loader image

2020 - 2021

84 minutes d’amour avant l’apocalypse

Distribution

De et avec : Anne-Pascale Clairembourg, Emmanuel Dekoninck, Julie Duroisin – Regards extérieurs : Dominique Bréda, Sophie Leso, Sophie Linsmaux, Patrice Mincke, Miriam Youssef – Assistante à la mise en scène : Joséphine de Renesse – Scénographie : Sophie Carlier – Lumières : Jacques Magrofuoco – Costumes : Béatrice Pendesini – Bande son : Gilles Masson – Visuels : Dominique Bréda – Coiffures et maquillages : Vincent Respriget

Résumé

La dernière pièce de Simon, une histoire d’amour, doit être envoyée au metteur en scène dans 3 jours, le hic c’est que Simon n’a pas encore écrit une ligne. Il bloque. L’amour, il n’a jamais vraiment expérimenté. Il y a bien cette actrice, Lucie, qui l’a bouleversé dans le rôle de Gertrude, la mère de Hamlet… Le hasard, ou le destin, ou une volonté supérieure, ou celui qui a écrit la pièce, le place nez à nez avec elle dans un ascenseur qui n’en finit pas de descendre. Cette femme n’est pas Lucie, c’est Anna, sa sœur jumelle, célèbre physicienne spécialisée en physique quantique. Lucie, elle, est morte brutalement, noyée, comme Ophélie dans Hamlet. Simon, par la fiction, va tenter de vivre son histoire d’amour impossible avec Lucie ou Anna ou les deux. Et c’est cette histoire-là que nous allons jouer. Entre réalité et fiction, « 84 minutes d’amour avant l’apocalypse », joue avec les codes de la narration et explore les possibles de la réalité théâtrale. « L’imagination est le smoking du réel, il met des robes longues à nos idées courtes » Sim

D’autres vies que la mienne

Distribution

Auteur : Emmanuel Carrère – Adaptation et mise en scène : Claude Enuset – Avec : Xavier Campion, Stéphanie Van Vyve – Création vidéo : Louise Herlemont – Création musicale et régie : Martin Enuset – Création graphique : Marie Campion – Photo / Teaser : Laurence Vincent

Résumé

Un spectacle qui célèbre la vie, telle qu’elle est : cruelle, jouissive, révoltante, lumineuse. Dans un texte d’une intense émotion, un homme et une femme, confrontés à plusieurs épreuves collectives ou intimes, posent un regard plein d’humanité sur la vie des êtres qui les entourent et, par là même, sur leur propre existence. Dans une mise en scène sobre, un duo touchant de comédiens interprète tous les personnages du bouleversant roman d’Emmanuel Carrère – événement littéraire de 2009 – dans un récit polyphonique et véridique qui dit la folie de la vie, la puissance de l’amour et la rareté de chaque instant. Notre capacité d’écoute, d’empathie, d’oubli de soi, de résilience est questionnée. Grandes réactions ou petites lâchetés, mots maladroits ou regards bienveillants… la position juste est souvent celle qui est sur le fil.

Edmond

Distribution

Auteur : Alexis Michalik – Direction artistique : Alexis Michalik – Mise en scène : Michel Kacenelenbogen – Avec : Maxime Anselin, Perrine Delers, Inès Dubuisson, David Dumont, Itsik Elbaz, Mwanza Goutier, Antoine Guillaume, Sandrine Laroche, Tristan Schotte, Réal Siellez, Elsa Tarlton, François-Michel van der Rest – Création costumes : Françoise Van Thienen – Couturières : Muazzez Aydemir, Rachel Lesteven, Marie Nils, Maya Perolini, Sylvie Thévenard, Margaux Vandervelden – Maquillage : Véronique Lacroix – Assistanat à la mise en scène : Hélène Catsaras et Fannie Outeiro

Résumé

Comédie héroïque Edmond Rostand n’a pas encore 30 ans, plus un sou, deux enfants, des angoisses et pas d’inspiration. Au bout du rouleau, il propose à l’immense acteur Constant Coquelin une comédie héroïque en vers, pour les fêtes. Le seul souci est qu’elle n’est pas encore écrite ! Alors, il se met au travail avec acharnement. Jour et nuit, s’inspirant des jalousies des uns, des peines de cœur des autres, des querelles de tous, il compose une pièce à laquelle personne ne croit, et qui doit devenir un monument, il l’a promis. Pour l’instant, il n’en a que le titre : « Cyrano de Bergerac » ! Après le triomphe à Paris, le film et la BD, la pièce aux 5 Molières est de retour dans une version 100% belge ! Alexis Michalik, vous l’avez découvert avec Le Porteur d’histoire. Conteur hors pair, il use d’un procédé de narration ludique et inventif pour nous emmener vivre d’incroyables aventures. Accessible à partir de 10 ans

Festen

Distribution

Auteur : Thomas Vinterberg et Mogens Rukov – Adaptation : Bo Hr. Hansen – Mise en scène : Alain Leempoel – Avec : Olivier Darimont, Béatrix Férauge, Stéphanie Goemaere, Patricia Ide, Michel Kacenelenbogen, Nganji Mutiri Laeh, Caroline Lambert, Virgile Magniette, Céline Peret, Guy Pion, Mathilde Rault, Tristan Schotte, Réal Siellez, Gaël Soudron, Stéphanie Van Vyve, Grégory Stockman et 5 comédiens amateurs – Traduction : Daniel Benoin – Scénographie : Lionel Lesire – Costumes : Jackye Fauconnier – Création lumières : Laurent Kaye – Musique : Pascal Charpentier

