2024 - 2025

3 jours, 3 nuits

Distribution

Concept, chorégraphie et performance : Louise Vanneste –  Son : Cédric Dambrain – Dramaturgie : Sara Vanderieck – Scénographie : Arnaud Gerniers, en collaboration avec Esther Denis – Eclairage : Arnaud Gerniers – Assistante chorégraphique : Anja Röttgerkamp – Regard extérieur : Paula Almiron – Voix : Betty Lamoulie et Véronique Dumont – Diffusion, production et administration : Alma Office – Alix Sarrade.

Résumé

Danseuse, pédagogue, chorégraphe, Louise Vanneste est sur tous les fronts. Au sein de sa Compagnie Rising Horses, elle développe un travail chorégraphique pointu, en étroite collaboration avec des artistes plasticiens, musiciens ou vidéastes. Avec 3 jours, 3 nuits, Louise Vanneste revient à la forme solo et se lie à des phénomènes géologiques par le prisme de leurs caractéristiques physiques et chimiques. Ces rencontres donnent naissance à une figure hybride qui se laisse envahir par des récits, des hallucinations, des informations scientifiques, des souvenirs, des sensations… Une oralité chorégraphique nait de ces expériences immédiates et intuitives. À travers une écriture polyphonique et kaléidoscopique, le son, la lumière, le texte et le corps s’assemblent pour créer une forme d’épopée science-fictionnelle et onirique visant ainsi à explorer les limites de ce qui est humain ou géologique, mais aussi de ce que l’on peut représenter ou sonder. Louise Vanneste est artiste en résidence à l’UCLouvain pour les années 2023–2024 et 2024–2025.

Alter

Distribution

Un projet de Caroline Cornélis créé avec Tom Malmendier et Miko Shimura – Avec Tom Malmendier et Miko Shimura – Collaboration artistique : Marielle Morales – Univers sonore : Claire Goldfarb et Tom Malmendier – Création lumières : Frédéric Vannes – Regard scénographique et plastique : Anne Mortiaux – Diffusion et développement : Ad Lib · Support d’artistes – Avec la complicité de Ashida Junko (céramiste)

Résumé

Ensemble, ils explorent tous les états de l’argile et transforment le plateau en paysages micro et macroscopiques. Aux creux de leurs échanges apparaissent des lieux imaginaires, des villes, des sols et des reliefs. Toujours dans l’instant, ils tracent des chemins intuitifs dans un rapport direct, brut et sans artifice avec la matière. Après avoir accueilli leurs spectacles Terre Ô et Stoel, c’est avec joie que nous retrouvons cette saison la compagnie Nyash avec leur dernier projet Alter. Fondée en 2006, cette compagnie a pour objectif d’amener la danse contemporaine au jeune public par un langage de corps investi, engagé et poétique. En partant du réel, elle convie les spectateurs à voyager dans un univers de sensations.

Anima Eterna Brugge & Vox Luminis

Distribution

Orchestre : Anima Eterna Brugge – Chœur : Vox Luminis XL – Chef d’orchestre : Jakob Lehmann – Préparation du chœur : Lionel Meunier – Piano : Joseph Moog – Soprano : Yeree Suh – Baryton : Thomas Bauer

Résumé

L’ensemble de musique ancienne Vox Luminis a pour ambition de donner vie aux chefs-d’œuvre de la musique et de faire découvrir au public des perles parfois inconnues. Pour ce concert inédit, il sera en version XL et en collaboration avec l’ensemble Anima Eterna Brugge.  Programme  Franz Liszt – Les Préludes, S.97 (Symphonic Poème N°3) – 1854 Le plus populaire des treize poèmes symphoniques.  Franz Liszt – Totentanz, Paraphrase über “ Dies Irae ” Piano : Joseph Moog Le centre de l’œuvre est la mélodie grégorienne du Dies Irae. La partie soliste au piano est extrêmement virtuose, considérée même comme injouable. Gabriel Fauré – Requiem op.48 – vers 1893 Soprano: Yeree Suh – Baryton: Thomas Bauer Cette version n’est pas de la main de Fauré lui-même. La version originale reste d’une beauté incomparable. Il ne demande pas de violons, excepté un solo divin, le contraste avec la première partie ne peut pas être plus grand.

Atelier d’écriture avec Alex Lorette

Distribution

Résumé

Nous partirons de la thématique de l’exploration du réel. Comment transposer des phénomènes de société et/ou d’actualité par l’écriture, théâtrale ou non ? Au Vilar, vous avez pu découvrir Alex Lorette avec ses textes Mouton noir en 2018, La Vie comme elle vient en 2021, Dream Job(s) en 2023 et cette saison Les Grandes Marées. Ses formations et ses expériences multiples en économie, sociologie et théâtre nourrissent son écriture dramatique. Ses textes s’ancrent toujours dans une analyse de la manière dont le fait social influence la construction de notre identité et notre lecture du monde qui nous entoure. Nombre de textes d’Alex Lorette sont primés en Belgique et à l’étranger. En 2023, il a publié son premier roman, Un fleuve au galop (Genèse Edition).

Atelier danse

Distribution

Résumé

En plus d’un travail purement corporel, y seront élaborés des procédés d’écriture qui invitent chacune et chacun à déployer ses aspirations actuelles, intimes ou universelles. Il s’agira ensuite de transformer ces moments d’écriture en gestes artistiques par la parole, la danse, le regard… pour les transmettre en mouvements partagés qui s’inscriront dans une danse collective.

Atelier jeu théâtral

Distribution

Résumé

Alexandre est assistant à la mise en scène sur Les Trois Sœurs (version androïde) au Vilar cette saison. Quand ? 10 samedis de 9h30 à 12h30 Dates : 12.10, 19.10, 9.11, 16.11, 23.11, 30.11, 21.12, 11.01, 18.01 et 25.01
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Aux Cyprès Heureux

Distribution

Texte et mise en lecture : Florence Bovet – Avec Florence Bovet, Emilie Eechaute, Fabrice Rodriguez et Allan Bertin.

Résumé

Lecture-Spectacle du texte Aux Cyprès Heureux de Florence Bovet. La lecture est suivie d’une rencontre animée par Stéphanie Van Vyve. — Nous invitons les spectateurs à entrer, pendant quelques instants qui dureront une ou deux vies au moins, « Aux Cyprès Heureux », un restaurant à l’enseigne au néon rouge qui n’a pas changé depuis trente ans. Ici, la linéarité du temps se rompt et les histoires d’hier, d’aujourd’hui et de demain se croisent et se mélangent pour raconter, ensemble, les craintes et les espoirs transgénérationnels de quatre octogénaires, d’une jeune fille enceinte, d’un serveur pressé et d’une radio qui ne cesse de s’allumer. Ici, on revit chaque soir la même histoire, pour guérir les souvenirs et écrire les avenirs.
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Conférence

Distribution

Résumé

Cette première conférence, intitulée Un Point c’est tout, est une conférence sportive sur la langue inclusive. Elle est le résultat d’une rencontre et d’un travail entre les artistes Arnaud Hoedt / Jérôme Piron / Antoine Defoort et la chercheuse de l’UCLouvain, Anne-Catherine Simon. Peut-on débattre des questions de langue française de manière constructive ? Cherche-t-on à marquer des points ou à comprendre avant de juger ? Dans un échange rythmé, la chercheuse et les comédiens abordent les questions qui font polémique en lien avec l’écriture inclusive et ce qui est en devenu un symbole, le point médian. Histoire de faire le point sur ce que l’on sait de l’utilité, de la complexité ou encore de l’histoire de l’écriture inclusive.
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Conférence

