rob se retrouve face à Claudia, jeune (trente ans plus jeune !) et belle journaliste. Une impression forte, un jeu de séduction, la crise de la routine… autant d’ingrédients qui pourraient bien faire chavirer les sentiments de Rob… Une reprise pour quelques dates après une tournée à Bruxelles et en Wallonie. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa. La pièce Honor est représentée par l’agence DRAMA – Suzanne Sarquier en accord avec Sarah Jane Leigh, Sterling Standard à New York. Musiques du spectacle – extraits de Sonates de Beethoven, interprétées par Wilhelm Backhaus – « Aria » du Cosi Fan Tutte de Mozart, dirigé par Georg Solti

Honor (en tournée)

Distribution

Auteur : Joanna Murray-Smith – Texte français : Claude Baignères, Anne Tognetti – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Michel de Warzée, Cécile Van Snick, Stéphanie Moriau, Myriem Akheddiou

Résumé

« Le bonheur, l’usure, le rire, la déchirure… » Rob Spencer, journaliste estimé de la Tribune, la soixantaine, charmant, intelligent, drôle… est marié à Honor, la cinquantaine fleurie. Ils ont une fille. Rob aime sa femme, leur couple inspire la stabilité, la confiance et… l’amour ! L’amour comme il peut exister après trente-deux ans de mariage, un amour sage mais profond, qui ne peut être remis en cause. Pourtant, au détour d’une interview, Rob se retrouve face à Claudia, jeune (trente ans plus jeune !) et belle journaliste. Une impression forte, un jeu de séduction, la crise de la routine… autant d’ingrédients qui pourraient bien faire chavirer les sentiments de Rob… Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa. La pièce Honor est représentée par l’agence DRAMA – Suzanne Sarquier en accord avec Sarah Jane Leigh, Sterling Standard à New York.

Hughie

Distribution

Auteur : Eugène O’Neill – Texte français : Jacqueline Autrusseau, Maurice Goldring – Adaptation scénique et mise en scène : Laurent Terzieff – Interprétation : Claude Aufaure, Laurent Terzieff – Scénographie : Ludovic Hallard – Collaboration technique et lumières : Mamet Maaratié – Son et voix off : Pierre-Jean Horville – Costumes : Marie Trimouille

Résumé

« Terzieff, tu nous fulgures » (écrit à la bombe sur le mur du Théâtre Jean Vilar, il y a 20 ans, par un étudiant) Manhattan, 1928. Tard dans la nuit. Costume clair et rayé, Erié Smith entre en chaloupant jusqu’au comptoir d’un hôtel qui a connu des jours meilleurs. Un peu truand, un peu joueur, le dandy aimait Hughie, le gardien de nuit à l’écoute complice. Il avait pris l’habitude de lui raconter ses exploits ; des histoires de filles, de chevaux de course et de paris gagnés. Mais Hughie est mort et son remplaçant n’aime pas les palabres des clients noctambules. Avec lui, Érié va devoir improviser et tout recommencer… ou y passer. Car sans auditeur, Érié n’est plus rien. Rencontre de deux solitudes parallèles, dialogue de sourds aussi cocasse que désespérant, Hughie révèle la vacuité de pauvres existences sans histoires comme excelle à les tisser Eugène O’Neill. L’auteur a reçu le Prix Nobel de littérature en 1936. Le portrait de ces vaincus de la vie sociale, condamnés à fuir la brutalité et la médiocrité de leur existence dans le rêve d’une vie plus excitante, est la métaphore de toute condition humaine réduite à vivre par le biais des illusions. Laurent Terzieff Laurent Terzieff est un compagnon de longue date de l’Atelier Théâtre Jean Vilar, il était déjà de l’aventure en 1981, dans Une Heure avec Rainer Maria Rilke aux côtés de Claude Aufaure, qui lui donne à nouveau la réplique dans Hughie. Citons aussi L’Ambassade, Ce que voit Fox, Temps contre temps et Henri IV, une création à Louvain-la-Neuve qui fut suivie de 180 représentations en tournée et qui valut à Laurent Terzieff et à Armand Delcampe le prix Luigi Pirandello en Italie. Une production de la Compagnie Laurent Terzieff

L’Amérique

Distribution

Auteur : Serge Kribus – Metteur en scène : Serge Kribus – Interprétation : Bernard Sens, Serge Kribus – Décor et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Jacques Magrofuoco – Son : Nicolas Perretier – Guitare électrique enregistrée : Alain Lapiower – Violon enregistré : Emmanuel Emerich – Construction décor : Vincent Rutten, Marc Cocozza, Georges Delhez – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Une aventure aux accents rock’n’roll Auteur, metteur en scène et comédien, le belge Serge Kribus monte L’Amérique en 2006 au Théâtre Jean Vilar. Le succès est sans appel, la presse unanime. Cette saison, après une reprise attendue au Rideau de Bruxelles et en tournée, le spectacle aux allures cinématographiques revient avec bonheur sur nos planches. Babar vit à Bruxelles. Il est étudiant en médecine. Idéaliste et révolté, il pense que le monde doit changer. Mais il a peur de tout, et il ose pas avec les filles. Un jour, il en a marre, alors il part à Paris, comme ça pour voir. Il est dans un bar, et Jo lui parle. Jo, il n’a peur de rien. Il se bat. Il vole dans les magasins. Il fume. Il claque des doigts et il couche avec une fille. Le voyage qu’ils feront ensemble ne sera pas seulement celui de la liberté, des odeurs interdites, et des déconnades. Ce sera aussi celui d’un apprentissage violent qui les mènera vers une fin difficile et douloureuse. La fin de l’adolescence. Dans une langue électrique et rapide comme le rock, Serge Kribus nous plonge dans l’époque subversive et revigorante des années ’70. Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa.