Résumé

Reprise exceptionnelle du spectacle-événement qui a fait chapiteau comble à Bruxelles en 2018. Une expérience unique à vivre ! Chef-d’œuvre cinématographique du réalisateur danois Thomas Vinterberg, premier film labellisé Dogma95 et prix du Jury au Festival de Cannes de 1998, « Festen » est désormais à (re)découvrir au théâtre, sous un chapiteau confortable et impressionnant installé au Bois des Rêves. Dans la mise en scène d’Alain Leempoel, les 21 comédiens évoluent parmi les spectateurs, nous plongeant véritablement au cœur de ce huis clos étouffant. En tant que convives à la fête, on ressort ébranlé de ce puissant drame familial qui se joue sous nos yeux. Un coup de poing au cinéma ne fait plus frémir personne, mais lorsque c’est votre voisin de table qui le reçoit ! C’est la fête au manoir des Klingenfelt. Tous les proches de Helge, le patriarche, sont invités à un dîner pour célébrer ses 60 ans. Les paroles d’affection et les compliments se succèdent… jusqu’au discours du fils aîné, qui profite de l’occasion pour dévoiler un terrible secret de famille ! S’ensuit une confrontation explosive, qui fissurera tout l’édifice de conduite irréprochable et de bonne réputation construit par le père, son existence durant. Quand l’hypocrisie et la bienséance prennent le pas sur les valeurs humaines, comment briser la loi du silence ? Chaque soir, 100 spectateurs partageront le repas de la famille Klingenfelt. Une expérience inoubliable. Ce spectacle sera maintenu en fonction de l’évolution des conditions sanitaires.

George Dandin ou le Mari confondu

Distribution

Auteur : Molière, Jean-Baptiste Lully – Mise en scène : Michel Fau – Avec : Alka Balbir, Armel Cazedepats, Michel Fau, Philippe Girard, Florent Hu, Anne-Guersande Ledoux, Nathalie Savary, 4 chanteurs et 8 musiciens en alternance de l’Ensemble Marguerite Louise – Direction musicale : Gaétan Jarry – Costumes : Christian Lacroix – Décor : Emmanuel Charles – Lumières : Joël Fabing – Maquillage, coiffes et perruques : Véronique Soulier Nguyen – Avec la collaboration de la : Maison Messaï – Assistanat à la mise en scène : Damien Lefèvre – Assistant costumes : Jean-Philippe Pons – Stagiaires assistants à la mise en scène : Barthélémy Fortier, Sacha Vilmar

Résumé

Comédie en musique Michel Fau, géant du théâtre français, s’empare de cette comédie grinçante et burlesque de Molière qu’est « George Dandin » et de son rôle-titre avec le génie et le sens de l’excès qu’on lui connaît. J’aime quand les choses déjantent. Le théâtre doit sortir de son quotidien, doit donner envie de rêver. Il y faut de la poésie, du lyrisme, de l’extravagance, ce qui n’empêche pas de parler de nous, de l’humain. Michel Fau George Dandin, paysan parvenu, épouse une jeune fille noble et échange fortune contre particule. Le mari s’acharne à revendiquer amour et fidélité de sa femme, mais ne subit qu’offenses et mépris. Une fable qui reste intemporelle : tout peut s’acheter, sauf l’amour. Accompagnée par la partition d’origine de Lully, cette satire en musique, contrepoint ironique à l’infortune amoureuse de Dandin, assume une esthétique baroque et cauchemardesque pour vous faire redécouvrir tout le merveilleux de cette époque, dans les costumes chatoyants du grand couturier Christian Lacroix. Créé au Théâtre des Bouffes du Nord – lieu de création de Peter Brook –, ce spectacle rutilant, rehaussé de 4 chanteurs et 8 musiciens, sera incontestablement un événement théâtral. Ce spectacle sera maintenu en fonction de l’évolution des conditions sanitaires.

Homo Sapiens

Distribution

Auteur : Fabrizio Rongione, Samuel Tilman – Mise en scène : Samuel Tilman – Avec : Fabrizio Rongione – Stylisme : Laurence Van H – Créations lumières : Alain Collet – Conception technique de l’image : Ludovic Romain – Images et animations vidéo : Gabriel Balaguera

Résumé

Domination culturelle, capitalisme, média, communication, populisme, écologie, racisme, inégalités sociales, technologie… les raisons de nos névroses contemporaines sont nombreuses. Elles sont drôles quand on les observe aujourd’hui. Elles peuvent l’être encore plus quand on les transpose dans le passé. Sous la forme d’un stand-up historico-comique, « Homo Sapiens » revisite avec humour les vices de notre société à travers les grandes figures du passé. Dans un seul en scène décontracté, Fabrizio Rongione nous propose un voyage dans le temps pour découvrir l’éternel recommencement de la médiocrité des hommes. Mieux vaut en rire ! Acteur fétiche des frères Dardenne et plusieurs fois maître de cérémonie des Magritte du Cinéma, Fabrizio Rongione est de retour sur les planches, sous la direction de Samuel Tilman. Tous deux se connaissent depuis l’université. Passionnés d’histoire et forts de leurs nombreuses collaborations artistiques, les deux complices signent une pièce désopilante… et intelligente.