Distribution

Résumé

Cette conférence, intitulée La Parole est-elle un art ? Ou un couteau suisse ?, est le résultat d’une rencontre et d’un travail entre l’artiste Anne-Pascale Clairembourg  et le chercheur de l’UCLouvain, Philippe Hambye. — Conversation entre un sociolinguiste et une comédienne et metteuse en scène, à propos du langage. Ses potentialités et ses limites. Les malentendus qu’il engendre, les difficultés qu’il soulève, les émerveillements qu’il rend possibles. Mais aussi le pouvoir qu’il constitue et qu’il exerce. Un peu de linguistique, un zeste de philosophie politique, le tout plongé dans un mélange d’expériences professionnelles à la fois proches et distinctes. Pour tenter de répondre à cette question : au fond, « maitriser le langage », qu’est-ce que ça signifie ? Que ce soit à l’école, au théâtre, ou dans la vie en général, est-ce que nous « maitrisons » notre langage ? Est-ce qu’on devrait apprendre à le faire, afin de devenir toutes et tous des maitres en art de la parole ? « Bien parler », est-ce un luxe pour les élites, un impératif moral, une nécessité démocratique ? Le débat est ouvert…
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Conférence

Distribution

Résumé

Cette conférence intitulée S’encabaner en BD et sortir des cases est le résultat d’une rencontre et d’un travail entre l’artiste Héloïse Meire et Véronique Bragard, professeur de littérature à l’UCLouvain. Cette conférence créative et immersive vous fera entrer dans une série de bandes dessinées revisitant le motif de la cabane de Thoreau. Elle mettra en exergue les possibilités de la bande dessinée d’engager une réflexion écopolitique qui questionne la place de l’humain et ses liens au vivant. La conférence sera donnée par Véronique Bragard. En partenariat avec Les Nuits d’encre.
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Conférence

Distribution

Résumé

Cette conférence sur le thème de Pastiche et traduction littéraire est le résultat d’une rencontre et d’un travail entre l’artiste Jasmina Douieb et le chercheur de l’UCLouvain, Mauricio Narváez. L’artiste Jasmina Douieb et le chercheur Mauricio Narváez aborderont la technique du pastiche comme outil pour accéder à une meilleure approche de la traduction, mais aussi comme acte créatif tout court. Cette définition permettra de faire un pont avec l’acte de la mise en scène qui est elle-même une traduction, une exploration d’une œuvre existante, et également un acte créatif en soi.

D’Or et de sang

Distribution

Mise en scène : Philippe Vande Weghe – Avec Mathias Gramme, Gaspard Gramme, Hélène Liétar, Émile Postic, Margot Prouhet, Lucas Scohier et les chevaux Fangorn, Hermès, Oujda, Uma ainsi que le chien Iro – Scénographie : Aline Claus et Isis Hauben – Costumes : Léonor Boyot-Gellibert – Assistanat costumes : Darius Grenier et Judith Van Parys – Création musicale : Émile Postic – Création lumières : Simon Renquin – Régie : Maria Audejean – Régie plateau : Nicolas Van Moer – Recherche sur le corps en mouvement : Fatou Traoré – Diffusion et production : Pascale Mahieu

Résumé

À l’heure du grand show, les chevaux sont harnachés, les filles sont belles et les garçons sont forts. Dans un incessant ballet mêlant cirque, voltige et dressage de chevaux, le fouet claque pour tenir les rênes de cette petite mécanique. De la surenchère jaillit la chute, les costumes s’arrachent, le maquillage coule. Le tourbillon emporte les corps et déconstruit ce qui toujours fut… La piste ne suffit pas à contenir tous ces débordements qui emportent le spectateur dans une virevoltante expérience. À partir de l’image du cirque traditionnel, hiérarchisé et patriarcal, les artistes de la compagnie Tempo d’Eole questionnent notre société et ouvrent une brèche vers un imaginaire plus harmonieux. Pour cette nouvelle création, ils réunissent sous leur chapiteau cinq acrobates, un musicien, un chien et quatre chevaux dans un spectacle époustouflant ! Depuis plus de dix ans, la compagnie brabançonne mêle art équestre et cirque, conte, théâtre et musique pour le plus grand bonheur des petits et des grands.

Des Estivantes

Distribution

Adaptation et mise en scène : Georges Lini – Traduction : André Markowicz – Avec France Bastoen, Mélissa Diarra, Marie du Bled, Elfée Durşen, Stéphane Fenocchi, Léone François Janssens, Thierry Janssen, Jérémy Lamblot, Vincent Lecuyer, Léopold Terlinden, Luc Van Grunderbeeck, Marie Van Puyvelde, Félix Vannoorenberghe et Mehdi Zekhnini – Scénographie et costumes : Thibaut De Coster et Charly Kleinermann – Création lumières : Jérôme Dejean – Composition musicale : Pierre Constant et François Sauveur – Œil extérieur : Nargis Benamor – Chorégraphie : Emmanuelle Lamberts – Assistanat à la mise en scène : Sébastien Fernandez

Résumé

Rebaptisée Des Estivantes par le metteur en scène Georges Lini, la pièce s’inscrit toujours en 2024 dans la critique d’un ancien monde. De jeunes gens-pour la plupart – et de moins jeunes se retrouvent le temps d’une soirée autour d’un banquet. C’est les vacances, et ce soir, auberge espagnole. Ils/elles sont ami(e)s. Du moins c’est le terme qu’ils/elles utilisent pour qualifier les relations qu’ils/elles entretiennent entre eux. En réalité, beaucoup de choses les opposent. Alors la soirée se passe. On mange, on boit, on danse et chante, on rit, on dit certaines choses et on en entend d’autres, on fait bonne figure, mais à force, les tensions naissent et le vernis craque. Le fossé se creuse. Les vérités sortent. Et la soirée vire au règlement de comptes. Dans ce brouhaha, une voix, celle de Varvara, s’élève au-dessus de la mêlée. Après le succès d’Ivanov de Tchekhov en 2023, Georges Lini poursuit son exploration des classiques russes. Quatorze acteurs se réunissent autour d’une « déconstruction » festive et réparatrice en temps réel.

Discourir devant une pieuvre

Distribution

Dramaturgie collective – Co-écriture : Baptiste Montagnier – Mise en scène : Marie Coyard – Avec Marie Bonnarme, Audric Chapus, Justine Lequette et Léo Smith – Musique et création sonore : Loup Mormont – Création costumes : Miléna Forest – Coach en tissu aérien : Daniel Lovera Bautista – Scénographie et accessoires : Nathalie Moisan (Collective Crabe) – Stagiaire scénographie et accessoires : Annabelle Kihoulou – Création lumières : Lou Van Egmond (Collective CLaM) – Chorégraphe : Sarah Gérodez – Assistanat à la mise en scène : Lou Joubert Bouhnik – Regard extérieur : Gabriel Sparti. Remerciements à Samy Caffonnette, Alain Coyard, Marion Eudes, Sara Holmes, Mérida Lopez Varela, Maïté Lottin, Klaudia Maraite, Renaud Riga, aux soignant.e.s de l’hôpital Bordet et à toutes les personnes interviewées.  

Résumé

Monsieur Ratzinberg, atteint d’un cancer, lutte avec son corps malade. Les soignants qui l’accompagnent mènent eux aussi un combat permanent, confrontés à des logiques socio-économiques déshumanisantes. Chacun résiste pour que subsiste la vie. Nourrie d’expériences personnelles et d’interviews auprès de professionnels et de malades, Marie Coyard nous livre un premier spectacle poignant, inspiré de son histoire familiale. Sous la forme d’un ballet où se croisent une quarantaine de personnages, le texte se déploie avec poésie.

