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Aula Magna

Orchestre National de Lille

Distribution

Direction : James Judd – Soliste (violon) : Régis Pasquier

Résumé

Concert en exclusivité en Belgique Au programme : – Beethoven : Concerto pour violon, opus 61 en ré majeur – Strauss : Symphonie Alpestre, opus 64 L’Orchestre national de Lille, sous la direction de Jean-Claude Casadesus, s’est doté d’un projet artistique ambitieux en direction de tous les publics. Composé de 100 musiciens, il s’est imposé comme l’une des plus grandes formations musicales françaises. Depuis 1976, date de sa création, plus de 2 millions d’auditeurs auront assisté à près de 2.200 concerts. Directeur musical de l’Orchestre Symphonique de Nouvelle-Zélande, le chef d’orchestre James Judd est aussi depuis peu à la tête de l’Orchestre Philharmonique de Malaisie. Depuis le début de sa carrière, il a dirigé les plus prestigieux orchestres, comme l’Orchestre Philharmonique de Berlin, l’Orchestre Symphonique de Vienne ou l’Orchestre Philharmonique Royal de Grande-Bretagne. Régis Pasquier, issu d’une illustre famille de musiciens, est reconnu comme un virtuose dès son plus jeune âge. Il est rapidement invité comme soliste à travers le monde. Depuis 1998, il possède un magnifique violon Joseph Guarnerius (Del Gesu) Cremona 1734.

Orchestre National de Lille

Distribution

Direction : Jean-Claude Casadesus – Soliste (violon) : Shion Minami

Résumé

Concert en exclusivité en Belgique Au programme : – Beethoven : Concerto pour violon, opus 61 en ré majeur – Strauss : Symphonie Alpestre, opus 64 L’Orchestre national de Lille, sous la direction de Jean-Claude Casadesus, s’est doté d’un projet artistique ambitieux en direction de tous les publics. Composé de 100 musiciens, il s’est imposé comme l’une des plus grandes formations musicales françaises. Depuis 1976, date de sa création, plus de 2 millions d’auditeurs auront assisté à près de 2.200 concerts. Directeur musical de l’Orchestre Symphonique de Nouvelle-Zélande, le chef d’orchestre James Judd est aussi depuis peu à la tête de l’Orchestre Philharmonique de Malaisie. Depuis le début de sa carrière, il a dirigé les plus prestigieux orchestres, comme l’Orchestre Philharmonique de Berlin, l’Orchestre Symphonique de Vienne ou l’Orchestre Philharmonique Royal de Grande-Bretagne. Régis Pasquier, issu d’une illustre famille de musiciens, est reconnu comme un virtuose dès son plus jeune âge. Il est rapidement invité comme soliste à travers le monde. Depuis 1998, il possède un magnifique violon Joseph Guarnerius (Del Gesu) Cremona 1734.

Orchestre National de Lille

Distribution

Direction : Jean-Claude Casadesus – Soliste (piano) : Frank Braley

Résumé

Musique classique Au programme : – Mozart : Ouverture de Don Juan – Chopin : Concerto pour piano n° 2 – Beethoven : Symphonie n° 7 Composé d’une centaine de musiciens, l’Orchestre National de Lille / Région Nord / Pas-de-Calais s’est imposé comme l’une des formations musicales les plus prestigieuses en France et à l’étranger. Chefs et solistes internationaux s’y produisent. L’ambitieux projet artistique de l’orchestre – diffuser un large répertoire auprès de tous les publics – le porte sur quatre continents et dans trente pays. Directeur de l’ONL et chef de renommée internationale, Jean-Claude Casadesus conduit les plus grands orchestres à travers le monde. Récompensé pour ses enregistrements, il reçoit notamment une Victoire d’Honneur aux Victoires de la Musique Classique 2004. Nous avons accueilli l’ONL à six reprises depuis 1996. Ne manquez pas l’occasion de retrouver cette formation d’exception avec un nouveau programme. Un concert de l’Orchestre National de Lille / Région Nord/Pas-de-Calais / Directeur : Jean-Claude Casadesus. Association subventionnée par le Conseil Régional du Nord/Pas-de-Calais, le Ministère de la Culture et de la Communication, Lille Métropole Communauté urbaine et la Ville de Lille. Président : Ivan Renar