Iliade

Distribution

D’après : Homère – Mise en scène : Luca Giacomoni – Adaptation : Alessandro Baricco – Avec : Sephora Haymann, Mourad Ait Ouhmad, Hugues Dangreaux, Laurent Evuort Orlandi, Christophe Firmin, Cyril Guei, Lévy Kasse Sampah, Eliott Lerner, Louis Plesse, Michel Quidu, Bryan Polach, Sara Hamidi (chanteuse)

Résumé

« L’Iliade », ce sont les derniers jours de la guerre de Troie qui dure depuis 10 ans sur le rivage de la Méditerranée. Une grande oeuvre qui relate les combats de héros et de rois face à l’attente épuisée des peuples face à l’espoir d’une résolution. A l’adaptation, Alessandro Baricco en resserre le récit et développe une narration qui offre une multitude de points de vue. Pour saisir le présent, Luca Giacomoni aime s’emparer d’histoires et de mythes. Dans « Iliade », créé à Paris en 2017, il traite de l’abus de pouvoir, du conflit, du respect, de l’humain, par une proposition brute et épurée. Il mène ce projet en collaboration avec le Centre Pénitentiaire de Meaux et mélange au plateau acteurs professionnels et anciens détenus. Douze artistes au total dont une chanteuse iranienne donnant couleur et rythme au récit. Ensemble, ils portent les voix d’Agamemnon, Ulysse, Hector, Achille ou Hélène comme autant de prétextes pour s’interroger sur le désir de vengeance mais aussi sur la fidélité à un idéal ou le sens de l’amitié. Depuis quelques années, j’entends autour de moi cette expression : « nous sommes en guerre ». Quel en est le sens ? Et surtout, le théâtre peut-il nous aider à comprendre les racines et la dynamique d’un conflit ? La lecture d’Homère m’a aidé à comprendre toute l’ambivalence contenue dans le mot « guerre », un mouvement de bascule entre l’absurdité du geste et sa nécessité. L’occasion de porter sur scène « Iliade » s’est présentée au centre pénitentiaire de Meaux, lorsque j’ai rencontré ces hommes qui – par leurs visages et leurs corps – incarnaient à mes yeux les héros et les rois du mythe grec. Luca Giacomoni

J’ai des doutes

Distribution

Auteur : Raymond Devos – De et avec : François Morel accompagné (en alternance) de Antoine Sahler et Romain Lemire – Musique : Antoine Sahler – Assistanat à la mise en scène : Romain Lemire – Lumières : Alain Paradis – Son : Camille Urvoy – Costumes : Elisa Ingrassia – Poursuite : Françoise Chapero et Madeleine Loiseau – Conception, fabrication et mise en jeu des marionnettes : Johanna Ehlert et Matthieu Siefridt / Blick Théâtre – Direction technique : Denis Melchers – Archives sonores : INA – Remerciements : Didier Gustin, Tullia Morand, Fondation Raymond Devos

Résumé

Hier soir, en rentrant dans mes foyers plus tôt que d’habitude… il y avait quelqu’un dans mes pantoufles… Fasciné par Raymond Devos, ce grand clown au « grain de folie capable d’enrayer la mécanique bien huilée de la logique, de la réalité, du quotidien », François Morel s’est plongé corps et âme dans sa prose pour inventer un spectacle en son hommage. Artiste hors-norme, génie du verbe, musicien, jongleur, poète, Raymond Devos prend plaisir à révéler l’absurdité du monde en nous entraînant vers un imaginaire dont on n’est jamais sûr de revenir. Ses sketches « Ouïr », « Caen », « Où courent-ils », « Sens dessus dessous », « Mon chien c’est quelqu’un »… et le fameux « J’ai des doutes » – qui donne le titre au spectacle – nous font rire autant que réfléchir. Comédien, auteur, chroniqueur sur France Inter et inoubliable membre de la famille Deschiens, François Morel s’approprie les textes du maître, y ajoute sa patte, sans jouer l’imitation, et nous livre un spectacle conçu comme un récital où les numéros s’enchaînent avec bonheur. « J’ai des doutes » lui permet de décrocher, en 2019, le Molière du comédien dans un spectacle de théâtre public.

