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2016 - 2017

…Sodade…

Distribution

Auteur : Cirque Rouages – Sur une idée originale de : Aurélien Prost – De et avec : Sarah Babani (trapéziste sur câble), Anouk Germser (voix et composition), Mariona Moya (fildefériste et funambule), Jordi Montmany (trapéziste sur câble), Maël Oudin (contrebassiste et composition), Aurélien Prost (funambule) – Mise en scène : Julien Athonady – Regards extérieurs : Christian Lucas, Claude Krespin, Nina Enfedaque Morer – Costumes : Camille Lacombe – Voix off : Facundo Diab – Lumières : Rémi Athonady, Sarah Filmer Sankey, Mylène Pastre – Création sonore : Loïc Lamber – Construction décor : Clément Agate, Eric Sabre, Aurélien Prost – Régie générale et son : Clément Agate – Régie lumières : Rémi Athonady – Machiniste / cordiste : Emilien Agate – Stagiaire mise en scène : Rosa Aguilera – Stagiaire régie : Fausto Lorenzi – Illustration : Sarah Letouzey – Administration : Estelle Gobert – Diffusion : Zélia Clamagirand

Résumé

Chaque soir de tempête, un vieil homme, exilé de longue date, se rapproche du bord de mer. A la caresse du vent sur son visage, il retourne dans de lointains souvenirs. Un rêve éveillé d’une nostalgie heureuse, pour ne jamais oublier, et continuer de vivre coûte que coûte. Autour d’un câble infini, quatre corps en équilibre vont évoluer, comme les vagues d’un temps passé qui revient et repart sans cesse. « …Sodade… », c’est aussi deux musiciens pour jouer, chanter et conter une fable à grande hauteur, un hymne à la vie sur une structure circassienne unique. Le Cirque Rouages est un collectif d’une dizaine d’artistes qui défend un langage circassien, corporel et musical. Il entame sa neuvième saison et donne plus de 100 représentations par an à travers toute la France, mais également à l’international.

2043

Distribution

D’après le roman Blackout de : Sam Mills – Conception et adaptation : Collectif Mensuel – Mise en scène : Baptiste Isaia – Avec : Sandrine Bergot, Renaud Riga, Vincent Van Laethem – Création musicale et interprétation (live) : Quentin Halloy, Philippe Lecrenier

Résumé

Londres, 2043. Les sociétés occidentales ont évolué vers un régime ultra-sécuritaire. Pour maintenir l’ordre, le gouvernement exerce une censure musclée sur les œuvres artistiques et particulièrement sur la littérature. Classiques « réécrits », auteurs persécutés, librairies contrôlées, tous les moyens sont mis en place pour réprimer les tentatives d’émancipation individuelle. Dans cet environnement formaté, Stéfan, 16 ans, cherche sa place. Il ne doute pas du bien-fondé du système. Mais lorsque son père est emprisonné pour avoir conservé des éditions originales, l’adolescent prend peu à peu conscience de l’endoctrinement ambiant… Que sera devenu le monde dans 30 ans ? Baptiste Isaia propose une adaptation dépouillée et rythmique du roman « Blackout » de Sam Mills, sorti en 2010. Prix de la Ville de Huy pour la création sonore et musicale et Prix de la Ministre de l’enseignement secondaire aux Rencontres de Huy 2013.

Alive

Distribution

Auteur : Emmanuel Dekoninck, Gilles Masson et Benoît Verhaert – De et avec : Emmanuel Dekoninck, Gilles Masson et Benoît Verhaert – Regards extérieurs : Philippe Blasband – Scénographie : Renata Gorka – Musique : Gilles Masson – Lumières et son : Juan Borrego – Chorégraphie des combats : Emilie Guillaume – Avec l’aide de l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Dans les plaines mythiques de l’Arizona, Black, cow-boy désabusé, ne croit plus en la conquête de l’Ouest. Il part à la recherche du sens de sa vie. Assoiffé de liberté et d’absolu, il va vivre une aventure palpitante. Mais qui est Black ? Un vrai cow-boy ? Certes, c’est ce qu’il croit… mais en réalité Black est un personnage de fiction, le compagnon de jeu imaginaire d’un adolescent en plein décrochage scolaire et familial. Placé en internat, il s’est inventé un ami avec qui faire les quatre cents coups pour échapper au quotidien. Aujourd’hui, cet ado devenu adulte est sur scène face à nous. Aujourd’hui, Emmanuel Dekoninck décide qu’il est temps pour lui de se séparer de Black. Black est condamné. Il doit mourir. Un western détourné qui nous emmène dans un va-et-vient entre réel et imaginaire et bouscule avec jubilation les codes du théâtre. Sur scène, de la bagarre, des frissons et une musique créée et interprétée en live par Gilles Masson. Un pur moment de théâtre, drôle, généreux, intelligent et terriblement attachant offert par trois comédiens-musiciens complices.

