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2009 - 2010

A la recherche de Joséphine

Distribution

Un spectacle musical de et mis en scène par Jérôme Savary – Assisté par Manon Savary – Avec Michel Dussarat, Allen Hoïst, Walter Reynolds, Nicolle Rochelle, Poundo-Christine Gomis, Maud Bellance, Fatou Diarra, Gwenaelle Jacquet, Emmeline Sousseing, William Aballi Perez, Santiago Herrera Quesada, Brian Bagley, Kendrick Jones, Jason Rodgers, David Boeddinghaus, Thomas Saunders, James Alsanders, Orlando Poleo, Chris Tyle, Philippe Georges, Jean-Claude Onesta, Paul Cheron, Banu Gibson.

Résumé

L’histoire du jazz, de la ségrégation et de Joséphine Baker Dix danseurs, huit musiciens et quatre comédiens retracent la destinée pas banale de Joséphine Baker dans des décors de féerie ! Un music-hall époustouflant de Jérôme Savary. Michel, un producteur français, se rend à la Nouvelle-Orléans, peu après l’ouragan Katrina, à la recherche de chanteurs, de danseurs et de comédiens capables de recréer la « Revue nègre » où le Paris de 1925 découvrit l’exubérante Joséphine Baker. Le producteur fait alors la rencontre de Old Joe, un musicien qui attend, stoïquement assis dans sa barque, que son piano, emporté par la tempête, remonte à la surface. Tandis qu’Old Joe raconte l’histoire du jazz, Michel fait passer les auditions. De tous les spectacles musicaux montés par mon équipe au fil des ans, Joséphine est celui qui me tient le plus à cœur… Car il parle de choses graves et émouvantes : le drame quasi biblique provoqué par l’ouragan Katrina sur la ville de la Nouvelle-Orléans qui, en une semaine, a chassé de la plus grande ville noire des Etats-Unis, la moitié de sa population. Le destin de ce qu’on appelle curieusement les « Afro-Américains », dont on suivra le cheminement des ancêtres esclaves depuis la forêt africaine jusqu’à la Nouvelle-Orléans, en passant par Haïti et Cuba. Enfin l’histoire du Jazz et de cette incroyable petite danseuse de dix-sept ans qui révolutionna le Paris des « Années Folles » en dansant nue avec pour seul ornement une ceinture de bananes. Jérôme Savary Jérôme Savary sera présent pour la neuvième fois à l’Atelier, ce qui fait de lui notre hôte le plus régulier. Depuis Zartan, le frère mal aimé de Tarzan (saison 1971-1972) à La Vie d’artiste racontée à ma fille (saison 2005-2006), nous avons accueilli Jérôme Savary, notamment avec le Magic Circus, pour Robinson Crusoë, De Moïse à Mao, Les Grands Sentiments, Bye bye Show Biz, Nina Stromboli et Zazou. Un spectacle présenté par LRN production La capacité de la salle sera réduite à 831 places pour des raisons de confort et d’esthétique.

Amour, amour

Distribution

Auteur : Jacques Henrard – Mise en scène : Cécile Van Snick – Avec Catherine Decrolier, Hervé Guerrisi, Cachou Kirsch, Pierre Poucet, Cécile Van Snick – Décor et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Alain Collet – Son : Nicolas Dufranne – Assistante mise en scène : Adrienne Gérard – Réalisation du décor : Georges Delhez, Christophe Beaugé, Vincent Rutten – Peinture décor : Christophe Beaugé – Régie : Manu  Maffei – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco.

Résumé

Jeux d’enfants cabossés par la vie Tino, Hugues, Lily et Paula ont neuf ans, l’âge de l’école, des remarques cruelles des copains, de la révolte aussi. Tino veut buter le monde entier avec son rayon de la mort, surtout ceux qui toucheraient à sa petite soeur. Hugues est diabétique, gourmand, et doit manger du chocolat « spécial » sous peine de tomber en syncope. Lily, la fille de la coiffeuse, a un trop gros derrière, et trop de vêtements pour tenter de le cacher. Tandis que Paula, elle, rêve d’une vraie baignoire et de sentir bon… Pour Madame, l’institutrice, la vie est la plus grande des merveilles. Elle leur parle avec une passion égale de l’amour, de la mort et de la vie qui a mis trois milliards d’années pour tout inventer. Et quand la vie rate, quand elle se trompe ? Et quand les parents ne font pas les enfants exprès ? Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa Le spectacle sera également en tournée cette saison.

Amour, amour (en tournée)

Distribution

Auteur : Jacques Henrard – Mise en scène : Cécile Van Snick – Avec : Catherine Decrolier (Lily), Hervé Guerrisi (Tino), Cachou Kirsch (Paula), Pierre Poucet (Hugues), Cécile Van Snick (Voix de Madame)

Résumé

Tino, Hugues, Lily et Paula ont neuf ans, l’âge de l’école, des remarques cruelles des copains, de la révolte aussi. Tino veut buter le monde entier avec son rayon de la mort, surtout ceux qui toucheraient à sa petite soeur. Hugues est diabétique, gourmand, et doit manger du chocolat « spécial » sous peine de tomber en syncope. Lily, la fille de la coiffeuse, a un trop gros derrière, et trop de vêtements pour tenter de le cacher. Tandis que Paula, elle, rêve d’une vraie baignoire et de sentir bon… Pour Madame, l’institutrice, la vie est la plus grande des merveilles. Elle leur parle avec une passion égale de l’amour, de la mort et de la vie qui a mis trois milliards d’années pour tout inventer. Et quand la vie rate, quand elle se trompe ? Et quand les parents ne font pas les enfants exprès ? Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa

