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2012 - 2013

Cìncali !

Distribution

Auteur : Nicola Bonazzi, Mario Perrotta – Traduction : Hervé Guerrisi – Mise en scène : Mario Perrotta – Régie : Eric Degauquier – Avec : Hervé Guerrisi  

Résumé

Mineur à vie Cìncali, traduit, adapté et interprété par Hervé Guerrisi évoque la vie des mineurs italiens en Belgique dans l’après-guerre, à l’époque où la perspective d’un travail « bien rémunéré » pousse toute une génération au déracinement volontaire et à l’exode économique. Pinuccio, jeune facteur de 16 ans, est resté dans son village des Pouilles pour distribuer le courrier de ces hommes partis chercher fortune dans les mines du Nord. Celui par qui le récit prend vie nous rappelle que ces « cìncali » – déformation francophone du terme zingari (gitans) – dont la seule appellation témoigne du peu de considération que la population autochtone leur accorde, ont chacun leur histoire. Histoires d’orgueil, d’espérance, de rancœur, toutes différentes et toutes pareilles. Un livre ouvert sur un pan méconnu de notre passé. On découvre une politique d’accueil scandaleuse, des conditions sanitaires désastreuses, bref, l’enfer vécu par ces hommes déracinés. Assis sur une chaise, les yeux perçants et les mains volubiles, Hervé Guerrisi raconte avec sobriété et humanité un récit d’une poignante simplicité.

Danseurs de cordes

Distribution

Auteur : Le Quatuor – Un spectacle conçu par : Jean-Claude Camors, Alain Sachs – En collaboration avec : Pierre Ganem – En collaboration avec : Jean-Yves Lacombe, Laurent Vercambre – Metteur en scène : Alain Sachs – Au violon : Jean-Claude Camors, Laurent Vercambre – A l’alto : Pierre Ganem – Au violoncelle : Jean-Yves Lacombe

Résumé

Virtuoses de l’humour Trois Molières et une Victoire de la Musique en poche, en trente ans, les joyeux drilles du Quatuor ont conquis la France ! Acclamés par la critique, ils débarquent à Louvain-la-Neuve avec un tout nouveau spectacle 100% inédit. Reprenant les ingrédients qui ont fait leur succès – une cascade de gags subtils liés les uns aux autres où l’autodérision occupe une place importante – les quatre comparses s’en donnent à cœur joie et repoussent les limites de l’inventivité et de l’ingéniosité. En queues de pie, ils interprètent de grands airs classiques, des tubes du rock et de la variété et n’hésitent pas à moquer le sérieux des quatuors à cordes traditionnels. Mais Danseurs de cordes, bien nommé, fait aussi la part belle à la danse et au chant. Découvrez entre autres un hommage aux plus belles chansons d’amour, une inénarrable séance d’enregistrement en studio qui vire au cataclysme ou une veillée à quatre qui n’a rien à envier aux Marx Brothers.

Démocratie

Distribution

Auteur : Michael Frayn – Version française : Dominique Hollier – Mise en scène : Jean-Claude Idée – Dramaturgie : Armand Delcampe – Avec : Jean-Pierre Bouvier (Willy Brandt), Xavier Campion (Ulrich Bauhaus), Alain Eloy (Günter Guillaume ), Jean-François Guilliet (Herbert Wehner ), Frédéric Lepers (Horst Ehmke ), Serge Maillat (Helmut Schmidt ), Fred Nyssen (Reinhard Wilke ), Freddy Sicx (Günther Nollau), François Sikivie (Arno Kretschmann ), Alexandre von Sivers (Hans-Dietrich Genscher ) – Assistant mise en scène : Jean-François Viot – Régie générale /lumières/ son : Manu Maffei – Régie son : Quentin Huwaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décors : Christophe Beaugé, Marc Cocozza, Mathieu Regaert, Vincent Rutten – Peinture décors : Carine Aronson – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Faufilez-vous dans les coulisses du pouvoir… Démocratie nous plonge au cœur d’un des dix plus grands scandales d’espionnage de l’Histoire contemporaine. Ce mois de mai 1974, c’est la stupeur : le Chancelier Willy Brandt, l’homme de la réconciliation des deux Allemagnes, le Prix Nobel de la Paix, démissionne ! On vient de découvrir que son assistant personnel, son homme de confiance depuis son accession au pouvoir, Günter Guillaume, est un espion de la redoutée police de la RDA, la Stasi. Observateur privilégié, l’agent double décompose sous nos yeux les rouages de la machine politique. Le scandale est énorme. Manipulations, atteintes à la vie privée… et qu’en est-il dans nos démocraties actuelles ? Servie par une distribution franco-belge d’excellence, cette pièce aborde l’Histoire, analyse les enjeux du pouvoir et questionne les fondements de la démocratie. Un sujet peu abordé au théâtre, qui rend accessible la politique par le biais d’un texte intelligent. Un spectacle d’envergure qui sera présenté cette saison à Paris pendant six semaines (au Théâtre 14 Jean-Marie Serreau) puis à Bruxelles et en Wallonie.