L’Errance de l’hippocampe

Distribution

Auteur : Jean-Michel d’Hoop – Mise en scène : Jean-Michel d’Hoop – Avec : Colline Libon, Taïla Onraedt, François Regout, Léopold Terlinden – Scénographie et costumes : Camille Collin – Marionnettes : Ségolène Denis – Assistanat à la création des marionnettes : Céline Pagniez – Vidéo : Yoann Stehr – Composition Musique : Boris Gronemberger – Lumières : Xavier Lauwers – Assistanat à la mise en scène : Lucile Vignolles – Production et diffusion : Nathalie Kamoun pour Point Zéro – Régie générale et création sonore : Loïc Le Foll – Construction décors : Ateliers du Théâtre National Wallonie-Bruxelles

Résumé

Quatre personnages se retrouvent comme coincés dans un espace-temps singulier. Le lieu ressemble à un hôtel, mais à y regarder de plus près cela pourrait aussi être le théâtre lui-même… A moins qu’il ne s’agisse d’un espace mental ? Un genre de sas entre la vie et la mort ? A moins qu’ils ne soient tous en train de rêver ? Comment représenter l’activité d’un cerveau qui vit peut-être ses derniers instants ? Le théâtre est l’endroit idéal pour aborder ce type de sujet puisque la pratique théâtrale par son essence même interroge sans cesse ce réel. Qu’est-ce que c’est qu’être vrai au théâtre, jouer vrai ? Quelle part de l’acteur est jeu et quelle part lui appartient intimement ? Travailler sur la mémoire au théâtre, c’est aussi travailler sur la subjectivité. Il s’agit ici d’entrer dans une mémoire, d’entrer dans le théâtre de la mémoire. Ce qui est aussi en jeu c’est de montrer un niveau de réel qui fluctue sans cesse. Dans cette phase complexe, entre le sommeil et la mort quel est notre niveau de conscience ? Qu’est-ce que la conscience d’ailleurs et partant quel est le statut du sommeil et du rêve ?

L’Ours qui n’était pas là

Distribution

Auteur : Compagnie Laroukhyne – De et avec : Caroline Husson  

Résumé

A partir de 8 ans Il sortit un papier de sa poche : Es-tu bien moi ? « Bonne question ! » se dit-il, et il se mit en route. Joyeux et naïf, notre ours s’émerveille de tout, rencontre des personnages cocasses et peu à peu apprend à se connaître… Un voyage aussi poétique que philosophique, mêlant récit, théâtre d’objet et jeu clownesque. Prix de la Province de Liège aux Rencontres de Huy 2019

La soupe au(x) caillou(x)

Distribution

Texte : Julie Annen – Scénographie, mise en scène, jeu et manipulation : Thibaut De Coster, Charly Kleinermann, Julie Annen – Regards extérieurs : Diana Fontannaz, Viviane Thiebaud – Lumières : Marc Defrise – Consultant réalisation : Eric Bellot – Consultant matériel vidéo : Sébastien Fernandez  

Résumé

A partir de 4 ans Comment ?! Vous ne connaissez pas la recette de la soupe aux cailloux ? Si Mémé n’est plus là pour la cuisiner, sa petite-fille va vous la mitonner. Tout commence par un caillou choisi avec attention. Et pour chaque nouveau légume qu’elle mettait dans la soupe, Mémé racontait une nouvelle histoire. Peu à peu, on découvre ses ingrédients préférés : l’accueil, la solidarité et le respect.

La Vie comme elle vient

Distribution

Auteur : Alex Lorette – Mise en scène : Denis M’punga – Avec : Jo Deseure, David Ilunga, Elsa Poisot

Résumé

Quand je suis arrivée en Belgique, il pleuvait. C’était en 1958. Je suis arrivée comme ça, par la mer, sur le « Ville de Bruxelles ». Le bateau, c’est plus sûr que l’avion, disait mon grand-père. Le bateau, ça donne le temps de réaliser qu’on s’en va. C’est ainsi que Lucie, 17 ans, débarque du Congo où elle est née et a vécu une enfance heureuse… jusqu’à cet accident de jeunesse. Blanche de peau, elle s’est toujours sentie noire à l’intérieur. A peine arrivée en Belgique, la voilà recluse au couvent pendant 4 ans. Quand elle peut enfin en sortir, commence le chemin de l’errance… Un retour au Congo est impossible, les Blancs n’y sont plus les bienvenus. Et l’on découvre à travers son regard la société belge des années 1960, lourde de préjugés et cruelle pour tout qui s’écarte de la norme. L’auteur belge Alex Lorette se distingue par sa plume délicate, tout en finesse et en émotion. Il écrit ici le récit poignant d’un exil dans son propre pays et le portrait d’une Belgique peu connue, celle des années postcoloniales. Denis M’punga met en scène David Ilunga (tous deux dans « Un Macbeth » la saison dernière), Jo Deseure (également dans « Sonate d’automne » cette saison) et Elsa Poisot.

La Vraie Vie

Distribution

Auteur : Adeline Dieudonné – Mise en scène et adaptation : Georges Lini – Avec : Isabelle Defossé, Adeline Dieudonné, Georges Lini – Et un jeune, en alternance : Octave Delaunoy, Louis Fayt, Amos Suchecki – Collaboration dramaturgique / Coaching jeunes : Nargis Benamor – Scénographie et costumes : Thibaut De Coster, Charly Kleinermann – Création vidéo et son : Sébastien Fernandez – Création lumières : Jérôme Dejean – Avec la participation de : Blanche Mosselmans – Stagiaire assistanat : Nikita Dragomir