Expo photo : Transformation du théâtre

Distribution

Résumé

Exposition photographique de Corentin Haubruge L’envers du décor : les coulisses de la transformation architecturale du Théâtre Jean Vilar. À travers une série de photographies de Corentin Haubruge, cette exposition retrace la profonde transformation architecturale du Théâtre Jean Vilar, opérée entre le printemps 2022 et l’été 2024. Une vingtaine de reportages, réalisés au rythme du chantier, ont documenté la reconfiguration structurelle et symbolique de ce lieu emblématique. La réalisation du théâtre (architecte Jean Potvin) était portée en 1979 par une ambition culturelle, sociale et architecturale : donner une place à la culture au sein de la ville. Cette vision se prolonge et se renforce aujourd’hui, à travers le projet de OUEST architecture. Cette mutation passe par un acte constructif fort, à savoir la modification de l’élément infrastructurel constitutif du centre urbain : la « dalle ». Immortalisant ses découpes et sutures, ses renforts et ouvertures, les photographies de cette exposition révèlent les états éphémères de cette aventure architecturale, questionnant au passage les enjeux de développement d’une ville nouvelle ancrée dans la culture de son époque. Cette exposition est soutenue par le Fonds Recherche Création de l’UCLouvain, un projet mené par Giulia Marino, Nele De Raedt et Corentin Haubruge, membres de LOCI – LAB.  Partenaires du projet : UCLouvain Culture, Le Vilar (Louvain-la-Neuve), OUEST Architecture, LOCI – LAB – UCLouvain, Cellule Architecture- Fédération Wallonie-Bruxelles. Gratuit Accès libre à l’exposition une heure avant la représentation (horaire variable selon le jour – voir calendrier ci-contre-).

Festival MOZAÏK (mars)

Distribution

Résumé

Le Lever du Rideau vous invite à la nouvelle édition de leur festival MoZaïk. Le festival se déroule ces 11 et 13 mars 2025 ! Deux soirées placées sous le signe du théâtre et de l’humour.  

Festival MOZAÏK (novembre)

Distribution

Résumé

Le Lever du Rideau vous présente le Festival MOZAÏK 2024 les mercredi 6 et jeudi 7 novembre. Le début de chaque pièce commencera à 20h00, mais, avant cela, vous assisterez à une carte blanche d’un KAP avant chaque pièce.   Ouverture des portes : 19h Début de la carte blanche : 19h30 Début de la pièce : 20h Cet horaire est applicable pour chaque soir. Ambiance chaleureuse et amicale. Mercredi 6 novembre : 3 stand uppers: – Gildas Comedy – Nuage Magique – Jessy Bandi Jeudi 7 novembre : La Salope du village de Pierrick de Luca

Festival UNIVERSATIL

Distribution

Résumé

Découvrez des spectacles de théâtre amateur présentés par les troupes étudiantes. Elles se produiront chez nous du 17 au 21 février 2025 (et du 3 au 14 février aux Ecuries de la Ferme du Biéreau). A découvrir au Théâtre Blocry : 17.02 à 20h30 : Que sur toi se lamente le Tigre 18 > 21.02 à 19h30 : L’Abattage rituel de Gorge Mastromas Depuis 2001, le TUL met sur pied ce festival de plusieurs semaines à Louvain-la-Neuve. Il permet, chaque année, à un grand nombre de jeunes de se produire sur scène. Composé de pièces de théâtre, de concerts, de soirées danse ou chant…, UNIVERSATIL se veut ouvert à toutes les formes d’arts scéniques et à tous les publics (étudiants, habitants, familles de Louvain-la-Neuve et d’ailleurs).  
©Emilie Jonet

Going Home

Distribution

Mise en scène : Vincent Hennebicq – Avec Vincent Cahay, Dorcy Rugamba et François Sauveur – Lumières et scénographie : Fabrice Murgia et Giacinto Caponio – Costumes : Émilie Jonet – Création musicale : Vincent Cahay et François Sauveur – Ambiance sonore : Cédric Otte – Vidéo : Olivier Boonjing – Régie générale à la création : Romain Gueudré – Régie générale en tournée : Brice Tellier – Régie son : Sébastien Courtoy – Régie lumière : Nathanaël Docquier – Diffusion : Popi Jones asbl.

Résumé

L’histoire commence à Hambourg, dans un parc sous la neige. Un homme égaré, avec 5000€ à ses pieds, se demande ce qu’il fait là. Le braquage a mal tourné, la police est venue l’arrêter. Tout le monde le regarde. En quelques mots, le décor est planté : l’histoire de « Michalak l’Éthiopien » s’offre à nous. Adopté quand il était enfant par une famille autrichienne, il est embarqué dans une histoire chaotique de Salzbourg à Addis-Abeba. Il veut quitter l’Europe mais il va se heurter de plein fouet au système : l’administration, la police, la justice… Going Home nous raconte son combat solitaire, sa quête intérieure, son grand voyage « à l’envers ». On le suit dans les dédales de son existence, avec ses espoirs et ses peurs, sa pudeur et ses colères, ses désillusions et ses rêves. Ce spectacle percutant et résolument actuel mêle paroles, musique live et vidéos tournées en Éthiopie, montrant un pays beau et fier, loin des clichés misérabilistes.
Photo de répétition © Marc Debelle

Hamlet

Distribution

Mise en scène, adaptation et traduction : Christophe Sermet – Avec Adrien Drumel, François Gillerot, Francesco Italiano, Sarah Lefèvre, Anne-Marie Loop, Nathalie Mellinger, Mathilde Rault, Fabrice Rodriguez, Zoe Schellenberg et Alexandre Trocki – Collaboration à l’adaptation : Caroline Lamarche – Scénographie et création lumières : Simon Siegmann – Création sonore : Maxime Bodson – Assistanat à la mise en scène : Quentin Simon – Stagiaire en scénographie : Georges Donnet – Création vidéo et typographie : Sam Bodson – Création costumes : Marie Szersnovicz – Création coiffures, perruques & maquillage : Katja Piepenstock – Habilleuse : Manon Bruffaerts – Régie générale : Giuliana Rienzi – Régie lumières : Arthur Demaret – Régie son : Célia Naver, Simon Pirson – Régie plateau : Olivier De Bondt, Lucas Hamblenne – Régie vidéo : Ludovic Desclin – Construction décor et confection costumes : Ateliers du Théâtre National Wallonie-Bruxelles. Remerciements à la Compagnie De Facto.

Résumé

Filant une métaphore marine pour raconter la tragédie, Christophe Sermet respecte l’intrigue originale et révèle le style flamboyant mais concis du texte shakespearien. C’est l’histoire d’un jeune homme dont on attend la vengeance en retour de l’assassinat présumé de son père – le roi. Incapable d’exercer la violence, Hamlet recourt aux mots et au théâtre pour la retarder. Il ira jusqu’à jouer la folie dans une enquête aux allures de thriller politique dans le huis clos d’un palais à la dérive. Un ilot que l’on ne peut fuir qu’en se jetant dans l’océan. Entre comique et tragique, la mécanique est lancée sans qu’on n’y puisse rien changer, ni aux pulsions humaines ni au bain de sang final. Hamlet, c’est l’avènement d’un individu qui prend conscience qu’il est un mystère pour lui-même et sa quête d’identité trouve un écho dans le contexte actuel d’accélération numérique. Mais Hamlet, c’est aussi le doute qui s’insinue partout, le héros se sert alors du théâtre pour tenter de percer le mystère de l’intrigue et sonder la part intime de chaque individu. Cette mise en abime subtile du théâtre fait partie du jeu génial que propose la pièce, depuis quatre siècles. Quelle veine de la faire résonner dans votre nouveau théâtre !
 Ger Spendel

J’ai enlevé Mamie

Distribution

Adaptation et mise en scène : Jérôme Poncin – Avec Jeanne Decuypere, Benoit de Leu de Cecil, Simon Hommé et Anaïs Pétry – Scénographie : Noémie Vanheste – Création marionnettes : Aurélie Deloche et Marc Maillard – Création décors : François De Myttenaere – Création musicale : Gloria Boateng – Création costumes : Evy Demotte – Illustrations : Ian De Haes – Régie : François De Myttenaere et Jonathan Vincke.

