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2018 - 2019

Bigre

Distribution

Un spectacle de : Pierre Guillois – Co-écrit avec : Agathe L’Huillier, Olivier Martin-Salvan – Avec : Pierre Guillois, Eléonore Auzou-Connes, Jonathan Pinto-Rocha – Assistant artistique : Robin Causse – Costumes : Axel Aust – Décor : Laura Léonard – Lumières : Marie-Hélène Pinon, David Carreira – Coiffures et maquillage : Catherine Saint-Sever – Son : Roland Auffret, Loïc Le Cadre – Effets spéciaux : Abdul Alafrez, Ludovic Perché, Judith Dubois, Guillaume Junot – Construction décor : atelier JIPANCO, l’équipe technique du Quartz – Scène nationale de Brest – Régie générale et lumières : David Carreira – Régie générale plateau : Ludovic Perché, Mouton François – Régie plateau : Marion Le Roy – Régie son : Clément Lopez

Résumé

A voir en famille ! Après une tournée triomphale dans toute la France, le Molière 2017 de la meilleure comédie pose ses bagages à Louvain-la-Neuve ! Véritable pépite du théâtre de l’absurde où cris, soupirs, rires et chansons remplacent la parole, « Bigre » offre une performance d’acteurs désopilante. Dans trois petites chambres accolées sous les toits de Paris vivent trois voisins : une femme aux allures bourgeoises et deux hommes, l’un un peu bohème et l’autre maniaque jusqu’au bout des ongles. Des personnages complètement loufoques, que tout semble opposer mais pourtant que tout rapproche… Seuls dans leur univers, pathétiques dans leurs efforts et, en même temps, si terriblement touchants qu’on ne peut que les aimer dans leurs maladresses et leurs mesquineries de grands enfants. « Bigre » c’est une succession infinie de gags inventifs, de rires et d’émotions. Le spectacle, par son humour et sa poésie, parle aussi avec justesse de la solitude dans les villes.

Callas, il était une voix

Distribution

Auteur : Jean-François Viot – Dramaturgie : Catherine L’Hoost et Patrick Brüll – Mise en scène : Patrick Brüll – Avec : Alain Eloy et Anna Renouprez – Lumières : Laurent Kaye – Son : Eric Degauquier – Coiffures et maquillages : Sara Oul

Résumé

En cet après-midi de 1977, François Grenier – journaliste pour la radio – est sur le point de partir en vacances. Mais une actualité brûlante va le retenir : Maria Callas est décédée. Chargé par sa direction de réaliser une émission spéciale pour le lendemain, François plonge dans la documentation. Jusqu’à ce qu’une mystérieuse figure féminine fasse son apparition… Sur le ton de la confidence, nos deux protagonistes incarnent les moments clés de la vie de la diva, révélant un parcours d’artiste et de femme jalonné de surprises. Créée en septembre 2017 au Théâtre Blocry, et couronnée de succès, la pièce revient pour quelques dates à Louvain-la-Neuve avant une tournée en Belgique.

Callas, il était une voix (en tournée)

Distribution

Auteur : Jean-François Viot – Dramaturgie : Catherine L’Hoost, Patrick Brüll – Mise en scène : Patrick Brüll – Avec : Alain Eloy, Anna Renouprez

Résumé

La musique. L’amour. Le destin. En cette belle fin d’après-midi de 1977, François Grenier – journaliste pour la radio – n’a qu’une idée en tête : empoigner sa valise pour fuir Paris et ses soucis professionnels, sauter dans le train et rejoindre sa famille en vacances. Mais une actualité brûlante va le retenir dans la capitale. En milieu de journée, Maria Callas est décédée, seule, dans son appartement. Chargé par sa direction de réaliser une émission spéciale pour le lendemain, François plonge dans la documentation. Jusqu’à ce que – par réelle magie ou grâce à sa puissante imagination – une figure féminine mystérieuse fasse son apparition. Sur le ton de la confidence, les moments clés de la vie de la diva sont incarnés par nos héros, révélant un parcours d’artiste et de femme jalonné de surprises. Car la pièce n’est pas d’abord un récit de vie, mais la rencontre entre deux êtres humains qui opère sur chacun une transformation inattendue…

Ce qui arrive

Distribution

De : Coline Struyf – Inspiré de la bande dessinée « Ici » de Richard McGuire – Mise en scène : Coline Struyf – Avec : Nicolas Buysse (Dean), Pierre Gervais (Matthew), Vincent Hennebicq (Dereck), Marie Lecomte (Jackie), Emilie Maquest (Jo) – Assistanat à la mise en scène : Alice De Cat – Scénographie et vidéo : Arié van Egmond – Lumières : Amélie Géhin – Chorégraphie : Anne-Laure Lamarque – Dramaturgie : Manolo Sellati aidé de Nelly Latour – Costumes : Claire Farah assistée de Marine Vanhaesendonck – Son : Laurent Gueuning et Marc Doutrepont – Régie générale : Nicolas Oubraham – Régie son : Guillaume Le Boisselier – Régie lumières : Dimitri Wauters – Régie vidéo : Gwenaël Laroche – Régie costumes : Camille de Sancy – Aide technique : Nicolas Sanchez – Conseil artistique : Selma Alaoui et Emilie Maquest – Administration et production : Aline Defour – Diffusion : Cécile Jeanson et Bureau Formart

Résumé

« Ce qui arrive est toujours magie, maléfice ou charme. » Une fratrie est réunie dans la maison d’enfance à la mort du père. Le futur se mêle au passé, les diverses étapes de la vie resurgissent, un parallèle vertigineux apparaît entre les différents espaces-temps qui nous rassemblent : celui de notre existence et celui, infini, du cosmos. Coline Struyf – s’inspirant de la bande dessinée à succès « Ici » de Richard McGuire – nous propose une expérience sensorielle inédite, puissante et presque magique du temps qui passe. « Ici » raconte l’histoire d’un lieu vu d’un même angle. Et celle des êtres qui l’ont habité à travers les siècles. Dans cet espace délimité, les existences se croisent, s’entrechoquent et se font étrangement écho, avant d’être précipitées dans l’oubli. « Ici » a reçu le Prix du meilleur album au Festival international de la bande dessinée d’Angoulême 2016 et le Prix LIRE 2015 de la meilleure bande dessinée.