Résumé

La vie est une grande soupe dans un mixer au milieu de laquelle il faut essayer de ne pas finir déchiqueté par les lames qui vous attirent vers le fond. Après vous avoir fait chavirer avec « Un Tailleur pour dames », Georges Lini s’empare du premier roman coup de poing de l’atypique auteure belge Adeline Dieudonné, déjà gratifié de nombreux prix littéraires. Entre poésie de l’enfance et drame empreint de noirceur sociale, le récit d’Adeline Dieudonné déploie une atmosphère où l’étrange et le fantastique se mêlent à une réalité désespérée. On y suit une famille vivant dans une banlieue sinistre et soumise à un père amateur de chasse, tyrannique et violent. Le quotidien de la narratrice de dix ans est égayé par les jeux dans les carcasses de voitures du « cimetière de métal » et par le rire de son petit frère, Gilles. Un rire qui bientôt va s’effilocher… Pour lui rendre le sourire, elle va tout faire pour revenir en arrière et effacer cette vie qui lui apparaît comme le brouillon de l’autre. Alors, en guerrière des temps modernes, elle retrousse ses manches et plonge tête la première dans le cru de l’existence. Les histoires, elles servent à mettre dedans tout ce qui nous fait peur, comme ça on est sûr que ça n’arrive pas dans la vraie vie.

Le Champ de bataille

Distribution

Auteur : Jérôme Colin – Adaptation et mise en scène : Denis Laujol – Avec : Thierry Hellin – Collaboration artistique : Julien Jaillot – Scénographie : Denis Laujol – Création lumières : Xavier Lauwers – Costumes : Carine Duarte – Vidéo : Lionel Ravira – Merci à : Alice Olivier, Stéphane Arcas

Résumé

L’ennui avec les enfants, c’est qu’ils grandissent. C’est qu’un beau matin, sans prévenir, ils mettent des trainings, répondent par onomatopées, claquent les portes et écoutent de la mauvaise musique. La quarantaine galopante, voilà ce que se dit ce père, enfermé dans les toilettes, ultime forteresse inviolable, où il consulte des dépliants de voyage. Une manière d’échapper pour de bon à la pesanteur du quotidien, alors que son couple est sur le point de craquer face aux assauts répétés de leur fils de 15 ans. Enorme succès lors de sa création au Théâtre de Poche, cette adaptation du roman du journaliste Jérôme Colin dresse le portrait d’un amour familial où les sentiments sont à vif ! L’interprétation de Thierry Hellin est saisissante. Un spectacle qui questionne la violence sociale, notamment produite par l’école et la famille, mais gonflé d’espérance grâce à une écriture pleine de tendresse et de dérision.

Le Purgatoire de Robin Vandenbos

Distribution

Auteur : Pietro Pizzuti – Mise en scène : Rachid Benbouchta – Avec : France Bastoen, Dominique Rongvaux – Conception des éclairages : Sébastien Mercial – Création sonore : Fabian Coomans

Résumé

Pour nos 50 ans, souvenez-vous, nous avions programmé une soirée exceptionnelle où s’enchaînaient huit courtes pièces inédites. Parmi les auteurs sollicités, l’enthousiaste Pietro Pizzuti. Aujourd’hui, il nous livre la suite de son histoire ! Robin Vandenbos est une star de séries télévisées, il fête ses quarante ans aujourd’hui. Comme tous les matins, il se lève au son de son radio réveil, se dirige vers la salle de bain, écoute les nouvelles et… en entend une qui bouleverse le cours de sa vie : il est mort cette nuit… Mais voilà qu’il se réveille en sueur. Il est seul dans son grand lit.

Les Parapluies de Cherbourg

Distribution

D’après le film de : Jacques Demy – Et les musiques de : Michel Legrand – Direction musicale, arrangements et co-direction artistique : Patrick Leterme – Production, direction artistique et conception du décor : Mohamed Yamani – Direction d’acteurs : Emmanuel Dell’Erba – Avec : Marie-Catherine Baclin, Kris Belligh, Ronan Debois, Jérôme Demeuter, Pati-Helen Kent, Joana Martins Calhau, Robin Morgenthaler, Camille Nicolas, Jérémy Petit, Julie Prayez (interprétation), Mômô Bellance, Alexia Cuvelier, Sabrina Giordano, Max Stofkooper, Thibaut Verspreet (danse) – Musique : Candide Orchestra – Chorégraphie : Johan Nus – Costumes et graphisme : Gaël Bros – Lumières : Laurent Kaye – Création vidéo : Federico D’ambrosio – Assistanat de mise en espace : Elise Viola – Assistanat de production : Mathilde Simar

Résumé

Comédie musicale Près de 60 ans après le succès planétaire de Jacques Demy, cette première vraie adaptation à la scène reste fidèle à l’audace du film, tout est chanté ! Vous y redécouvrirez, avec un soupçon de nostalgie, les couleurs vintage et l’émotion débordante, parfois déchirante, des mélodies intemporelles de Michel Legrand. Dans la ville côtière, Madame Emery et sa fille Geneviève tiennent une boutique : Les Parapluies de Cherbourg. Geneviève, jeune bourgeoise, vit une histoire d’amour passionnée avec Guy, mécanicien dans un garage. Le coup de foudre résistera-t-il au temps qui passe et aux irréconciliables différences de classes sociales ? C’est l’histoire d’un drame universel, d’amours contrariés. Quand bonheur et tristesse se confondent, au fil des mots et des notes échangées, une tragédie intense se construit. Un orchestre de 20 musiciens interprète en live la partition de Michel Legrand, oscillant entre jazz et grandes envolées romantiques. 16 chanteurs et danseurs redonnent vie aux airs mythiques. La magie opère. Accessible à partir de 10 ans.