Démocratie (en tournée)

Distribution

Auteur : Michael Frayn – Version française : Dominique Hollier – Mise en scène : Jean-Claude Idée – Avec : Jean-Pierre Bouvier (Willy Brandt), Xavier Campion (Ulrich Bauhaus), Alain Eloy (Günter Guillaume), Jean-François Guilliet (herbert Wehner), Frédéric Lepers (Horst Ehmke), Serge Maillat (Helmut Schmidt), Fred Nyssen (Reinhard Wilke), Freddy Sicx (Günter Nollau), François Sikivie (Arno Kretschmann), Alexandre von Sivers (Hans-Dietrich Genscher) – Assistant mise en scène : Jean-François Viot – Régie générale / lumières / vidéo : Manu Maffei – Régie son : Quentin Huwaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décors : Christophe Beaugé, Mathieu Regaert, Vincent Rutten – Peinture décors : Carine Aronson – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Faufilez-vous dans les coulisses du pouvoir… Démocratie nous plonge au cœur d’un des dix plus grands scandales d’espionnage de l’Histoire contemporaine. Ce mois de mai 1974, c’est la stupeur : le Chancelier Willy Brandt, l’homme de la réconciliation des deux Allemagnes, le Prix Nobel de la Paix, démissionne ! On vient de découvrir que son assistant personnel, son homme de confiance depuis son accession au pouvoir, Günter Guillaume, est un espion de la redoutée police de la RDA, la Stasi. Observateur privilégié, l’agent double décompose sous nos yeux les rouages de la machine politique. Le scandale est énorme. Manipulations, atteintes à la vie privée… et qu’en est-il dans nos démocraties actuelles ? Servie par une distribution franco-belge d’excellence, cette pièce aborde l’Histoire, analyse les enjeux du pouvoir et questionne les fondements de la démocratie. Un sujet peu abordé au théâtre, qui rend accessible la politique par le biais d’un texte intelligent. Un spectacle d’envergure qui sera présenté cette saison à Paris pendant six semaines (au Théâtre 14 Jean-Marie Serreau) puis à Bruxelles et en Wallonie.

Des Jours et des nuits à Chartres

Distribution

Auteur : Henning Mankell – Traduction : Terje Sinding – Mise en scène : Daniel Benoin – Avec : Pierre Blain, Paul Chariéras, Paulo Correia, Frédéric de Goldfiem, Catherine Marques, Juliette Roudet, Fanny Valette

Résumé

Amour sous l’Occupation Dans son atelier, au milieu de ses clichés noir et blanc, le célèbre photographe de guerre Robert Capa se remémore ce jour d’août 1944, quand Chartres fut libérée. Dans la rue, une femme tondue porte un bébé. Entourée d’une foule hostile, elle est conduite en prison. Capa a immortalisé ce moment. La photo a fait le tour du monde. Quel aurait pu être le destin de Simone, « fille à soldats » ? Et les témoins de cette humiliation, que sont-ils devenus ? A la suite d’une enquête de plusieurs années, l’auteur mêle la réalité et la fiction pour narrer l’amour interdit, l’inconscience de Simone et la cruauté aveugle. Parmi les gens figurant sur la photo, beaucoup souhaitaient l’exécution de Simone. Si elle y a échappé, c’est grâce à l’éthique des dirigeants chartrains de la Résistance, qui s’opposaient à tout lynchage. Simone ne fut pas exécutée. Mais elle fut condamnée. Elle mourut dans les années ‘60, détruite par l’alcool. Elle avait changé de nom, mais tout le monde connaissait son identité. Cette pièce raconte son histoire, tout en prenant beaucoup de libertés avec les faits. (…) Cependant, la pièce parle aussi de moi, et de tous ceux qui ont un jour regardé la photo de Robert Capa. En d’autres termes, la pièce reflète le monde terrible et l’époque dangereuse dans lesquels nous vivons. Henning Mankel

Des Jours trop longs

Distribution

Auteur : Catherine Meeùs, Eléonore Meeùs, Stéphanie Van Vyve – D’après le roman éponyme de : Marie Denis – Mise en scène : Cécile Van Snick – Avec : Eléonore Meeùs (Cécile), Stéphanie Van Vyve (Camille) – Lumières : Jacques Magrofuoco – Scénographie et costumes : Renata Gorka – Régie son/lumières : Manu Maffei – Construction décors : Marc Cocozza, Quentin Huwaert, Mathieu Regaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco  

Résumé

Désirs de femmes En 1961, Cécile a 32 ans et pense être enceinte. Cette mère de famille nombreuse dont les grossesses s’enchaînent avec plus ou moins de bonheur ne sait comment accueillir la nouvelle. Muselée par les convenances de l’époque, elle s’interroge sur sa condition de femme, de mère et d’épouse. Des sentiments contradictoires qu’elle nous livre avec pudeur et sensibilité. En 2011, Camille a 32 ans. Elle ne souhaite pas d’enfant. Après une histoire de 7 ans, elle est fraîchement séparée d’Alex et revient dans la maison vide de sa grand-mère Cécile. L’occasion pour elle de faire le point et de se remémorer avec tendresse son enfance. Voici que les voix des deux jeunes femmes se croisent et se font écho, à 50 ans de distance. Et même si les mentalités ont changé, Camille se confronte à une société dans laquelle la maternité reste une évidence.

En toute inquiétude

Distribution

Texte de : Jean-Luc Piraux – Mise en scène : Olivier Boudon – Avec : Jean-Luc Piraux – Conseiller en dramaturgie : Anne-Marie Loop, Marianne Hansé, Didier De Neck, Olivier Boudon – Costumes et accessoires : Natacha Belova – Régie, création lumières : Marc Defrise – Productrice et assistante : Brigitte Petit

Résumé

Chemins de vie L’histoire de Séraphin, c’est celle d’un quinqua qui voudrait bien, mais qui n’en peut plus. Cadre dans une grande entreprise, il vit sans se poser la moindre question sur son avenir ou sur celui du monde, jusqu’au jour où, sans l’avoir vu venir, il est licencié. Déchu du modèle patriarcal où le père est censé subvenir aux besoins matériels de sa famille, il est perdu. Largué au boulot, dépassé en famille, il est prêt à tout : apprendre l’anglais, la natation, le langage HTML, la rébellion. Pourtant quelque chose résiste. Et si c’était lui-même ? Seul en scène, Jean-Luc Piraux s’inspire du cheminement de son père perdu à l’adolescence, un père sans révolte face à un jeune en pleine révolte. Portrait touchant d’un homme discret, hésitant et malgré ses efforts toujours un peu en décalage avec le monde dans lequel il vit. Une pièce qui interroge avec un appétit drôle et cruel la science aléatoire des trajectoires de vie. Coup de coeur du Festival Royal de Théâtre de Spa cet été !