Orchestre National de Lille

Distribution

Direction : Jean-Claude Casadesus – Soliste (violon) : Shion Minami

Résumé

Au programme : – Mozart : Concerto pour violon n°5 – Mahler : Symphonie n°1 « Titan » Composé d’une centaine de musiciens, l’Orchestre National de Lille s’est imposé comme l’une des formations musicales les plus prestigieuses en France et à l’étranger. Chefs et solistes internationaux s’y produisent. L’ambitieux projet artistique de l’orchestre – diffuser un large répertoire auprès de tous les publics – le porte sur quatre continents et dans trente pays. Directeur de l’ONL et chef de renommée internationale, Jean-Claude Casadesus conduit les plus grands orchestres à travers le monde. Récompensé pour ses enregistrements, il reçoit notamment une Victoire d’Honneur aux Victoires de la Musique Classique 2004. La Japonaise Shion Minami commence à étudier le violon en 1992, à l’âge de trois ans. Depuis lors, elle a gagné de nombreux prix tel que le Deuxième grand prix du Concours international Long-Thibaud, le prix de la SACEM, le premier prix du Concours International « Alberto Curci » en Italie et plusieurs prix lors de concours au Japon. En tant que soliste, elle joue avec L’Orchestre National de France, le Theatre Orchestra de San Carlo, l’Ensemble Archi della Scala, le New Japan Philharmonic Orchestra, etc. En ce moment, elle poursuit ses études en compagnie de Koichiro Harada.

Orchestre National de Lille

Distribution

Direction : Jean-Claude Casadesus – Violoniste : Régis Pasquier – Direction musicale : James Judd

Résumé

Au programme : – Beethoven : Concerto pour violon, opus 61 en ré majeur – Strauss : Symphonie Alpestre, opus 64

Orchestre Royal de Chambre de Wallonie

Distribution

Harpiste soliste : Samia Bousbaïne – Soliste : Jean-François Chamberlan – Violon et direction : Augustin Dumay

Résumé

Un concert exceptionnel Au programme : – Bach : Concerto en ré min. pour 2 violons et orchestre BWV 1060 – Massenet : Méditation de Thaïs (arrangement de D. Walter) – Ravel : Tzigane (arrangement de D. Walter) – Mozart : Petite musique de nuit KV 525 – Tchaïkovski : Valse de la Sérénade op. 48 Créé en 1958, le plus ancien orchestre de chambre de Belgique conjugue les musiques du passé au présent, développant un vaste répertoire classique, romantique et contemporain. Il a accompagné les plus grands solistes, instrumentistes ou chanteurs – dont José Van Dam – et est un complice régulier du Concours Musical International Reine Elisabeth de Belgique et de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth de Belgique. Depuis 2003, il a pour chef principal Augustin Dumay, l’un des grands musiciens et violonistes de ce temps, interprète exceptionnel de Mozart. Aujourd’hui, sous son impulsion, l’ORCW développe de nouveaux objectifs et cette renaissance porte ses fruits ! Pour l’année Mozart (2006), une grande tournée est par exemple programmée en Chine. Mais l’ensemble est aussi resté fidèle à son ancrage wallon et joue régulièrement en Communauté française et en Belgique sous la direction de son violon conducteur, Jean-François Chamberlan. Il interprète les œuvres – connues, méconnues ou contemporaines – des compositeurs de son pays. La formation a tout récemment enregistré un CD reprenant des œuvres de Chausson et Ravel avec Augustin Dumay.