Lin Zhao – Réparer le monde

Distribution

Auteur : Jean-Claude Idée – Mise en scène, scénographie et création lumières : Jean-Claude Idée – Avec : Julia Le Faou, Cécile Van Snick – Assistant à la mise en scène : Simon Willame

Résumé

Méconnue chez nous, Lin Zhao est pourtant portée au rang d’icône par la dissidence chinoise actuelle, qui admire son courage dans son opposition au régime de Mao et se reconnaît dans certains de ses textes. Plus de 50 ans après sa mort, elle n’a jamais été totalement réhabilitée. Sa tombe, devenue un point de rassemblement pour les militants qui aspirent à plus de démocratie, est cernée de caméras de surveillance… A 17 ans à peine, Lin Zhao embrasse le communisme avec ferveur. Mais dans le milieu des années 1950, armée de sa plume, elle se dresse contre le régime totalitaire mis en place par Mao. Ses poèmes et textes critiques la conduisent derrière les barreaux, où elle poursuit son combat. Malgré des conditions de détention difficiles, elle parvient à écrire de nombreux poèmes, souvent contrainte à les rédiger avec son propre sang. Jusqu’au bout, elle refusera de se taire. En 2004, le réalisateur chinois Hu Jie lui consacre un documentaire et en 2018, Anne Kerlan publie « Lin Zhao, « Combattante de la liberté » », Prix de la Biographie 2019 du Point. Aujourd’hui son destin est porté à la scène par Jean-Claude Idée, qui poursuit son exploration des personnalités marquantes au parcours exceptionnel, après « Saint-Exupéry à New York » et « Korczak, la tête haute ».

Miss Else

Distribution

Auteur : Jeanne Dandoy, Lionel Ravira – D’après le roman d’ : Arthur Schnitzler – Adaptation et dramaturgie : Jeanne Dandoy, Lionel Ravira – Mise en scène : Jeanne Dandoy – Avec : Epona Guillaume, Alexandre Trocki – Scénographie et création lumières : Arié van Egmond – Vidéo : Lionel Ravira – Création sonore : Harry Charlier – Costumes : Emilie Jonet – Assistanat à la mise en scène : Judith Ribardière – Régie générale : Nicolas Oubraham – Stagiaire lumière : Eric Deltour – Stagiaire costumes : Sofia Saerens – Construction décor : Didier Rodot  

Résumé

Il est un âge où les jeux des adultes sont tentants mais dangereux, parce qu’on se croit être assez grand pour y jouer alors qu’on n’est qu’un enfant. En vacances avec sa tante fortunée, Else, une adolescente dont les désirs s’éveillent, teste son pouvoir de séduction entre fantasmes et essais maladroits. Un message urgent arrive de sa mère, l’invitant à user de son charme pour demander une somme importante au nanti Monsieur Von Dorsday, qui séjourne dans le même hôtel. Cet argent doit servir à sauver son escroc de père de la prison, voire du suicide. Von Dorsday lui adresse alors une proposition dangereuse… Else choisira-t-elle de sauver sa famille au détriment de son intégrité ? A 15 ans, trouvera-t-elle la force de résister et de se réapproprier son existence ? Axant ses spectacles autour des rapports de domination, Jeanne Dandoy explore cette fois la question du consentement et de l’abus de pouvoir en transposant la nouvelle d’Arthur Schnitzler aujourd’hui. Un splendide duo d’acteurs cisèle la tendre et sombre poésie de l’adolescence pour nous immerger dans le labyrinthe mental d’une jeune fille de 15 ans. Les créations lumières et vidéo nimbent d’un troublant onirisme cinématographique cette introspection d’une ingénue moderne exposée à la froideur du monde.

Ni oui, ni non, bien au contraire

Distribution

Auteur : Martine Godard – Écriture et mise en scène : Martine Godard – Avec : Gauthier Vaessen

Résumé

A partir de 4 ans Le Professeur Pompon reçoit plein de questions : « Si aujourd’hui, demain c’est demain, pourquoi demain c’est plus demain mais c’est aujourd’hui ? », « Pourquoi quand je ferme les yeux je vois des petites images ? »… Il arrive parfois que les questions soient simplement jolies. Ont-elles besoin d’une réponse ? Prix de la Ministre de l’Enseignement fondamental et Coup de cœur de la presse aux Rencontres de Huy 2019

NinaLisa

Distribution

Auteur : Thomas Prédour, Isnelle da Silveira – Mise en scène : Thomas Prédour – Avec : Dyna , Isnelle da Silveira (interprétation), Charles Loos (piano) – Dramaturgie : François Ebouele – Conseiller à la mise en scène : Gabriel Alloing – Conseiller chorégraphies : Serge Aimé Coulibaly – Scénographie : Cécile Balate – Lumières et vidéo : Benjamin Struelens – Peintures et illlustrations : Alix Philippe – Costumes : Judith Van Parys – Production : Gabriel Alloing, Axel de Jenlis  

Résumé

Une odyssée musicale et théâtrale sur Lisa et Nina Simone « NinaLisa » met en scène une ultime rencontre entre Nina Simone et sa fille, Lisa, lorsque celle-ci emménage dans la villa où sa mère a fini ses jours. Le temps d’une nuit, les deux femmes discutent à cœur ouvert de leur relation aussi fusionnelle que destructrice. Et au-delà de leur histoire singulière, elles nous racontent celle de l’Amérique de la ségrégation. Artiste phare du XXe siècle, Nina Simone aurait pu devenir la première pianiste classique noire des Etats-Unis. Si le racisme a eu raison de ses ambitions, c’est comme diva du jazz et icône du combat pour les droits civiques que l’Histoire retiendra son nom.