Après moi, le déluge

Distribution

Auteur : Lluïsa Cunillé – Adaptation française : Angeles Muñoz – Mise en scène : Pietro Pizzuti – Avec : Angelo Bison (L’homme), Nathalie Cornet (L’interprète) – Scénographie : Anne Guilleray – Lumières : Marc Lhommel – Assistantes mise en scène : Lara Hubinont, Céline Thomas – Construction décors : Christophe Beaugé – Régie générale : Vincent Rutten – Régie plateau : Mathieu Regaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Mystérieuse Afrique… Un homme et une femme se retrouvent dans un hôtel à Kinshasa. L’homme travaille pour une compagnie sud-africaine qui extrait et commercialise du coltan. La femme, installée à l’hôtel depuis des années, sert d’interprète aux hommes d’affaires de passage. Deux européens qui ont découvert la fascination pour l’Afrique et en ont fait leur refuge. Lluïsa Cunillé explore la violence d’un monde, l’Afrique et l’atrocité du Monde envers elle. Il en ressort un texte fort, touchant, d’une grande poésie qui, sous des couverts de douceur, recèle un face-à-face intime, réaliste et cruel. Ceux qui connaissent l’Afrique la reconnaîtront, les autres ouvriront les yeux. Lluïsa Cunillé est un auteur catalan talentueux. Elle a suivi les enseignements de José S. Sinisterra et, depuis la création de sa première pièce, Rodeo (Prix Calderón en 1991), Cunillé a écrit, publié et fait monter plus de vingt pièces, auxquelles il faut ajouter des adaptations et des scénarios de film. Elle a reçu, en 2007, le Prix National de Théâtre de la Generalitat de Catalunya, pour l’ensemble de son œuvre. Después de mí, el diluvio (2007) a été créée le 13 décembre 2008 au Teatre Lliure de Barcelone. Après son interprétation de Scapin et sa mise en scène de Molly au château, présentés à l’Atelier la saison dernière, Pietro Pizzuti, homme de théâtre complet, à la fois comédien, auteur et metteur en scène, nous revient avec cette création mondiale en langue française. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar Soirée rencontre le jeudi 14 janvier Rencontre-débat autour de l’Afrique face aux questions du développement et des droits humains Représentation supplémentaire le samedi 23 janvier à 20h30 au profit de l’association Espérance Revivre au Congo – www.espereco.be

Au Jardin

Distribution

Avec : Gwennaëlle La Rosa, Geoffrey Magbag – Mise en scène : Charlotte Fallon – Auteur : Théâtre de la Guimbarde

Résumé

En mêlant le théâtre, la vidéo, les ombres découpées, la peinture, le dessin et les animations simples, « Au Jardin » propose aux tout-petits une expérience visuelle ludique et active. Un spectacle où les images se construisent et se transforment, où le réel et l’imaginaire s’entremêlent par la grâce de deux magiciens.

Compartiment séducteur

Distribution

Auteur : Jean-Philippe Arrou-Vignod – Metteur en scène : Jean-Pierre Bouvier – Interprétation : Jean-Pierre Bouvier – Assistant à la mise en scène : Jean-François Chatillon

Résumé

Leçon de séduction Il voulait être seul. Et puis elle entre, dans son compartiment. Elle ne le regarde pas. Pire encore, c’est comme s’il n’existait pas. Elle lit. Qui est-elle ? A quoi joue-t-elle ? Il est libre, disponible, un homme à femmes, prêt à tout pour forcer son indifférence. Drôle, charmeur, pathétique, il se lance, s’enfièvre, prend tous les risques. Entre elle et lui, l’aventure commence. On ne monte pas impunément dans le compartiment séducteur… Jean-Pierre Bouvier a joué presque tous les grands rôles du répertoire français (Dom Juan, Ruy Blas, Lorenzaccio, Cyrano…). Comédien, il a tourné plus de 110 films pour le cinéma (Ma Saison Préférée d’André Téchiné) ou la télévision, et joue régulièrement au théâtre. Il est également metteur en scène, directeur du Festival de Sète (de 1985 à 1987) et enseignant (de1992 à 1995). Avec l’aimable autorisation du Théâtre du PALAIS ROYAL, Direction Mr Francis NANI

Deux Petites Dames vers le Nord

Distribution

Texte et musique : Pierre Notte – Metteur en scène : Patrice Kerbrat – Interprétation : Marie-Line Lefebvre, Cécile Van Snick – Scénographie : Edouard Laug – Lumières : Laurent Béal – Costumes : Caroline Martel – Accordéon, conseils et arrangements musicaux : Stany Mannaert – Régie son et lumières : Manu Maffei, Gary De Beys – Régie plateau : Mathieu Regaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décor : Mathieu Regaert, Marc Cocozza, Christophe Beaugé – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Un road movie désarmant Elles sont sœurs, d’âge mûr. Un peu tassées, peut-être ? Non. Disons embellies par le temps. A la mort de leur mère (quatre-vingt-dix-sept ans), Annette et Bernadette réalisent qu’elles n’ont jamais revu la tombe de leur père, enterré vingt-cinq ans plus tôt dans un cimetière, quelque part dans le Nord. Armées de la fraîcheur candide d’une complicité retrouvée, elles décident de partir à l’aventure : pour embrasser papa et pour lui dire que maman est partie. Il se dégage une étonnante tendresse de Deux Petites Dames vers le Nord. C’est un jeu de petites filles léger, désinvolte et irrévérencieux. Un savoureux petit bijou de douceur et de drôlerie, qui laisse un goût de bonheur incomparable. On pouffe, on ouvre la bouche, on cligne des yeux. On est ému. On est touché. Philippe Minyana De cimetière en vieux dancing, de petit coup de bière en petit coup de main, en train, à pied ou en voiture, elles taillent la route en chantant pour se donner du courage. L’important n’est pas d’arriver, ni même de partir, c’est le voyage. C’est de s’offrir une petite cigarette bien méritée. C’est de mordre la vie à belles dents. A belles dents. Dents de sagesse ou dents de folie ? Patrice Kerbrat Pierre Notte est poète, journaliste, romancier, pédagogue, metteur en scène et dramaturge. Il est l’auteur de deux romans et d’une vingtaine de pièces de théâtre. Sa pièce Moi aussi, je suis Catherine Deneuve, créée au Théâtre de la Pépinière-Opéra, a été couronnée par le Molière 2006 du Théâtre Privé. La même année, Pierre Notte est nommé secrétaire général de la Comédie-Française et fait Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa

Eaux-les-Bains

Distribution

Conception : Jean-Luc Falbriard, Etienne Bayart – Metteur en scène : Jean-Luc Falbriard – Interprétation : Etienne Bayart, Daniel Collados, Bruno Dreyfürst, Vincent Faller, Aude Koegler, Sophie Thomann, Laure Werckmann

Résumé

Ballet burlesque en peignoir et sans paroles – Spectacle tout public Rien ne se passe vraiment comme prévu à Eaux-les-Bains, centre de cure thermale fraîchement – et à vrai dire un peu hâtivement – rénové. Le duo de direction tente vainement de faire tourner la boutique, avec un homme à tout faire (cuisine à préparer, plomberie à réparer, murs à repeindre, et accessoirement soins à prodiguer) qui ne sait rien faire, et une infirmière esthéticienne qui, à défaut d’être efficace, a au moins le mérite de faire fantasmer la clientèle. Les curistes, eux, essuient les plâtres. Souligné par une musique décalée avec sonorités désuètes, ambiances rétro, sons aquatiques, le jeu des comédiens rappelle Blake Edwards ou Jacques Tati. Avec le soutien de la Ville de Strasbourg, du Conseil Général du Bas-Rhin, du Conseil Régional d’Alsace, de la DRAC Alsace, de la Maison des Arts et Congrès de Niederbronn-les-Bains et de l’ADAMI