Résumé

La grand-mère de Lou vit depuis plusieurs années dans une maison de retraite. Malgré ses visites ponctuelles, Lou ne la connait pas si bien que ça. Tout ce dont elle est sûre, c’est que sa grand-mère a quelques problèmes de mémoire… Mais Lou est très attachée à sa mamie. Alors quand elle parle de partir pour rejoindre son mari, le grand-père que Lou n’a jamais connu, celle-ci la prend au mot et la fait évader de la maison de retraite. Embarquez avec elles pour un voyage surréaliste suspendu dans le temps, une enquête à la recherche d’un papy disparu, une rencontre entre une grand-mère déboussolée et sa petite-fille déterminée, une traversée folle de la mer à l’Ardenne en passant par Bruxelles, des moments de cirque, des marionnettes à taille humaine… De quoi se régaler avec le cœur et les yeux ! Mention du jury pour « le regard tendre et espiègle sur le lien à nos ainés » aux Rencontres Théâtre jeune public de Huy 2023.
Photo du spectacle "Jamais, toujours, parfois"

Jamais, toujours, parfois

Distribution

Mise en scène : Magali Pinglaut – Traduction : Sabine Haudepin, Dominique Hollier, Séverine Magois, Adélaïde Pralon – Avec Anne-Claire, Capucine Duchamp, Sigfrid Moncada et Isabelle Paternotte – Scénographie : Anne Guilleray – Création lumières : Emily Brassier – Costumes : Marie-Hélène Balau – Conseiller et collaborateur dramaturgique au son : Antoine Plaisant – Assistanat à la mise en scène : Sarah Lefèvre

Résumé

Anna, 18 ans, vit seule avec sa mère Renée. À défaut d’être partie faire des études comme ses amies, elle se verrait bien écrivaine. Il faut dire qu’enfant, elle était plutôt douée pour écrire d’étranges et surprenantes histoires. Mais après des années de traitement, sa créativité semble bloquée. Alors contre l’avis de sa psychiatre, Anna décide d’arrêter les médicaments. Au fond n’est-elle pas plus malade d’être soignée ? Plus morte que vivante ? Un choix qui ébranle aussi son entourage : sa relation avec son petit ami Oliver se dégrade et sa mère ne parvient plus à la contrôler. Dans un style drôle et poétique, l’autrice australienne Kendall Feaver révèle toute la complexité des relations humaines face à la santé mentale. Comment agir face à un proche dont le besoin d’autonomie devient plus important qu’une relative paix de l’esprit ? Peut-on priver quelqu’un de sa liberté pour son propre bien ? Jamais, toujours, parfois a reçu de nombreuses distinctions, dont le prix du jury au plus grand concours d’écriture dramatique en Europe (Bruntwood Prize) et celui de la meilleure pièce aux UK Theatre Awards en 2018.
©Emilie Sfez

Kheir Inch’Allah

Distribution

Mise en scène : Mohamed Ouachen – Avec Yousra Dahry – Regard dramaturgique : Bwanga Pilipili – Assistanat à la dramaturgie et production : Samira Hmouda – Création lumières : Tarek Lamrabti – Régie générale : Stanislas Drouart – Régie lumières : Valentine Bibot en alternance avec Gauthier Minne

Résumé

Il s’appelaient les Barons dans le film de Nabil Ben Yadir, ils sont les Draris chez Yousra Dahry. Sauf que Kheir Inch’Allah adopte le point de vue théâtral et féminin. Kheir Inch’Allah retrace le parcours épique d’une jeune femme qui se mêle aux garçons à l’école du drarisme. Par son humanité, son humour et son intelligence, ce one woman show, porté par une artiste à l’énergie contagieuse, pose un regard inédit sur les questions de lien social, de conflits de classes et de tolérance.

Kiss & Cry

Distribution

Mise en scène et scénario : Jaco Van Dormael – Chorégraphie et NanoDanses : Michèle Anne De Mey et Gregory Grosjean – Texte : Thomas Gunzig – Lumières : Nicolas Olivier – Image : Julie Lambert – Assistante caméra : Aurélie Leporcq – Décor : Sylvie Olivé assistée d’Amalgame (Elisabeth Houtart et Michel Vinck) – Assistanat à la mise en scène : Benoît Joveneau et Caroline Hacq – Design sonore : Dominique Warnier – Son : Boris Cekevda – Manipulations et interprétation : Bruno Olivier, Gabriella Iacono et Pierrot Garnier – Construction et accessoires : Walter Gonzales, Amalgame (Elisabeth Houtart et Michel Vinck) – Conception deuxième décor : Anne Masset, Vanina Bogaert et Sophie Ferro – Régie générale : Nicolas Olivier – Directeur technique : Thomas Dobruszkès – Production : Hélène Dubois/Astragales ASBL – Relations Publiques : Marie Tirtiaux

Résumé

Accueilli en 2013 à l’Aula Magna, Kiss & Cry bouscule les frontières de toutes les disciplines artistiques pour concevoir devant nos yeux une représentation chaque soir unique. Le spectacle associe cinéma « live », danse de doigts, texte et décors miniatures pour créer un nouveau langage scénique. Un voyage onirique qui ouvre l’imaginaire et développe une nouvelle manière de raconter aux frontières des genres. La rencontre d’une grande chorégraphe, d’un auteur de talent et d’un maitre du 7ème art. Une performance de haut vol, élue meilleur spectacle de danse aux Prix de la Critique à sa création.

L’Empreinte

Distribution

Direction artistique : Jean-Michel d’Hoop  et Carole Karemera — Mise en scène : Jean-Michel d’Hoop – Avec Aubaine Hirwa, Gretta Ingabire, Léone François Janssens, Mucyo Arnaud Kanyankore, Léa Le Fell, Héloïse Meire, Michael Sengazi, Corentin Skwara, Benjamin Torrini et Neema Umutesi – Assistanat à la mise en scène :  Alphonse Eklou – Marionnettes et masques : Loïc Nebreda et Timothy Wandulu – Assistanat marionnettes : Aline Claus, Isis Hauben – Musique : Boris Gronemberger – Création sonore : Loïc Le Foll – Scénographie : Stéphan Dubrana – Costumes : Cinzia Derom – Éclairages : Xavier Lauwers – Traduction (Français vers Kinya) : Mucyo Arnaud Kanyankore  – Direction de production et de diffusion : Nathalie Kamoun pour Point Zéro – Assistanat de production et de diffusion : Marjorie Ribant pour Point Zéro – Production & logistique : Aurore Iradukunda pour Ishyo – Direction technique de tournée : Grégoire Tempels – Régie Générale : Eric Degauquier – Régie Lumières : Nicolas Francq – Régie son : Quentin Connan – Stagiaire régie son : Antoine Soupart – Direction technique : Jacques Magrofuoco – Avec l’aide de l’équipe technique Le Vilar.  

Résumé

Kunda et Lucile sont nées exactement au même moment, mais à des endroits très éloignés. Tout les sépare et pourtant tout les rapproche. Quelque chose en elles est brisé : les larmes ne coulent plus, quelque chose s’est asséché. Pour tenter de dénouer le mal qui les ronge, Mimi et Mukandori, leurs grands-mères, vont les inviter à plonger dans leurs songes et convoquer les récits enterrés. Dans ce silence trouble, l’oiseau messager peut venir… L’Empreinte, c’est une formidable création à cheval sur deux continents, avec 10 comédiennes et comédiens belges et rwandais et leurs marionnettes. Elle interroge la transmission entre générations et notre rapport au monde dans les imaginaires d’aujourd’hui en Afrique subsaharienne et en Europe.