L’Amérique (en tournée)

Distribution

Auteur : Serge Kribus – Metteur en scène : Serge Kribus – Interprétation : Bernard Sens, Serge Kribus

Résumé

Une aventure aux accents rock’n’roll Auteur, metteur en scène et comédien, le belge Serge Kribus monte L’Amérique en 2006 au Théâtre Jean Vilar. Le succès est sans appel, la presse unanime. Cette saison, après une reprise attendue au Rideau de Bruxelles et en tournée, le spectacle aux allures cinématographiques revient avec bonheur sur nos planches. Babar vit à Bruxelles. Il est étudiant en médecine. Idéaliste et révolté, il pense que le monde doit changer. Mais il a peur de tout, et il ose pas avec les filles. Un jour, il en a marre, alors il part à Paris, comme ça pour voir. Il est dans un bar, et Jo lui parle. Jo, il n’a peur de rien. Il se bat. Il vole dans les magasins. Il fume. Il claque des doigts et il couche avec une fille. Le voyage qu’ils feront ensemble ne sera pas seulement celui de la liberté, des odeurs interdites, et des déconnades. Ce sera aussi celui d’un apprentissage violent qui les mènera vers une fin difficile et douloureuse. La fin de l’adolescence. Dans une langue électrique et rapide comme le rock, Serge Kribus nous plonge dans l’époque subversive et revigorante des années ’70. Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa.

L’Arbre de joie

Distribution

Auteur : Louis-Michel Colla, David Khayat – Metteur en scène : Olivier Coyette – Interprétation : Myriem Akheddiou, Serge Demoulin, Stéphane Excoffier, Alexandre von Sivers – Scénographie : Fabien Teigné – Lumières : Xavier Lauwers – Costumes : Alain Wathieu – Son : Jérôme Porsperger – Assistante à la mise en scène : Chloé Thôme – Réalisation des décors : Lumidéco – Régie : Gary De Beys – Régie plateau : Mathieu Regaert, Geoffrey Lesseigne – Habilleuse : Liliane Thomas – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Amour et éthique Un professeur met au point un nouveau traitement contre le cancer à partir d’extraits d’un arbre chinois dit « de joie ». Pour reconquérir sa notoriété entachée d’une erreur médicale, il rêve de présenter au monde entier ce médicament révolutionnaire. Marie est soignée depuis six ans par un jeune assistant du professeur. Elle a vécu plusieurs chimiothérapies, plusieurs phases de rémission, elle se bat toujours, pour son fils surtout. Admiratif du courage de sa patiente, le médecin est troublé lorsqu’il découvre qu’elle est condamnée… La force de cette pièce, créée en 2007 à Paris au Théâtre de la Gaîté Montparnasse, réside tant dans la justesse du ton que dans la fragilité des quatre personnages dont on perçoit les doutes et les tiraillements. Louis-Michel Colla a écrit de nombreux téléfilms et séries pour la télévision avant de se lancer dans l’écriture théâtrale. Avec L’Arbre de joie, il pousse le souci de l’exactitude jusqu’à s’adjoindre la plume de David Khayat, cancérologue réputé, qui apporte son regard avisé de médecin spécialiste. Un texte sur un vrai « sujet de société » mais aussi sur l’ambition, sur les rapports professionnels et l’amour, sans jamais tomber dans le sinistre et la complaisance ! Malgré son jeune âge, Olivier Coyette a touché à tous les métiers de la scène. Boulimique de travail, il est comédien, metteur en scène et aussi auteur. Ses pièces sont jouées en France, en Suisse et aux Etats-Unis. Dernièrement, il a mis en scène Les Contes héroïco-urbains de différents auteurs belges et Le Voyage à La Haye de Jean-Luc Lagarce. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa. La pièce L’Arbre de joie est représentée par l’agence Drama-Suzanne Sarquier. En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be.

L’Education de Rita

Distribution

Auteur : Willy Russell – Adaptation : Adriana Santini – Metteur en scène : Christophe Lidon – Interprétation : Adriana Santini, Pierre Santini – Lumières : Marie-Hélène Pinon