L’Apostat

Distribution

Auteur : Régis Debray – Metteur en scène : Jean-Claude Idée – Interprétation : Jean-Claude Frison – Scénographie, costumes, lumières, son : Jean-Claude Idée – Assistante à la mise en scène : Camille de Bonhome – Réalisation sculptures : Lionel Lesire – Réalisation vidéo : Pierre-Michel Chevignie – Régie lumières, vidéo : Gary De Beys – Régie son et machinerie : Nicolas Perretier – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco – Remerciements : Michel Wouters, Serge Beeckman, Jean-François Sevrin, Antoine Bruyns, Frédéric Lepers

Résumé

Plaidoyer contre le fanatisme religieux Le Panthéon, symbole de la tolérance religieuse au cœur de Rome, abrite, en ce début septembre 2037, une grande exposition consacrée à la conversion de l’Empereur Constantin. Lorsque le bâtiment est frappé par un attentat terroriste, un homme émerge des décombres et prétend être Julien l’Apostat, le dernier des empereurs romains à avoir autorisé en 362 la pratique libre des cultes, face au jeune christianisme triomphant et fanatique. S’agit-il d’un fou ? Ou bien cette apparition fantomatique est-elle la responsable de l’attentat qu’elle dénonce ? Régis Debray rend ici la parole, par un artifice purement théâtral, à Julien l’Apostat. Son regard sur les dangers de dérive intégriste des monothéismes est pour notre passé et notre futur très éclairant. Un texte décapant, ironique et profond, qui interpelle et surprend. Jean-Claude Idée Jean-Claude Idée avait monté chez nous Copenhague de Michael Frayn. Régis Debray adhère au parti communiste jeune. Il part s’installer à Cuba et suit Che Guevara en Bolivie où il est arrêté. Il rentre en France à sa libération. Il est conseiller du président François Mitterrand de 1981 à 1984. Il a publié une dizaine d’ouvrages dont La neige brûle, prix Femina en 1977. Régis Debray est actuellement président de l’Institut européen en sciences des religions et membre de la commission Stasi. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa

L’Oiseau vert

Distribution

Auteur : Carlo Gozzi – Metteur en scène : Carlo Boso – Interprétation : Sarah Brahy, Bernard Cogniaux, Joséphine de Renesse, Béatrix Férauge, Laszlo Harmati, Thierry Janssen, Marie-Paule Kumps, Olivier Massart, Grégory Praet, Freddy Sicx, Sandrine Versele, Simon Wauters – Scénographie et costumes : Claude Renard – Lumières : Orazio Trotta – Création masques : Stefano Perocco – Maquillage : Elvira Cicero – Assistante à la mise en scène : Elise Vandergoten – Assistante scénographie et costumes : Crisanta Fernandez – Régie son : Dimitri Wauters – Régie lumières : Stephen Ferrari, Jacques Perera – Régie plateau : Mathieu Regaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise

Résumé

Un conte fantasque jubilatoire – Spectacle tout public Voilà plus de dix-huit ans que le Roi Tartaglia est parti pulvériser les rebelles. Pendant ce temps, sa femme, la reine Ninette, accusée d’infidélité par la reine mère, est enterrée vivante sous l’évier. Elle survit dans le plus grand secret grâce aux soins d’un étrange oiseau vert. Ses jumeaux, que le premier ministre du Roi était chargé de supprimer, ont été recueillis par des tripiers. Lorsque Renzo et Barbarine découvrent la vérité, ils décident de partir à la découverte de la vie et de l’identité de leurs véritables parents. « L’Oiseau vert » a déjà été accueilli par l’Atelier Théâtre Jean Vilar. Il s’agissait d’une production de la Comédie de Genève, dans une mise en scène de Benno Besson (saison 1982-1983). Quant au Théâtre de l’Eveil, il a été fondé suite à la production de L’Eveil du printemps par la troupe des acteurs de l’Atelier dirigé par Guy Pion. Depuis, le Théâtre de l’Eveil a présenté à Louvain-la-Neuve les  » jumeaux » vénitiens et La Noce chez les petits bourgeois, mis en scène par Carlo Boso et Bouvard et Pécuchet mis en scène par Michel Tanner. Les  » jumeaux » vénitiens – Une création-production du Théâtre de l’Eveil/Théâtre le Public, avec l’aide de la Communauté française Wallonie-Bruxelles, la Province de Hainaut et le Centre des Arts Scéniques En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies- Louvain-la-Neuve www.poleculturel.be

Le Cocu magnifique

Distribution

Auteur : Fernand Crommelynck – Metteur en scène : Vincent Goethals – Interprétation : André Baeyens, Itsik Elbaz, Martin Firket, Pierre Haezaert, Fabienne Mainguet, Corinne Masiero, Anne-Catherine Regniers, … – Dix élèves du Conservatoire Royal de Mons : Baptiste Blampain, Damien De Dobbeleer, Laurie Jedwab, Alexis Julemont, Jeanne Kacenelenbogen, Izabela Karolczuk, Virgile Magniette, Nicolas Matthys, Corinne Pele, Léa Poirrier – Scénographie : Jean-Pierre Demas – Lumières : Philippe Catalano – Environnement sonore : Bernard Valléry – Vidéo : Aliocha Van der Avoort – Costumes : Dominique Louis, Sohrab Kashanian – Assistante à la mise en scène : Isabelle Lusignan

Résumé

La folle danse des amants éperdus Depuis le temps qu’on se marie, il y a des cocus de toute espèce. Celui-ci a une particularité : sa femme, qu’il adore, l’aime aussi et tient absolument à lui rester fidèle. Bruno vit dans l’exaltation de cet amour partagé jusqu’au moment où un regard, peut-être mal interprété, enclenche la machine infernale de la jalousie… Et pour être certain d’être cocu, c’est lui qui va pousser sa femme dans les bras d’autres hommes. L’œuvre de Fernand Crommelynck signe le début d’un renouvellement complet de l’esthétique théâtrale. L’art de mêler la farce au drame dans une démesure et un baroquisme déconcertants pour l’époque a entraîné dans sa dynamique des créations scéniques révolutionnaires tant dans la conception du décor que dans le jeu des acteurs. (…) Lors de la création en 1920 au Théâtre de l’Oeuvre de Lugné-Poe, à Paris, la pièce remporta un immense succès. En 1922, Meyerhold s’en empara à Moscou dans une optique révolutionnaire. Armand Delcampe, in Dictionnaire encyclopédique du Théâtre Vincent Goethals dirige la compagnie Théâtre en Scène depuis sa création en 1986. En tant qu’acteur et metteur en scène, il patrouille de préférence sur les terres du théâtre contemporain et singulièrement du théâtre francophone. Ces dernières années, il a été successivement artiste associé à l’Hippodrome – Scène Nationale de Douai, au Bateau Feu – Scène Nationale de Dunkerque et au Théâtre du Nord – Centre Dramatique National de Lille. Production Théâtre en Scène, le Rideau de Bruxelles, le Centre Dramatique Régional de Tours, l’Atelier Théâtre Jean Vilar de Louvain-la-Neuve, l’Avant-Seine de Colombes, avec la participation du Centre des Arts Scéniques