Peines d’amour perdues

Distribution

Auteur : William Shakespeare – Traduction : Jean-Michel Déprats – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Anne-Marie Cappeliez, Laurence d’Amélio, Catherine Decrolier, Laurent D’Elia, Hervé Guerrisi, Robert Guilmard, Cachou Kirsch, Olivier Leborgne, Jean Lognay, Stany Mannaert, Fred Nyssen, Maud Pelgrims, Pierre Poucet, Jo Rensonnet, Patrick Ridremont, Dorothée Schoonooghe, Jean-François Viot – Décor et costumes : Lionel Lesire – Maquillage : Martine Lemaire – Musique : Paul Uy – Lumières : Jacques Magrofuoco – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot – Enregistrement original au piano : Brigitte August – Construction : Christophe Beaugé, Marc Cocozza, Georges Delhez, Nicolas Perretier, Mathieu Regaert, Vincent Rutten – Peinture tulle : Alexandre Obolensky – Accessoires : Isabelle Girard – Réalisation costumes : Maghet costumier, Corinne de Laveleye, et son équipe – Régie lumières : Gary De Beys, Jacques Perera – Régie son : Nicolas Perretier – Régie plateau : Marc Cocozza, Mathieu Regaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise, Liliane Thomas – Régie générale : Vincent Rutten – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Voici venu le temps des billets confondus, quiproquos, travestissements en tous genres et confusion générale. Shakespeare nous livre un texte plein d’esprit au rythme des battements de cœur de la jeunesse. Au royaume de Navarre, le roi et ses compagnons décident de se détourner de la gent féminine pour se consacrer à l’étude. Mais voici que la princesse de France et ses ravissantes suivantes font irruption en ces lieux pour une affaire d’Etat. Les jeunes cœurs soupirent et les serments s’envolent. La chasse est ouverte pour les princes parjures ! Entre ces deux quatuors, les valets, paysans et autres rustres vont non seulement donner le contrepoint humoristique mais aussi jouer l’effet de miroir déformant. Ah ! Amour… Amour… Quand tu nous tiens ! Une comédie tendre et espiègle où la langue s’embrase et tourbillonne, où les traits d’esprit fusent et font tourner les têtes de la jeunesse. Salles combles à la création. Reprise au Centre Culturel de Spa en 2006, et au Festival de Théâtre de Spa en 2007. Actuellement en tournée en France et en Belgique (Arlon, Dinant, Huy, Mons, Fontainebleau, Maisons-Alfort, La Rochelle, Compiègne…) ! Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar. En collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies – Louvain-la-Neuve – www.poleculturel.be

Petrouchka et L’Oiseau de feu

Distribution

D’Igor Stravinsky – Avec : Joris Baltz, Léonard Berthet-Rivière, Mylena Leclercq, Vojtěch Rak, Lisard Tranis, et, en alternance, Nolan Decreton, Maxence Lorentz, Tom Van De Weghe – Porteurs : Chris Baltus, Robert Bui – Chorégraphie et mise en scène : José Besprosvany – Scénario : Laurent Brandenbourger – Scénographie : François Prodhomme – Conception costumes : Catherine Versé – Réalisation costumes : Bert Menzel – Lumières : Marco Forcella – Composition prologue musical : Fabian Fiorini – Maquillages : Pénélope Daloze – Assistanat à la mise en scène : Benjamin Vanslembrouck – Accessoires : Christelle Demay – Coaching magie : Pierre Dherte – Régie lumières : Mathieu Bastyns – Régie son : Clément Delporte – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy – Avec l’aide : des équipes techniques de l’Aula Magna et de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Après une « Antigone » très réussie en 2017, le chorégraphe José Besprosvany revient avec une création inédite mêlant le nouveau cirque, la danse et la musique. Un spectacle en deux parties, deux ballets de Stravinsky, deux histoires représentées par les corps en mouvement d’interprètes de haut niveau. La promesse d’un moment féerique à voir en famille. « Petrouchka » s’inspire d’un conte folklorique russe qui raconte le destin d’une poupée dotée de vie et d’amour. Sur scène, le danseur-acrobate devient une marionnette humaine. Au cœur de cette première partie : la manipulation. Quatre personnages explorent ce thème dans un thriller qui rappelle à la fois les récits d’espionnage, les fêtes populaires russes et le théâtre comique. Autre ballet de Stravinsky, « L’Oiseau de feu » est basé sur un conte national russe. José Besprosvany en propose ici une nouvelle interprétation tout en respectant la composition musicale. « L’Oiseau de feu » s’inspire des mythes du phénix qui renaît de ses cendres, et d’Icare, allégorie de l’homme qui se croit plus fort que la nature. Cette deuxième partie de spectacle explore la verticalité, la pesanteur (et l’envie d’y échapper !).