Chacun son rythme, guide d’utilisation de l’AEJDG à l’usage des plus jeunes

Distribution

Auteur : Alexandre Drouet – Mise en scène : Alexandre Drouet – Avec : Sandrine Desmet et Nathan Fourquet-Dubart

Résumé

Pour ados dès 12 ans Depuis quelques années, la compagnie théâtrale Projet Cryotopsie a pour volonté de parler du monde d’aujourd’hui. En février 2016, vous avez découvert « Dans le ventre » au Théâtre Jean Vilar. Aujourd’hui, Alexandre Drouet s’attaque à un sujet à la fois délicat et incontournable : les ados et la sexualité. Tout en finesse et avec une belle dose d’humour, le spectacle aborde les notions de liberté et de respect. Face à nous, Gustave et Véronique. Ils sont venus remplir leur rôle de formateur avec professionnalisme et sérieux et abordent « le » sujet à travers une métaphore de la sexualité à la fois terriblement parlante et délicieusement pudique. Par exemple, ils répondent à la question « mes propulseurs dopaminergiques ne sont-ils pas trop petits ? ». Prix de la Ministre de l’Enseignement secondaire et Coup de cœur de la Presse lors des Rencontres Jeune public de Huy 2017.

Clara Haskil, prélude et fugue

Distribution

Auteur : Serge Kribus – Mise en scène : Serge Kribus – Avec : Anaïs Marty – Lumières et direction technique : Jacques Magrofuoco – Scénographie : Jacques Magrofuoco, Serge Kribus – Rideau de scène, affiche, illustration : Max Lapiower – Costumes et accessoires : Fabienne Damiean – Son : Eric Degauquier – Régie : Damien Zuidhoek – Entraînement vocal : Cécilia Kankonda

Résumé

Le succès de la saison dernière ! Dès son plus jeune âge, Clara Haskil révèle des dons musicaux exceptionnels et connaît, aussitôt, de terribles et incessantes épreuves. Bruxelles, 1960. Clara chute dans les escaliers de la gare du midi. La pianiste relève la tête. La gare a disparu. Soudain, elle voit danser les flammes d’un incendie. La maison d’enfance à Bucarest flambe sous ses yeux. Les images apparaissent, le dessin des visages, les voix, les sons, la musique, et la vie défile comme une sonate. Voici l’histoire d’une femme modeste au talent exceptionnel. Une vie avec pour seuls bagages la musique, la sincérité et les amis. Visitez le site de [Serge Kribus->https://www.sergekribus.com/]

Clara Haskil, prélude et fugue (en tournée)

Distribution

Auteur : Serge Kribus – Mise en scène : Serge Kribus – Avec : Anaïs Marty  

Résumé

Dès son plus jeune âge, Clara Haskil révèle des dons musicaux exceptionnels et connaît, aussitôt, de terribles et incessantes épreuves. Bruxelles, 1960. Clara chute dans les escaliers de la gare du midi. La pianiste relève la tête. La gare a disparu. Soudain, elle voit danser les flammes d’un incendie. La maison d’enfance à Bucarest flambe sous ses yeux. Les images apparaissent, le dessin des visages, les voix, les sons, la musique, et la vie défile comme une sonate. Voici l’histoire d’une femme modeste au talent exceptionnel. Une vie avec pour seuls bagages la musique, la sincérité et les amis.

Encore une histoire d’amour

Distribution

Auteur : Thomas Gunzig – Mise en scène : David Strosberg – Avec : Anne-Pascale Clairembourg et Alexandre Trocki – Scénographie : Marie Szersnovicz – Lumières : Harry Cole

Résumé

Vous connaissez déjà Thomas Gunzig, son humour piquant et sa plume acérée. Auteur de romans, nouvelles, ouvrages pour la jeunesse, scénarios – pour Jaco Van Dormael notamment -, il est l’un des écrivains francophones les plus lus et les plus polyvalents de Belgique. Trois fois par semaine, il signe la chronique « Café serré » sur la Première. Il sonde ici avec finesse la complexité des rapports amoureux et nous entraîne dans l’intimité d’une chambre à coucher. Un homme et une jeune femme viennent de faire l’amour. Ils sont serrés l’un contre l’autre. Manifestement, ils sont amoureux. Mais dans une heure, l’homme va partir. Il doit rentrer chez lui, retrouver sa femme. Durant cette heure qui s’écoule, ils vont parler d’amour, de désir, de sexe, de fidélité et d’infidélité, des normes sociales et de la puissance des sentiments. C’est une histoire sans salauds, sans méchantes, où tous les personnages sont des gens bien. C’est une histoire triste parce qu’on sait qu’elle est impossible. C’est une histoire gaie parce que c’est gai quand les gens s’aiment. En un mot, c’est encore une histoire d’amour. Thomas Gunzig

Hamlet

Distribution

D’après : William Shakespeare – Adaptation et mise en scène : Emmanuel Dekoninck – Avec : Thomas Mustin (Hamlet), Bénédicte Chabot (Gertrude, la Reine, mère d’Hamlet), Alain Eloy (Le spectre, père d’Hamlet), Fred Malempré (Le batteur), Gilles Masson (L’acteur jouant Gertrude), Fred Nyssen (Claudius, oncle d’Hamlet et mari de Gertrude), Taïla Onraedt (Ophélie), Gaël Soudron (Polonius et Laerte), Jérémie Zagba (Horatio, ami d’Hamlet) – Lumières : Xavier Lauwers – Chorégraphie : Bérengère Bodin – Direction musicale : Sam Gerstmans – Costumes : Catherine Somers – Scénographie : Olivia Sprumont – Chorégraphie des combats : Emilie Guillaume – Coaching mouvements : Isabelle Beirens – Coaching voix : Pierre Bodson – Maquillage : Véronique Lacroix – Assistanat à la mise en scène : Alexandre Drouet – Régie générale / régie son : Eric Degauquier – Régie lumières : Damien Zuidhoek – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Stagiaire régie lumières : Milène De Rua – Machinistes : Jean-Philippe Hardy, Vincent Lamer – Technicien lumières : Mathieu Bastyns – Construction décor : L’Entrepool (Vincent Rutten) – Peinture décor : Olivia Sprumont – Direction technique : Jacques Magrofuoco  