Antigone

Distribution

Auteur : Sophocle  – Traduction du grec ancien : Florence Dupont (L’Arche Editeur) – Mise en scène et chorégraphie : José Besprosvany – Avec : Toussaint Colombani (Hémon / le Choeur), Charles Cornette (Tirésias / un Coryphée), Héloïse Jadoul (Antigone), Gauthier Jansen (le Garde / le Messager / le Choeur), Elisa Lozano Raya (Ismène / le Choeur), Isabelle Roelandt (Eurydice / un Coryphée / le Choeur), Georges Siatidis (Créon) – Danseurs : Marta Almeida, Joris Baltz, Gabriel Nieto, François Prodhomme, Brice Taupin, Lisard Tranis – Musique : Laurent Delforge – Conseil artistique : François Prodhomme – Décor : José Besprosvany, Sébastien Munck – Costumes : Bert Menzel – Lumières : Marco Forcella – Assistanat à la mise en scène et à la chorégraphie : Muriel Hérault, Yannick de Coster – Peinture du décor : Sébastien Munck, Fani Goethals – Construction du décor : Yahia Azzaydi, Patrick Cautaert, Lucas Vandermotten – Régie lumière : Mathieu Bastyns – Régie son : Clément Delporte – Régie plateau : Vincent Lamer – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise

Résumé

Son « Œdipe » avait marqué les esprits en 2013 au Théâtre Royal du Parc. Le chorégraphe et metteur en scène José Besprosvany poursuit son travail pluridisciplinaire autour des figures mythologiques. Pour « Antigone », il mêle les vers de Sophocle – portés par des acteurs –, la musique et la danse. Une approche résolument moderne, qui rend accessible cette œuvre universelle. Antigone et Créon, une rivalité vieille de plusieurs siècles et pourtant d’une brûlante actualité sous le regard de José Besprosvany. Ces deux personnages seraient-ils des visages de l’intégrisme religieux et politique qui remue nos sociétés ? Antigone est déterminée à aller jusqu’au bout pour honorer les lois divines tandis que Créon, souverain tyrannique, défend les règles de la Cité envers et contre tout. Deux figures opposées par leurs convictions mais semblables dans leur obstination.

Au fil de l’histoire de Jean Louvet / Tournée générale (en tournée)

Distribution

Auteur : Jean Louvet – Dramaturgie et mise en scène : Armand Delcampe – Avec : Armand Delcampe, Jean-Claude Derudder, Marie-Line Lefebvre, Jean-Marie Pétiniot, Evelyne Rambeaux, Freddy Sicx, Manu Maffei, Michel Mainil – Scénographie et éclairages : Jacques Magrofuoco – Musique : Michel Mainil – Assistante à la mise en scène : Tatiana del Marmol – Costumes : Emmanuelle Froidebise – Régie générale : Manu Maffei – Construction décor : Eric Degauquier, Jean-Philippe Hardy

Résumé

Sur les traces de Jean Louvet – fidèle compagnon de l’Atelier Théâtre Jean Vilar –, ce spectacle-hommage retrace son parcours, comme un reflet de notre patrimoine. Fils de mineur, professeur durant 35 ans à Morlanwelz, Louvet est l’auteur de trente pièces qui parlent de nos racines, de la Wallonie, en particulier de la vie en Hainaut, lanterne rouge de l’Europe après des siècles de prospérité… Ce fil de l’histoire de nos 50 dernières années est illustré d’extraits d’œuvres du poète qui ont accompagné notre vie ces dernières décennies. S’ensuit sa toute dernière pièce, touchante d’humanité. Tournée générale nous invite à la terrasse d’un café. Six personnages seuls y attendent un ami, un fils, un ancien élève. De cette longue attente pourraient bien naître de nouvelles rencontres salutaires… Jean Louvet interroge une fois de plus la place de l’individu dans la société : comment se nouent les liens dans un monde d’isolement ? A qui tendre la main ?

Au fil de l’histoire de Jean Louvet suivi de Tournée générale

Distribution

Auteur : Jean Louvet – Dramaturgie et mise en scène : Armand Delcampe – Avec : Armand Delcampe, Jean-Claude Derudder, Marie-Line Lefebvre, Jean-Marie Pétiniot, Evelyne Rambeaux, Freddy Sicx, Manu Maffei et Michel Mainil – Scénographie et éclairages : Jacques Magrofuoco – Musique : Michel Mainil – Assistante à la mise en scène : Tatiana del Marmol – Costumes : Emmanuelle Froidebise – Régie générale : Manu Maffei – Construction décor : Eric Degauquier et Jean-Philippe Hardy

Résumé

Sur les traces de Jean Louvet – fidèle compagnon de l’Atelier Théâtre Jean Vilar –, ce spectacle-hommage retrace son parcours, comme un reflet de notre patrimoine. Fils de mineur, professeur durant 35 ans à Morlanwelz, Louvet est l’auteur de trente pièces qui parlent de nos racines, de la Wallonie, en particulier de la vie en Hainaut, lanterne rouge de l’Europe après des siècles de prospérité… Ce fil de l’histoire de nos 50 dernières années est illustré d’extraits d’œuvres du poète qui ont accompagné notre vie ces dernières décennies. S’ensuit sa toute dernière pièce, touchante d’humanité. « Tournée générale » nous invite à la terrasse d’un café. Six personnages seuls y attendent un ami, un fils, un ancien élève. De cette longue attente pourraient bien naître de nouvelles rencontres salutaires… Jean Louvet interroge une fois de plus la place de l’individu dans la société : comment se nouent les liens dans un monde d’isolement ? A qui tendre la main ?

