Le Coq combattant ou l’atrabilaire amoureux

Distribution

Auteur : Jean Anouilh – Mise en scène et version scénique : Armand Delcampe – Interprétation : Armand Delcampe, Myriem Akheddiou, Marie-Line Lefebvre, Isabelle Roelandt, Alexandre von Sivers, Gérard Vivane, Robert Guilmard, Jean-Marie Pétiniot, Patrick Ridremont, Olivier Leborgne, Jean-Claude Dubiez, Géromine Poulain, Fanny Bruyère, Valentine Jongen, Grégoire Turine, Maxime Nyamabu, Thomas Recht, Sacha Schildermans, Aurélien Comblez, Philémon Jongen – Scénographie et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Jacques Magrofuoco – Maquillages : Martine Lemaire – Gestuelle : Jean-Paul Corti – Assistants à la mise en scène : Jean-François Viot, Mélodie Axel – Construction décor : Georges Delhez, Christophe Beaugé, Nicolas Perretier, Vincent Rutten, Mathieu Regaert, Marc Cocozza – Peinture : Christophe Beaugé – Couturières : Odile Dubucq, Valérie Leclercq – Régie lumières : Gary De Beys, Jacques Perera – Régie son : Eric Degauquier, Nicolas Perretier – Régie plateau : Marc Cocozza, Mathieu Regaert, Vincent Rutten – Habilleuses : Emmanuelle Froidebise, Liliane Thomas – Maquilleuse : Martine Lemaire – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Méfions-nous des purificateurs ! Ludovic, général héroïque, décide de sauver le pays en prenant le pouvoir par une conspiration, sa seconde d’ailleurs, la première l’ayant conduit au limogeage et en prison ! S’entourant de ses fidèles amis, Bélazor, Lebelluc, Le Docteur et Ledadu, il décide de mettre sur pied un « noyau dur » de patriotes, prônant un nécessaire retour aux valeurs essentielles de la France. Le général ambitionne de rendre la France grande, propre et rigoureuse et – selon son expression – souhaite extirper les vers qui se sont glissés dans la pomme. La jeune et douce femme du général, Aglaé, promène son vague-à-l’âme dans ce foyer. Elle a deux enfants, Toto et Marie-Christine qui court précocement avec le fils du laitier. Pendant ce temps, Sophie, la grande fille que le général a eue d’un premier lit tombe amoureuse à tour de bras. Cette fois-ci, elle a jeté son dévolu sur l’ambitieux et « progressiste » David Edward Mendigalès. Le général règne sur ce petit monde. Combatif, mais progressivement abandonné de tous, il continue de lutter tel un Don Quichotte contre les moulins, essayant de retenir le mouvement inexorable de leurs ailes. Et bientôt de découvrir l’inutilité de sa conspiration devant la marche triomphale des vers dans le fruit… Anouilh emprunte certains traits à Alceste ou à Don Quichotte et nous livre un personnage entier et excessif. Amoureux aussi, attendrissant et ridicule dans son désir de pureté absolue. Sa devise pourrait être « la nostalgie n’est plus ce qu’elle était » ou mieux « Que revivent les vélos rouillés ! »… ou encore : « Les Anciens lavaient plus blanc ! ». « Le Coq combattant ou l’atrabilaire amoureux » paru sous le titre « L’Hurluberlu ou le réactionnaire amoureux » Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar. En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be Soirée spéciale Réveillon de Nouvel An Buffet somptueux à 25 € (en option)

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