Résumé

Qu’est-ce qu’un intellectuel ? Qu’est-ce qu’un « diplômé » ? Et qu’est-ce qu’un autodidacte ? Pierre Santini a mis en scène Mariage (en) blanc la saison dernière. Aujourd’hui, nous le retrouvons sur le plateau interprétant magistralement ce qu’il dit être une pièce sombre et drôle à la fois ! Car même si sa tonalité a quelque peu changé aujourd’hui, il n’en reste pas moins qu’elle est toujours pleine de cet humour anglais diabolique !. Formé au Théâtre National Populaire de Jean Vilar et chez Jacques Lecoq, Pierre Santini est nommé directeur du Théâtre Mouffetard à Paris, en 2003. Il est surtout connu du grand public pour ses rôles dans de nombreux feuilletons, séries et téléfilms français. A vingt-six ans, Rita, employée dans un salon de coiffure, décide de changer de vie. Elle s’inscrit au cours de littérature de l’Université pour tous, où elle reçoit l’enseignement de Frank, quinquagénaire désabusé, rongé par ses échecs et par l’alcool. Au fil de ses lectures et au contact de son professeur, Rita avance sur le chemin de l’émancipation. Harnachée d’une volonté inépuisable et d’un culot désarmant, elle débroussaille son ignorance, se taille une culture sur mesure, jusqu’à affiner sa pensée et, finalement, se trouver. Mais sera-t-elle la seule à changer ? L’Education de Rita trouve écho dans l’actualité où les questions de l’échec de l’éducation et le rôle de la culture sont au centre des préoccupations. Une production du Théâtre Mouffetard. Coproduction Compagnie Pierre Santini, Ellabel Productions, Atelier Théâtre Actuel. En coréalisation avec le Théâtre Mouffetard, avec le soutien de l’Atelier Théâtre Jean Vilar de Louvain-la-Neuve. L’Auteur est représenté dans les pays de langue française par Marie-Cécile Renauld (Agence MCR) en accord avec Casarotto Ramsay Ltd.

L’Epouvantable Petite Princesse

Distribution

Auteur : Geneviève Damas – Mise en scène : Ariane Buhbinder – Avec : Sacha Kremer, Geneviève Damas, Béatrice Wegnez, Chantal Lempereur

Résumé

En voilà une histoire ! Plus une phrase ! A peine quelques lettres éparpillées ! Pas la moindre ligne à laquelle se raccrocher ! Il ne reste qu’un tas de matelas, immaculés comme une page blanche. Pourtant, il va bien falloir la faire arriver, cette « Epouvantable Petite Princesse » ! Mais comment, avec un Roi René et une Reine Irène qui ont déjà tout essayé ? Nous voilà dans de beaux draps ! Et si nous appelions l’Auteur ? Qu’il nous sorte de là !

La Molière (ou Madeleine B.)

Distribution

Auteur : Joëlle Gardes – Metteur en scène : Patrice Kerbrat – Interprétation : Frédérique Tirmont – Costumes : Brigitte Faure-Perdigou – Réalisation des décors : Edouard Laug – Assistante à la mise en scène : Clara Borras

Résumé

La beauté d’un texte alliée au talent d’une comédienne magnifique L’histoire n’attribue le plus souvent qu’un rôle de second plan à Madeleine Béjart. Et pourtant, sans elle, Jean-Baptiste Poquelin aurait-il pu devenir Molière ? Les témoignages et les documents historiques la dépeignent comme une femme remarquable qui n’hésita pas à se consacrer au théâtre à une époque où les femmes y étaient encore rares : c’est elle qui fonda l’Illustre Théâtre, qu’elle dirigea avant Molière. Au soir de sa vie, dans la chambre où elle guette le retour de celui qu’elle continue à aimer, elle retrace les principales joies et souffrances de sa riche existence d’actrice, de femme amoureuse et blessée, qui eut comme rivale sa propre sœur et finit par se tourner vers Dieu. Plongez dans les coulisses de la vie de Molière. Découvrez l’homme qu’il était à travers les yeux de la femme qui l’épaula au quotidien et surtout qui l’aima envers et contre tout. Un spectacle présenté par DIDASCALIES en accord avec DG Conseil.

Le Cid

Distribution

Auteur : Pierre Corneille – Metteur en scène : Alain Ollivier – Interprétation : Thibaut Corrion, Fabrice Farchi, Philippe Girard, Matthieu Marie, Pierre-Henri Puente, Malik Rumeau, Bruno Sermonne, Claire Sermonne, Irina Solano, Myriam Tadessé, Stéphane Valensi, Julia Vidit – Assistant à la mise en scène : Malik Rumeau – Scénographie : Daniel Jeanneteau – Assistant scénographie : Mathieu Dupuy – Lumières : Marie-Christine Soma – Assistante lumières : Anne Vaglio – Costumes : Florence Sadaune – Maquillages et coiffures : Catherine Saint-Sever – Conseil technique (maître d’armes) : François Rostain

Résumé

Un théâtre héroïque qui donne du courage à tous… à une époque où nous en avons tant besoin ! Deux jeunes gens s’aiment et sont promis l’un à l’autre. Mais voilà que les pères s’affrontent. Don Gomes humilie Don Diegue. Rodrigue se doit de rétablir l’honneur perdu de son nom. A faire son devoir, Rodrigue perd Chimène. A vaincre les ennemis de son pays, devenu Le Cid, il la reconquiert. Une langue éblouissante portée par la noblesse de l’alexandrin… Un spectacle où la beauté du texte côtoie la brillance du jeu des douze comédiens, menés par une Chimène fougueuse et torturée par ses contradictions et un Rodrigue passionné. Et puis Le Cid recèle également une dimension politique. La pièce est composée en 1636, époque de grands changements en France ; la monarchie s’affirme, laissant entrevoir la volonté de s’affranchir d’un système féodal cher à la noblesse. C’est ainsi que le Roi Fernand s’oppose au duel proposé par Chimène, car le recours à cet usage ancien affaiblit l’autorité judiciaire qu’il entend légitimer. Corneille, mettant en scène le politique dans une langue éclatante, scelle le succès foudroyant et la gloire d’un texte d’une éternelle jeunesse. Une coproduction du Théâtre Gérard Philipe, Centre Dramatique National de Saint-Denis, des Nuits de Fourvière, de La Filature, Scène Nationale de Mulhouse, de la Maison de la Culture d’Amiens, Scène Nationale.