Battlefield

Distribution

D’après le Mahabharata et la pièce de Jean-Claude Carrière – Adaptation et mise en scène : Peter Brook et Marie-Hélène Estienne – Musique : Toshi Tsuchitori – Costumes : Oria Puppo – Lumières : Philippe Vialatte – Avec : Carole Karemera, Jared McNeill, Ery Nzaramba, Sean O’Callaghan – Musicien : Toshi Tsuchitori – Régie plateau : Thomas Becelewski – Régie lumières : Philippe Vialatte – Surtitrage : Peter Chase – Avec l’aide de l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Les liens qui unissent Peter Brook et l’Atelier Théâtre Jean Vilar sont puissants. Dès 1978, lors de la saison d’ouverture du Théâtre Jean Vilar, il présente pour la première fois un spectacle à Louvain-la-Neuve. On se souvient ensuite de « La Mort de Krishna » ou « Une Flûte enchantée » sur le plateau du Vilar. Aujourd’hui, nous avons la grande fierté de vous offrir la dernière réalisation de ce formidable créateur en exclusivité en Belgique cette saison, avec la complicité du Théâtre de Liège ! Créé à Paris en septembre 2015 avant une tournée internationale qui l’emmène au Japon, au Royaume-Uni, en Inde et aux Etats-Unis, « Battlefield » est la quintessence du travail de l’immense metteur en scène Peter Brook. Trente ans après sa version légendaire du « Mahabharata », il revient vers le poème sacré de l’Inde qui traite de questions essentielles, contemporaines et urgentes. La guerre que se livraient les cent frères Kauravas et leurs cinq cousins, les Pandavas, est finie. Des millions de cadavres couvrent le champ de bataille. Yudishtira a gagné le trône mais la victoire a le goût amer des défaites. Comment, ayant perdu les leurs, le nouveau Roi et le vieux Roi, son oncle, pourront-ils trouver la paix intérieure ?

Blockbuster

Distribution

Auteur : Nicolas Ancion et Collectif Mensuel – Conception et mise en scène : Collectif mensuel – Avec : Sandrine Bergot, Quentin Halloy, Baptiste Isaia, Philippe Lecrenier et Renaud Riga

Résumé

« Blockbuster » est un « mashup », autrement dit l’association en continu de plans de films différents à des fins parodiques. Voici donc un « grand détournement » sur plus de 1.400 extraits de films américains. Un spectacle phénomène, hors norme ! Bien présents sur la scène, les acteurs du Collectif Mensuel assurent tout à la fois le doublage des voix, les bruitages « faits maison » et la musique live. C’est une véritable performance où l’humour se conçoit comme un instrument de contestation. Car au final, dans cette fiction, le peuple décide de mener la riposte contre la classe dominante qui l’opprime…

Cercle miroir transformation

Distribution

Auteur : Annie Baker – Traduction : Patricia Morejón, Nick Millett – Mise en scène et scénographie : Nick Millett – Avec : Luc Brumagne (James), Nicolas Buysse (Schultz), Kim Leleux (Theresa), Cécile Van Snick (Marty), Camille Voglaire (Lauren) – Assistante à la mise en scène : Clara Normand – Lumières : Nathalie Borlée – Régie générale et lumière : Manu Maffei – Régie son : Eric Degauquier – Techniciens lumières : Mathieu Bastyns, Damien Zuidhoek – Construction décor : Vincent Lamer, Jean-Philippe Hardy – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Dans un petit village du Vermont, deux hommes et deux femmes participent à un atelier de théâtre. Sous la houlette de Marty, leur dynamique coach, Lauren l’adolescente rêveuse, Schultz l’ouvrier divorcé, Theresa la comédienne en plein questionnement et James le mari de Marty dévoilent peu à peu leurs aspirations profondes et leur fragilité. Au fil des semaines et d’exercices incongrus, chacun dépasse peu à peu ses complexes, sa peur du ridicule et ses blessures camouflées. Cet atelier va changer leur vie ! Entre rire et émotions, l’Américaine Annie Baker, déjà lauréate du Prix Pulitzer à 35 ans (« The Flick », 2014), signe une comédie drôle, tendre et cruelle à la fois. Un spectacle profondément humain. Créée à New York en 2009, puis à Londres en 2013 et à Avignon en 2015, cette pépite du théâtre contemporain est montée pour la première fois en Belgique !

Corbeaux de jour

Distribution

Auteur : Pedro Romero – Mise en scène : Alexis Goslain – Avec : Pedro Romero, Stéphanie Van Vyve – Lumières et direction technique : Jacques Magrofuoco – Décor et costumes : Charly Kleinermann, Thibaut De Coster – Régie son / lumières : Damien Zuidhoek – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décor : Jean-Philippe Hardy

Résumé

Après le succès de « Belles de nuit » à Louvain-la-Neuve et en tournée, Pedro Romero nous offre un nouveau texte empli d’humanité et d’humour, la suite de son premier opus. On y retrouve Muriel et Nacho, la femme de ménage et l’immigrant, mariés depuis quelque temps et trop happés par le quotidien pour entretenir la passion. Le couple est à la tête d’une entreprise de pompes funèbres. Dans ce métier où l’on côtoie la mort chaque jour, la rencontre avec ceux qui restent est primordiale. C’est ainsi qu’une séduisante veuve, Madame Bovari se livre à Nacho, tandis que le viril Kike Flores se confie à Muriel. Des rencontres qui ne laisseront personne indifférent… « Corbeaux de jour », c’est avant tout une pièce sur la vie avec ses hauts et ses bas, ses deuils et ses joies. Stéphanie Van Vyve et Pedro Romero interprètent chacun deux rôles, passant habilement d’une personnalité à l’autre sous la houlette du metteur en scène Alexis Goslain, qui les avait déjà dirigés dans le même type de performance pour « Belles de nuit ».