Hêtre

Distribution

Auteur : Céline Delbecq – Mise en scène : Céline Delbecq – Avec : Muriel Legrand, Charlotte Villalonga  

Résumé

Se confronter à son enfance Alors qu’elle remet les pieds pour la première fois depuis vingt ans dans l’atelier de menuiserie qui a bercé son enfance, Hêtre voit apparaître devant elle la petite fille qu’elle était. Entre l’Enfant aux rêves de strass et paillettes et la Femme responsable et submergée de travail, le temps s’est écoulé. Elle qui s’imaginait chanteuse de cabaret tient une librairie Gare du Midi. Hêtre est-elle passée à côté de quelque chose ? Comment devenir adulte sans rester figé par trop d’angoisses ? Faut-il abandonner son enfance sur le bord de la route ou l’apprivoiser ?

Himmelweg

Distribution

Auteur : Juan Mayorga – Mise en scène : Jasmina Douieb – Avec : Jean-Marc Delhausse, Michelangelo Marchese et Luc Van Grunderbeeck

Résumé

Sombre artifice Il y a ce que l’on voit, ce que l’on veut bien voir et ce que, saturé d’images, on ne voit plus… Non loin de Berlin, pendant la Seconde Guerre mondiale, un camp de civils. Ici, un vieil homme se promène, un couple prend l’air sur un banc, des enfants jouent à la toupie. Là, le sourire de bienvenue du maire de ce « charmant ghetto juif ». Et si tout ceci n’était qu’une mise en scène imaginée par les nazis, macabre artifice destiné au délégué de la Croix-Rouge ? Celui qui avait été envoyé pour voir n’a rien vu. Il a photographié la mise en scène des bourreaux, et s’est mué lui-même en complice de ce qu’il cherchait à dénoncer. S’inspirant du camp de concentration « modèle » de Theresienstadt, Mayorga écrit un texte fascinant, une parabole sur notre capacité à oublier les atrocités du monde pour pouvoir continuer à vivre paisiblement.

Jacques et son maître

Distribution

Auteur : Milan Kundera – Mise en scène : Nicolas Briançon – Avec : Nicolas Briançon, Yves Pignot, Sophie Artur, Philippe Beautier, Yves Bouquet, Gabriel Le Doze, Sophie Mercier, Alexandra Naoum, Patrick Palmero, Hermine Place – Assistant mise en scène : Pierre-Alain Leleu – Décor et costumes : Pierre-Yves Leprince – Assistante costumes : Christine Bernadet – Lumières : Gaëlle de Malglaive

Résumé

Hommage à Denis Diderot en trois actes Librement adaptée du roman Jacques le Fataliste et son maître de Diderot, la pièce de Kundera célèbre l’amitié philosophique virile, savant mélange d’esprit et de chaleur humaine. Pour interpréter ces deux copains comme cochons, Yves Pignot et Nicolas Briançon s’en donnent à coeur joie. Et le plaisir de jouer se mêle à celui de penser. Ce récit tout en digressions et en histoires dans l’histoire procure l’occasion idéale de ramener le théâtre à ses qualités les plus ludiques. Un claquement de doigt et le récit change de narrateur, de lieu, de personnage. Diderot, Kundera… L’intelligence et le plaisir. Le Bonheur à l’état pur. Bonheur d’un texte en état de grâce, qui nous enchante et nous rend plus heureux. Intelligence de deux pensées qui, à plusieurs siècles de distance, dialoguent, s’interrogent et s’amusent, dans une lisibilité absolue qui nous fait croire à la vie. Nicolas Briançon

Jean et Béatrice

Distribution

Auteur : Carole Fréchette – Mise en scène : Cathy Min Jung – Assistant mise en scène : Alexis Goslain – Scénographie et costumes : Renata Gorka – Création lumières : Thomas Vanneste – Régie : Mathieu Bastyns – Avec : Myriem Akheddiou (Béatrice), Nicolas Ossowski (Jean)

Résumé

Jeune femme cherche homme idéal « Jeune héritière recherche un homme qui pourra l’intéresser, l’émouvoir et la séduire. Récompense substantielle à la clé. » Béatrice placarde cette annonce sur tous les murs de la ville, avant de s’enfermer dans son appartement au 33eme étage d’une tour. Princesse des temps modernes, elle attend l’homme qui la délivrera de sa solitude. Jean, un chasseur de primes expérimenté, se soumet aux épreuves par appât du gain. Commence alors un jeu étrange, drôle et fascinant. En tentant de correspondre à l’homme idéal selon Béatrice, Jean s’égare et se dévoile, malgré lui. A force de trop vouloir mener la danse, Béatrice s’emmêle les pieds. L’appartement se transforme en piège et la rencontre devient un duel…