Le Cocu magnifique (en tournée)

Distribution

Auteur : Fernand Crommelynck – Metteur en scène : Vincent Goethals – Interprétation : André Baeyens, Itsik Elbaz, Jérémy Gendrot, Pierre Haezaert, Fabienne Mainguet, Corinne Masiero, Anne-Catherine Regniers

Résumé

La folle danse des amants éperdus Depuis le temps qu’on se marie, il y a des cocus de toute espèce. Celui-ci a une particularité : sa femme, qu’il adore, l’aime aussi et tient absolument à lui rester fidèle. Bruno vit dans l’exaltation de cet amour partagé jusqu’au moment où un regard, peut-être mal interprété, enclenche la machine infernale de la jalousie… Et pour être certain d’être cocu, c’est lui qui va pousser sa femme dans les bras d’autres hommes. L’œuvre de Fernand Crommelynck signe le début d’un renouvellement complet de l’esthétique théâtrale. L’art de mêler la farce au drame dans une démesure et un baroquisme déconcertants pour l’époque a entraîné dans sa dynamique des créations scéniques révolutionnaires tant dans la conception du décor que dans le jeu des acteurs. (…) Lors de la création en 1920 au Théâtre de l’Oeuvre de Lugné-Poe, à Paris, la pièce remporta un immense succès. En 1922, Meyerhold s’en empara à Moscou dans une optique révolutionnaire. Armand Delcampe, in Dictionnaire encyclopédique du Théâtre Vincent Goethals dirige la compagnie Théâtre en Scène depuis sa création en 1986. En tant qu’acteur et metteur en scène, il patrouille de préférence sur les terres du théâtre contemporain et singulièrement du théâtre francophone. Ces dernières années, il a été successivement artiste associé à l’Hippodrome – Scène Nationale de Douai, au Bateau Feu – Scène Nationale de Dunkerque et au Théâtre du Nord – Centre Dramatique National de Lille. Production Théâtre en Scène, le Rideau de Bruxelles, le Centre Dramatique Régional de Tours, l’Atelier Théâtre Jean Vilar de Louvain-la-Neuve, l’Avant-Seine à Colombes, avec la participation du Centre des Arts Scéniques

Le Tartuffe ou l’imposteur

Distribution

Auteur : Molière – Metteur en scène : Patrice Kerbrat – Interprétation : Myriem Akheddiou, Armand Delcampe, Colette Emmanuelle, Robert Guilmard, Marie-Line Lefebvre, Quentin Lemenu, Laurent Micheli, Fred Nyssen, Isabelle Roelandt, François Sikivie, Benoît Verhaert, Valentine Jongen, Emma Béat, Vincent Rutten, Marc Cocozza – Scénographie : Edouard Laug – Lumières : Laurent Béal – Costumes : Jean-Daniel Vuillermoz – Maquillage : Martine Lemaire – Arrangements musicaux et interprétation : Stany Mannaert – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot – Construction décor : Bernard Lamot, Stephane Devolder, Georges Delhez – Peinture sol : Marianne De Wil, et son équipe – Peinture décor : Christophe Beaugé – Régie générale : Vincent Rutten, Manu Maffei – Régie lumières et son : Gary De Beys, Jacques Perera – Régie plateau : Marc Cocozza, Mathieu Regaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Maquilleuse : Martine Lemaire – Direction technique : Jacques Magrofuoco – Remerciement : Félicien Van Kriekinge

Résumé

Non, rien de plus méchant n’est sorti de l’Enfer Issu de la haute bourgeoisie, Orgon s’est laissé subjuguer par Tartuffe dont il admire la foi profonde. Or, ce dernier n’est qu’un hypocrite intéressé par la fortune de son admirateur. Malgré l’hostilité de sa propre famille, Orgon a fait de lui son directeur de conscience, son confident et son maître à penser. Aveuglé, il s’entiche de son Tartuffe au point de lui offrir sa fille, son héritage… Les manœuvres de l’imposteur seront-elles déjouées à temps ? Molière dénonce avec Tartuffe les agissements de la Compagnie du Saint-Sacrement, société catholique ultraconservatrice violemment hostile aux protestants. Elle prétend également lutter contre les hérétiques, les mœurs dépravées et les débordements populaires tout en s’impliquant dans les oeuvres de charité, par exemple, en fondant des hôpitaux. Elle devient rapidement une société secrète influente : Anne d’Autriche la protège. La première version de Tartuffe, jouée durant les Plaisirs de l’Ile enchantée, fête somptueuse que Louis XIV organise à Versailles en mai 1664, connaît un vif succès auprès du roi et provoque la réaction immédiate du parti dévot, menée par Anne d’Autriche, qui se déchaîne contre Molière et obtient du monarque l’interdiction de la pièce. Molière se défend en expliquant les intentions de sa comédie. Il finit par obtenir l’autorisation que Tartuffe soit joué, non dans les salles publiques où la troupe se produit habituellement, mais dans les hôtels particuliers de l’aristocratie. Louis XIV prend la troupe sous sa protection. Molière de son côté modifie son Tartuffe et atténue la violence de certains propos si bien que le roi autorise à nouveau la pièce, jouée publiquement le 5 août 1665 avec un succès éclatant. Patrice Kerbrat retrouve l’Atelier Théâtre Jean Vilar pour deux mises en scène, celle de Deux Petites Dames vers le Nord et celle de Tartuffe. Il s’adjoint à nouveau le concours de la brillante équipe de La Veuve rusée, Edouard Laug (décor) et Laurent Béal (lumières). Gageons que sa collaboration à la Comédie-Française éclairera avec pétillement le texte de Molière. Au milieu de quelques comédiens fidèles à l’Atelier – Isabelle Roelandt, Marie-Line Lefebvre et Myriem Akheddiou – Armand Delcampe, qui a mis la pièce en scène voici une douzaine d’années, incarnera Orgon face à Benoît Verhaert. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar La capacité de la salle sera réduite à 740 places pour des raisons de confort et d’esthétique.