Jackson Bay

Distribution

Auteur : Stéphanie Blanchoud – Mise en scène : Stéphanie Blanchoud – Avec : Adrien Barazzone (Fish), Piera Bellato (Mendy), Philippe Jeusette (Norman), Véronique Olmi (Jeanne) – Chorégraphie : Diane Fourdrignier – Scénographie : Sabine Meier – Création musicale et Décor sonore : Jean-François Assy, Géraldine Capart – Création lumières : Michel Guibentif, Sabine Meier – Costumes : Diane Fourdrignier, Kristof Van Hoorde – Réalisation décor : Philippe Hekkers – Direction technique : Pierre Hendrickx – Administration : Christèle Fürbringer – Diffusion : Emmanuelle Greindl

Résumé

Nouvelle Zélande. Ile du Sud. Ils étaient partis pour se retrouver ou pour oublier. Norman. Jeanne. Fish. Et Mendy. Bloqués à cause d’une intempérie. Leur voyage va prendre une toute autre allure. Ils seront forcés de cohabiter. Dans la « Kitchen » d’un camping sur la route dite « du bout du monde ». Que reste-t-il quand la nature nous oblige au silence, à l’attente et à trouver sa place au milieu des autres ? Jackson Bay. Une histoire de vent. De vent qui souffle entre les mots, les doutes et entre les non-dits… – J’espère qu’on aura le temps d’aller voir les phoques. – On verra. – Je ne dois pas m’inquiéter ? – Non. – Je ne dois pas m’inquiéter, on va repartir ? – Mais oui. – Je m’inquiète. – Tu ne dois pas t’inquiéter. – Oui mais je m’inquiète quand même.

L’Homme du hasard

Distribution

Auteur : Yasmina Reza – Mise en scène : Bruno Emsens – Avec : Christian Crahay et Jo Deseure – Scénographie et marionnettes : Valentin Périlleux – Assistant marionnettes : Simon Vialle – Lumières : Gaëtan van den Berg – Création sonore : Sébastien Schmitz – Costumes : Mathieu Chevalier – Coiffure : Thierry Pommerell – Maquillage : Patricia Timmermans – Coach marionnettes : Noémie Vincart – Régie : Showup ! – Avec l’aide de l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Un homme. Une femme. Assis l’un en face de l’autre dans un train qui relie Paris à Francfort. Ils ne se parlent pas. Elle l’observe car elle l’a reconnu. Lui ressasse son prochain roman, la critique imbécile, les femmes qu’il a connues, sa fille qui va se marier. Elle est seule dans la vie, elle a aimé les livres de cet homme, à défaut d’avoir aimé tout court. Et s’il n’était pas trop tard ? Comment entrer en contact avec lui ? Que dire ? Que faire ? Les âmes se jaugent, puis iront bientôt à la rencontre l’une de l’autre, jusqu’à ce qu’enfin corps et âmes décident de se parler. Une conversation banale au début, mais qui va révéler le chemin parcouru : « On se fabrique soi-même, on forge la matière qu’on donne au hasard ». Et finalement jaillira l’étincelle.

L’Orkestre

Distribution

Auteur : Olivier Darimont, Pascale Vander Zypen – Mise en scène : Pascale Vander Zypen – Comédiens/musiciens : Philippe Allard (Koen), Olivier Darimont (Frank), Frédéric Frouch Dailly (Raymond), Pierre Poucet (Manu) – Costumes : Odile Dubucq – Création lumières : Thomas Vanneste – Conception du décor : Olivier Damien – Régie : Nicolas Verfaillie

Résumé

Ce soir, c’est le mariage de Pierrot et Miranda. Tout le monde est invité ! Pour l’ambiance, l’Orchestre de Pierre Lebrun (l’OPL) reprendra les plus grands hits de la chanson. Chorégraphies, lumières, costumes, tout est prévu pour un concert de folie. L’OPL, c’est Frank, Manu, Koen et Raymond. Quatre hommes, quatre artistes pétris de talent, de bonne volonté… et de problèmes personnels. Pendant ce mariage, ils vont devoir jouer plus longtemps que d’habitude, beaucoup plus longtemps (Manu s’est engagé à jouer jusqu’au départ des mariés…). A tel point qu’ils finiront par se retrouver dans un état de fatigue propice à la franchise, aux règlements de compte et autres confessions les plus intimes… On les suit à la fois dans la loge c’est-à-dire dans leur intimité, et sur scène, en live, quand ils animent le bal.

La Famille du collectionneur (en tournée)

Distribution

Auteur : Carlo Goldoni – Adaptation et mise en scène : Daniela Bisconti – Avec : Maroine Amimi (Gigi), Aurélia Bonta (Dorothée), Toni D’Antonio (Docteur Bassette), John Dobrynine (Monsieur Valmy), Emmanuel Guillaume (Sylvio), Manon Hanseeuw (Agatha), Frédéric Lepers (Charles-Edouard), Nicolas Ossowski (Monsieur Delbosco), Valéry Stasser (Emmanuel-Philibert), Cécile Van Snick (Isabella), Alexandre von Sivers (Anselme)  

Résumé

Un passionné d’antiquités dilapide la fortune familiale, indifférent aux intrigues et querelles qui animent sa maison. Une comédie mordante et rythmée du génial Goldoni resituée dans les années 50.