La Pomme empoisonnée

Distribution

Texte : Julie Annen, avec la participation d’Ana Bellot et de toute la famille – Mise en scène : Julie Annen – Avec Diana Fontannaz et Ninon Perez – Soutien dramaturgique : Diana Fontannaz et Charly Kleinermann – Assistanat à la mise en scène : Margot Le Coultre – Scénographie et costumes : Thibaut De Coster et Charly Kleinermann – Construction des décors : Atelier Antilope – Léo Bachman – Vidéo : Eric Bellot – Création sonore : Félix Bergeron – Création lumières : Gilbert Maire – Régie (en alternance) : Marc Defrise ou Caroline De Decker – Production et diffusion : Stéphanie Bouteille

Résumé

En 2015, Julie Annen quitte la Belgique pour s’installer en Suisse avec son mari. Elle a deux garçons, et lui, une fille : Ana. Julie devient alors officiellement sa belle-mère, autrement dit sa « marâtre ». Faute de modèle satisfaisant, elles ont dû apprivoiser ce nouveau lien, composer à quatre mains une relation toute neuve, en déjouer les pièges, en découvrir les trésors cachés. La Pomme empoisonnée est un regard sur la famille recomposée et plus largement sur notre capacité à vivre ensemble. Un spectacle où l’on rit beaucoup tout en ouvrant le dialogue sur les nouveaux modèles familiaux qui, loin d’appauvrir le concept de famille, le font grandir et lui donnent des couleurs inédites.
©Stéphane Gaillochon

La Tragédie comique

Distribution

Mise en scène : Ève Bonfanti – Avec Yves Hunstad – Création lumières : Gaëtan Van den Berg – Scénographie, masque et costumes : Françoise Colpé et Erhard Stiefel – Régie lumière et direction technique : Valère Le Dourner

Résumé

Créée en 1988, La Tragédie comique fait partie des spectacles qui ont tellement marqué l’histoire du théâtre qu’ils en sont devenus mythiques. Joué près de 1000 fois dans le monde entier, ce surprenant face-à-face entre l’homme et l’imaginaire a donné à toute une génération le goût du théâtre. Nous sommes heureux de pouvoir à notre tour vous faire découvrir cette pépite scénique créée par Ève Bonfanti et Yves Hunstad ! À la croisée du théâtre élisabéthain et de la création contemporaine, La Tragédie comique joue avec la représentation, son cortège d’impostures et de dévoilements, ses limites et son infinité. Seul en scène, Yves Hunstad invente un fabuleux personnage cosmique, humain, grave et fragile, qui nous embarque pour un voyage jusqu’au cœur d’un grand mystère : celui du théâtre.
©Dominique Libert

Landfall

Distribution

Conception et chorégraphie : Erika Zueneli – Avec Louis Affergan, Alixce Bisotto, Caterina Campo, Lola Cires, Clément Corrillon, Benjamin Gisaro, Félix Rapela, Matteo Renouf, Charly Simon et Elisa Wéry  – Collaboration et scénographie : Olivier Renouf – Dramaturgie : Olivier Hespel – Regard complice : Julie Bougard – Assistanat au projet : Louise De Bastier et Corentin Stevens – Musique originale : Thomas Turine – Création lumières : Laurence Halloy – Costumes : Silvia Hasenclever – Administration, production : des Organismes vivants & Ta-dah !/asbl – Diffusion : Marie Wiame – Régie son : Alice Spenle.

Résumé

Un groupe d’individus, composé d’autant de singularités et sensibilités, nous fait face, l’air de rien. Ces présences, intimes ou étranges, s’exhibent pour mieux disparaitre et dessinent, avec fougue et urgence, un « nous » à travers la diversité. Comment éclot une génération, celle précisément qui sera amenée à penser les mondes artistiques, politiques et philosophiques de demain ? Une jeunesse dont l’éveil remet en cause les héritages devenus pesants, le culte de la performance et de la réussite, les inégalités de genres… Landfall, pièce chorégraphique ludique pour dix interprètes, éveille aux questions d’aujourd’hui. Sous l’impulsion de la chorégraphe Erika Zueneli et guidés par leurs désirs, ces jeunes adultes — issus du théâtre, du cirque et de la danse — nous offrent une expérience d’une vitalité folle. Dans cette terra incognita, le landfall — zone à défendre face aux rétrécissements du réel —tout semble encore possible. Un monde est à bâtir !
©Franck Loriou

Las Hermanas Caronni

Distribution

De et avec Gianna Caronni et Laura Caronni.

Résumé

Baignées dans la musique depuis l’enfance, les sœurs Caronni forment un duo atypique de clarinette, violoncelle et voix. La musique d’Argentine, dont elles sont originaires, et la musique classique sont leurs principales sources d’inspiration, mais elles sont aussi influencées par le jazz, laissant souvent une part de leurs morceaux ouverts à l’improvisation lors des concerts. Leur premier disque Baguala de la Siesta (2011) fait connaitre au public français la fraicheur de leurs compositions et leur don pour aborder une pléthore de genres musicaux. Il est remarqué par Didier Varrod dans son émission quotidienne sur France Inter où il est élu album de l’année. Aujourd’hui, trois albums plus tard, elles se produisent en Europe et en Amérique latine. Elles sont de retour à Louvain-la-Neuve après leur mémorable concert en 2016 à la Ferme du Biéreau.
© Freepik

Le Grand Jeté

Distribution

Mise en voix : Nicole Palumbo et Dolorès Delahaut – Lectrices/Actrices : Jaqueline Bollen, Cathy Grosjean,  Elizabeth Mouzon et Nicole Palumbo.

Résumé

Lecture-spectacle du texte Le Grand Jeté de Nicole Palumbo et Dolorès Delahaut La lecture est suivie d’une rencontre animée par Stéphanie Van Vyve. — 4 femmes sont sur le plateau, en maillots de bain. Elles sont au bord de… prêtes à plonger. Mais où ? Dans quoi ? À quoi sont-elles prêtes ? Y a-t-il une médaille à la clé ? Que font-elles là, en maillot de bain dans une salle de spectacle ? Un plongeon dans des vies multiples, dans une succession de tableaux à la manière d’un journal intime : des moments de vie suspendus, photographiés. Les personnages se confrontent à leurs émotions, se débattent avec elles… et au final, trouvent l’équilibre dans le déséquilibre.
©Aude Vanlathem

Le Misanthrope

Distribution

Mise en scène : Patrice Mincke – Avec Julien Besure, Denis Carpentier, Bénédicte Chabot, Damien De Dobbeleer, Pauline Desmet, Itsik Elbaz, Stéphane Fenocchi, Benjamin Van Belleghem et Anouchka Vingtier – Scénographie : Vincent Bresmal et Matthieu Delcourt – Création lumières : Alain Collet – Création son : Daphné D’Heur – Costumes : Chandra Vellut et Cécile Manokoune – Maquillage et coiffures : Tiuku Deplus – Assistanat à la mise en scène : Sandrine Bonjean – Couturière et habilleuse : Jeanne Dussenne – Peintre : Saïd Abitar.

Résumé

Cette comédie grinçante interprétée avec brio par neuf comédiens a été couronnée de succès à sa création au Théâtre Royal du Parc en mars dernier. Quelques mois plus tard, nous sommes très heureux d’enfin accueillir ce « portrait du siècle » (celui de Molière, et le nôtre !) au théâtre Jean Vilar ! Honnête et droit, Alceste est révolté contre la société régie par l’hypocrisie, où la réussite ne dépend pas du mérite mais de la popularité et de la capacité à « réseauter ». Sa sincérité radicale lui attire bien des ennuis dans ce monde où le mensonge est un art, le cynisme une vertu. Mais comment ne pas se compromettre alors qu’il est fou amoureux de Célimène, jeune femme mondaine qui représente tout ce qu’il déteste ? La grande richesse du Misanthrope est de faire s’entrechoquer des personnages dont les comportements sont diamétralement opposés et pourtant tous défendables. On ne peut s’empêcher de ressentir de l’empathie à la fois pour le rigide Alceste, le complaisant Philinte, ou encore pour Célimène, qui utilise son pouvoir de séduction pour tirer son épingle du jeu. Après sa mise en scène de L’École des femmes en 2022 au Théâtre Royal du Parc, Patrice Mincke nous offre à nouveau le plaisir d’entendre la langue de Molière. Il choisit de la confronter à l’esthétique contemporaine du monde du travail, lieu de duplicité aux apparences trompeuses.