Le Tartuffe ou l’imposteur (en tournée)

Distribution

Auteur : Molière – Metteur en scène : Patrice Kerbrat – Interprétation : Myriem Akheddiou, Armand Delcampe, Colette Emmanuelle, Robert Guilmard, Marie-Line Lefebvre, Quentin Lemenu, Laurent Micheli, Fred Nyssen, Isabelle Roelandt, François Sikivie, Benoît Verhaert

Résumé

Issu de la haute bourgeoisie, Orgon s’est laissé subjuguer par Tartuffe dont il admire la foi profonde. Or, ce dernier n’est qu’un hypocrite intéressé par la fortune de son admirateur. Malgré l’hostilité de sa propre famille, Orgon a fait de lui son directeur de conscience, son confident et son maître à penser. Aveuglé, il s’entiche de son Tartuffe au point de lui offrir sa fille, son héritage… Les manœuvres de l’imposteur seront-elles déjouées à temps ? Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Le Voyage

Distribution

Auteur : Gérald Aubert – Metteur en scène : Eric Lefèvre – Interprétation : Léonil Mc Cormick, Gérard Vivane

Résumé

Revoir Dachau… et vivre Un père et son fils. Deux générations que la guerre et ses exactions séparent. Le plus âgé a vécu l’horreur d’un camp de concentration avec son lot de maltraitances et de tortures. Son fils, Julien, est l’enfant d’une Europe nouvelle, plus inquiet du rachat éventuel de son entreprise que des relents du nazisme et des diatribes paternelles anti-allemandes. Leur voyage les mène vers le camp de Dachau, aux portes de Munich. Mais la plus grande distance qu’ils ont à franchir est celle qui les sépare l’un de l’autre. Gérald Aubert a fait des études supérieures de littérature française et anglaise tout en pratiquant l’art dramatique dès l’adolescence. Il est depuis trois décennies le directeur de la bibliothèque municipale de Gagny. Depuis le milieu des années 80, il a écrit une dizaine de pièces de théâtre. En 1996, il écrit Le Voyage créé au Studio des Champs-Elysées. J’étais du bon côté, fils de héros, mais je ne savais rien de la douleur intime de mon père. Jamais nous n’évoquions les vraies épreuves qu’il avait traversées. A sa mort, j’ai regretté d’être passé à côté de son histoire. C’est ce que j’ai voulu raconter dans la pièce. Gérald Aubert Une coproduction du Théâtre de la Valette et du Festival de Théâtre de Spa

Lorenzaccio

Distribution

Auteur : Alfred de Musset – Mise en scène : Antoine Bourseiller – Avec : Pierre Azéma – Costumes : Antoine Bourseiller – Avec : Hugo Brune, Emilie Chevrillon, Ivan Cori, Thibaut Duval, Camille Gorde, Yohan Guillemot, Jean-Christophe Legendre, Alexis Ménard, Alexandre Ruby, Stéphanie Rémondière, Arnaud Alingrin, Jean-Christophe Mast – Avec la voix de : Sylvie Valayre

Résumé

Le combat d’un jeune idéaliste exalté Florence, 1537. Le Duc Alexandre règne sur la ville en tyran. Lorenzo, cousin du Duc, s’est mis en tête de restaurer la république florentine. Son plan est particulièrement simple : se faire l’ami de débauche du tyran pour le tuer. Mais sa duplicité est trop ambiguë et il s’attire bientôt la méfiance de ceux qui devraient être ses alliés. Mal soutenu par le philosophe Philippe Strozzi, Lorenzaccio en vient à douter de la mission qu’il s’était fixée, mais reste convaincu que ce meurtre est le « seul brin d’herbe » auquel il puisse « cramponner ses ongles »… Antoine Bourseiller est un nom indissociable de l’histoire du théâtre en France. Outre ses collaborations régulières au Festival d’Avignon, il a dirigé, de 1960 à 2005, plusieurs théâtres, dont le Studio des Champs-Élysées, le Théâtre de Poche Montparnasse, le Centre Dramatique National du Sud-Est, le Théâtre d’Orléans, l’Opéra de Nancy et de Lorraine, Les Soirées d’été de Gordes et le Théâtre de Tarascon. Lorenzaccio n’a pas été créée du vivant de Musset. La pièce, trop longue, fut arrangée en 1863 par le frère de Musset. Mais la censure la refusa. Il fallut attendre 1896 pour en voir la première représentation, où le rôle fut incarné par Sarah Bernhardt. Gérard Philipe fut le premier interprète masculin à incarner Lorenzo, en 1952, au Festival d’Avignon, dans une mise en scène de Jean Vilar. Un spectacle présenté par OV Productions

Madame Sonnette

Distribution

Auteur : Marie-Odile Dupuis – Avec : Perrine Ledent, Jean-Christophe Lefèvre, Jérôme Poncin

Résumé

Dans la gare de Petit-Sart-Les-Pois, le temps s’écoule, rassurant. Secouée par le passage du tout proche TGV, la petite station survit grâce à quelques navetteurs fidèles, à son vieux chef de gare un peu bougon et à Elise Sonnette, l’employée à tout faire ! Et puis un jour…

Mon Cul

Distribution

Un spectacle de et avec Patrick RidremontRégie Jacques Perera

Résumé

Un one-man-show décapant Patrick Ridremont nous a habitué à ses frasques. Et là, on ne peut pas dire, son titre est provocateur. A la billetterie du théâtre, on le dit à voix basse : « Alors, vous avez mis Mon Cul dans votre abonnement ? » Pourtant il n’en sera pas question. Mon Cul est surtout l’histoire des petits et gros travers du théâtre. Du figurant qui en fait trop au metteur en scène nombriliste, tout – même le public – passe au vitriol de l’homme-comédien qui, on le sent bien, les a fréquentés de près et les a gaiement observés. Patrick Ridremont a débuté son parcours avec l’Atelier Théâtre Jean Vilar en… vendant de la soupe à l’oignon. Il était étudiant à l’IAD, c’était sur La Villégiature ! Après avoir repris le rôle du maître de musique dans Le Bourgeois Gentilhomme de Molière, il entame une fidèle collaboration avec l’Atelier en interprétant notamment Damis dans Tartuffe, Matti dans Maître Puntila et son valet Matti, Don Alvaro dans La Veuve rusée ou encore Berowne dans Peines d’Amour perdues. Une production du Festival de Théâtre de Spa et de ZED sprl Une soirée de réveillon exceptionnelle aux prix habituels !

Mon Petit Soldat

Distribution

Auteur : Polly Stenham – Texte français : Marianne Groves – Metteur en scène  : Tanya Lopert – Interprétation : Déborah Amsens, Mélodie Axel, Marie-Line Lefebvre, Frédéric Lepers, Laurent Micheli, Anaël Snoeck.