Résumé

Hamlet, jeune prince de Danemark, beau, riche, amoureux, idéaliste, mène brillamment ses études à Wittenberg en Allemagne quand, un matin, il est rappelé d’urgence à Elseneur. Le roi, son père, son mentor, son modèle, est mort brutalement. À la suite de ce décès, le monde révèle son visage le plus obscur, et les idéaux du jeune prince s’effondrent. Que faire ? Subir ? Agir ? Détruire ? Disparaître ? Vivre ? Ou mourir ? Une plongée onirique dans l’âme tourmentée d’un jeune homme de 20 ans seul face à un monde hostile. Un spectacle théâtral, chorégraphique et musical décoiffant. Une histoire passionnante où la réalité et les rêves s’emmêlent et où la vie lance ses dernières forces. Dates de tournée Ce spectacle est présenté cette saison : – du 12 au 27/03 au Théâtre Jean Vilar – les 28 et 29/03 au Wolubilis – le 1/04 au Centre culturel de Nivelles – le 5/04 à la Maison de la Culture Famenne-Ardenne

Je suis un poids plume

Distribution

Auteur : Stéphanie Blanchoud – Mise en scène : Daphné D’Heur – Avec : Stéphanie Blanchoud – Et la participation de : Ben Messaoud Hassen – Scénographie : Maud Grommen – Lumières : Benoît Théron – Création musicale : Pierre Slinckx – Direction technique : Pierre Hendrickx – Coach : Ben Messaoud Hassen

Résumé

C’est l’histoire d’une rupture.Une jeune femme, au lendemain d’une séparation. Sa chute et le moment fragile où elle décide de se relever. Ce jour-là, à l’arrière d’un petit immeuble au fond d’une cour, elle a franchi la porte d’une salle de boxe. Poussée par une nécessité alors indicible. Elle a chaussé ses gants et laissé faire le geste. Elle a frappé pour sentir la vibration de la vie jusqu’au bout de ses doigts. Elle a appris à parer et à recevoir les coups, a appris à les rendre. Elle a écouté et reconnu son instinct. Elle a rencontré et repoussé ses limites. Quand le corps est en mouvement, les pensées deviennent précises comme des frappes, moins chaotiques, elles font mouche. Les mots prennent un sens nouveau. Dans cette danse du boxeur, tout se concentre, devient plus tranquille. Et au bout du souffle et des forces, on écoute les dictées du cœur. Alors, le temps d’un entraînement, sur le plateau ring, baisser la garde et retrouver la vie. Un récit bref et intense, impressionnant de précision. Stéphanie Blanchoud est chanteuse, actrice – elle est Chloé Muller dans la série belge « Ennemi Public » – et auteur. Après « Jackson Bay », joué au Théâtre Jean Vilar en février 2017, elle est de retour sur les planches de Louvain-la-Neuve pour un spectacle « autofictif », entre autobiographie et fiction.

Jean Jean ou on a pas tous la chance d’être cool

Distribution

Auteur : Axel Cornil – Mise en scène : Valentin Demarcin – Avec : Benoît Janssens, Brice Mariaule, Marie-Charlotte Siokos

Résumé

Personne ne fait attention à Jean Jean. A croire qu’il est invisible… Dans sa vie, il ne se passe rien. Contrairement à Claire, « lafillelapluschiantedelécole », et Arthur, « lemeclepluscooldelécole », qui ont évidemment une existence formidable. Mais pour Jean Jean, le calme plat c’est fini, il est prêt à tout pour que ça change ! De là fusent les idées les plus saugrenues, de la plus sombre à la plus lumineuse… Entourés par le public, les acteurs interprètent cette volonté d’exister à tout prix, à travers le regard des autres. Sur scène, l’humour se mêle à la cruauté, le tout rythmé par des chansons, du rap, du slam… dans un langage directement adressé aux adolescents.

Josette

Distribution

Auteur : Compagnie Arts et couleurs – Ecriture : Martine Godard, Vincent Raoult – Mise en scène : Vincent Raoult – Avec : Martine Godard – Dramaturgie : Louis-Dominique Lavigne

Résumé

Josette, c’est la grande godiche sur la photo de classe, celle qui regarde tout le temps par la fenêtre, la grande qu’on voit passer dans le village. La fille qui ne répond pas. Sa maman dit : « Autant parler à une chaise ! ». La maîtresse crie : « On ne peut plus rien faire avec elle à part la mettre à la poubelle ! » Les enfants rient : « Josette-la-grenouille ! Josette la grosse nouille ! » Et tous lèvent les yeux au ciel. Josette est perdue dans les nuages, cachée dans ses dessins, enfouie sous un fouillis de mots jolis. Qu’elle cueille, recueille, arrange, accole comme pour ne pas les égarer. Y a de la joie dans son cœur. Y a de la musique dans sa tête. Quand elle lève les yeux au ciel. Josette ! Pourquoi tu n’es pas là ? Pourquoi tu ne comprends rien ? Pourquoi tu n’entends pas ? « Josette », c’est l’histoire d’une petite fille, un peu différente, née en 1940, à Muno, un petit village gaumais au sud de la Belgique. Muno est libéré par les Américains en 1945. Oui, mais Josette, pour être libérée, sur qui peut-elle compter ? Martine Godard, magicienne du théâtre d’objets nous raconte cette histoire vraie, entre solitude et résilience. Coup de Cœur de la Presse aux Rencontres Jeune public de Huy 2017 et Prix de la Ville de Huy pour l’interprétation.