Pixel

Distribution

Auteur : CCN de Créteil et du Val-de-Marne, Cie Käfig – dir. Mourad Merzouki – Direction artistique et chorégraphie : Mourad Merzouki – Concept : Mourad Merzouki, Adrien M. / Claire B. – Création numérique : Adrien Mondot, Claire Bardainne – Création musicale : Armand Amar – Assistante du chorégraphe : Marjorie Hannoteaux – Interprétation : Kader Belmoktar, Marc Brillant, Elodie Chan, Aurélien Chareyron, Yvener Guillaume, Amélie Jousseaume, Ludovic Lacroix, Ibrahima Mboup, Paul Thao, Sofiane Tiet, Médésséganvi Yetongnon dit « Swing » – Lumières : Yoann Tivoli – Assisté de : Nicolas Faucheux – Scénographie : Benjamin Lebreton – Costumes : Pascale Robin – Assistée de : Marie Grammatico – Peintures : Camille Courier de Mèré, Benjamin Lebreton  

Résumé

Le chorégraphe Mourad Merzouki développe depuis vingt ans un hip-hop inventif et ouvert qui se nourrit d’autres disciplines artistiques. De sa rencontre avec le duo de créateurs graphiques Adrien Mondot et Claire Bardainne est né « Pixel », un spectacle hypnotique, vertigineux, une véritable conversation entre art numérique et danse. Sur une musique d’Armand Amar, les danseurs virtuoses évoluent dans un espace fait d’illusions, jouent avec les points, glissent dans des décors irréels composés de milliers de pixels en mouvement. Le subtil équilibre entre danse et représentations virtuelles nous emmène dans un monde de poésie et de rêve. Créé en 2014, « Pixel » a déjà été représenté dans près de 100 villes et nous ne pouvions manquer l’occasion de vous proposer cette performance hors du commun. Un enchantement.

Récital de Teresa Berganza

Distribution

Interprétation : Teresa Berganza – Pianiste : Juan Antonio Alvarez Parejo

Résumé

Un récital unique… La légèreté comme hymne à la vie et à la création. Teresa Berganza est mondialement reconnue pour son timbre noble et raffiné ainsi que pour sa grande musicalité. Elle interprètera aux côtés de son pianiste Vivaldi, Scarlatti, Rossini, Hahn, Guridi et de Falla ainsi que des chansons espagnoles. Teresa Berganza a reçu une formation musicale solide en chant, piano, orgue, composition et direction d’orchestre. La cantatrice débute sa brillante carrière avec le rôle de Dorabella dans Cosi fan Tutte. L’accueil triomphal réservé à ce spectacle au Festival d’Aix-en-Provence lui vaut d’être sollicitée aux quatre coins du monde : la Scala de Milan, l’Opéra de Paris, Covent Garden à Londres,… En collaboration avec l’Aula Magna

Reste la lumière (nouvelle création)

Distribution

Auteur : Angélique Ionatos – Avec : Angélique Ionatos (chant et guitares), Gaspar Claus (violoncelle), Katerina Fotinaki (guitare) – Son : Thierry Legeai – Lumières : Ingrid Chevalier