Résumé

Histoire de famille décomposée La famille de Mia n’est pas rose : son père a refait sa vie à l’étranger, son frère, le « petit soldat », a arrêté l’école pour se consacrer à sa mère alcoolique et dépressive. Acceptant mal les crises de sa mère, elle a pris ses distances. Tout pourrait continuer de la sorte si au pensionnat de Mia ne s’était produit l’incident de trop… Distillant avec une lucidité implacable la relation parents-adolescents, l’auteur traite de thèmes d’une actualité frappante, laissant planer une ambiance oppressante qui capte dès les premières répliques. Polly Stenham a écrit That Face, sa première pièce, à 19 ans. Créée en 2007 à Londres, la pièce a reçu le prix de l’auteur le plus prometteur décerné par l’Evening Standard. Elle a été nominée, dans sa version originale anglaise, aux Laurence Olivier Awards au titre de meilleure nouvelle pièce en 2008. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa La pièce That Face est représentée dans les pays de langue française par l’agence Drama – Suzanne Sarquier en accord avec l’agence Alan Brodie Representation (ABR) à Londres Le spectacle sera également en tournée cette saison.

Mon Petit Soldat (en tournée)

Distribution

Auteur : Polly Stenham – Texte français : Marianne Groves – Metteur en scène : Tanya Lopert – Interprétation : Deborah Amsens, Mélodie Axel, Marie-Line Lefebvre, Frédéric Lepers, Laurent Micheli, Anaël Snoek

Résumé

La famille de Mia n’est pas rose : son père a refait sa vie à l’étranger, son frère, le « petit soldat », a arrêté l’école pour se consacrer à sa mère alcoolique et dépressive. Acceptant mal les crises de sa mère, elle a pris ses distances. Tout pourrait continuer de la sorte si au pensionnat de Mia ne s’était produit l’incident de trop… Distillant avec une lucidité implacable la relation parents-adolescents, l’auteur traite de thèmes d’une actualité frappante, laissant planer une ambiance oppressante qui capte dès les premières répliques. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa La pièce That Face est représentée dans les pays de langue française par l’agence Drama – Suzanne Sarquier en accord avec l’agence Alan Brodie Representation (ABR) à Londres

Orchestre National de Belgique

Distribution

Direction : Theodor Guschlbauer – Soliste (violoncelle) : Marie Hallynck

Résumé

England, Sea and Europalia Chine Au programme : – Les Hébrides ou la Grotte de Fingal de Félix Mendelssohn Bartholdy – La Mer de Claude Debussy – Le Concerto pour violoncelle de Hao-Fu Zhang (en création mondiale) – Les Quatre Interludes marins de Benjamin Britten Marie Hallynck, formée à Paris ainsi qu’au Conservatoire de Bruxelles et à la Chapelle musicale Reine Elisabeth, a travaillé avec plus d’une cinquantaine d’orchestres dans le monde. Elle a remporté de nombreux prix et est notamment lauréate du tournoi Eurovision de la musique classique en 1992. Hao-Fu Zhang, compositeur d’origine chinoise naturalisé belge, est professeur au Conservatoire de Bruxelles. Son concerto pour violoncelle, créé à cette occasion, est dédié à Marie Hallynck. Une production du Festival musical du Brabant wallon en collaboration avec l’Atelier Théâtre Jean Vilar, l’Orchestre National de Belgique et Europalia Chine

Princesse Turandot

Distribution

Auteur : Carlo Gozzi – Adaptation et mise en scène : Dominique Serron – Interprétation : France Bastoen, Patrick Brüll, Laurent Capelluto, Toni D’Antonio, Mélanie Delva, Afazali Dewaele, Stéphane Fenocchi, Fabien Robert, Fabrizio Rongione, Luc Van Grunderbeeck, Laure Voglaire, Vincent Zabus

Résumé

Un conte cruel haut en couleur L’Infini Théâtre livre une version onirique masquée et fouillée du cruel conte persan. La mise en scène de Dominique Serron, flamboyante et d’une belle générosité, propose un spectacle chorégraphié aux étoffes soyeuses et aux couleurs chatoyantes. Ecrivain et dramaturge italien du 18ème siècle, Carlo Gozzi vient au secours de la Commedia dell’Arte, alors sur le déclin face aux drames de Pietro Chiari et aux œuvres réalistes de Carlo Goldoni, en mettant en scène de vieux contes populaires. Il introduit dans ses œuvres du surnaturel et des éléments mythiques. Ses comédies ont été traduites en France et en Allemagne. Deux d’entre elles ont même été adaptées pour l’opéra : La Femme serpent par Wagner (Les Fées) et Turandot par Puccini. La compagnie l’Infini Théâtre est créée en 1986 par Dominique Serron. Son travail est nourri d’une investigation exigeante du texte. L’Infini Théâtre a à son actif une vingtaine de spectacles (dont Alice, La Surprise de l’amour, Le Decameron, Iphigénie, Le Jeu de l’amour et du hasard) et multiplie les tournées nationales et internationales. Un spectacle produit par l’Infini Théâtre En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve www.poleculturel.be

STIB

Distribution

Auteur : Geneviève Damas – Metteur en scène : Janine Godinas – Interprétation : Geneviève Damas, Isabelle Defossé – Scénographie et costumes : Christine Flasschoen – Lumières : Jean-Jacques Deneumoustier – Création musicale : Jean-Philippe Collard-Neven – Maquillages : Sylvie Evrard – Régie son et lumières : Eric Degauquier

Résumé

Suite de Trajets Infra-humains Balisés Elles n’ont pas de voiture et arpentent chaque jour Bruxelles du Nord au Sud. L’une y a toujours vécu. L’autre vient d’arriver. Elles ne se connaissent pas mais, chaque matin, elles prennent le même tram. A force, ça crée des liens. Un jour, quand Eva laisse son GSM dépasser de sa poche, Magda ne peut s’empêcher de la sermonner, un vol est si vite arrivé ! Et comme Eva ne l’écoute pas, pour lui prouver qu’elle a raison, elle lui fauche son GSM. Et c’est le commencement d’un long « tram-movie » pour deux clowns solitaires. L’univers de Geneviève Damas est aussi réaliste que poétique. Elle est passée maître dans l’art de rendre ses personnages proches, humains, touchants, à la fois blessés et drôles. Elle nous offre un dialogue vivant et simple entre deux jeunes femmes un peu perdues que leur rencontre transforme. C’est sur la plate-forme d’un univers à quatre roues que Magda et Eva, tels deux accords, vont se battre en duel, entrer en collision pour esquisser une mélodie. C’est dans ce chaos miniature que l’une terminera la phrase que l’autre a commencée, où elles bricoleront un hymne d’amour à partir de morceaux volés ici et là, où Geneviève Damas nous donne à déguster une tranche de réalité toute crue avec humour, cruauté, violence et… amour. Janine Godinas Geneviève Damas revient à l’Atelier après les succès de Molly à vélo (saison 2006-2007) et de Molly au château (saison 2008-2009). Comédienne et écrivain de talent, Geneviève excelle aussi en théâtre pour enfants: souvenez-vous de (L’Epouvantable Petite Princesse, accueilli dans le cadre de Noël au théâtre en 2008 à l’Atelier Théâtre Jean Vilar). Une coproduction de la Compagnie Albertine, du Festival de Théâtre de Spa et de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Sur la dune