Kiss & Cry

Distribution

Auteur : Michèle Anne De Mey, Jaco Van Dormael – Idée originale : Michèle Anne De Mey, Jaco Van Dormael – Création collective : Michèle Anne De Mey, Gregory Grosjean, Thomas Gunzig, Julien Lambert, Sylvie Olivé, Nicolas Olivier, Jaco Van Dormael – Chorégraphie et danse : Michèle Anne De Mey – Chorégraphie et Nanodanses : Gregory Grosjean – Mise en scène : Jaco Van Dormael – Texte : Thomas Gunzig – Scénario : Thomas Gunzig, Jaco Van Dormael – Lumières : Nicolas Olivier – Image : Julien Lambert – Assistante caméra : Aurélie Leporcq – Décors : Sylvie Olivé – Assistante décors : Elisabeth Houtart – Assistant décors : Michel Vinck – Assistant mise en scène : Benoît Joveneau – Assistante mise en scène : Caroline Hacq – Sounddesign : Dominique Warnier – Son : Boris Cekevda – Manipulation et interprétation : Bruno Olivier – Manipulation et interprétation : Gabriella Iacono, Pierrot Garnier – Construction : Walter Gonzales, Elisabeth Houtart, Michel Vinck – Accessoires : Anne Masset, Vanina Bogaert, Sophie Ferro – Régisseur général : Nicolas Olivier – Techniciens machinerie et lumière : Gilles Brulard, Pierrot Garnier, Bruno Olivier – Metteur en scène : Jaco Van Dormael, Renaud Alcalde, Harry Cleven – Interprétation : Michèle Anne De Mey, Frauke Mariën, Gregory Grosjean, Denis Robert – Régie lumières : Bruno Olivier – Technicien lumières : Gilles Brulard – Caméraman : Jean Lambert, Aurélie Leporcq, Philippe Guilbert – Assistant caméra : Aurélie Leporcq, Juliette Van Dormael, Amandine Mahieu – Manipulation et interprétation : Philippe Fortaine, Gabriella Iacono, Flor Demestria – Son : Boris Cekevda – Coordinateur technique : Thomas Beni – Production et diffusion : Gladys Brookfield-Hampson  

Résumé

NanoDanses Performance théâtrale et filmique exécutée et mixée en direct, Kiss & Cry est un spectacle inédit et ambitieux, qui bouscule les frontières de toutes les disciplines artistiques. Ainsi, le spectateur assiste à la fois à un spectacle chorégraphique, à une véritable séance de cinéma et au making of du film. Les codes se croisent. Les doigts des danseurs traversent avec agilité des mondes ludiques ; le décor atypique fait de maisons de poupées et de personnages miniatures témoigne d’un travail d’une précision absolue ; la caméra révèle les plus minuscules incidents qui vont signer le caractère unique de chaque représentation. Une prouesse technique. Un voyage onirique qui ouvre l’imaginaire et développe un langage inédit, une nouvelle manière de raconter aux frontières des genres. La rencontre d’une grande chorégraphe, d’un auteur de talent et d’un maître du 7ème art.

L’Ennemi

Distribution

Mise en scène : Bernard Massuir – Avec : Thierry Boivin, Stéphane Groyne

Résumé

Dans un univers qui flirte avec la bande dessinée, L’Ennemi propose une réflexion décalée, absurde et parfois drôle sur la guerre.Amateurs d’images sanglantes s’abstenir… L’ennemi est bête : il croit que c ‘est nous l’ennemi alors que c’est lui! (Pierre Desproges)

La Forêt

Distribution

Auteur : Alexandre Ostrovski – Traduction et adaptation : Natacha Belova, Michèle Hubinon, Xavier Lukomski – Mise en scène : Xavier Lukomski – Avec : Olindo Bolzan (Vosmibratov), Paul Camus (Padveinev), Hélène Couvert (Axioucha), Brigitte Dedry (Oulita), Thibaut Delmotte (Piotr), Didier De Neck (Veinev), Jo Deseure (Gourmiskaia), Pierre Dherte (Milonov), Lazare Gousseau (Karp), Bernard Graczyk (Bodaev), Ilyas Mettioui (Boulanov) – Musiciennes : Bénédicte Chabot, Estelle Lannoy – Assistante mise en scène : Leila Putcuyps – Scénographie : Aurélie Deloche – Costumes : Lies Van Assche – Lumières : Xavier Lauwers – Son : Marc Doutrepont – Chargée de production et diffusion : Laetitia Noldé

Résumé

Comédie déraisonnable Prenez une forêt d’une dimension, disons, raisonnable. Prenez la propriétaire de cette forêt d’un âge, avouons-le, franchement raisonnable. Prenez cette propriétaire en manque d’argent à cause de ses penchants déraisonnables pour un jeune homme pourtant à l’âge de déraison. Prenez un vendeur de bois, spécialiste de l’entourloupe et grand connaisseur des penchants humains. Prenez une gouvernante que son désir pour les hommes gouverne. Prenez deux comédiens, Veinev le comique et Padeveinev le tragique, tous deux plus pauvres que Job. Prenez ces deux comédiens qui, pour passer l’hiver au chaud, se font passer pour ce qu’ils ne sont pas. Prenez une jeune fille pauvre dont certains savent très bien quoi faire et d’autres pas du tout. Prenez le fils du marchand de bois qui aime, à raison, la jeune fille pauvre… et entre coups fourrés, quiproquos, pièges et roublardise, assistez à la rencontre hautement comique et inflammable de la morale et du commerce, de l’art et de la vie concrète, du théâtre et du réel !

Le Cirque à 3 pattes

Distribution

Auteur : Martin Staes-Polet – Avec : Nathalie Delvaux, Zosia Ladormiska, Florence Laloy

Résumé

Sur scène, trois femmes, lointaines cousines de la femme-tronc, femme à barbe, femme-poisson, plus attachantes qu’effrayantes. Trois femmes font leur cirque, sans lion, sans trampoline, ni câble suspendu. Sans filet, elles prennent des risques ! Elles créent du merveilleux avec trois fois rien… et le cirque est là, avec toute sa palette d’émotions. Chaque spectateur, du plus petit au plus grand, peut entrer et se laisser porter par cet univers onirique et enchanteur. Un voyage ponctué de musiques et de chants.