Le Coq combattant ou l’atrabilaire amoureux

Distribution

Auteur : Jean Anouilh – Mise en scène et version scénique : Armand Delcampe – Interprétation : Armand Delcampe, Myriem Akheddiou, Marie-Line Lefebvre, Isabelle Roelandt, Alexandre von Sivers, Gérard Vivane, Robert Guilmard, Jean-Marie Pétiniot, Patrick Ridremont, Olivier Leborgne, Jean-Claude Dubiez, Géromine Poulain, Fanny Bruyère, Valentine Jongen, Grégoire Turine, Maxime Nyamabu, Thomas Recht, Sacha Schildermans, Aurélien Comblez, Philémon Jongen – Scénographie et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Jacques Magrofuoco – Maquillages : Martine Lemaire – Gestuelle : Jean-Paul Corti – Assistants à la mise en scène : Jean-François Viot, Mélodie Axel – Construction décor : Georges Delhez, Christophe Beaugé, Nicolas Perretier, Vincent Rutten, Mathieu Regaert, Marc Cocozza – Peinture : Christophe Beaugé – Couturières : Odile Dubucq, Valérie Leclercq – Régie lumières : Gary De Beys, Jacques Perera – Régie son : Eric Degauquier, Nicolas Perretier – Régie plateau : Marc Cocozza, Mathieu Regaert, Vincent Rutten – Habilleuses : Emmanuelle Froidebise, Liliane Thomas – Maquilleuse : Martine Lemaire – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Méfions-nous des purificateurs ! Ludovic, général héroïque, décide de sauver le pays en prenant le pouvoir par une conspiration, sa seconde d’ailleurs, la première l’ayant conduit au limogeage et en prison ! S’entourant de ses fidèles amis, Bélazor, Lebelluc, Le Docteur et Ledadu, il décide de mettre sur pied un « noyau dur » de patriotes, prônant un nécessaire retour aux valeurs essentielles de la France. Le général ambitionne de rendre la France grande, propre et rigoureuse et – selon son expression – souhaite extirper les vers qui se sont glissés dans la pomme. La jeune et douce femme du général, Aglaé, promène son vague-à-l’âme dans ce foyer. Elle a deux enfants, Toto et Marie-Christine qui court précocement avec le fils du laitier. Pendant ce temps, Sophie, la grande fille que le général a eue d’un premier lit tombe amoureuse à tour de bras. Cette fois-ci, elle a jeté son dévolu sur l’ambitieux et « progressiste » David Edward Mendigalès. Le général règne sur ce petit monde. Combatif, mais progressivement abandonné de tous, il continue de lutter tel un Don Quichotte contre les moulins, essayant de retenir le mouvement inexorable de leurs ailes. Et bientôt de découvrir l’inutilité de sa conspiration devant la marche triomphale des vers dans le fruit… Anouilh emprunte certains traits à Alceste ou à Don Quichotte et nous livre un personnage entier et excessif. Amoureux aussi, attendrissant et ridicule dans son désir de pureté absolue. Sa devise pourrait être « la nostalgie n’est plus ce qu’elle était » ou mieux « Que revivent les vélos rouillés ! »… ou encore : « Les Anciens lavaient plus blanc ! ». « Le Coq combattant ou l’atrabilaire amoureux » paru sous le titre « L’Hurluberlu ou le réactionnaire amoureux » Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar. En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be Soirée spéciale Réveillon de Nouvel An Buffet somptueux à 25 € (en option)

Le Sas

Distribution

Auteur : Michel Azama – Metteur en scène : Sylvie Landuyt – Interprétation : Jo Deseure – Lumières : Guy Simard – Scénographie : Vincent Bresmal – Costume : Jackye Fauconnier – Vidéaste : Marc Cerfontaine – Chorégraphe : Edith Depaule – Musique : Louis Cardinal, Hugues Fanuel – Assistante à la mise en scène : Bella Spiga – Régie lumière et vidéo : Manu Maffei – Régie son : Julien Rasetti