Distribution

Conception, écriture et mise en scène : Alain Moreau – Scénographie et marionnettes : Alain Moreau – Comédiens / marionnettistes : Julie Antoine, François Ebouele, Toztli Godinez De Dios – Accueil du public : Jean Deckonink – Aidé par : Alain Moreau – Régie de plateau : Simon Janne – Composition des musiques : Max Vandervorst – Avec la participation de : Marc Hérouet, Félix Vandervorst – Création des éclairages et régie : Dimitri Joukovsky – Assistant à la mise en scène : Frédéric Lubansu – Assistante à la scénographie : Céline Robaszynski – Aidée par : Emilie Plazolles, Frédéric Lubansu, Geneviève Périat – Construction du cadre, structures diverses et bidouillages : Michel Van Brussel – Assisté de : Simon Janne – Finitions du cadre et costumes : Emilie Cottam – Affiche : Mélanie Rutten

Résumé

Une rêverie poétique et tendre – Spectacle tout public Spectacle sans paroles pour trois comédiens/manipulateurs, deux régisseurs et… les spectateurs. Dans un cadre, les rêves et les questionnements d’un homme… Un spectacle de théâtre pour tous avec des marionnettes, dont le titre aurait pu être « Ceci n’est pas un canard » où douce folie, tendresse, humour et surréalisme seront de la partie… Au moment d’écrire ces lignes, la création du spectacle est en cours. Le rêve est mon fil rouge. Il y aura une baignoire, du sable, la mer… Et des marionnettes. Des toutes petites et des toutes grandes, les échelles seront mélangées joyeusement. Alain Moreau Créé en 1986 par Alain Moreau, le Tof Théâtre, compagnie adepte du « réalisme réduit », détourne les techniques traditionnelles de manipulation : en mettant le procédé à vue, le marionnettiste est offert au regard du spectateur. Quant aux marionnettes, leur taille varie de 5 centimètres à 5 mètres. Elles s’adressent tantôt aux enfants, tantôt aux adultes, mais elles leur donnent du plaisir à tous. Le Tof Théâtre a déjà tourné dans le monde entier : France, Pays-Bas, Espagne, Portugal, Italie mais aussi Israël, Congo, Vietnam, Biélorussie, etc. Une coproduction du Tof Théâtre et de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Sur la route de Montalcino

Distribution

Auteur : Jean-François Viot – Metteur en scène : Olivier Leborgne – Interprétation : Grégoire Baldari, Michaël Manconi, Maud Pelgrims, François Sikivie, Alexandre von Sivers – Décor et costumes : Edouard Laug – Lumières : Laurent Béal – Assistante à la mise en scène : Emilie Fromont – Construction décor : Mathieu Regaert, Marc Cocozza, Christophe Beaugé – Peinture décor : Marianne De Wil, et son équipe – Régie lumières : Jacques Perera – Régie son : Manu Maffei – Régie plateau : Mathieu Regaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Le Big Bang en question 1957. Au milieu de la campagne toscane, une panne de voiture force un couple de Britanniques et leur ami belge à regagner le village le plus proche. Barbara souffre de la chaleur. Fred Hoyle, son mari, râle contre le monde entier. Georges Lemaître, lui, prend les choses avec bonhomie. Certes, le contretemps est fâcheux : ils ne pourront sans doute pas honorer le rendez-vous que leur a fixé le Saint-Père le lendemain. Mais leur cohabitation forcée n’est-elle pas, après tout, une extraordinaire occasion ? Car dès qu’ils ont été rassérénés par l’accueil tout italien de l’aubergiste Virgilio, la querelle éclate entre Georges, chanoine et concepteur de la théorie du Big Bang, et Fred, son opposant le plus farouche Basée sur des faits historiques, Sur la route de Montalcino s’en écarte avec une joie évidente pour explorer une rivalité intelligente et pleine d’humour. Traitant avec une légèreté déconcertante d’un problème aussi scientifique que le Big Bang, la pièce invite à une réflexion sur le sens de l’existence. Brillant, raffiné et drôle. En 1927, Monseigneur Georges Lemaître, cosmologiste belge et professeur à l’Université de Louvain, affirme que l’univers est en expansion et propose une évolution de l’univers à partir d’un « atome primitif ». Une vingtaine d’années plus tard, Fred Hoyle, cosmologiste britannique issu de l’Université de Cambridge, considère que cette théorie résiste au bon sens et met au point l’idée d’un univers globalement stationnaire. Hoyle, qui entendait ridiculiser la théorie de Lemaître en faisant un bon mot, rebaptisa celle-ci « Big Bang » en 1949, au cours d’une émission de la BBC. En 1951, Pie XII, qui suivait de près les évolutions de la science, fit un discours devant l’académie pontificale sur « les preuves de l’existence de Dieu à la lumière de la science actuelle de la nature ». Il y invoquait, sans jamais nommer ni Lemaître ni sa théorie, l’idée nouvelle que le monde serait né d’une singularité qui, pour lui, était précisément la création par Dieu. Lemaître n’apprécia pas que le Pape récupère les théories du Big Bang, car elles n’étaient encore qu’une hypothèse, mais surtout parce qu’il voulait que religion et science restent bien séparées. Guy Duplat, La Libre Belgique, novembre 2008 Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve www.poleculturel.be Soirée rencontre le jeudi 12 novembre Conférence-débat : Georges Lemaître et la théorie du Big Bang en partenariat avec l’Unité de physique théorique et de physique mathématique de la Faculté des Sciences de l’UCL. Exposition Georges Lemaître du 5 au 13 novembre présentée par les Archives Georges Lemaître Visitez le site de l’auteur : www.viotart.eu

Tohu-Bohu

Distribution

Auteur : André Borbé – Avec : Hervé Borbé, Patrick Shouters, Calo Marotta

Résumé

Quelle effervescence, quelle dose d’énergie ! Ca pétille, ça fait des bulles et ça croustille. Un délicieux mélange d’optimisme et de folie. Une jolie formule pur toute la famille. André Borbé accompagné de trois musiciens de talent nous offre un concert qui gigote, qui remue. Et qui fait du Tohu-bohu. Un vrai coup de coeur !