Résumé

Avec une vingtaine d’albums et au moins autant de spectacles à son actif, Angélique Ionatos est devenue une figure incontournable et singulière de la scène internationale. La chanteuse, guitariste et compositrice qui partage sa vie entre la Grèce et la France, résiste aux étiquettes grâce à son parcours éclectique et passionné. A vingt ans, Angélique Ionatos plonge dans l’œuvre des poètes grecs. Elle met ainsi en musique les mots du Prix Nobel Odysseus Elytis, de Sappho… mais elle ne se limite pas au panthéon des auteurs hellènes. Elle compose aussi sur des textes de Pablo Neruda, de Frida Kahlo ; elle chante Colette, Baudelaire. Toujours avide de nouvelles expériences artistiques, elle compose en 1997 un opéra pour le jeune public d’après un conte d’Oscar Wilde. En 2012, elle crée un spectacle en hommage à la Grèce « Et les rêves prendront leur revanche… » Avec son nouvel opus « Reste la lumière », elle témoigne en filigrane d’un discours politique porté par la vision d’une Grèce sous pression. Son engagement est celui de l’ouverture, de l’acceptation des angoisses pour mieux les combattre, notamment par la transmission de sa culture natale. Une œuvre sombre mais pleine d’espoir transcendée par la force de ses convictions. Nous sommes très heureux d’accueillir cette grande dame de la musique pour la première présentation en Belgique de son nouveau spectacle. Une date unique à Louvain-la-Neuve et une occasion en or de vibrer avec Angélique Ionatos.

Roméo et Juliette

Distribution

Auteur : William Shakespeare – Mise en scène : Yves Beaunesne – Traduction, adaptation et dramaturgie : Marion Bernède – Avec : Laurens Aneca, Simon Baetens, François Beukelaers, Evelien Bosmans, Olivier Constant, Bien De Moor, Patrick Descamps, Sophia Leboutte, Thomas Mustin, Gilian Petrovski, Els Olaerts, Chris Thys, Mout Uyttersprot

Résumé

Depuis des années, les Montaigu et les Capulet se vouent une haine inextinguible, mais le destin s’en mêle, et la plus belle des histoires d’amour prend naissance dans le cœur de jeunes gens issus de ces deux familles ennemies…

Rwanda 94

Distribution

Interprétation : Hélène Mathon, Clotilde K. Kabale, Maurice Sévenant, Dorcy Rugamba, François Sikivie, Max Parfondry, Augustin Majyambere, Massamba, Stéphane Fauville, Estelle Marion, Nathalie Cornet, Younoussa Diallo, Yolande Mukagasana – Metteur en scène : Jacques Delcuvellerie – Auteur : Jean-Marie Piemme, Mathias Simons, Yolande Mukagasana, Marie-France Collard, Jacques Delcuvellerie

Résumé

Que s’est-il vraiment passé au Rwanda en avril 94 ? Comment tout cela a-t-il pu arriver ? Où l’horreur trouve-t-elle ses racines ? Entre fiction, réalité et représentation de la réalité, Rwanda 94 mêle la fiction aux témoignages, les mélopées aux cantiques, les marionnettes géantes à l’art de la conférence, les images du monde aux chœurs africains, le témoignage poignant d’une rescapée à la farce grotesque. Rwanda 94 est un spectacle hors gabarit qui rend au théâtre politique sa vertu la plus noble.