Résumé

Un instant de vie fort et émouvant Elle a tué. Elle est là depuis seize ans. Elle sort demain et elle vient de recevoir un télégramme lui annonçant la mort de sa mère, le seul lien familial disparaît. Elle est une « partante » qui retourne chez les « vivants ». Commence sa dernière nuit en chambre isolée, dans le sas, littéralement : « lieu étanche entre deux milieux différents, qui permet le passage ». Jo Deseure, inoubliable mère dans Conversation en Wallonie, incarne un personnage tout en nuances, passant tour à tour du rôle de la prisonnière à celui de ses co-détenues ou des surveillantes. Un rôle sur le fil du rasoir, entre vulnérabilité et force, qui lui valut le Prix de la meilleure comédienne. Michel Azama a publié une quinzaine de pièces représentées en Europe et en Amérique latine. A l’origine du Sas, il y a une expérience très particulière : l’animation de comédien que j’ai faite à la prison de Rennes. La pièce est née de la parole des douze prisonnières livrée au cours de cette animation et des entretiens que j’ai eus avec elles. Cette parole va au-delà de la mienne. Je n’ai inventé aucun fait. La situation qui fonde la pièce, la dernière nuit d’une femme en prison, est paradoxale : alors qu’elle attend depuis seize ans cette sortie, elle a encore plus peur du dehors que de ce qu’elle a vécu dedans. Michel Azama, L’Avant Scène Théâtre Une production de l’Agora Théâtre asbl. En coproduction avec le manège.mons/Centre Dramatique et La Fabrique de Théâtre et réalisé avec l’aide de la Communauté française, Direction générale de la Culture, Service du Théâtre. Le Sas de Michel Azama est publié aux Editions Théâtrales.

Les Fourberies de Scapin

Distribution

Auteur : Molière – Metteur en scène : Christine Delmotte-Weber – Interprétation : Pietro Pizzuti, Daniel Hanssens, Michel Hinderyckx, Stéphanie Van Vyve, Jessica Gazon, Clément Manuel, Quentin Marteau, Frédéric Clou, Elisabeth Lenoir, Julien De Broeyer et Myriam Szabo.

Résumé

« Que diable allait-il faire dans cette galère ? » Tandis que la petite société de Naples vit selon ses lois sociales bien réglées, Scapin, génial empêcheur de tourner en rond, vient entraver son bon fonctionnement… Profitant de l’absence de leurs parents respectifs, Octave s’est marié en secret avec Hyacinte, jeune fille pauvre au passé mystérieux, et Léandre est tombé amoureux d’une Egyptienne, Zerbinette. Mais voici que les pères, Argante et Géronte, rentrent de voyage avec des projets de mariage pour leurs enfants. Scapin, le valet de Léandre, s’engage à tout arranger par ses mensonges et ses manigances : il imagine soutirer aux deux pères l’argent nécessaire pour faire triompher l’amour et la jeunesse… Des fils désobéissants, des pères intransigeants, des situations complexes, un valet secourable : le rire éclate, triomphe sans partage. Scapin est le personnage le plus intelligent de Molière, celui chez qui le plaisir d’imaginer est le plus spontané et le plus vif. Scapin est un philosophe sans illusion sur l’homme, mais son goût de vivre reste le plus fort et lui interdit le pessimisme. Christine Delmotte, metteur en scène Une production de la Compagnie Biloxi 48. Créé au Théâtre de la Place des Martyrs. En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be

Lucrèce Borgia

Distribution

Auteur : Victor Hugo – Metteur en scène : Frédéric Dussenne – Interprétation : Valérie Bauchau, Rachid Benbouchta, Alan Bourgeois, François Delcambre, Simon Gautiez, Pierre Haezaert, Philippe Jeusette, Juan Martinez, Pierre Verplancken – Scénographie : Vincent Bresmal – Costumes : Lionel Lesire – Lumière : Guy Simard – Musique : Nicolas Achten – Assistants à la mise en scène : Peggy Thomas, Quentin Simon – Construction du décor : Philippe Heckers – Régie générale : Samuel Ponceblanc

Résumé

Drame romantique : « On ne choisit pas ses parents, on ne choisit pas sa famille… » Plongez au cœur du 16ème siècle entre les canaux de Venise et les ruelles de Ferrare, dans un défilé de gondoles, de personnages masqués, de chevaliers servant la cause de la République ou celle des plus vils traîtres. Poisons, manigances et complots, c’est dans cette atmosphère qu’évolue Lucrèce Borgia, descendante d’une famille aux mains couvertes de sang. Derrière ce masque inhumain, Lucrèce cache cependant un profond secret : elle a un fils, Gennaro, qu’elle aime plus que tout, fruit d’un amour incestueux avec son frère. Une intrigue où fusent les répliques pétillantes d’esprit et dont le dénouement final prend la forme d’un festin où flirtent le rire et la mort. Lucrèce Borgia est née à Rome en 1480. Fille naturelle du Pape Alexandre VI, qui vraisemblablement l’abusa ; sœur de César Borgia, et dont il semble qu’elle ait eu un enfant, mariée pour la première fois à treize ans, la vraie Lucrèce Borgia n’était pas à proprement parler l’exemple de cette « difformité morale la plus hideuse, la plus repoussante, la plus complète » dont parle Hugo. Elle était avant tout un instrument politique, une monnaie d’échange. Elle ne trouva la paix qu’en épousant en troisièmes noces Alphonse de Ferrare, à qui elle fut fidèle jusqu’à sa mort, à 39 ans. Une coproduction du manège.mons/Centre Dramatique, de L’Acteur et l’écrit/Cie Frédéric Dussenne, de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa. Avec la participation du Centre des Arts Scéniques et de la Maison de la Culture d’Arlon.

Molly au château

Distribution

Auteur : Geneviève Damas – Metteur en scène : Pietro Pizzuti – Interprétation : Geneviève Damas.