Le Malade imaginaire

Distribution

Auteur : Molière – Mise en scène : Patrice Mincke – Avec : Maroine Amimi (Thomas Diafoirus), Bénédicte Chabot (Béline), Didier Colfs (Monsieur Diafoirus), Damien De Dobbeleer (Cléante), Michel Kacenelenbogen (Argan), David Leclercq (Purgon), Lise Leclercq (l’Apothicaire), Jean-François Rossion (le Notaire Bonnefoi), Anne Sylvain (Toinette), Camille Voglaire (Angélique), Alexandre von Sivers (Béralde) – Assistanat à la mise en scène : Sandrine Bonjean – Scénographie : Patrick de Longrée – Costumes : Chandra Vellut – Décor sonore : Laurent Beumier – Régie générale : Robin Van Bakel – Stagiaire régie : Gaël Genette – Avec l’aide : des équipes techniques de l’Aula Magna et de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Le poumon ! Pas de doute, c’est le poumon ! Si on ose lui prétendre qu’il n’est pas malade, Argan se rebiffe et n’en démord pas : il veut être malade ! Il faudra tout le bon sens et l’humour de la servante Toinette pour calmer la folie qui semble s’être emparée du maître ; comme si les nombreux lavements que ses médecins lui infligent lui avaient siphonné le cerveau. Mais il s’agit d’en finir avec les charlatans, prescripteurs de potions magiques et autres clystères subtils qui aveuglent Argan, et de ramener ce grand malade à la raison. Quelle maladie que ces bobos imaginaires qui ne servent qu’à attirer l’attention, à rassurer, à cultiver le nombrilisme, la peur de vivre, la peur de vieillir, ou la peur de mourir ! Une belle comédie mise en scène par Patrice Mincke à l’Abbaye de Villers-la-Ville en été 2015. Michel Kacenelenbogen incarne le grand hypocondriaque, régressif et puéril, maniaque et tyrannique. Pour lui tenir tête, Anne Sylvain joue la Toinette rusée et énergique à qui on ne la fait pas. Molière, dans son ultime pièce, crée un chef-d’œuvre et réussit le tour de force de nous faire rire de nos névroses et de nos angoisses.

Le Roi nu

Distribution

Auteur : Evguéni Schwartz – Traduction : André Markowicz (Editions Les Solitaires Intempestifs) – Mise en scène : Guy Theunissen – Avec : Hugo Adam, Line Adam, Allan Bertin, Andreas Christou, Stéphanie Coppé, Joséphine De Surmont, Monique Gelders, Aurélie Goudaer, François Houart, Geneviève Knoops, Diego Lopez Saez, David Matarasso, Virginie Pierre – Assistantes à la mise en scène : Aurélie Trivillin et Tiphaine Van der Haegen – Texte des chansons : Guy Theunissen – Création musicale : Line Adam – Création lumières : Laurent Kaye – Scénographie : Michel Suppes – Construction des décors : Michel Suppes, assisté de Xavier Decoux, Adrien Dotremont, Ananda Murinni, Antoine Van Rolleghem – Chorégraphie : Sylvie Planche – Costumes : Françoise Van Thienen et Marie Nils – Maquillages : Djennifer Merdjan – Régie son : Luna Gillet et Antoine Van Rolleghem – Régie : Ananda Murinni – Régie plateau : Adrien Dotremont – Avec l’aide de l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Evguéni Schwartz, auteur russe inclassable à la plume ludique et joyeuse engagée contre le totalitarisme, s’inspire ici directement de trois célèbres contes d’Andersen pour écrire « Le Roi nu » : « La Princesse au petit pois », « Le Garçon porcher » et « Les Habits neufs de l’empereur ». Le théâtre forain et inventif des Baladins du Miroir s’empare de cette fable insolente à l’humour tonitruant pour nous offrir sous son chapiteau coloré un spectacle total, où se mêlent chants, danses, acrobaties et numéros clownesques dans un univers musical pop-rock et une atmosphère fantastique. Et – grand privilège – le public de Louvain-la-Neuve sera le tout premier à découvrir cette nouvelle création ! Laissez-vous conter l’histoire d’un pauvre porcher éperdument amoureux d’une princesse. Les deux amants se déclarent leur flamme, mais le père de la belle préfère unir sa fille au despote du royaume voisin. Le jeune garçon décide alors de déjouer son plan en échafaudant un incroyable stratagème… Une lutte désopilante contre une tyrannie absurde et arbitraire qui ne peut que réjouir les spectateurs en ces heures d’éveil des consciences citoyennes !

Le Voyage de Monsieur Perrichon

Distribution

Auteur : Eugène Labiche – Adaptation et chansons : Pierre Forrester – Mise en scène : Cécile Van Snick – Avec : Nicolas Janssens (Joseph / le Porteur de bagages / l’Aubergiste / Jean), Julia Le Faou (Henriette), Quentin Minon (Armand), Nicolas Ossowski (le Commandant), Bernard Sens (Majorin), Stéphane Stubbé (Monsieur Perrichon), Julien Vargas (Daniel), Laurence Warin (Madame Perrichon) – Décors et costumes : Ronald Beurms – Décor sonore : Laurent Beumier – Création lumières : Gaëtan van den Berg – Conseil vocal / chants : Stany Mannaert – Vidéo : Allan Beurms – Maquillages : Martine Lemaire – Assistante à la mise en scène : Arlette Spanoghe – Assistante stagiaire : Justine Hautenauve – Régie générale – lumière – vidéo : Manu Maffei – Régie son : Eric Degauquier – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy, Vincent Lamer – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décor : Ronald Beurms, Allan Beurms, Noé Francq, Bruno Wtoreck, Clara Le Jeune, Emilie Thonet – Réalisation costumes : France Lamboray, Anicia Echevarria – Direction technique : Jacques Magrofuoco  