Notre-Dame de Paris

Distribution

Auteur : Thierry Debroux – D’après : Victor Hugo – Mise en scène : Thierry Debroux – Avec : Mickey Boccar, Didier Colfs, Stéphane Fenocchi, Marc Laurent, Marie Phan – Scénographie : Vincent Bresmal, Matthieu Delcourt – Confection gargouilles : Alice Jeannerat, Geneviève Périat – Costumes : Bea Pendesini – Lumières : Philippe Catalano – Maquillages : Florence Jasselette – Chorégraphie : Emmanuelle Lamberts – Vidéo : Allan Beurms – Assistanat à la mise en scène : Catherine Couchard  

Résumé

Quand les gargouilles s’en mêlent ! 16 avril 2019. La cathédrale la plus célèbre au monde vient de brûler. Les gargouilles ont échappé au pire et c’est avec elles que nous entrons dans le roman de « Monsieur Victor ». Sur le fil entre humour et émotions, cinq comédiens et leurs marionnettes donnent vie aux grands moments de l’histoire d’Esméralda, Quasimodo, Frollo, Phoebus et Gringoire. La pièce se veut à la fois historique et contemporaine, d’autant que le destin d’Esméralda résonne avec des questionnements actuels autour du consentement ou du harcèlement. Après le succès de ses mises en scène de « Scapin 68 » (en 2018) et « Cyrano de Bergerac » (en 2019) à l’ATJV, Thierry Debroux prend la plume pour revisiter le chef-d’œuvre de Victor Hugo : « tout est parti de cette émotion partagée par le monde entier : Notre-Dame brûlait ! ». Le spectacle s’est créé à Paris en mars dernier, moins d’un an après l’incendie. Passé maître dans l’art de rendre les classiques plus proches de nous, Thierry Debroux nous offre un moment de pur plaisir qui plaira à toutes les générations à partir de 10 ans.

Pang !

Distribution

Avec : Flo, Loïc, Greggi, Monkey

Résumé

Concert tout public Venez découvrir l’univers de ce groupe de rap 100% bio ! Parce que l’écologie aussi peut être fun, les 4 membres du collectif Pang ! ont choisi de mettre les alternatives durables au centre de leur projet musical. Sur des airs de hip-hop, 3 MCs et 1 beatmaker militent notamment pour le compostage, pour une plus large utilisation du vélo et en faveur de l’agriculture naturelle. Un concert aussi détonant qu’actuel.

Patricia

Distribution

Auteur : Geneviève Damas – D’après « Patricia » de : Geneviève Damas, © Editions Gallimard – Adaptation : Geneviève Damas, Frédéric Dussenne – Dramaturgie et mise en scène : Frédéric Dussenne – Avec : Raphaëlle Bruneau, Consolate Sipérius – Scénographie : Vincent Bresmal – Chorégraphie : Charlotte Villalonga – Création lumières : Renaud Ceulemans – Création costumes : Romain Delhoux – Assistanat à la mise en scène : Quentin Simon – Direction technique : Gaspard Samyn – Régie générale : Julie Bernaerts – Production et diffusion : Margot Sponchiado – Avec : l’aide de l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Quand un être a tout perdu, il est possible qu’un autre lui tende la main, non parce qu’il le connaît ou qu’il l’aime, simplement parce que c’est un humain, comme lui. (…) Peut-être est-ce par cette idée que Patricia et Vanessa tiennent encore debout. L’histoire d’une rencontre, une pièce d’une grande justesse qui offre une vision humaine et sensible du drame des migrants. Patricia veille sur Vanessa, 12 ans, rescapée d’un naufrage. Entre la quadragénaire qui fait de son mieux et la jeune fille réfugiée dans le silence, un lien se tisse petit à petit. Avec sa subjectivité, ses émotions, son vécu, chacune livre tour à tour sa version d’une rencontre faite de doutes, de peurs mais aussi d’espoir et de petites avancées.