Le Producteur de bonheur

Distribution

Auteur : Vladimir Minac – Adaptation : Paul Emond – Mise en scène : Nele Paxinou – Avec : Alexandre Dewez (Lapidus), Robert Guilmard (Oïbaba), Simon Hommé (Un ange et la Clé), Geneviève Knoops (Greta et Heddy la violette), Sophie Lajoie (Katarina), Diego Lopez Saez (L’artiste populaire et le lent aux pistolets), David Matarasso (Le haut fonctionnaire et Freddy), Aime Morales Zuvia (L’avatar d’Oïbaba), Jimena Saez (La veuve Pourdekova), la troupe (Des âmes, deux policiers, l’aubergiste…) – Création musiques : Line Adam – Musiciens : Wout De Ridder, Aurélie Goudaer, Greg Houben, la troupe – Conception et mise en espace des rêves : Marco Taillebuis – Scénographie : Lionel Lesire – Assistants décor : Xavier Decoux, Adrien Dotremont – Assisté de : Ananda Murinni – Costumes : Sylvie Van Loo – Assistantes costumes : Isabelle Deletaille, Nicole Mornard, Marie Nils – Gestuelle : Norman Taylor – Création éclairage : David Taillebuis – Régie : Ananda Murinni

Résumé

Festival d’embrouilles burlesques Nous sommes très heureux d’accueillir la nouvelle création des Baladins du Miroir. Bien connue dans notre région, la troupe de théâtre forain de Thorembais-les-Béguines plantera son magnifique chapiteau, entouré de ses roulottes colorées, à Louvain-la-Neuve pour démarrer la saison ! Frantichek Oïbaba, surnommé « le producteur de bonheur » est un arnaqueur au verbe haut et bien assuré, un séducteur prêt à toutes les embrouilles plus énormes et cocasses les unes que les autres. Dans la Slovaquie communiste du début des années ’60, l’énergumène cherche à s’enrichir par des moyens frauduleux, s’instituant porte-parole de la liberté et de l’individualisme. Une tache de couleur écarlate dans le monde uniformément gris de la société bureaucratique générée par le régime.

Le Songe d’une nuit d’été

Distribution

Auteur : William Shakespeare – Adaptation française : Nicolas Briançon, Pierre-Alain Leleu – Metteur en scène : Nicolas Briançon – Avec : Lorànt Deutsch (Puck), Carole Richert (Titania-Hippolyte), Jean-Paul Bordes (Obéron-Thésée), Urbain Cancelier (Bottom), Nicolas Biaud-Mauduit (Démétrius), Marie-Julie Baup (Héléna), Sarah Stern (Hermia), Thibaut Lacour (Lysandre), Jean-Loup Horwitz (Quince), Dominique Daguier (Flûte), Patrick Alexis (Snout), Léon Lesacq (Snug), Laurent Benoit (Egée), Eric Vincent (Philostrate), Marlène Wirth (Fée : Fleur des Pois), Carole Mongin (Fée : Toile d’Araignée), Armelle Gerbault (Fée : Papillon), Aurore Stauder (Fée : Graine de Moutarde), Jessy Ugolin (Fée), Ofélie Crispin (Fée) – Décor :  Bernard Fau – Lumières : Gaëlle de Malglaive – Costumes : Michel Dussarat – Musiques : François Peyrony – Chorégraphie : Karine Orts – Maquillages : Michelle Bernet

Résumé

Un Shakespeare très « seventies » C’est l’histoire de quatre amoureux qui veulent se marier. Ça, c’est la base. Car en fait, c’est bien plus compliqué. Lysandre veut épouser Hermia. Hermia veut épouser Lysandre… mais Egée, père d’Hermia, la destine à Démétrius, dont Héléna est amoureuse. Pour échapper à Egée, Lysandre et Hermia s’enfuient dans la forêt, poursuivis par Démétrius, lui-même poursuivi par Héléna. Pendant ce temps, dans la forêt, Oberon, roi des Elfes, ordonne à son fidèle Puck de verser une potion magique sur les paupières de sa maîtresse Titania, pour la punir de sa désobéissance. Mais Puck se trompe et vise les jeunes amants. A cela s’ajoute une bande de comédiens amateurs, venus répéter leur pièce dans la forêt. S’ensuit la confusion la plus totale… 20 comédiens et danseurs nous plongent dans un univers fait d’imaginaire, de fantaisie, de rêve… Un moment hors du temps pour le plus grand plaisir de tous. D’ores et déjà un immense succès à Paris !

Les Femmes savantes

Distribution

Auteur : Molière – Mise en scène : Armand Delcampe – Avec : Patrick Brüll, Morgane Choupay, Agathe Détrieux, Alain Eloy, Marie-Line Lefebvre, Julien Lemonnier, Pierre Poucet, Freddy Sicx, Julie Thiele, Cécile Van Snick, Jean-François Viot, Nathalie Willame

Résumé

Belle époque Henriette et Clitandre sont amants mais, pour se marier, ils doivent obtenir le soutien de la famille de la jeune fille. Son père et son oncle sont favorables à l’union, mais sa mère veut lui faire épouser Trissotin, un faux savant aux dents longues, plus intéressé par l’argent que par l’érudition. Armand Delcampe choisit de plonger dans l’univers « belle époque » des années ‘20. Gérald Watelet signe sa première création de décor et de costumes pour le théâtre. Un défi relevé de manière magistrale par ce grand monsieur qu’on connaît maître d’hôtel, chef, couturier, chroniqueur (Sans Chichis) et présentateur (C’est du belge). Une reprise attendue pour ces Femmes savantes créées en plein air au Festival d’Anjou à Angers et au Festival des Jeux du Théâtre à Sarlat en juillet 2011. Cette saison, la pièce part en tournée à Versailles, Marseille, Tours, Nice, Arlon, Verviers, Ciney, Ath, Woluwé-Saint-Pierre, Sens et Binche début 2013.