Korczak, la tête haute

Distribution

Auteur : Jean-Claude Idée – Mise en scène, scénographie et lumières : Jean-Claude Idée – Avec : Stéphanie Moriau, Cécile Van Snick, Alexandre von Sivers – Assistante stagiaire à la mise en scène : Estelle Lavency – Régie générale, lumières, son, vidéo : Manu Maffei – Construction décor : Vincent Lamer, Jean-Philippe Hardy – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Vie et mort exemplaires du célèbre pédiatre et pédagogue polonais. Varsovie, pendant la Seconde Guerre mondiale. Alors que les Allemands lui offrent la possibilité de s’expatrier, Janusz Korczak choisit de rester directeur de son orphelinat dans le ghetto. Il mourra déporté à Treblinka, où il accompagnera jusqu’au bout ses petits protégés. Sur le quai de la gare, à un officier allemand qui tentait encore de l’écarter, Korczak répondra : « Moi sans les enfants ? J’aurais trop peur de vous ressembler ». Nous sommes à quelques jours de la déportation. Korczak, aux côtés de sa fidèle Stefa et de la jeune et rebelle Esther, doit trouver le moyen de préparer les enfants à ce qui les attend. C’est aussi pour l’inventeur des Droits de l’Enfant le moment de faire le point sur sa vie, lui qui s’est passionné pour les enfants, leur a consacré de nombreux ouvrages et a inventé une pédagogie nouvelle dont l’épicentre est l’autogestion de l’école par les élèves.

L’Ecume des jours

Distribution

Auteur : Boris Vian – Adaptation : Paul Edmond – Mise en scène : Sandrine Molaro et Gilles-Vincent Kapps – Avec : Maxime Boutéraon, Florence Fauquet et Antoine Paulin – Composition musicale : Gilles-Vincent Kapps – Lumières : Laurent Béal – Scénographie : Erwan Creff – Costumes : Julie Allègre

Résumé

« L’Ecume des jours » : universelle histoire d’amour et d’amitié, pied de nez magistral à tous les immobilismes de la pensée, hommage drôle et poignant à l’imaginaire. Un chef-d’œuvre de la littérature à la modernité insolente où musique et texte se rencontrent au cœur de Paris ! Entre Chick et Alise, il y a de l’amour dans l’air. Envieux, Colin veut, lui aussi, rencontrer une jolie fille. Lors d’une fête, il tombe instantanément sous le charme de Chloé… Sur scène, trois comédiens, tour à tour personnages, narrateurs et musiciens content avec leur corps, leur voix, leurs gestes d’aujourd’hui ce récit. Un voyage extraordinaire dans l’univers fantasque et poétique de Boris Vian. « Un spectacle jazzy qui a déjà conquis le public français ». Une adaptation très réussie de notre compatriote Paul Emond, passé maître dans l’art de la transposition du roman à la scène.

L’Herbe de l’oubli

Distribution

Auteur : Jean-Michel d’Hoop – Mise en scène : Jean-Michel d’Hoop – Avec : Léone François Janssens, Léa Le Fell, Héloïse Meire, Corentin Skwara, Benjamin Torrini – Scénographie : Olivier Wiame – Vidéos : Yoann Stehr – Musique : Pierre Jacqmin – Marionnettes : Ségolène Denis – Assistée de : Monelle Van Gyzegem – Lumières : Xavier Lauwers – Assistant à la mise en scène : François Regout – Le texte des voix off est écrit d’après des interviews et des articles de : Svetlana Alexievitch  

Résumé

Le mot russe « Tchernobyl » se traduit par absinthe, herbe de l’oubli. Le 26 avril 1986, le cœur du réacteur numéro quatre de la centrale de Tchernobyl explose et prend feu, projetant un nuage de radioactivité dont on a retrouvé des traces dans toute l’Europe. Le quatrième réacteur conserve toujours, dans son ventre gainé de plomb et de béton armé, près de vingt tonnes de combustible nucléaire. Trente ans après, quelles leçons retient-on de cette explosion ? Pour sa nouvelle création, la compagnie Point Zéro est allée à la rencontre de survivants de la catastrophe, d’habitants proches de la zone d’exclusion en Biélorussie, de spécialistes du nucléaire. « L’Herbe de l’oubli » est née de leur parole et s’inspire également des témoignages recueillis à Tchernobyl par Svetlana Alexievitch, prix Nobel de Littérature 2015 (« La Supplication »).

La dernière saison

Distribution

Auteur : Cirque Plume – Écriture, mise en scène, scénographie et direction artistique : Bernard Kudlak – Composition, arrangements et direction musicale : Benoit Schick – Avec : Nicolas Boulet, Cyril Casmèze, Julien Chignier, Natalie Good, Pierre Kudlak, Jacques Marquès, Anaëlle Molinario, Bernard Montrichard, Nicolas Sannier, Benoit Schick, Andrea Schulte, Analia Serenelli, Hichem Serir Abdallah, Laurent Tellier-Dell’ova, Jonathan Volson – Costumes : Nadia Genez – Lumières : Fabrice Crouzet – Son : Jean-François Monnier – Assistant à la mise en scène : Hugues Fellot – Toile : Charles Belle  

Résumé

Après 30 ans de représentations dans le monde entier devant plus de deux millions de spectateurs, le Cirque Plume tire sa révérence avec « une dernière tournée, une dernière saison. Un spectacle de finesse si on peut. Un spectacle de joie, simple et coloré. Une fête. Un spectacle qui traverse les saisons, comme on traverse les âges. » Dans sa dernière création, le Cirque Plume s’empare de la forêt, de la neige et du vent. A sa façon, dans le rire et la fragilité, en actes de cirque et de musiques. Avec une générosité sans faille, quinze musiciens, acrobates, contorsionnistes, personnages insolites, mi-hommes, mi-animaux entraînent les spectateurs entre images poétiques et performances à couper le souffle.