Sonate d’automne

Distribution

Auteur : Ingmar Bergman – Traduction française : Carl Bjurström, Lucie Guillevic, ©Editions Gallimard – Mise en scène : Bruno Emsens – Avec : Jo Deseure, Julie Duroisin, Francesco Mormino et la participation d’Inès Dubuisson – Scénographie : Vincent Bresmal – Création costumes : Chandra Vellut – Création sonore : Sébastien Fernandez – Création lumière : Renaud Ceulemans – Réalisation et montage vidéo : Bruno Emsens – Création images (vidéo) : Sylvain Dufayard – Création sonore (vidéo) : Quentin Jacques – Pianiste : Tim Mulleman

Résumé

Charlotte vient rendre visite à sa fille Eva, qui habite avec son mari pasteur au fin fond de la campagne suédoise. Cela fait sept ans que les deux femmes ne se sont pas vues. Passée la chaleur des retrouvailles, les rancœurs refont vite surface et la nuit tourne au règlement de compte entre la mère autoritaire, brillante pianiste à la carrière internationale, et la fille effacée, en manque d’amour maternel. A l’étage, Helena, la petite sœur handicapée, veille. Et si sa mère était à l’origine de son infirmité ? L’accusation d’Eva tombe comme un couperet. Bruno Emsens transpose du grand écran à la scène le chef-d’œuvre d’Ingmar Bergman. Récompensé de nombreux prix (Oscar, Golden Globes, Palme, Ours d’or…), le réalisateur a fait de l’introspection psychologique et de l’analyse des comportements humains ses sujets de prédilection.

Strach – a fear song

Distribution

Auteur : Patrick Masset – Mise en scène : Patrick Masset – Avec Airelle Caen et en alternance avec Alice Noël, Julie Calbete en alternance avec Lucie Edel, Lucie Edel en alternance avec Jean-Louis Cortès, Yohann Dubois, Denis Dulon en alternance avec Guillaume Sendron – Ingénieur son : Antoine Delagoutte – Création lumières : Antoine Vilain et John Cooper – Costumes : Sarah Duvert, Bérénice Masset – Réalisation des masques : Morgane Aimerie Robin et Joachim Sontag

Résumé

Des corps qui se touchent, des voix qui se portent. D’entrée de jeu, on se trouve à la fois dans le plus élémentaire des rapports humains et dans l’inattendu. Là où le corps du porteur devient le sol du chanteur : ce mélange d’intranquillité et de confiance est source d’une étrange émotion. Patrick Masset Entrez dans le chapiteau, comme dans un antre obscur, ou dans un rêve. « Strach – a fear song » vous invite à y redécouvrir le « Cirque des origines ». Passionné par le mélange des arts, Patrick Masset allie ici la force originelle du cirque et la beauté divine de l’opéra. Il réunit trois acrobates, une chanteuse lyrique et un pianiste pour une expérience unique, entre tension et douceur, prise de risque et émotion. A la fois poétique et authentique, impressionnant et juste, « Strach – a fear song » est sacré meilleur spectacle de cirque aux Prix de la critique 2018. Accessible à partir de 10 ans.

Vous êtes uniques

Distribution

Conception et réalisation : Maggy Jacot, Axel De Booseré – Un spectacle kaléidoscopique incluant « Out of the box » basé : sur le texte « Le grand tri » de Paul Pourveur – Avec des textes de : Mireille Bailly et de l’équipe artistique – Avec : Astrid Akay, Fabian Finkels, Pénélope Guimas, Loriane Klupsch, Fabrice Schillaci, François-Michel van der Rest – Et la participation de : One Nation Crew – Assistanat scénographie et costumes : Rüdiger Flörke, Julie Antipine – Assistanat organisationnel : Julia Kaye – Chorégraphie : Darren Ross – Création lumières : Gérard Maraite – Création son : Eric Ronsse – Régie générale : Dylan Schmit – Régie plateau : Antoine Moors – Régie lumière : Renaud Minet – Régie son : Jérôme Mylonas – Réalisations décors et costumes : Ateliers du Théâtre de Liège, Billie Mertens – Habilleuse : Françoise Hottois

Résumé

Bienvenue dans l’univers festif et résolument décalé d’Axel De Booseré et Maggy Jacot, complices de longue date aux créations mémorables. Depuis « Le Dragon » en 1999, ils en ont parcouru des scènes et exploré des œuvres ! Fondateurs de la Compagnie Pop-Up, ils offrent au public des spectacles aux formes inventives et réjouissantes avec une générosité constante. « Vous êtes uniques » est un spectacle qui questionne l’individu et son rapport à la norme. Pourquoi serions-nous enclins à reproduire des comportements conformistes ? Nos compromissions anodines, nos aveuglements d’autruche ou notre inertie ne feraient-ils pas de nous les petites mains d’un système global ? Une forme kaléidoscopique déroule devant nos yeux une succession de tableaux comme autant de points de vue et de perspectives. Evénements visuels et poétiques où musique et danse côtoient des fragments théâtraux inspirés notamment par « Le grand tri » de Paul Pourveur. De la scène au public, l’universel devient personnel ; de quoi nous plonger dans un shaker régénérant, remue-méninges tantôt consternant, tantôt hilarant !

Zinzin

Distribution

Auteur : André Borbé – De et avec : André Borbé accompagné par Hervé Borbé et Patrick Schouters

Résumé

De 5 à 8 ans C’est l’histoire chantée, racontée et dessinée en direct, de Léopold et de son chien Zinzin. Les deux amis sont inséparables même si Zinzin fait beaucoup de bêtises et que Léopold se fait gronder par sa faute. Pourtant, ce chien, personne ne l’a jamais vu… Prix de la Ministre de la Culture lors de la Vitrine Chanson et Musique à l’école

Inscription à la newsletter

Restez au courant de toutes les annonces de festival, programmation, actualité, offres et plus encore!