Les Femmes savantes (en tournée)

Distribution

Auteur : Molière – Mise en scène : Armand Delcampe – Avec : Patrick Brüll (Chrysale), Morgane Choupay (Armande), Agathe Détrieux (Henriette), Alain Eloy (Vadius), Marie-Line Lefebvre (Martine), Julien Lemonnier (Clitandre), Pierre Poucet (Trissotin), Freddy Sicx (Ariste), Julie Thiele (Julienne / L’Epine), Cécile Van Snick (Bélise), Jean-François Viot (Le notaire), Nathalie Willame (Philaminte)  

Résumé

Belle époque Henriette et Clitandre sont amants mais, pour se marier, ils doivent obtenir le soutien de la famille de la jeune fille. Son père et son oncle sont favorables à l’union, mais sa mère veut lui faire épouser Trissotin, un faux savant aux dents longues, plus intéressé par l’argent que par l’érudition. Armand Delcampe choisit de plonger dans l’univers « belle époque » des années ‘20. Gérald Watelet signe sa première création de décor et de costumes pour le théâtre. Un défi relevé de manière magistrale par ce grand monsieur qu’on connaît maître d’hôtel, chef, couturier, chroniqueur (Sans Chichis) et présentateur (C’est du belge). Une reprise attendue pour ces Femmes savantes créées en plein air au Festival d’Anjou à Angers et au Festival des Jeux du Théâtre à Sarlat en juillet 2011. Cette saison, la pièce part en tournée à Versailles, Marseille, Tours, Nice, Arlon, Verviers, Ciney, Ath, Woluwé-Saint-Pierre, Sens et Binche début 2013. Une distribution unie dans une mise en scène fluide et attentive. La Libre Belgique

Les Gens bien n’osent plus sortir le soir

Distribution

Auteur : Jean-Claude Grumberg – Mise en scène : Eric De Staercke – Avec : Caroline Lambert, Corentin Lobet, Dominique Rongvaux, Stéphanie Van Vyve, Barbara van Dievel – Régie : Benoît Cogels – Décor : Pierre Legrand, Pauline Picry – Musique : Sébastien Schmitz    

Résumé

Humour grinçant Vous saviez, vous, que les rouquins ont une odeur ? Et si votre patron vous demandait si vous êtes communiste ? Ou pédéraste ? Ça ! De nos jours, les gens bien n’osent plus sortir le soir. Avec ces gnoufs, juifs, bougnouls et autres bicots. Même en vacances. Faut se méfier. Les Gens bien n’osent plus sortir le soir regroupe des pièces coups de poing, drôles et féroces de Jean-Claude Grumberg, qui nous invitent à nous poser sérieusement la question de notre identité et de notre rapport à la différence. Et ne nous laissent pas y échapper… Cette saison, Jean-Claude Grumberg est à l’honneur à l’Atelier Théâtre Jean Vilar. Après Les Gens bien n’osent plus sortir le soir, l’auteur sera à nouveau à l’affiche avec la reprise attendue de Moi, je crois pas, succès de la saison dernière.

Moi, je crois pas

Distribution

Auteur : Jean-Claude Grumberg – Mise en scène : Vincent Dujardin – Avec : Eric De Staercke (Monsieur), Patricia Houyoux (Madame) – Lumières et son : Christophe Lecoq – Scénographie et costumes : Dimitri Shumelinsky – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy, Louis Eylenbosch – Régie son/lumières : Gary De Beys – Construction décors : Marc Cocozza, Christophe Beaugé, Mathieu Regaert, Quentin Huwaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

L’amour en charentaises Quelque part entre l’univers de Beckett et des séries télévisées des années ‘60, un couple se chamaille à qui mieux mieux. Madame veut croire à tout et Monsieur à rien. Jour après jour, bien installés dans leur salon, Monsieur et Madame s’affrontent en joutes verbales désopilantes. Ils s’insultent, plaident, menacent, argumentent, mêlant la mauvaise foi à l’ingénuité et l’absurdité au bon sens, chacun tentant d’imposer son dérisoire point de vue au regard de quelques évidences fondamentales. Dieu, Hitler, le yéti, l’évolution darwinienne, le lobby juif, rien n’échappe à leur misérable existence. Ainsi le temps, la vie même, passent et au bout du compte, Monsieur ne se souvient plus de ce à quoi il ne croyait pas et Madame a oublié ce à quoi elle croyait.

Moi, je crois pas (en tournée)

Distribution

Auteur : Jean-Claude Grumberg – Mise en scène : Vincent Dujardin – Avec : Eric De Staercke (Monsieur), Patricia Houyoux (Madame)