La Solitude du mammouth

Distribution

Auteur : Geneviève Damas – Mise en scène : Emmanuel Dekoninck – Avec : Geneviève Damas – Scénographie : Thibaut De Coster, Charly Kleinermann – Lumières : Jean-Jacques Deneumoustier – Maquillage : Sylvie Evrard – Régie : Eric Degauquier, Mathieu Bastyns  

Résumé

« Les mammouths nous ont tout donné, leurs défenses, leur peau, leurs os, leur graisse, leurs poils… Et qu’est-ce que l’humanité a fait pour eux lorsque le froid est arrivé ? Nada. Elle les a laissés sombrer dans l’ère glaciaire. » « La Solitude du mammouth », c’est l’histoire de Bérénice, épouse et mère dévouée. Quand son mari la quitte pour une étudiante de 22 ans, son monde s’écroule. Elle qui s’est tant investie dans son couple refuse d’être laissée pour compte. Alors elle va donner une bonne leçon à son infidèle de mari… Ce monologue drôle et cruel parle de ce que nous faisons de nos colères et de notre désir de vengeance, de notre faculté à sublimer les émotions qui nous traversent.

Le Jour de la soupe

Distribution

Auteur : Compagnie Sac à dos, Patrick Huysman – Mise en scène : Didier De Neck – Avec : Patrick Huysman, Susan Yeates

Résumé

Il était une fois un roi gourmand et une reine qui aimait manger. Celle-ci demanda « Et si on faisait un bébé ? », « Je veux bien » répondit le roi. Ainsi naquit le petit prince. Au cœur d’une cuisine royale, « Le Jour de la soupe » nous donne la recette pour bien grandir. Un spectacle délicieux qui mettra l’eau à la bouche de tous les enfants.

Le Journal d’Anne Frank

Distribution

De : Frances Goodrich et Albert Hackett – Adaptation et mise en scène : Fabrice Gardin – Avec : Anne-Claire, Catherine Claeys, Sophie Delacolette, Marc De Roy, Laura Fautré, Bruno Georis, Juliette Manneback, Michel Poncelet et Gaspard Rozenwajn – Scénographie : Anne Guilleray – Costumes : Françoise Van Thienen – Lumières : Félicien Van Kriekinge – Décor sonore : Laurent Beumier – Assistante à la mise en scène : Sandra Raco

Résumé

Nous connaissons tous le nom d’Anne Frank, son journal, les films, les dessins animés, les expos… Elle est un symbole. Mais avant d’être un symbole, il y a son histoire. Un destin simple et terrible à la fois, qui éclaire un des pans les plus sombres de notre Histoire. Au moment où le racisme et l’intolérance, la torture et les génocides reprennent de la vigueur dans de nombreux endroits du monde, il est salutaire de remettre en lumière ce véritable hymne à la tolérance et à la résistance. Juin 1942. Pour ses 13 ans, Anne reçoit en cadeau un journal intime. Juive allemande exilée aux Pays-Bas, la jeune fille y raconte son quotidien, ses émois d’adolescente, la fuite, la cache, la peur, la cohabitation pas toujours facile dans ce grenier d’Amsterdam, avec ses parents, sa sœur, huit personnes en tout. A travers cette chronique tantôt drôle, tantôt déchirante, on découvre une enfant bouillonnante de vie, espiègle et rêveuse. Son témoignage, connu dans le monde entier, reste l’un des plus émouvants sur la vie d’une famille juive sous le joug nazi. Il a été traduit dans 70 langues et vendu à 30 millions d’exemplaires.

Le Porteur d’histoire

Distribution

Auteur : Alexis Michalik – Mise en scène : Alexis Michalik – Avec : Allan Bertin, Baptiste Blampain, Nicolas Buysse, Julia Le Faou, Shérine Seyad – Assistant à la mise en scène : Patrick Blandin – Costumes : Marion Rebmann – Assistante costumes : Elise Abraham

Résumé

Alexis Michalik est un véritable phénomène. A 35 ans, il a déjà écrit quatre pièces, raflé 10 Molière, et trouvé sa place comme comédien en télé et au cinéma. Sa première pièce, « Le Porteur d’histoire », est créée en 2011 et ne devait être jouée au départ que trois fois. Mais l’engouement du public et des critiques la mène à Paris et Avignon, où elle brassera 400.000 spectateurs dans des salles combles chaque soir. Ce spectacle décroche deux Molières en 2014 : celui du meilleur auteur et du meilleur metteur en scène. Après un tel succès en France, nous sommes heureux de monter ce texte à l’inventivité renversante avec une distribution belge ! Cinq comédiens, cinq tabourets, un plateau nu et deux portants chargés de costumes : grâce au pouvoir illimité de notre imagination, le voyage peut commencer ! 1988. Par une nuit pluvieuse, au fin fond des Ardennes, Martin Martin doit enterrer son père. Il est alors loin de se douter que la découverte d’un carnet manuscrit va l’entraîner dans une quête fantastique à travers l’histoire et les continents. Quinze ans plus tard, au cœur du désert algérien, une mère et sa fille disparaissent mystérieusement… Une écriture qui file à toute allure. Truffé de rebondissements, de récits entremêlés, de clins d’œil historiques ou littéraires, ce conte haletant renoue avec l’enfance, avec le plaisir d’écouter une histoire. Il fait confiance à la puissance des mots et rappelle le pouvoir de la fiction. Jouissif !