Sonate pour violon et nez rouge

Distribution

Interprétation : Howard Buten, Pierre Amoyal – Pianiste : Daniel Blumenthal

Résumé

Un exceptionnel duo qui allie musique, humanité et tendresse. L’un est un violoniste mondialement reconnu, l’autre un clown ayant plus d’une corde à son arc et bien qu’ils ne soient pas issus du même monde, ces deux artistes s’équilibrent à merveille dans un subtil mélange de musique classique et de clowneries sur des airs de Beethoven, Mozart, Bach, Tchaïkovski, Paganini, Brahms, Dvorak, Gershwin, Ravel,… En collaboration avec l’Aula Magna

The Elephant in the room

Distribution

Auteur : Cirque Le Roux – Mise en scène : Charlotte Saliou – Avec : Gregory Arsenal, Valérie Benoit, Philip Rosenberg, Yannick Thomas – Intervenant / Oeil extérieur : Raymond Raymondson – Chorégraphie / claquettes / adagio : Brad Musgrove – Musique originale : Alexandra Stréliski – Création costumes : Gregory Arsenal, Philip Rosenberg – Costumes : Emily L Ockenfels  

Résumé

Délicieusement rétro, le Cirque Le Roux mise sur le burlesque pour envelopper d’élégance une mystérieuse intrigue. Un spectacle inhabituel, fusion entre le cirque, les films noirs hollywoodiens et le théâtre. Une bombe d’esthétisme et de folie joyeuse ! Automne 1937, mariage de Miss Betty. Trois dandys font irruption dans le salon fumoir monochrome où est venue s’isoler la jeune mariée. Tous les quatre tentent de protéger un inavouable secret dans ce lieu qui devient le théâtre des rebondissements les plus improbables. Grandes glissades, rires, bagarres, danses s’enchaînent…. Un déferlement d’exploits et d’émotions, le tout arrosé de champagne.

TINA

Distribution

Auteur : Patrick Masset – Mise en scène : Patrick Masset – Avec : Julius Bitterling, César Mispelon, David Mupanda, Marieke Thijssen, Wilko Schultz (circassiens), Tamara Geerts (chanteuse), Sal La Rocca, Laurent Stelleman (musiciens), Miyoko Shida Rigolo (performance) – Enfant : Eugène Masset – Conseiller en scénographie : Johan Daenen – Ingénieur son : Jean-François Lejeune – Créateur lumière : John Cooper – Magie nouvelle : Ralph Nonn – Costumière : Gaëlle Marras

Résumé

On sort de là comme d’un rêve, et ça fait un bien fou… Ma Télé Après « Strach – a fear song », sacré meilleur spectacle de cirque aux Prix de la critique 2018, Patrick Masset frappe une nouvelle fois très fort avec TINA. Dix interprètes d’exception, circassiens, chanteuse et musiciens vous embarquent pour une expérience exceptionnelle et renversante de poésie où les artistes défient les lois de la gravité, où la musique vous prend au cœur, où la parole vous bouleverse. L’ambition du spectacle est de mobiliser des artistes de niveau exceptionnel et d’explorer avec eux l’équilibre subtil entre la technique et l’humain. Traquer l’envers du réel comme une fenêtre grande ouverte sur ce qui nous échappe sans cesse. Patrick Masset

Un Chapeau de paille d’Italie

Distribution

Auteur : Eugène Labiche – Mise en scène : Gilles Bouillon – Avec : Charlotte Barbier, Clément Bertani, Camille Blouet, Cécile Bouillot, Juliette Chaigneau, Frédéric Cherboeuf, Laure Coignard, Stéphane Comby, Xavier Guittet, Jean-Luc Guitton, Denis Léger-Milhau, Léon Napias, Julie Roux, Marc Siemiatycki, Mikaël Teyssié – Musicien : Alain Bruel

Résumé

Vaudeville endiablé Futur marié du jour, Fadinard voit sa monture mâcher le chapeau de paille d’une jeune femme. Hélas, le couvre-chef appartient à Anaïs, qui badine en secret avec son amant. Si elle ne retrouve pas sa coiffe, elle risque les foudres d’un mari jaloux… Et voilà Fadinard lancé dans une course effrénée au chapeau, toute la noce sur ses talons. Une poursuite avec rebondissements et quiproquos tous plus hilarants les uns que les autres ! Et pour conjuguer le plaisir du théâtre et la joie de la musique, Gilles Bouillon y intègre chansons, choeurs, chorégraphie… un véritable musical théâtral ! Célèbre pour ses vaudevilles, Labiche se distingue dès ses premières pièces par ses talents de caricaturiste. Un Chapeau de paille d’Italie est sa pièce la plus jouée. René Clair l’adapte pour le cinéma, de même que Maurice Cammage (avec Fernandel en Fadinard), tandis qu’Orson Welles la monte au Maxime Eliott Theater à Washington.