Les Grandes Marées

Distribution

Mise en scène : Brigitte Baillieux – Idée originale et interprétation : Allan Bertin et Guy Theunissen – Scénographie et costumes : Renata Gorka – Création sonore : Sébastien Fernandez – Création lumières : Laurent Kaye – Assistanat à la mise en scène : Tiphaine van der Haegen – Construction décor : Atelier Pirate

Résumé

Un père débarque chez son fils à l’improviste. Il ne dérangera pas longtemps, il veut juste causer un peu. Ou pas ? Quelle est la véritable raison de sa visite ? Ils ne se sont pas vus depuis un an et la tension entre eux est palpable. On découvre peu à peu le gouffre d’incompréhension qui les sépare. Pendant le temps d’une représentation, ils vont parler, se jauger, revivre des souvenirs, rire, se faire mal, comme deux boxeurs sur le ring, jusqu’au KO. On n’est pas maitres de ses enfants, mais comment les lâcher, surtout quand on sent que quelque chose d’anormal est en marche ? À travers cette histoire singulière, chacun se retrouvera, comme parent ou comme enfant, dans la bonne volonté, la maladresse, le sentiment d’échec, la rébellion… Le duo d’acteurs interprète avec justesse ce récit contemporain aux enjeux fondamentaux. L’écriture rythmée d’Alex Lorette instaure un suspense qui nous tient en haleine jusqu’au dénouement final.
© Fabienne Rappenneau

Les Gros patinent bien

Distribution

Un spectacle de Pierre Guillois et Olivier Martin-Salvan – Avec, en alternance, Clément Deboeur/Grégoire Lagrange et, en alternance, Didier Boulle/Jonathan Pinto-Rocha — Direction technique : Colin Plancher — Ingénierie carton : Charlotte Rodière — Accessoiriste : Emilie Poitaux — Création sonore : Loïc Le Cadre — Conseil costumes : Coco Petitpierre — Assistante de tournée : Thylda Barès — Régie générale : Colin Plancher en alternance avec Grégoire Plancher — Régie plateau : Eve Esquenet en alternance avec Cécile Jaillard — Administration et production : Sophie Perret (administratrice), Fanny Landemaine (chargée d’administration), Louise Devinck et Margaux du Pontavice (chargées de production) — Diffusion internationale : Christelle Fleury — Diffusion : Séverine André-Liebaut (Séverine Diffusion) — Communication : Anne-Catherine Minssen (ACFM Les Composantes)

Résumé

Après le succès mondial de Bigre, accueilli au Vilar en 2018, Pierre Guillois et Olivier Martin-Salvan nous invitent à un voyage imaginaire dans un feu d’artifice de bouts de carton. Fusion des délires d’un cabaret de « cartoons » et d’une épopée shakespearienne. Vissé sur sa chaise, un imposant acteur en costume trois pièces raconte, dans une langue aux accents british, une épopée enivrante à travers l’Europe. Il quitte les plaines du Grand Nord, maudit par une sirène pêchée par accident. Il s’évade en patins, à trottinette, en avion cartonné. Il découvre l’Écosse, repart vers le sud à dos de mulet, assassine quelques cornemuseurs au passage, cherche l’amour, toujours. Son acolyte, en maillot de bain, s’agite autour de lui et s’échine à nous faire comprendre le sens de ce voyage à l’aide de mimes hilarants et d’affichettes délirantes où sont inscrits les noms des pays traversés ou des bestioles rencontrées. Joyeusement bricolé par deux maitres de la scène et du jeu, le spectacle explose d’inventivité et nous entraine dans la fantaisie burlesque, la poésie extravagante.

Les Misérables

Distribution

Un spectacle de Karine Birgé et Marie Delhaye – Co-mise en scène : Félicie Artaud et Agnès Limbos – Avec Karine Birgé, Marie Delhaye, Julie Nathan et Naïma Triboulet (en alternance) – Collaboration à l’écriture : Françoise Lott – Création sonore : Guillaume Istace – Création lumières : Dimitri Joukovsky – Sculptures : Evandro Serodio – Scénographie : Frédérique de Montblanc – Grandes constructions : Sylvain Daval et Alain Mayor – Petites constructions : Zoé Tenret – Petits costumes : Françoise Colpé – Grande peinture : Eugénie Obolensky – Régie : Karl Descarreaux et Dimitri Joukovsky (en alternance) – Illustration, graphisme et tisanes : Antoine Blanquart – Diffusion : Cécile Maissin – Production : Élodie Beauchet

Résumé

La spécialité de la compagnie Karyatides ? Porter à la scène de grands classiques de la littérature avec poésie, inventivité et une foule d’accessoires. Une table comme champ de bataille, des santons chinés aux puces, une boite à biscuits devenue auberge… Sous les mains des comédiennes, les objets prennent vie pour incarner l’histoire d’un peuple qui se soulève contre l’injustice et la misère sociale. Derrière le destin de Jean Valjean, Fantine et Gavroche, c’est une intrigue policière et un mélodrame passionnant qui se jouent, et feront vibrer nos cœurs. La représentation du 26 octobre à 19h sera la 650ème ! Il est vrai que le spectacle séduit le public et la critique depuis près de 10 ans et reçoit de nombreux prix : Prix du public dans la catégorie Marionnettes au Festival Off d’Avignon, Meilleur spectacle  Jeune public aux Prix de la critique, Prix de la ministre de la Culture et Coup de foudre de la Presse aux Rencontres jeune public de Huy.

Les Trois Sœurs (version androïde)

Distribution

Mise en scène : Jasmina Douieb – Avec Fanny Bonifait, Fanny Brulé Kopp, Anne-Pascale Clairembourg, Raphaëlle Corbisier, Manoël Dupont, Julie Duroisin, Sasha Martelli, Hervé Piron, Caroline Riego Maidena, Benoît Van Dorslaer et Jonas Wertz – Assistanat à la mise en scène : Alexandre Drouet – Mouvement : Ikue Nakagawa et Taka Shamoto – Scénographie : Ruimtevaarders (Karolien De Schepper et Christophe Engels) – Création lumières : Aurore Leduc – Création sonore et musicale : Thomas Turine – Costumes : Anne Guilleray – Régie générale : Jean-Maël Guyot – Maquillages et coiffures : Jill Wertz – Accompagnement en production, diffusion et développement : Ad lib / Support d’artistes.

Résumé

Dans une petite ville japonaise, dont l’industrie robotique était autrefois prospère, trois sœurs et leur frère organisent un diner pour commémorer l’anniversaire de la mort de leur père. Chez les Fukazawa, robots et humains vivent en harmonie, et c’est Muraoka, le vieux robot domestique, qui s’affaire en cuisine – il a pris un peu de retard lors des courses en papotant avec un autre robot. Entre les convives, les conversations vont bon train, mais sous le vernis des apparences, les destins se jouent et les secrets refont surface… Et si, au final, la seule parole libre émanait des robots, programmés pour dire la vérité, dans un monde où les personnages se mentent à eux-mêmes ? En faisant coexister humains et robots, qui seront interprétés par des comédiens-danseurs, Les Trois Sœurs (version androïde) interroge nos rapports de domination et pose la question : qu’est-ce qu’être humain ? Après le beau succès de ses pièces Je te promets et Post Mortem, la metteuse en scène Jasmina Douieb revient au Vilar avec une magnifique équipe de onze comédiens. Elle nous fait découvrir l’écriture drôle, poétique et universelle de l’un des auteurs japonais contemporains les plus reconnus.

Lis-moi tout

Distribution

Résumé

Le Lis-moi tout est un festival co-organisé par Le Rideau et Le Vilar qui a pour objectif de mettre en lumière les écritures dramatiques contemporaines émergentes et de favoriser la rencontre entre auteurs et autrices, oeuvres, interprètes et public. Durant une semaine, des lectures, des animations et des évènements littéraires sont organisés au théâtre Blocry. Venez y découvrir les auteurs et autrices qui construisent l’imaginaire du monde d’aujourd’hui et de demain !