Le Sacre et L’Eveil

Distribution

D’après « L’Eveil du printemps » de Franck Wedekind et des extraits du « Sacre du printemps » d’Igor Stravinsky – Texte original : Frank Wedekind – Traduction : Jacques De Decker – Concept, adaptation et mise en scène : Dominique Serron – Avec des extraits de la musique originale d’Igor Stravinsky – Avec : Paul-Henry Crutzen, Abdel El Asri, Florence Guillaume, Vincent Huertas, François Langlois, Félix Vannoorenberghe, Laure Voglaire – Choix des extraits musicaux et création sonore : Line Adam – Piano : Line Adam – Basson : Daniel Demoustiez – Scénographie et costumes : Renata Gorka – Vidéo : Nadia Benzekri – Lumières : Xavier Lauwers – Ingénieur du son : Colin Burton – Assistanat à la mise en scène : Lucie Pousset – Construction des décors : Atelier Théâtre Jean Vilar – Régie lumières : Manu Maffei – Régie vidéo : Jean-Philippe Hardy – Photos : Pierre Bolle

Résumé

Théâtre, danse et vidéo au service d’un cri du cœur ! A 35 ans, Melchior revient sur les pas de son adolescence, à l’instant où son cœur balançait entre la vie et la mort. Lui qui a choisi la vie rejoue son passé. Autour de lui, le cadavre « vivant » de son ami Moritz, l’homme masqué qui lui a tendu la main vers un nouveau souffle, le fantôme de son amoureuse Wendla, et enfin les adultes, parents et professeurs. Pour cicatriser ses blessures anciennes, Melchior passe derrière la caméra et réalise un film qui met en scène des adolescents sur la musique de Stravinsky. La force vitale de la vidéo, véritable ode à la jeunesse, répond à la détresse des personnages de l’histoire de Melchior. Relier « Le Sacre du printemps » de Stravinsky et « L’Eveil du printemps » de Wedekind, c’est associer la musique et le théâtre, qui se répondent et se complètent pour ne former qu’une seule voix. Deux œuvres fondamentales et subversives pour célébrer la jeunesse. Un réquisitoire pour la liberté et la force de la nature. Un souffle énergique et puissant.

Les Franglaises

Distribution

Mise en scène : Quentin Bouissou – Direction musicale : Philippe Lenoble – Avec : Saliha Bala, Benjamin Carboni, Yoni Dahan, Fabien Derrien, William Garreau, Stéphane Grioche, Marsu Lacroix, Philippe Lenoble, Roxane Terramorsi, Daphnée Papineau, Romain Piquet, Laurent Taieb – Costumes : Anna Rizza – Lumières : Romain Mazaleyras – Son : Jean-Luc Sitruk et Steven Barret – Vidéo : Alan Delmas

Résumé

A voir en famille ! Après avoir triomphé en France et remporté le Molière du meilleur spectacle musical en 2015, le « feel good spectacle » à l’énergie bouillonnante débarque à Louvain-la-Neuve. Comme tout le monde, il vous arrive de fredonner un tube en anglais sans en comprendre toutes les paroles ? Les Franglaises vous offrent leurs lumières ! Détournant le jeu du « test aveugle » ou blind-test, la joyeuse troupe de 12 artistes vous convie à une comédie musicale à la bonne humeur contagieuse mêlant théâtre, musique live et chorégraphies décalées. Dans une traduction française littérale à la « google-trad », ils mettent en scène – et malmènent joyeusement – les plus grands succès du répertoire anglo-saxon. Dans ce show déjanté, vous croiserez peut-être Michel Fils-de-Jacques, Les Gens du Village, les Petits Pois aux Yeux Noirs ou encore les Filles épicées… « Les Franglaises », c’est un art du pastiche, un sens du burlesque, une ode à la pop, et surtout une performance drôle et interactive pour ne plus jamais se retrouver « lost in translation ».

Les Mandibules (en tournée)

Distribution

Auteur : Louis Calaferte – Mise en scène : Patrick Pelloquet – Avec : Toni D’Antonio, Sophie Delogne, Patrick Pelloquet, Hélène Raimbault, Didier Royant, Robin Van Dyck, Cécile Van Snick

Résumé

Comédie vorace Monsieur et Madame Walter sont attendus avec leur fils Baby chez les Wilfrid pour célébrer l’anniversaire de Babette, leur fille unique. Au menu, coq au vin, canard au sang, anguilles au vert, soufflé de volaille, grillades de porc, steak à l’ail, galette de crevettes, raie au champagne, croustade suprême… Car manger, c’est la vie ! Avec un comique dévastateur, « Les Mandibules » nous présente une société où surconsommation alimentaire est synonyme de confort. La nourriture comme remède à l’angoisse du lendemain. Chacun cultive sa couche de graisse pour se protéger… de quoi ? On ne sait pas trop… Mais lorsque la viande vient à manquer, lorsque les enfants commencent à avoir faim et que les mémoires ne se souviennent plus de la satiété, c’est alors que les comportements surprenants apparaissent !

Les Poissons vert pâle

Distribution

D’après : Kathrine Kressmann Taylor – Adaptation : Valéry Bendjilali – Mise en scène : Patrice Mincke – Avec : Valéry Bendjilali, Bénédicte Chabot, Benoît Verhaert – Musiciens : Nicholas Yates (contrebasse) – Décors et costumes : Anne Guilleray – Lumières : Philippe Catalano – Coaching vocal : Daphné D’Heur – Assistanat à la mise en scène : Sandrine Bonjean – Construction décor : Jean-Philippe Hardy, Manu Maffei, Eric Degauquier et Damien Zuidhoek – Régie générale : Eric Degauquier – Régie son et lumières : Damien Zuidhoek – Peinture décor : Béatrice Massinger – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Une famille est une communauté d’individus qui crée entre ses membres une obligation de solidarité morale et matérielle, censée les protéger et favoriser leur développement social, physique et affectif. Et pourtant… Dans « Les Poissons vert pâle », un homme raconte une tranche de sa vie – deux jours qui ont marqué son enfance. Avec le recul des années, il la décortique pour nous en faire découvrir chaque facette. Petit à petit, se révèlent les caractères opposés ou complémentaires qui composent l’inimitable mélange familial. Immanquablement, il nous renvoie à nos propres familles, celles qui nous ont formés ou celles que nous avons construites, et nous interroge sur les traces qu’elles nous ont laissées. Avons-nous vraiment digéré notre enfance ? Devenus adultes, avons-nous oublié ? Pardonné ? Ou remercié ? Aux sons jazzy d’une contrebasse et d’une trompette, « Les Poissons vert pâle » nous plonge au cœur des années ’50, dans une atmosphère tendre, ludique et sensible.