Résumé

Un petit régal de rire et de larmes Souvenez-vous, en 2006 Molly à vélo était créé à Spa et accueilli au Théâtre Blocry. Geneviève Damas nous offre aujourd’hui un nouveau moment de théâtre émouvant et drôle, une histoire simple et pleine de fraîcheur avec Molly au château. Molly a repris la route et se campe devant vous, combative et énergique pour vous conter ses nouvelles aventures… Après les championnats du monde où son équipe s’est classée deuxième, Molly alias Marie-Odile Savard, descend de vélo et prend quelques semaines de vacances à New York avec son amoureux Pierrot… Histoire de se changer les idées et repartir de plus belle. Un matin, elle reçoit un coup de téléphone de son entraîneur. Il a reçu les résultats des tests sanguins et d’urine effectués avant la coupe du monde… et Molly est « positive ». Le ciel lui tombe sur la tête. Elle décide de tout plaquer. Vélo, boulot et Pierrot. Mais que va-t-elle faire de sa vie désormais ? Damoiselle de château ? Un contre-emploi cocasse… Une coproduction de la Compagnie Albertine, du Festival de Théâtre de Spa, de l’Atelier 210 et de la Fabrique de Théâtre.

Mon Ami Roger

Distribution

Auteur : Philippe Avron – Metteur en scène : Ophélia Avron – Interprétation : Philippe Avron – Musique : Jean-Jacques Lemêtre – Lumières : André Diot, Anne Coudret – Messagère : Anne Berlan

Résumé

Un rendez-vous d’élégance et de légèreté Pour ce poète magicien qui d’un rien crée un monde, tout est jeu. Jeu de mots, jeu de l’acteur qui donne libre cours à sa fantaisie, et l’offre à son public avec humour. Philippe et Roger se perdent de vue et se retrouvent par hasard. Toujours complices, ils embarquent sur leur bateau de vie, le temps d’une traversée… Philippe Avron a joué les premiers rôles dans L’Idiot, Hamlet, Le Cercle de craie caucasien, Dom Juan. Il a été de l’aventure du Théâtre National Populaire et de l’Atelier théâtral dès ses débuts. Depuis vingt ans, il poursuit seul sa route avec des spectacles qui traquent la poésie de notre quotidien. Ces solos attachants, drôles et subtils, nous avons eu la chance de les accueillir au Théâtre Jean Vilar : Je suis un saumon en 1999 et Le Fantôme de Shakespeare en 2004. Ces deux spectacles ont reçu le prestigieux Molière du meilleur one man show en 1999 et en 2002. Un spectacle présenté par Acte 2 (Acte 2 est un département d’Atelier Théâtre Actuel), en accord avec Le Théâtre de Paris, Polyfolies, Pulsar 3.

Mon Petit Soldat

Distribution

Auteur : Polly Stenham – Texte français : Marianne Groves – Metteur en scène : Tanya Lopert – Interprétation : Deborah Amsens, Emilie Hermans, Marie-Line Lefebvre, Frédéric Lepers, Laurent Micheli, Anaël Snoek – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot – Scénographie : Antoine Ranson – Costumes : Christian Gasc – Création des éclairages : Antonio de Carvalho – Décor sonore : Nicolas Perretier

Résumé

Adolescents en crise violente et parents déboussolés, histoire de famille Torture au pensionnat… Violence entre adolescents… « Jeux » sadiques qui tournent mal… Mia a quinze ans. Issue d’une famille décomposée, elle « manque de repères » comme on dit aujourd’hui. L’environnement familial de Mia n’est pas rose : son père a refait sa vie à l’étranger, son frère, le « petit soldat », a arrêté l’école pour se consacrer à sa mère instable, alcoolique et dépressive, avec laquelle il entretient une relation malsaine. Acceptant mal les crises de sa mère, Mia a quant à elle pris ses distances. Elle profite de ses rares passages à la maison pour chaparder des tranquillisants. Le texte intense, rythmé et dense, met en lumière la violence qui peut exister entre adolescents et la difficulté des relations parents-enfants dans une famille « ordinaire ». Avec une lucidité implacable, l’auteur traite de thèmes d’une actualité frappante, laissant planer une ambiance oppressante qui capte dès les premières répliques. Polly Stenham a 21 ans. That Face (Mon Petit Soldat) est sa première pièce, créée en 2007 à Londres, reprise en 2008, et pour laquelle elle a gagné le prix de l’auteur le plus prometteur décerné par le Evening Standard. Elle travaille aujourd’hui à l’adaptation cinématographique du texte, tandis que Tanya Lopert en propose une première création en langue française. Mon Petit Soldat (That Face) Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa. Avec la participation du Centre des Arts Scéniques. La pièce That Face est représentée dans les pays de langue française par l’agence Drama – Suzanne Sarquier en accord avec l’agence Alan Brodie Representation (ABR) à Londres.