LOVETRAIN2020

Distribution

Chorégraphie et lumières : Emanuel Gat – Créé avec et interprété par : Eglantine Bart, Tara Dalli, Noé Girard, Nikoline Due Iversen, Pepe Jaimes, Gilad Jerusalmy, Olympia Kotopoulos, Michael Loehr, Emma Mouton, Rindra Rasoaveloson, Abel Rojo Pupo et Sara Wilhelmsson – Création costumes : Thomas Bradley – Réalisation costumes : Thomas Bradley et Wim Muyllaert – Direction technique : Guillaume Février – Régie son : Frédéric Duru – Habilleuse : Marie-Pierre Calliès – Production : Emanuel Gat Dance, Marjorie Carré et Mélanie Bichot

Résumé

Chorégraphe israélien installé en France, Emanuel Gat se rêvait chef d’orchestre avant de se tourner définitivement vers la danse. Aujourd’hui, ses projets explorent les points de rencontre entre la chorégraphie et la musique, entre le visuel et l’auditif. Avec LOVETRAIN2020, il nous plonge dans l’atmosphère utopique et le groove épique des années 80, en choisissant comme bande-son la musique du groupe pop-rock Tears for Fears. Sur scène, douze danseurs vêtus de costumes flamboyants célèbrent la vie et l’amour dans un enchainement de chorégraphies collectives, de duos et de solos généreux qui ne donnent qu’une seule envie, c’est de danser avec eux. Baroque et jubilatoire, on en ressort requinqué, voire euphorique. Ovationné lors de sa création au festival Montpellier Danse en 2020, ce spectacle a depuis été présenté aux quatre coins de la France, en Italie, en Allemagne et même à Londres et New York !

Lundi en coulisse

Distribution

Avec l’IAD et le CET.

Résumé

Cette année, le Lundi en coulisse de Louvain-la-Neuve présentera deux textes écrits par des étudiantes du Centre d’Études Théâtrales dans le cadre de leur cours avec Virginie Thirion. Les deux autrices, Éloïse Guissart et Chloé Beneteau, présenteront elles-mêmes leurs écrits en parlant de leur expérience d’une première écriture. En troisième partie, elles seront les passeuses pour la lecture de Sylvia et Léonard, une nouvelle pièce de Jean-Marie Piemme qui nous fera le plaisir d’être présent. Les trois textes seront lus par les étudiant·es de l’IAD, dans le cadre du partenariat Vilar-CET-IAD aux Lundis en coulisse.

Machine de cirque

Distribution

Idée originale, écriture, direction artistique et mise en scène : Vincent Dubé – ‍Collaboration à l’écriture et à la mise en scène : Ugo Dario, Raphaël Dubé, Maxim Laurin, Frédéric Lebrasseur et Yohann Trépanier – Avec William Borges, Oliver Buti, Francis Gadbois, András Jajudits, Matthes Speidel, Jérémie Carrier (musicien) – Musique : Frédéric Lebrasseur – Conseillers artistiques : Martin Genest, ‍‍Patrick Ouellet et Harold Rhéaume – Conseillères à la scénographie : Josée Bergeron-Proulx, Julie Lévesque et Amélie Trépanier – Costumes : Sébastien Dionne – Création lumières : Bruno Matte – Création sonore : René Talbot – Ingénierie mécanique : David St-Onge – Direction technique : Patrice Guertin

Résumé

Dans ce spectacle à l’énergie communicative, six grands gaillards attendrissants mettent leur complicité et leur culot au service d’une multitude de gags inventifs et de performances de haute voltige. Dans un monde en pièces détachées, ces virtuoses rivalisent d’originalité pour conserver une parcelle d’humanité. Tantôt comiques, tantôt nostalgiques, ils manient de main de maitre la planche coréenne, les quilles, la batterie… et même la serviette de bain ! La compagnie québécoise Machine de Cirque nous offre une bonne dose de prouesses vertigineuses, d’émotions fortes, de poésie, d’intelligence et d’humour. À ne pas manquer !

Pendaison de crémaillère du Vilar

Distribution

Résumé

Le nouveau théâtre Jean Vilar est ouvert. Venez pendre la crémaillère avec nous le samedi 14/09 de 13h30 à 18h. Toute l’équipe se fera une joie de vous faire découvrir sa nouvelle maison. Ça va être chouette, passez quand vous voulez ! On vous offre un verre, des petites choses à grignoter et on vous réserve quelques activités ludiques pour marquer le coup. Et à 14h, 15h et 16h, deux comédiennes vous font découvrir le bâtiment sous toutes ses facettes grâce à des visites-spectacles décalées.  Gratuit, sur réservation (nombre de places limité).
© Dominique Bréda

Perfect Day

Distribution

Mise en scène : Lara Ceulemans – Avec Hélène Theunissen accompagnée de Gaspard Audouin au cadrage – Scénographie : Zoé Ceulemans – Création lumières : Nixon Fernandes – Vidéaste : Vincent Pinckaers – Assistanat vidéo : Émile Scahaise – Assistanat à la mise en scène : Maëlle Rey – Régie générale : Manu Maffei – Régie : David Goubau – Habilleuse : Lily Beca – Construction décor : Les ateliers du Théâtre Royal des Galeries

Résumé

Marie, célibataire de 64 ans, nez pour un grand parfumeur, coincée entre les problèmes de sa mère et ceux de sa fille, peine à trouver sa place de femme. Elle aspire à l’amour et à la passion, mais n’arrive plus à se trouver désirable. Jusqu’au jour… Après La Solitude du mammouth et Quand tu es revenu, Geneviève Damas explore le rapport au désir d’une femme après 60 ans. Il s’agit d’aborder le temps qui passe comme n’étant pas seulement une fatalité douloureuse qui s’inscrit sur la peau et fatigue le corps, mais comme une période de la vie qui ouvre un champ des possibles. Depuis la création de ce spectacle en 2022-2023, Hélène Theunissen, élue meilleure interprète aux Prix Maeterlinck 2023, a été applaudie sur treize scènes belges. Le succès est tel que la comédienne revient nous offrir ces quelques représentations en apéritif, avant de repartir en tournée. Le spectacle sera en tournée en 2024-2025 : au Festival Chaînon manquant -Laval- (17.09), à Theux (26.09), à Rouvroy (28.09), à Uccle (2 et 3.10), à Sambreville (4.10), à Woluwe-Saint-Pierre (5.10), à Viroinval (8.10), à Sprimont (10.10), à Waremme (11.10), à Visé (18.10), à Beauvechain (8.03), à Stavelot (13.03), à Tubize (14.03), à Fleurus (25 > 28.03) et à Waterloo (29.03).
© Alexandra de Laminne

Peut-on encore mourir d’amour ?

Distribution

Écriture et mise en scène : Lisa Cogniaux – Avec Lisa Cogniaux et Stéphanie Goemaere – Collaboration à l’écriture : Stéphanie Goemaere – Dramaturgie : Agathe Yamina Meziani – Assistanat à la mise en scène : Rita Belova Lazoukina – Scénographie et costumes : Irma Morin – Accompagnement de mise en scène et direction de jeu : Léa Romagny Vallentin – Arrangements et dispositif sonore : Maïa Blondeau – Création lumières : Candice Hansel – Direction technique : Emilie Schoumaker – Régie générale et lumière en tournée: Emilie Schoumaker et Marie-Alice Van Biesbroeck – Régie son : Alice Spenlé – Coaching mouvements : Oriane Varak – Relecture scénario : Nina Vanspranghe. Chaleureux remerciements à Farbod Fathinejadfard pour les festins.