Résumé

L’amour en charentaises Quelque part entre l’univers de Beckett et des séries télévisées des années ‘60, un couple se chamaille à qui mieux mieux. Madame veut croire à tout et Monsieur à rien. Jour après jour, bien installés dans leur salon, Monsieur et Madame s’affrontent en joutes verbales désopilantes. Ils s’insultent, plaident, menacent, argumentent, mêlant la mauvaise foi à l’ingénuité et l’absurdité au bon sens, chacun tentant d’imposer son dérisoire point de vue au regard de quelques évidences fondamentales. Dieu, Hitler, le yéti, l’évolution darwinienne, le lobby juif, rien n’échappe à leur misérable existence. Ainsi le temps, la vie même, passent et au bout du compte, Monsieur ne se souvient plus de ce à quoi il ne croyait pas et Madame a oublié ce à quoi elle croyait. Jean-Claude Grumberg est auteur de théâtre, de littérature de jeunesse et scénariste. Dès 1980, l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve accueille deux mises en scène de ses textes : L’Atelier et En r’venant d’l’expo. Il a reçu de nombreux prix, dont le Molière du meilleur auteur dramatique pour Zone libre et pour L’Atelier et le César du scénariste pour Amen de Costa-Gavras. La bêtise est quand même très bien partagée. Jean-Claude Grumberg

Regarde

Distribution

Avec : Yvette Berger, Tania Malempré, Edith Marten – Mise en scène : Mira Vandenbosch

Résumé

« Je fais de ma vie une oeuvre d’art et j’entre dedans.. » La polyphonie prend son envol. Les sons glissent dans le mouvement et plongent dans la couleur. Sur une toile de coton géante, les voix et la peinture dansent ensemble. Regarde et ouvre grand les portes de l’imagination. Un mélange subtil et gourmand.

Sur la route de Montalcino

Distribution

Auteur : Jean-François Viot – Mise en scène : Olivier Leborgne – Avec : Grégoire Baldari, Michaël Manconi, Maud Pelgrims, François Sikivie, Alexandre von Sivers

Résumé

La douceur de la Toscane, la fragilité de la théorie En route pour une discussion contradictoire devant le Pape, le chanoine belge Georges Lemaître, concepteur de la théorie du Big Bang et son plus farouche opposant, l’Anglais Fred Hoyle accompagné de son épouse, tombent en panne. Perdus dans la campagne toscane, ils se retrouvent pour une nuit dans une auberge typique. S’ensuit une mémorable soirée de querelle métaphysique, arbitrée malgré lui par un aubergiste, Saint-Père de fortune. Basée sur des faits historiques, Sur la route de Montalcino s’en écarte avec une joie évidente pour explorer une rivalité intelligente et pleine d’humour. Traitant avec une légèreté déconcertante d’un problème aussi scientifique que le Big Bang, la pièce invite à une réflexion sur le sens de l’existence, dans la douceur de l’été toscan.

Sur la route de Montalcino (en tournée)

Distribution

Auteur : Jean-François Viot – Mise en scène : Olivier Leborgne – Avec : Grégoire Baldari, Michaël Manconi, Maud Pelgrims, François Sikivie, Alexandre von Sivers

Résumé

La douceur de la Toscane, la fragilité de la théorie En route pour une discussion contradictoire devant le Pape, le chanoine belge Georges Lemaître, concepteur de la théorie du Big Bang et son plus farouche opposant, l’Anglais Fred Hoyle accompagné de son épouse, tombent en panne. Perdus dans la campagne toscane, ils se retrouvent pour une nuit dans une auberge typique. S’ensuit une mémorable soirée de querelle métaphysique, arbitrée malgré lui par un aubergiste, Saint-Père de fortune. Basée sur des faits historiques, Sur la route de Montalcino s’en écarte avec une joie évidente pour explorer une rivalité intelligente et pleine d’humour. Traitant avec une légèreté déconcertante d’un problème aussi scientifique que le Big Bang, la pièce invite à une réflexion sur le sens de l’existence, dans la douceur de l’été toscan. En 1927, Monseigneur Georges Lemaître, cosmologiste belge et professeur à l’Université de Louvain, affirme que l’univers est en expansion et propose une évolution de l’univers à partir d’un « atome primitif ». Une vingtaine d’années plus tard, Fred Hoyle, cosmologiste britannique issu de l’Université de Cambridge, considère que cette théorie résiste au bon sens et met au point l’idée d’un univers globalement stationnaire. Hoyle, qui entendait ridiculiser la théorie de Lemaître en faisant un bon mot, rebaptisa celle-ci « Big Bang » en 1949, au cours d’une émission de la BBC.

Un Chapeau de paille d’Italie

Distribution

Auteur : Eugène Labiche – Mise en scène : Gilles Bouillon – Avec : Charlotte Barbier, Clément Bertani, Camille Blouet, Cécile Bouillot, Juliette Chaigneau, Frédéric Cherboeuf, Laure Coignard, Stéphane Comby, Xavier Guittet, Jean-Luc Guitton, Denis Léger-Milhau, Léon Napias, Julie Roux, Marc Siemiatycki, Mikaël Teyssié – Musicien : Alain Bruel

Résumé

Vaudeville endiablé Futur marié du jour, Fadinard voit sa monture mâcher le chapeau de paille d’une jeune femme. Hélas, le couvre-chef appartient à Anaïs, qui badine en secret avec son amant. Si elle ne retrouve pas sa coiffe, elle risque les foudres d’un mari jaloux… Et voilà Fadinard lancé dans une course effrénée au chapeau, toute la noce sur ses talons. Une poursuite avec rebondissements et quiproquos tous plus hilarants les uns que les autres ! Et pour conjuguer le plaisir du théâtre et la joie de la musique, Gilles Bouillon y intègre chansons, choeurs, chorégraphie… un véritable musical théâtral ! Célèbre pour ses vaudevilles, Labiche se distingue dès ses premières pièces par ses talents de caricaturiste. Un Chapeau de paille d’Italie est sa pièce la plus jouée. René Clair l’adapte pour le cinéma, de même que Maurice Cammage (avec Fernandel en Fadinard), tandis qu’Orson Welles la monte au Maxime Eliott Theater à Washington.