Petrouchka et L’Oiseau de feu

Distribution

D’Igor Stravinsky – Avec : Joris Baltz, Léonard Berthet-Rivière, Mylena Leclercq, Vojtěch Rak, Lisard Tranis, et, en alternance, Nolan Decreton, Maxence Lorentz, Tom Van De Weghe – Porteurs : Chris Baltus, Robert Bui – Chorégraphie et mise en scène : José Besprosvany – Scénario : Laurent Brandenbourger – Scénographie : François Prodhomme – Conception costumes : Catherine Versé – Réalisation costumes : Bert Menzel – Lumières : Marco Forcella – Composition prologue musical : Fabian Fiorini – Maquillages : Pénélope Daloze – Assistanat à la mise en scène : Benjamin Vanslembrouck – Accessoires : Christelle Demay – Coaching magie : Pierre Dherte – Régie lumières : Mathieu Bastyns – Régie son : Clément Delporte – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy – Avec l’aide : des équipes techniques de l’Aula Magna et de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Après une « Antigone » très réussie en 2017, le chorégraphe José Besprosvany revient avec une création inédite mêlant le nouveau cirque, la danse et la musique. Un spectacle en deux parties, deux ballets de Stravinsky, deux histoires représentées par les corps en mouvement d’interprètes de haut niveau. La promesse d’un moment féerique à voir en famille. « Petrouchka » s’inspire d’un conte folklorique russe qui raconte le destin d’une poupée dotée de vie et d’amour. Sur scène, le danseur-acrobate devient une marionnette humaine. Au cœur de cette première partie : la manipulation. Quatre personnages explorent ce thème dans un thriller qui rappelle à la fois les récits d’espionnage, les fêtes populaires russes et le théâtre comique. Autre ballet de Stravinsky, « L’Oiseau de feu » est basé sur un conte national russe. José Besprosvany en propose ici une nouvelle interprétation tout en respectant la composition musicale. « L’Oiseau de feu » s’inspire des mythes du phénix qui renaît de ses cendres, et d’Icare, allégorie de l’homme qui se croit plus fort que la nature. Cette deuxième partie de spectacle explore la verticalité, la pesanteur (et l’envie d’y échapper !).

Pic-Nic Rendez-vous

Distribution

Auteur : Zirk Théâtre – De et avec : Rachel Ponsonby, Perry Rose – Ecriture et composition originales : Perry Rose, Rachel Ponsonby – Création et régie lumières : Antoine Clette – Regard extérieur et coaching : Christophe Thellier, Jean-François Brion

Résumé

Mr. Daffodil prend son courage à deux mains : il invite Mrs. Flower à pique-niquer avec lui. Dans cette comédie musicale poétique interprétée en français et en anglais, Rachel Ponsonby et Perry Rose chantent, dansent, se déguisent pour créer un univers bien à eux. Un rendez-vous au parfum de campagne anglaise, plein de légèreté et d’humour.

Pourquoi pas !

Distribution

Auteur : Tof Théâtre – Conception, réalisation des marionnettes, scénographie et mise en scène : Alain Moreau – Avec : Pierre Decuypere – Régie plateau : Sandrine Hooge, Laura Durnez – Costumes : Emilie Cottam – Création des musiques : Max Vandervorst – Accompagnement artistique : Les OKidoKs, Sandrine Hooge, Gilbert Epron, …  

Résumé

Un papa, une maman. Et pourquoi pas un PAPAN ? Assis dans son univers, ce Papan attend… Dans sa nouvelle création, le Tof Théâtre bouscule gentiment les jeunes spectateurs dans leurs a priori sur la répartition des rôles entre les papas et les mamans. Mais il témoigne aussi de l’infinie tendresse et de la turbulente complicité qui lient un Papan et son enfant. Duo pour homme et marionnette, « Pourquoi pas ! » est un spectacle doux et fou qui s’adresse aux garçons comme aux filles qui se posent des questions sans se prendre au sérieux.

Scapin 68

Distribution

Auteur : Molière – Mise en scène : Thierry Debroux – Avec : Julien Besure (Octave), Mickey Boccar (Léandre), Laure Godisiabois (Zerbinette et Nérine), Thierry Janssen (Argante), Othmane Moumen (Scapin), Brigitta Skarpalezos (Hyacinte), Benoît Van Dorslaer (Géronte), Simon Wauters (Silvestre) – Assistanat à la mise en scène : Catherine Couchard – Scénographie et costumes : Thibaut De Coster et Charly Kleinermann – Maquillages et perruques : Urteza Da Fonseca – Lumières : Alain Collet – Décor sonore : Loïc Magotteaux – Peinture du décor : Thibaut De Coster, Charly Kleinermann et Geneviève Périat – Confection  des costumes : Elise Abraham, Thibaut De Coster, Sarah Duvert et Charly Kleinermann – Assistanat scénographie et costumes : Isabelle de Neuville

Résumé

A voir en famille ! Des « Fourberies » à la mode hippie Voici une comédie parfaite pour célébrer le 50e anniversaire de mai 68 ! Sans toucher au texte de Molière, Thierry Debroux plonge ses personnages dans l’atmosphère des années 1960 : costumes, scénographie, musique… Il faut dire que la pièce s’y prête à merveille : la révolte de Léandre et Octave contre leurs parents, leur quête d’indépendance et de liberté font immanquablement écho à la période mouvementée de la fin des sixties, qui a vu s’affronter deux générations. Quand le rideau se lève, les pères sont en voyage depuis des mois. Les fils sont tombés amoureux et mènent une vie très « baba cool ». Mais les vieux rentrent brusquement. Vite ! Effacer les traces de la fête… les bouteilles qui traînent, les tenues décontractées… Paniqués, les jeunes gens n’osent pas encore se rebeller. Il faudra toute la malice de Scapin pour amener les patriarches à accepter des mariages d’amour. Encore que ceux-ci n’ont finalement aucun effort à fournir car, par un tour de passe-passe, les jeunes amoureuses se révèlent être celles que les pères voulaient donner comme épouses à leurs fils. Tout est bien qui finit bien et la jeunesse rentre dans le rang… Les soixante-huitards deviendront à leur tour, en vieillissant, les nouveaux « vieux cons ». Passé maître dans l’art de moderniser les classiques, le Théâtre du Parc nous promet une fois encore un spectacle haut en couleur et rythmé : on s’en réjouit déjà !