Orchestre National de Lille

Distribution

Direction : Jean-Claude Casadesus – Soliste (piano) : Frank Braley

Résumé

Musique classique Au programme : – Mozart : Ouverture de Don Juan – Chopin : Concerto pour piano n° 2 – Beethoven : Symphonie n° 7 Composé d’une centaine de musiciens, l’Orchestre National de Lille / Région Nord / Pas-de-Calais s’est imposé comme l’une des formations musicales les plus prestigieuses en France et à l’étranger. Chefs et solistes internationaux s’y produisent. L’ambitieux projet artistique de l’orchestre – diffuser un large répertoire auprès de tous les publics – le porte sur quatre continents et dans trente pays. Directeur de l’ONL et chef de renommée internationale, Jean-Claude Casadesus conduit les plus grands orchestres à travers le monde. Récompensé pour ses enregistrements, il reçoit notamment une Victoire d’Honneur aux Victoires de la Musique Classique 2004. Nous avons accueilli l’ONL à six reprises depuis 1996. Ne manquez pas l’occasion de retrouver cette formation d’exception avec un nouveau programme. Un concert de l’Orchestre National de Lille / Région Nord/Pas-de-Calais / Directeur : Jean-Claude Casadesus. Association subventionnée par le Conseil Régional du Nord/Pas-de-Calais, le Ministère de la Culture et de la Communication, Lille Métropole Communauté urbaine et la Ville de Lille. Président : Ivan Renar

Tristan et Yseut

Distribution

Par : les Baladins du Miroir – Metteur en scène : Nele Paxinou – Adaptation : Paul Emond – Interprétation : Alain Boivin, Abdel El Asri, Suzanne Emond, Emmanuel Guillaume, Geneviève Knoops, Sophie Lajoie, Diego Lopez Saez, Virginie Pierre, Coline Zimmer, Wout De Ridder, Aurélie Goudaer, Darius Lecharlier, Marielle Vancamp, Véronique Willemaers – Musique originale : Wouter Vandenabeele – Scénographie : Saïd Abitar, Aline Claus – Assistés de : Catherine Van Assche, Philippe Evens, Aline Breucker, Florine Delory, Nadia Cherkaoui – Assistant à la mise en scène : Olivier Magis – Ingénierie scénographique : Xavier Decoux – Assisté de Olivier Melis, Marc Decrollier – Disposition scénique : Geneviève Knoops – Création lumières : David Taillebuis, Michel Hayoit – Régie : Olivier Melis – Création costumes : Sylvie Van Loo – Assistée de : Anne Bariaux, Anne Delvigne, Magali Hertsens, France Lamboray, Marie Nils – Création maquillages : Serge Bellot – Travail sur la gestuelle : Olivier Antoine – Chorégraphie des combats : Diego Lopez Saez – Création affiche : Geneviève Knoops

Résumé

Amour un jour… Amour toujours ? A la manière des baladins d’autrefois, je vais vous raconter une belle histoire : celle de deux amants, Tristan et Yseut, qui ont traversé les siècles pour nous dire que l’amour est plus puissant que la mort. Je vous ferai revivre la merveilleuse histoire de leur enchantement par un philtre magique qui les attachera indissolublement l’un à l’autre et dont ils essayeront vainement, à travers mille péripéties, de se déprendre. Nele Paxinou En des temps très lointains, le roi Marc de Cornouailles, poussé par les barons de sa suite, décide de se marier ; mais il épousera seulement la belle à qui appartient le cheveu doré qu’un oiseau lui a apporté. En voyant le cheveu, son neveu Tristan se rappelle sa rencontre avec la princesse Yseut et propose à son oncle d’aller conquérir la main de la jeune fille pour lui. Au cours de la traversée qui ramène Tristan et Yseut en Cornouailles, les deux jeunes gens boivent par erreur un philtre d’amour. Le couple devient alors éperdument amoureux, scellant par cet acte la complexité de son avenir… Le théâtre coloré des Baladins du Miroir s’approprie avec magie cette histoire d’amour légendaire. Un spectacle des Baladins du Miroir en coproduction avec le Festival de Théâtre de Spa.
 En partenariat avec la Maison de la Culture d’Arlon et le Centre culturel régional de Charleroi – l’Eden.

Un Faust

Distribution

Auteur : Jean Louvet – Mise en scène : Lorent Wanson – Avec : Edwige Baily (Marguerite), Christian Crahay (Faust), Anne-Marie Loop (Baucis), Jean-Marie Pétiniot (Méphisto), Guy Pion (Philémon / Dieu), Netka (le chien) – Scénographie : Daniel Lesage – Costumes : Daniel Lesage, Françoise Van Thienen – Lumières : Laurent Kaye – Avec des variations sur « People united » de Frédéric Rzewski interprétées par : Fabian Fiorini – Assistant à la mise en scène : Rémi Pons – Construction décor : Georges Delhez, Christophe Beaugé, Nicolas Perretier, Vincent Rutten – Régie générale : Vincent Rutten – Régie plateau : Geoffrey Lesseigne – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco  