Un de la Canebière

Distribution

Auteur : Vincent Scotto – Opérette marseillaise de : René Sarvil, Henri Alibert – Mise en scène : Frédéric Muhl Valentin – Adaptation : Frédéric Muhl Valentin – Adaptation musicale : Pascal Versini, Stéphane « Bouba » Lopez – Conseiller artistique : Cristos Mitropoulos – Chorégraphie : Martine Hebette – Lumières : Jean-Marie Prouvèze – Costumes : Virginie Breger – Avec : Laure Dessertine (Margot), Benjamin Falletto (Garopouloff et le Pélican), Barthélémy Giulj (Bienaimé), Léo Guillaume (Girelle), Amala Landré (Francine), Cristos Mitropoulos (Toinet), Edwige Péllissier (Tante Clarisse), Sonia Pintor i Font (Malou), Marc Pistolesi (Pénible), Pascal Versini (Piano, chant), Patrick Gavard-Bondet (Guitare), Stéphane « Bouba » Lopez (Contrebasse)  

Résumé

Du soleil, de l’amour et des sardines Les Carboni, troupe de théâtre forain marseillaise, se lancent dans un pari à leur mesure – c’est-à-dire parfaitement irraisonnable et déjanté ! – en reprenant cette opérette d’anthologie façon Commedia dell’arte. 12 comédiens, chanteurs et musiciens se jettent à corps perdu dans un cabaret bondissant, visages poudrés, pommettes peinturlurées, bretelles claquantes et marcels blancs. En découle un spectacle insolent qui allie la tradition de l’opérette à une mise en scène audacieuse. Rien ne va plus dans le petit port de pêche du Vallon des Auffes. Pour séduire deux jolies filles, Toinet et Girelle s’inventent propriétaires d’une usine de sardines à l’huile. Aidés par Pénible, un camarade poète lui-même amoureux d’une tierce jeune fille, ces joyeux drilles vont devoir aller au bout de leur mensonge, en usant et abusant de la légendaire faconde marseillaise. Ils s’empêtrent dans leur imposture, finissent par tomber dans le piège tendu par les trois belles – qui ne sont pas en reste au niveau des faux-semblants – et signent un contrat de vente de 500 000 boîtes de sardines.

Un Tango en bord de mer

Distribution

Auteur : Philippe Besson – Mise en scène : Patrice Kerbrat – Avec : Jean-Pierre Bouvier, Fred Nyssen

Résumé

Nuit trouble Un bar d’hôtel en bord de mer, la nuit. Deux hommes esquissent les pas d’une danse compliquée, celle des retrouvailles. Ils se sont aimés à se faire mal, ils se sont perdus. Après des mois de distance, ils se retrouvent (par hasard ?) et interrogent leur amour. Cette première pièce de Philippe Besson, virtuose de l’écriture dialoguée, a été montée à l’Atelier Théâtre Jean Vilar en septembre 2010. Plébiscités par le public et la presse, Jean-Pierre Bouvier et Frédéric Nyssen sont très attendus pour cette reprise. Deux acteurs de talent, également à l’affiche de Démocratie cette saison.

V. Rimbaud

Distribution

Auteur : Françoise Lalande – Mise en scène : Jacques Herbet – Avec : Marie-Claire Clausse – Scénographie : Daniel Godard – Musique : Jean-Sébastien Bach – Régie : Pierre Ughi  

Résumé

A toi, mon fils Cette adaptation du roman de Françoise Lalande, Madame Rimbaud évoque la destinée du grand poète français à travers les yeux de sa mère, née Vitalie Cuif. Vitalie Cuif naît en 1825. Fille de fermiers, elle n’a que 5 ans lorsque sa mère meurt, lui laissant la responsabilité du ménage. Elle devient elle-même mère avant d’être femme. Délaissée par un mari militaire, attachée aux valeurs du passé, monarchiste, Vitalie élève ses quatre enfants avec intransigeance, rigueur et bigoterie. Ses rapports avec Arthur adolescent sont pour le moins houleux ; la suite les rapproche et les rend attachés et attentifs l’un à l’autre, malgré la souffrance engendrée par l’évolution de ce fils, poète, homosexuel et explorateur. Vitalie Cuif décède en 1907, 16 ans après avoir enterré son fils. Elle laisse une importante correspondance qui permet de découvrir avec un regard intime le parcours d’Arthur Rimbaud, du succès à la dérive.

Vieilles Chansons maléfiques

Distribution

Auteur : Jon Marans – Adaptation : Thomas Joussier – Mise en scène : Jean-Claude Idée – Avec : Jean-François Brion, Alexandre von Sivers

Résumé

Désaccords parfaits 1986. Depuis une année entière, Stephen Hoffman, jeune pianiste prodige américain, souffre d’un blocage artistique. Il débarque à Vienne pour prendre des cours avec le réputé professeur Schiller. A sa grande surprise, il découvre qu’avant de pouvoir rencontrer le « maître », celui-ci lui a prévu deux mois de cours de chant avec le professeur Mashkan. Stephen refuse au départ ce qu’il considère comme un affront à son talent : n’est-il pas pianiste virtuose? Les leçons démarrent donc mal… Sur fond de campagne électorale – le controversé Kurt Waldheim est sur la voie de la présidence autrichienne -, Stephen débute son étude avec les Dichterliebe de Schumann, un bouleversant cycle de chansons écrites sur des poèmes de Heinrich Heine. Choc des cultures, des générations, des méthodes de travail, auquel s’ajoutent les commentaires antisémites du professeur Mashkan, rien ne prédispose les deux hommes à s’entendre. Pourtant, note après note, l’oeuvre insuffle son lyrisme dans la vie de chacun d’eux et ils finiront par se rapprocher grâce à un passé commun.

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