Résumé

Après une tournée dans plusieurs villes belges et françaises, le succès de la saison dernière revient pour quelques dates sur les planches du Théâtre Jean Vilar. Embarquez avec la famille Perrichon dans cette savoureuse comédie. Monsieur Perrichon – carrossier très aisé – a tout de l’honnête bourgeois : la suffisance, l’ingénuité et une morale quelque peu soumise aux circonstances… Lorsqu’il part en voyage avec sa femme et sa fille Henriette, il n’imagine pas que les deux prétendants officiels de cette dernière donneront à ce séjour à la montagne une tournure rocambolesque. Qui de Daniel ou d’Armand saura s’attirer les faveurs de la jeune fille et surtout de son père ? De rebondissements en quiproquos, Labiche dresse un portrait drôle, cruel et étrangement contemporain de la vanité. Une comédie alerte et enlevée, en chansons : un chef-d’œuvre du genre ! A voir en famille dès 10 ans

Le Voyage de Monsieur Perrichon (en tournée)

Distribution

Auteur : Eugène Labiche – Mise en scène : Cécile Van Snick – Avec : Nicolas Janssens (Joseph / le Porteur de bagages / l’Aubergiste / Jean), Julia Le Faou (Henriette), Quentin Minon (Armand), Nicolas Ossowski (le Commandant), Bernard Sens (Majorin), Stéphane Stubbé (Monsieur Perrichon), Julien Vargas (Daniel), Laurence Warin (Madame Perrichon)

Résumé

Monsieur Perrichon – carrossier très aisé – a tout de l’honnête bourgeois : la suffisance, l’ingénuité et une morale quelque peu soumise aux circonstances… Lorsqu’il part en voyage avec sa femme et sa fille Henriette, il n’imagine pas que les deux prétendants officiels de cette dernière donneront à ce séjour à la montagne une tournure rocambolesque. Qui de Daniel ou d’Armand saura s’attirer les faveurs de la jeune fille et surtout de son père ? De rebondissements en quiproquos, Labiche dresse un portrait drôle, cruel et étrangement contemporain de la vanité. Une comédie alerte et enlevée, en chansons : un chef-d’œuvre du genre !

Les Contes d’Hoffmann

Distribution

Auteur : Jacques Offenbach – Adaptation et mise en scène : Henri de Vasselot – Direction musicale : Sophie Lacombe, Pierre Santus – Avec : Florence Alayrac (La Muse / Nicholas / La mère), Isabelle Debauve (Antonia / La Voyante / Stella), Henri de Vasselot (Hoffmann), Martin Jeudy (Luther / Spalanzani / Crespel / Shlémil – en alternance), Guillaume Zabé (Luther / Spalanzani / Crespel / Shlémil – en alternance), Clémence Olivier (Olympia / Giulietta / L’élève), Pierre Santus (Piano / Le Conteur), Jean-Marc Savigny (Lindorf / Coppélius / Miracle / Dapertutto) – Arrangements : Nicolas Bercet – Scénographie : Kaveh Kishipour – Lumières : Thomas Jacquemart – Chorégraphie : Mika Fau – Costumes : Géraldine Ingremeau – Masques : Alberto Nason – Claquettes : Victor Cuno – Perruques : Youenn Peoc’h – Avec l’aide de : l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar  

Résumé

Un excellent divertissement de fin d’année, joyeux, vif et coloré ! Masques, danses, humour malicieux et musicalité de haut vol sont au rendez-vous dans cette adaptation résolument accessible de l’opéra-comique d’Offenbach. Dans un univers fantastique, moderne et débridé, Hoffmann raconte comment il a brûlé de passion pour Olympia, la poupée mécanique, Antonia, la fragile cantatrice, et Giulietta, la volage courtisane. Trois femmes pour une quête de l’amour idéal… Et autour de ce triple récit, s’enchevêtrent de multiples contes, aboutissant à une véritable synthèse de l’œuvre d’Hoffmann. Prix du public du meilleur spectacle musical : Avignon Off 2014 A voir en famille dès 10 ans

Pixel

Distribution

Auteur : CCN de Créteil et du Val-de-Marne, Cie Käfig – dir. Mourad Merzouki – Direction artistique et chorégraphie : Mourad Merzouki – Concept : Mourad Merzouki, Adrien M. / Claire B. – Création numérique : Adrien Mondot, Claire Bardainne – Création musicale : Armand Amar – Assistante du chorégraphe : Marjorie Hannoteaux – Interprétation : Kader Belmoktar, Marc Brillant, Elodie Chan, Aurélien Chareyron, Yvener Guillaume, Amélie Jousseaume, Ludovic Lacroix, Ibrahima Mboup, Paul Thao, Sofiane Tiet, Médésséganvi Yetongnon dit « Swing » – Lumières : Yoann Tivoli – Assisté de : Nicolas Faucheux – Scénographie : Benjamin Lebreton – Costumes : Pascale Robin – Assistée de : Marie Grammatico – Peintures : Camille Courier de Mèré, Benjamin Lebreton  

Résumé

Le chorégraphe Mourad Merzouki développe depuis vingt ans un hip-hop inventif et ouvert qui se nourrit d’autres disciplines artistiques. De sa rencontre avec le duo de créateurs graphiques Adrien Mondot et Claire Bardainne est né « Pixel », un spectacle hypnotique, vertigineux, une véritable conversation entre art numérique et danse. Sur une musique d’Armand Amar, les danseurs virtuoses évoluent dans un espace fait d’illusions, jouent avec les points, glissent dans des décors irréels composés de milliers de pixels en mouvement. Le subtil équilibre entre danse et représentations virtuelles nous emmène dans un monde de poésie et de rêve. Créé en 2014, « Pixel » a déjà été représenté dans près de 100 villes et nous ne pouvions manquer l’occasion de vous proposer cette performance hors du commun. Un enchantement.