Résumé

Ophélie rêve de se noyer dans l’amour qu’elle porte à son nouveau copain, Hamlet, tandis que Judith, sa colocataire célibataire et rationnelle, se méfie des sentiments. Hamlet est-il vraiment amoureux d’Ophélie ? Judith a-t-elle peur de l’amour ? L’amour est-il ringard ? Sur scène, les comédiennes Lisa Cogniaux et Stéphanie Goemaere convoquent la pop culture et la culture tout court (de Titanic à Marguerite Yourcenar, en passant par Marilyn Monroe) pour parler d’amour, de patriarcat, de femmes mortes et vivantes, de lesbianisme politique et d’amitié. Des chansons d’amour live, issues du répertoire de la variété française ou de compositions personnelles, s’invitent sur le plateau et nourrissent la réflexion sur le conditionnement amoureux qu’elles provoquent.

Place aux artistes

Distribution

Résumé

Cette année encore, le festival Place aux artistes fera la part belle aux artistes du Brabant wallon. À cette occasion, des concerts seront organisés à Ottignies et Louvain-la-Neuve.
©iStock-CaseyHillPhoto

Poumons

Distribution

Traductrice : Séverine Magois – Mise en scène : Anne-Pascale Clairembourg – Avec Elisa Firouzfar et Félix Vannoorenberghe – Scénographie : Noémie Vanheste – Création lumières : Grégoire Tempels – Création sonore : Gilles Masson – Dessin : Taïla Onraedt – Assistanat à la mise en scène et dramaturgie : Elise Di Pierro – Régie générale : Manu Maffei – Régie :  Nicolas Lomba – Construction décor : Dorsan Pieters – Direction technique : Jacques Magrofuoco. Avec l’aide de l’équipe technique Le Vilar.

Résumé

Un jeune couple dans la file chez Ikea. Il a envie d’avoir un bébé, elle aussi. Il faudra qu’elle arrête de fumer. Mais ils ont besoin de réfléchir. Parce qu’enfin quoi, la surpopulation et les problèmes environnementaux… Et puis, d’abord, il pèse combien l’impact carbone d’un enfant ? Dix mille tonnes de CO2, ah oui quand même ! Soit environ 7 ans d’allers-retours quotidiens entre Bruxelles et New York… « C’est le poids de la Tour Eiffel. Je donnerais naissance à la Tour Eiffel ».  Poumons est une comédie dramatique — portrait d’un amour imparfait dans un monde imparfait — qui taquine délicieusement nos peurs et nos névroses, nos désirs pas toujours communs et nos choix pas si vertueux… Quelle voie suivre dans ce monde chaotique ? Anne-Pascale Clairembourg, habituée de nos scènes, se lance dans sa première expérience de mise en scène avec ce texte percutant, lauréat du prix du Best New Play aux Off West End Awards.
© Freepik

Ricochet

Distribution

Mise en voix : Lénaïc Brulé – Avec Janie Follet, Stéphane Pirard et Delphine Veggiotti.

Résumé

Lecture-spectacle du texte Ricochet de Lénaïc Brulé. La lecture est suivie d’une rencontre animée par Stéphanie Van Vyve. — Un matin, Claire apprend que Sacha, son fils, est décédé dans un accident de voiture. Martin, le père qui conduisait la voiture, est aussi gravement blessé. Il n’est pas responsable de l’accident mais l’hypothèse que l’enfant n’était pas attaché est avancée. Il s’engouffre alors dans une procédure judiciaire pour trouver des réponses à ses propres questionnements. Claire, de son côté, remonte en solitaire le fil de l’histoire. Elle va peu à peu avoir accès à ses ambivalences enfouies qui révèlent un tabou inaudible.

Spectacle de Master2 de l’IAD : Jean-Luc

Distribution

Écriture et mise en scène : Clémence Depré – Avec Nadège Brusseleers, Corentin Lini, Victoria Scrivner, Zénon Verschueren – Assistanat à la mise en scène : Marie Delvaux – Scénographie : Lolà Mancini – Création lumières : Jean-Sylvain Depiesse

Résumé

Dans le cadre de notre collaboration étroite avec l’Institut des Arts de Diffusion (IAD), nous aurons le plaisir, comme à chaque fin de saison, d’accueillir le spectacle de Master2 de l’IAD, en écriture et mise en scène, porté cette année par Clémence Depré. — Jean-Luc Dans ce qu’il reste d’un foyer, Monique et Eric, un vieux couple comme il en existe tant, reçoivent leur fils François et sa nouvelle compagne Bernice pour un dîner frites-boulettes. Le silence de ce qu’il ne faut pas dire entre ces murs est écrasé par cette femme qui se dit hantée par le fantôme de Jean-Luc Delarue, le défunt présentateur télé. Les fondations s’effritent. La maison suinte. Quel Châtiment pour des Êtres qui ne méritent plus le titre d’Êtres Humains ? Le temps d’un repas pour élucider la question ; avant l’effondrement. — Plus d’infos : IAD

Spectacle des Masters de l’IAD

Distribution

Résumé

Dans le cadre de notre collaboration étroite avec l’Institut des Arts de Diffusion, nous aurons le plaisir, comme à chaque fin de saison, d’accueillir le spectacle de fin d’études des futurs acteurs et actrices, encadrés cette année par Eric De Staercke. Plus d’infos à venir et réservations : iad-arts.be

Stage Osmose (Argile et musique)

Distribution

Résumé

Chaque journée est divisée en deux temps : premiers pas au théâtre par des exercices pratiques (travail du corps et de la voix, explorations en lien avec la thématique du stage) et plongée au cœur de la nature, avec des activités sensorielles et de sensibilisation dans les bois. Les deux moments se répondent et s’enrichissent mutuellement. Plaisirs et expériences variées ! Garderie à partir de 9h et jusque 17h. Renseignements : mediation@levilar.be  

Stage Osmose (Théâtre d’objets)

Distribution

Résumé

Chaque journée est divisée en deux temps : premiers pas au théâtre par des exercices pratiques (travail du corps et de la voix, explorations en lien avec la thématique du stage) et plongée au cœur de la nature, avec des activités sensorielles et de sensibilisation dans les bois. Les deux moments se répondent et s’enrichissent mutuellement. Plaisirs et expériences variées ! Garderie à partir de 9h et jusque 17h. Renseignements : mediation@levilar.be  

Une Traversée

Distribution

Mise en scène et dramaturgie : Natacha Belova et Tita Iacobelli – Avec Tita Iacobelli, Marta Pereira et Elise Reculeau – Chorégraphie et regard extérieur : Nicole Mossoux – Conception de marionnettes : Natacha Belova et Marta Pereira – Scénographie : Aurélie Borremans – Création lumières : Aurélie Perret – Création sonore : Simón González – Costumes : Jackye Fauconnier– Assistanat à la mise en scène et doublure : Lou Hebborn – Doublure : Emilie Eechaute – Construction : Ralf Nonn – Production : Thérèse Coriou et Charlotte Evrard – Régie son et lumières : Franco Peñaloza Soto

Résumé

Une enfant doit quitter les ruines de sa maison qui n’existe plus. La guerre n’a laissé que des décombres. Ils ne peuvent pas emporter beaucoup de choses. Pendant que les adultes préparent le long voyage, l’enfant joue. Elle rêve au monde au-delà du miroir et entame une traversée dans un pays où tout est inversé. Là, on peut se souvenir du futur. On peut voyager par la poste si on n’a pas de billet de train. Courir aussi vite que possible pour rester dans le même endroit. Et finalement se demander : qui rêve de qui ? Après ses deux spectacles multi-primés Tchaïka et Loco, la Compagnie Belova-Iacobelli s’inspire de la suite des aventures d’Alice au pays des merveilles pour explorer le monde à travers les yeux d’une enfant incarnée par une marionnette. Elles livrent une fable poétique qui nous promet un voyage étourdissant. — « On ne peut pas croire les choses impossibles », dit Alice. « Je suis sûre que vous manquez d’entrainement », dit la Reine. « Quand j’avais votre âge, je m’entrainais une demi-heure par jour. Eh bien, il m’arrivait de croire jusqu’à six choses impossibles avant l’heure du petit-déjeuner. »

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