Résumé

Variations sur un mythe et sur le monde… Jean Louvet et l’Atelier Théâtre Jean Vilar, un compagnonnage de plus de 30 ans. Un Faust, variation actualisée du célèbre mythe, traite du problème universel de la rencontre entre la pensée et le corps. Faust, intellectuel frustré de la vie, a sacrifié son existence à défendre les opprimés. Méphisto lui envoie une femme pour le tenter : la jeune Marguerite est chargée de séduire celui qui échappe au nouvel ordre mondial des rapports humains. Mais ce Faust a-t-il l’envergure de son illustre ancêtre ? Il est « Un Faust », parmi d’autres. Il va aimer Marguerite et croira ainsi « se perdre » dans le flux d’une société de bonheur narcissique. Pourtant, par la sincérité de son amour, Marguerite permettra à Faust de découvrir que l’amour rassemble et qu’il n’existe pas de confrontation entre désir et devoir. Dans cette pièce nourrie par l’imaginaire intense de son auteur, tous les personnages sont déboussolés. Méphisto, l’envoyé diabolique du divin, ne sait plus où il en est ; le désarroi de Faust est palpable ; Philémon et Baucis, inquiets de tous les dangers d’un monde dur, ne cessent de rappeler à Faust son passé. Le résultat : une fable sensuelle, teintée d’émotion avec pour toile de fond un monde chaotique ; un tourbillon d’images, évoquant un univers surréaliste et un questionnement, cher à Louvet, sur la place de l’homme d’esprit dans le monde. Un texte dans lequel réalité et mythe entrent en dialogue. Le spectacle est présenté cette saison à Mons, Louvain-la-Neuve, Ath, La Louvière… Rencontre avec l’auteur le mercredi 12 novembre à l’issue de la représentation

Un Faust (en tournée)

Distribution

Auteur : Jean Louvet – Metteur en scène : Lorent Wanson – Interprétation : Edwige Baily, Christian Crahay, Anne-Marie Loop, Jean-Marie Pétiniot, Guy Pion

Résumé

Variations sur un mythe et sur le monde… Jean Louvet et l’Atelier Théâtre Jean Vilar, un compagnonnage de plus de 30 ans. Un Faust, variation actualisée du célèbre mythe, traite du problème universel de la rencontre entre la pensée et le corps. Faust, intellectuel frustré de la vie, a sacrifié son existence à défendre les opprimés. Méphisto lui envoie une femme pour le tenter : la jeune Marguerite est chargée de séduire celui qui échappe au nouvel ordre mondial des rapports humains. Mais ce Faust a-t-il l’envergure de son illustre ancêtre ? Il est « Un Faust », parmi d’autres. Il va aimer Marguerite et croira ainsi « se perdre » dans le flux d’une société de bonheur narcissique. Pourtant, par la sincérité de son amour, Marguerite permettra à Faust de découvrir que l’amour rassemble et qu’il n’existe pas de confrontation entre désir et devoir. Dans cette pièce nourrie par l’imaginaire intense de son auteur, tous les personnages sont déboussolés. Méphisto, l’envoyé diabolique du divin, ne sait plus où il en est ; le désarroi de Faust est palpable ; Philémon et Baucis, inquiets de tous les dangers d’un monde dur, ne cessent de rappeler à Faust son passé. Le résultat : une fable sensuelle, teintée d’émotion avec pour toile de fond un monde chaotique ; un tourbillon d’images, évoquant un univers surréaliste et un questionnement, cher à Louvet, sur la place de l’homme d’esprit dans le monde. Un texte dans lequel réalité et mythe entrent en dialogue. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du manège.mons

Voltaire’s folies

Distribution

D’après : Voltaire – Un spectacle de : Jean-François Prévand – Interprétation : Charles Ardillon, Olivier Claverie, Gérard Maro, Mouss Zouheyri

Résumé

Pamphlet cocasse et satirique contre la bêtise : « Lumière! Lumière! Et vive la philosophie du même nom! » Il y a trente-sept ans déjà, Voltaire’s folies, dans son ancienne mouture, interpellait les consciences au cours d’une tournée mondiale. Aujourd’hui, la pièce retrouve pleinement sa vocation thérapeutique, apparaissant comme un vaccin contre la pensée unique, l’intolérance, le fanatisme politico-religieux. Toutes sortes de maladies, en somme, dont souffre le monde moderne. A l’heure du politiquement correct, nous osons vous proposer une piqûre de rappel ! Jean-François Prévand a donc opéré un léger lifting de sa version des années ’70, composée de textes les plus épicés d’un Voltaire indigné et virulent qui s’étouffait de rage devant la bêtise humaine et l’intolérance de ses concitoyens et trempait sa plume dans le vitriol pour tenter de réveiller les consciences amorphes. Il en résulte un théâtre politique version music-hall, emmené par quatre larrons en délire qui dénoncent les fanatismes religieux de tous poils sur un rythme endiablé. Une attaque, non contre la foi, mais contre ceux qui en usent pour manipuler les foules. Parmi les agitateurs, soulignons la présence de Gérard Maro, homme de théâtre complet et directeur du Théâtre de L’Oeuvre à Paris. Une fois de plus, il fait preuve d’audace en programmant ces nouvelles Voltaire’s folies sur les planches de son propre théâtre. Une production des Tournées de l’Œuvre / G.M. Spectacles.

Waff !

Distribution

Mise en scène : Caroline Leboutte – Avec : Scarlett Schmitz, Yvan Tjolle – Auteur : Colas Gutman

Résumé

Aujourd’hui, c’est son anniversaire ! Ils sait ce qu’il va recevoir : un chien ! C’est ça qu’il a demandé : un grand chien, avec des longs poils… « Je vais le dresser », il a dit. Mais seulement, voilà… « Waff ! » c’est une histoire tout en moquette et en chansons, qui parle de désillusions, de vraies, de fausses larmes et de rencontre.

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