Trois Vieilles

Distribution

Auteur : Alejandro Jodorowsky – Traduction : Brontis Jodorowsky – Mise en scène : Jean-Michel d’Hoop – Avec : Cyril Briant (Garga), Sébastien Chollet (Grazia), Pierre Jacqmin (Méliza), Coralie Vanderlinden (Méliza) – Assistante mise en scène : Odile Ramelot – Costumes et marionnettes : Natacha Belova – Assistantes costumes : Françoise Van Thienen, Aurélie Borremans, Sylvie Thévenard – Assistant costumes : Bert Menzel – Scénographie : Aurélie Deloche – Musique : Eric Bribosia – Travail vocal : Isabelle Fontaine – Lumières : Nathalie Borlée – Régie générale : Benoît Ausloos – Construction décors : Vincent Rutten, Benoît Ausloos, Aurélie Deloche – Production : Catherine Ansay

Résumé

Une farce onirique déjantée avec marionnettes Des jumelles de quatre-vingt huit ans acariâtres et soi-disant toujours vierges luttent de façon grotesque pour sauver les apparences : qu’il s’agisse de leurs titres aristocratiques séculaires – en fait achetés récemment ; qu’il s’agisse de leur beauté et de leurs charmes – pour le moins décrépis ; qu’il s’agisse enfin de l’image respectable de la famille – à l’examen atrocement pourrie. Les commentaires réalistes et assassins de leur bonne, douze ans plus âgée qu’elles, égratignent leur carapace et dénoncent leur imposture. Les demi-sœurs de Cendrillon au Purgatoire. Dramaturge sud-américain, Alejandro Jodorowsky propose avec ses Trois vieilles de tanguer entre fiction et réalité au travers d’un langage proche du conte. Il crée un univers poétique, mythique et populaire dont il ressort un climat déjanté et grandguignolesque. En 2004, Jean-Michel d’Hoop met en scène L’Opéra Panique d’Alejandro Jodorowsky au Théâtre de la Place des Martyrs. L’auteur assiste au spectacle. Des liens se tissent et une envie commune de travailler ensemble naît. « Jodo » offre à la Compagnie Point Zéro la primeur de son Ecole des ventriloques, coproduite par l’Atelier en 2008, et renouvelle sa confiance avec les Trois vieilles cette saison. Un spectacle de la compagnie Point Zéro en coproduction avec l’Atelier Théâtre Jean Vilar et le Théâtre de la Balsamine et le soutien du Ministère de la Communauté française Wallonie-Bruxelles – Service du Théâtre

Une Soeur de trop

Distribution

Auteur : Sophie Landresse – Metteur en scène : Georges Lini – Interprétation : Sophie Landresse, Bernadette Mouzon, Jacqueline Nicolas, Jean-François Rossion – Scénographie : Renata Gorka – Lumières : Benoît Lavalard – Assistant à la mise en scène : Xavier Mailleux – Régie : Benoît Lavalard, Marc Paulus

Résumé

Une tragicomédie sur la fratrie et le bled wallon Quelque part dans le grand sud wallon… Rien n’a bougé depuis la mort de la mère : de la nappe en plastique qui colle sous la thermos à l’écoulement d’eau qui fuit jusque sous la moquette… Les deux soeurs sont au bord du naufrage. Entre médocs et feuilletons désastreux, Hélène tente d’oublier Luc, son gentil voisin. Sûre de son sex appeal, Sylvia, coeur d’artichaut à la dérive, rêve, elle, de la ville, la vraie, la grande. J’aime les pièces de famille. J’aime les secrets et les fantômes dans le placard. J’aime quand ce qui est dit n’est pas ce qui est. J’aime quand les personnages jouent à « même pas mal ». Quand ils débordent d’amour. Quand les silences sont ravageurs. Quand ça t’empoigne le cœur. Quand ils rient pour ne pas pleurer. Georges Lini Comédienne depuis 15 ans, Sophie Landresse a joué dans de nombreux classiques, avant de se mettre à écrire. Elle prête sa voix pour de nombreux films, séries et dessins animés. Une Sœur de trop, sa première pièce, a reçu le prix Georges Vaxelaire 2007 de l’Académie Royale. Premier Prix au Conservatoire de Bruxelles en juin 1999, Georges Lini est comédien, metteur en scène, fondateur et directeur du Zone Urbaine Théâtre à Bruxelles. Il a mis en scène notamment Incendies de Wajdi Mouawad et Ouest solitaire de Martin Mc Donagh. Une création-production des Riches Claires/Compagnie Belle de nuit

Volchok

Distribution

Par le : Cirque Trottola – Interprétation : Bonaventure Gacon, Mads Rosenbeck, Titoune – Musique : Thomas Barrière, Bastien Pelenc – Régisseur général : Nicolas Cautain – Constructeurs et techniciens : Cédric Bach, Jofroi Smets – Administration et diffusion : Thierry Mignot

Résumé

L’esprit enfantin d’un cirque pas comme les autres… Pas d’esbroufe, pas de code, pas de repère non plus. Les artistes du Cirque Trottola privilégient l’émotion au spectaculaire, la surprise à la prouesse. Bonaventure Gacon, puissant gaillard à la barbe fleurie ; Titoune, la minuscule trapéziste aux cheveux rouges mi-gavroche, mi-clown triste et leurs deux comparses vous proposent un cirque touchant à la beauté brute. Un univers de la retenue, de la maladresse feinte, du bric et du broc sublimé. Le déséquilibre, le dérisoire, la maladresse dégagent chez Trottola une magie douce qui fait sourire en serrant le coeur. Le Monde, janvier 2008 (…) Les trois acrobates se contentent de quelques ballots de chiffons pour nous faire rêver pendant un peu plus d’une heure. Des chiffons certes, mais taillés dans la soie. (…) même si la troupe cultive allégrement un comique de situation axé sur la maladresse et l’ingénuité, elle sait aussi vous couper le souffle sans se couper les ailes, offrant par exemple de sacrés numéros de voltige. Le Soir, mars 2008 Spectacle coproduit par Le Sirque – Pôle cirque de Nexon en Limousin, Le Cirque-Théâtre d’Elbeuf, Centre des Arts du Cirque de Haute Normandie, Le Centre Culturel Agora, scène conventionnée de Boulazac, Le Carré Magique, scène conventionnée de Lannion-Trégor. Avec le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, DMDTS En collaboration avec le Centre Culturel du Brabant wallon et le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve www.poleculturel.be Volchok est présenté dans le cadre du Temps des Bourgeons, festival multidisciplinaire proposant spectacles, musique, expositions, bande dessinée, cinéma, décor de rêve, bar et surprises ! Un rendez-vous pour tous centré cette année sur les arts du cirque au Parc à Mitrailles à Court-St-Etienne du 26 au 31 mars. Infos : www.ccbw.be – 010/616 606

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