Pomme-Henriette

Distribution

Auteur : le Quatuor à cordes Alfama, Ariane Rousseau – Avec : Delphine Veggiotti, le Quatuor à cordes Alfama

Résumé

Une semaine de vacances chez sa mamy Pomme-Henriette, c’est l’occasion rêvée pour Gaspard de poser les questions essentielles sur les mystères du monde et de la nature, de la liberté et de l’amour. Le petit garçon n’était encore jamais venu chez sa grand-mère, et dès son arrivée, il entend de l’autre côté de la porte du grenier une musique que Pomme-Henriette ne semble pas percevoir. Il décide de découvrir lui-même ce qui se trame dans cette mystérieuse pièce. Commence alors une aventure rafraîchissante tout en musique et en danse. Entre mélodies et poésie, « Pomme-Henriette » nous entraîne dans son monde merveilleux, rythmé par des extraits de Mozart, Beethoven, Mendelssohn ou encore Debussy, interprétés par le quatuor à cordes Alfama. Une subtile manière d’initier le jeune public à la musique classique, mais aussi à la danse et aux ombres chinoises.

Proudhon modèle Courbet

Distribution

Auteur : Jean Pétrement – Mise en scène : Jean Pétrement – Avec : Yves Jeanbourquin (Georges), Alain Leclerc (Gustave Courbet), Elisa Oriol (Jenny), Jean Pétrement (Pierre-Joseph Proudhon) – Assistante à la mise en scène : Maria Vendola – Régie et création lumière : Luc Degassart – Décor et graphisme : Magali Jeanningros – Avec l’aide de : l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar  

Résumé

Une confrontation passionnante entre deux génies du XIXème siècle, qui a déjà conquis le public français lors d’une tournée de 400 représentations depuis 2009. 1855, Gustave Courbet travaille sur sa toile « L’Atelier du peintre ». Il reçoit son ami Pierre-Joseph Proudhon, libéré après trois ans de prison pour ses écrits anarchistes, et lui demande de rédiger un manifeste pour une future exposition. Entre l’artiste bon vivant et le penseur austère se construit une joute philosophique remarquable, puissante et jubilatoire. Autour d’eux, Jenny, maîtresse et modèle du peintre aux velléités féministes, et Georges, un homme du peuple. Souvent drôle, ce dialogue à quatre voix est fulgurant de rythme et d’intelligence.

Rhinocéros

Distribution

Auteur : Eugène Ionesco – Mise en scène et scénographie : Christine Delmotte-Weber – Avec : Isabelle De Beir (Daisy), Christophe Destexhe (Le Serveur / Dudard), Aurélie Frennet (L’Epicière / Madame Boeuf), Gauthier Jansen (Le Logicien / Botard), Julia Le Faou (La Ménagère / La femme de Monsieur Jean), Camille Pistone (L’Epicier / Le Pompier / Monsieur Jean), Pietro Pizzuti (Bérenger), Fabrice Rodriguez (Jean), Laurent Tisseyre (Le Vieux Monsieur / Monsieur Papillon) – Lumières : Nathalie Borlée – Collaboration à la scénographie : Noémie Vanheste – Assistanat à la mise en scène et vidéo : Fanny Donckels – Bande son : Fabian Finkels – Mouvements : Zoé Sevrin – Costumes : Camille Flahaux – Régie générale : Antoine Vilain – Régie plateau : Rémy Brans – Régie lumière : Nicolas Oubraham – Production et administration : Charlotte Dumont

Résumé

Depuis qu’un rhinocéros a déboulé au beau milieu de la ville un dimanche matin, la « rhinocérite » se propage ; les citoyens se transforment l’un après l’autre en pachydermes. Bérenger, qui résiste à l’épidémie, craint de se retrouver le dernier homme sur terre… Héritier du surréalisme, Eugène Ionesco dénonce par l’absurde les hystéries collectives et les travers dissimulés sous le couvert de la raison et des idées. « J’ai pensé avoir tout simplement à montrer l’inanité de ces terribles systèmes, ce à quoi ils mènent, comme ils enflamment les gens, les abrutissent, puis les réduisent en esclavage » disait l’auteur. « Rhinocéros » a l’esprit d’innovation, de provocation des premières pièces d’Ionesco. Une comédie qui mélange les genres et les tons, le comique et le tragique. Elle nous parle des tentations contemporaines pour les diverses formes de fanatisme. Pour rire en méditant !