Un Pied dans le paradis

Distribution

Auteur : Virginie Thirion – Mise en scène et scénographie : Virginie Thirion – Avec : France Bastoen (Louise), Delphine Bibet (Jeanne), Laurence Warin (Madeleine) – Assistanat, scénographie et accessoires : Fabienne Damiean – Création et réalisation costumes : Isabelle Airaud – Création sonore et musicale : Eric Ronsse – Lumières : Eric Vanden Dunghen – Stagiaire, assistanat : Marie-Cécile Henrion – Construction du décor : Fred Op De Beek – Création des maquillages : Urteza Da Fonseca – Coiffures : Thierry Pommerell – Coach vocal : Pierre Bodson – Régie générale : Manu Maffei – Régie son/lumière : Mathieu Bastyns – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Après 30 ans d’absence, Louise revient dans la maison qui l’a vue grandir. Elle y retrouve ses deux sœurs, Madeleine et Jeanne, qui n’ont jamais quitté les lieux, mais ont été contraintes à vendre la demeure. Aujourd’hui, elles peuvent encore en occuper deux pièces, mais pour combien de temps… ? Le retour inattendu de Louise réveille les souvenirs d’enfance, les vieux conflits mais aussi la complicité fraternelle. Ensemble, les trois sœurs cultivent l’art de la débrouille et échafaudent des plans insensés pour trouver un peu de sous, pour survivre. Dans une société du « chacun pour soi » dominée par l’argent, elles refusent d’être poussées vers la sortie. Et tous les moyens sont bons ! Sur le mode de la légèreté, « Un Pied dans le paradis » déploie une écriture rythmée où les dialogues fusent à grande allure. Ces sœurs nous font rire avec leurs répliques directes – parfois un peu « vaches » –, leur ton piquant et impertinent.

Un Tailleur pour dames (en tournée)

Distribution

Auteur : Georges Feydeau – Mise en scène : Georges Lini – Avec : France Bastoen, Isabelle Defossé, Eric De Staercke, Stéphane Fenocchi, Michel Gautier, Louise Jacob, Thierry Janssen, Marie-Paule Kumps

Résumé

Quand on aime le comique au théâtre, il n’y a pas mieux que Feydeau et sa mécanique implacable ! Ça virevolte à un rythme d’enfer, ça court, ça se cache, ça se débat. Et au-delà du rire, on perçoit le portrait acide d’une époque pas si éloignée de la nôtre… Tout réussit à Moulineaux, jusqu’à ce Bal de l’Opéra ! Il n’a pas dormi chez lui, occupé toute la nuit à attendre son éventuelle future maîtresse. Au petit matin, sa femme Yvonne attend des explications. Par chance, Bassinet, un ami, vient lui demander un service. Et s’il devenait son alibi ? De quiproquos en mensonges, face à sa femme, sa belle-mère, le mari de sa maîtresse, l’amante de celui-ci qui fut jadis la sienne, Moulineaux est emporté dans un tourbillon d’événements qu’il essaie de maîtriser tant bien que mal. On peut compter sur le talent et l’inventivité de Georges Lini – qui avait revisité « Un Conte d’hiver » de Shakespeare en 2016 – pour proposer un Feydeau contemporain, étonnant et ludique. Dans un décor qui réserve quelques surprises, nos huit comédiens complices s’en donnent à cœur joie.

Vertikal

Distribution

Auteur : Mourad Merzouki, CCN de Créteil et du Val-de-Marne / Cie Käfig – Direction artistique et chorégraphie : Mourad Merzouki – Avec : Francisca Alvarez, Rémi Autechaud dit « RMS », Kader Belmoktar, Sabri Colin dit « Mucho », Nathalie Fauquette, Pauline Journe, Vincent Lafif, Maud Payen, Manon Payet, Teddy Verardo – Création musicale : Armand Amar – Mise à disposition d’un espace scénique aérien : Fabrice Guillot, Cie Retouramont – Assistante du chorégraphe : Marjorie Hannoteaux – Lumières : Yoann Tivoli – Assisté de : Nicolas Faucheux – Scénographie : Benjamin Lebreton – Costumes : Pascale Robin – Mise en œuvre des agrès : Yves Fauchon – Formation en aérien : Isabelle Pinon

Résumé

Nous avions découvert et accueilli « Pixel » en 2017, fabuleux spectacle à la croisée des arts numériques et de la danse. Cette saison, nous nous engageons dans l’aventure en programmant avant sa création (en septembre à Valence) le nouveau spectacle du chorégraphe Mourad Merzouki, qui choisit cette fois-ci de jouer avec l’apesanteur. Le défi : explorer le jeu de la gravité avec dix danseurs évoluant dans un espace aérien imaginé en collaboration avec la compagnie de danse verticale Retouramont. Comment s’approprier les airs par la danse ? Tout semble possible, l’ascension comme la chute. Le rapport au sol, si primordial pour le danseur hip-hop, est fondamentalement modifié. Les jeux de contacts entre les interprètes sont bousculés : le danseur peut tour à tour être porteur ou voltigeur, marionnette animée par le contrepoids de ses partenaires au sol. Les dispositifs utilisés en danse verticale apportent de nouvelles sensations, une forme de légèreté, de l’illusion. Mourad Merzouki

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