Saint-Exupéry à New York

Distribution

Auteur : Jean-Claude Idée – Mise en scène et scénographie : Jean-Claude Idée – Avec : Frédéric Almaviva (Denis de Rougemont), Frédéric Lepers (Antoine de Saint-Exupéry), Stéphanie Van Vyve (Consuelo) – Assistant à la mise en scène : Simon Willame – Administratrice Utopies en marche : Nathalie Rimé – Régie son/lumière : Mathieu Bastyns – Régie plateau : Vincent Lamer – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décor : Jean-Philippe Hardy et Vincent Lamer – Peinture décor : Eric Degauquier – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

La petite histoire d’une grande naissance, celle d’un personnage fabuleux qu’on a (tous?) rencontré dans notre enfance : Le Petit Prince de Saint-Exupéry. Après s’être illustré lors de la Campagne de France en 1940, Antoine de Saint-Exupéry, une fois démobilisé, fuit le régime de Vichy et s’exile à Manhattan, planète à l’allure étrange… Inspiré par son mariage tumultueux et le souvenir des contes d’Andersen, il écrit la célèbre fable où un petit prince naïf s’éprend d’une rose à la beauté fragile et aux caprices sans pareil. L’œuvre est d’abord publiée aux Etats-Unis (en anglais) en 1943. Quelques mois plus tard, Saint-Exupéry repart en mission aérienne en Algérie. Son avion disparaît des radars, le ramenant vers son étoile, comme son personnage. Troublante similitude… L’édition française sort en 1946, juste après la Libération – il y a 70 ans ! L’auteur ne la verra donc jamais. Fort du succès de sa mise en scène des « Démineuses » de Milka Assaf la saison dernière, Jean-Claude Idée monte cette pièce inédite qu’il a lui-même écrite. Un texte richement documenté sur les coulisses du « Petit Prince », deuxième œuvre la plus traduite au monde après la Bible, et qui fête cette année ses 70 ans.

Stoel

Distribution

Auteur : Cie Nyash – Un spectacle de : Caroline Cornélis – Avec : Colin Jolet, Miko Shimura    

Résumé

Au rythme du violoncelle et de la voix, deux danseurs revisitent des objets familiers. Ils organisent, transforment, traversent les espaces, entre stabilité et déséquilibre. Une quinzaine de chaises, petites, grandes, en osier, en bois ou en métal deviennent une salle de classe, un lit, une farandole ou même une montagne ! Colin Jolet et Miko Shimura évoluent sur scène entre danse et équilibrisme de manière amusante et variée. Aérienne et ludique, la chorégraphie captive les tout-petits. Ils ne verront plus jamais une chaise de la même manière… Meilleur spectacle Jeune public (Prix de la critique 2015-2016)

Sweet & swing

Distribution

Auteur : Théâtre de la Guimbarde – Sur une idée originale de : Véronique Morel-Odjomah – Mise en scène : Gaëtane Reginster, Pierre Lambotte – Avec : Véronique Morel-Odjomah

Résumé

Personnage rempli d’humour, de poésie, de fantaisie, Mademoiselle Lily rentre chez elle les bras chargés. Méticuleuse, un brin rétro, elle berce son quotidien de chansons jazz tandis qu’autour d’elle, les objets prennent vie et lui jouent des tours. Entre des meubles qui bougent et des cadres qui se déplacent sur les murs, la jeune dame travaille ses vocalises et de fil en aiguille, elle fait ainsi découvrir le jazz classique aux jeunes enfants. Sans jamais parler, elle transmet son optimisme en souriant et en chantant dans une atmosphère simple et légère.

Tristesse animal noir

Distribution

Auteur : Anja Hilling – Traduction : Silvia Berutti-Ronelt en collaboration avec Jean-Claude Berutti – Mise en scène : Georges Lini – Avec : France Bastoen (Jennifer), Nargis Benamor (Miranda), Laurent Capelluto (Paul), Serge Demoulin (Martin), Itsik Elbaz (Oskar), Julien Lemonnier (Flynn) – Musicien : François Delvoye – Assistanat à la mise en scène : Nathalie Huysman – Dramaturgie : Florence Klein et Nathalie Huysman – Scénographie et costumes : Renata Gorka – Lumières : Alain Collet – Musique : François Delvoye – Vidéo et son : Sébastien Fernandez – Régie lumière et vidéo : Damien Zuidhoek – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Avec l’aide de l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Trois couples pique-niquent autour d’un feu, dans une forêt où ils vont passer la nuit. Miranda, Paul, Martin, Jennifer, Oskar et Flynn sont amis. Ils ont entre 30 et 45 ans, mènent une vie confortable de citadins branchés. Ils boivent et les langues se délient. Derrière les platitudes échangées émergent les inimitiés, les blessures mal refermées, les ambiguïtés. Soudain, un incendie éclate, dévastateur, et tout bascule. Pour les survivants, plus rien ne sera jamais comme avant. Après le succès d’ »Un Conte d’hiver » la saison dernière, le metteur en scène Georges Lini nous fait découvrir une œuvre saisissante, terriblement poétique. Le spectacle « Tristesse animal noir » était nommé aux Prix de la critique 2015-2016 dans la catégorie « meilleur comédien » pour l’interprétation d’Itsik Elbaz et a reçu le prix de la « meilleure scénographie ».

Un Tango en bord de mer (en tournée)

Distribution

Auteur : Philippe Besson – Mise en scène : Patrice Kerbrat – Avec : Jean-Pierre Bouvier, Fred Nyssen  

Résumé

Un bar d’hôtel en bord de mer, la nuit. Deux hommes esquissent les pas d’une danse compliquée, celle des retrouvailles. Ils se sont aimés à se faire mal, ils se sont perdus. Après des mois de distance, ils se retrouvent (par hasard ?) et interrogent leur amour.

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