Vertikal

Distribution

Auteur : Mourad Merzouki, CCN de Créteil et du Val-de-Marne / Cie Käfig – Direction artistique et chorégraphie : Mourad Merzouki – Avec : Francisca Alvarez, Rémi Autechaud dit « RMS », Kader Belmoktar, Sabri Colin dit « Mucho », Nathalie Fauquette, Pauline Journe, Vincent Lafif, Maud Payen, Manon Payet, Teddy Verardo – Création musicale : Armand Amar – Mise à disposition d’un espace scénique aérien : Fabrice Guillot, Cie Retouramont – Assistante du chorégraphe : Marjorie Hannoteaux – Lumières : Yoann Tivoli – Assisté de : Nicolas Faucheux – Scénographie : Benjamin Lebreton – Costumes : Pascale Robin – Mise en œuvre des agrès : Yves Fauchon – Formation en aérien : Isabelle Pinon

Résumé

Nous avions découvert et accueilli « Pixel » en 2017, fabuleux spectacle à la croisée des arts numériques et de la danse. Cette saison, nous nous engageons dans l’aventure en programmant avant sa création (en septembre à Valence) le nouveau spectacle du chorégraphe Mourad Merzouki, qui choisit cette fois-ci de jouer avec l’apesanteur. Le défi : explorer le jeu de la gravité avec dix danseurs évoluant dans un espace aérien imaginé en collaboration avec la compagnie de danse verticale Retouramont. Comment s’approprier les airs par la danse ? Tout semble possible, l’ascension comme la chute. Le rapport au sol, si primordial pour le danseur hip-hop, est fondamentalement modifié. Les jeux de contacts entre les interprètes sont bousculés : le danseur peut tour à tour être porteur ou voltigeur, marionnette animée par le contrepoids de ses partenaires au sol. Les dispositifs utilisés en danse verticale apportent de nouvelles sensations, une forme de légèreté, de l’illusion. Mourad Merzouki

Vous êtes uniques

Distribution

Conception et réalisation : Maggy Jacot, Axel De Booseré – Un spectacle kaléidoscopique incluant « Out of the box » basé : sur le texte « Le grand tri » de Paul Pourveur – Avec des textes de : Mireille Bailly et de l’équipe artistique – Avec : Astrid Akay, Fabian Finkels, Pénélope Guimas, Loriane Klupsch, Fabrice Schillaci, François-Michel van der Rest – Et la participation de : One Nation Crew – Assistanat scénographie et costumes : Rüdiger Flörke, Julie Antipine – Assistanat organisationnel : Julia Kaye – Chorégraphie : Darren Ross – Création lumières : Gérard Maraite – Création son : Eric Ronsse – Régie générale : Dylan Schmit – Régie plateau : Antoine Moors – Régie lumière : Renaud Minet – Régie son : Jérôme Mylonas – Réalisations décors et costumes : Ateliers du Théâtre de Liège, Billie Mertens – Habilleuse : Françoise Hottois

Résumé

Bienvenue dans l’univers festif et résolument décalé d’Axel De Booseré et Maggy Jacot, complices de longue date aux créations mémorables. Depuis « Le Dragon » en 1999, ils en ont parcouru des scènes et exploré des œuvres ! Fondateurs de la Compagnie Pop-Up, ils offrent au public des spectacles aux formes inventives et réjouissantes avec une générosité constante. « Vous êtes uniques » est un spectacle qui questionne l’individu et son rapport à la norme. Pourquoi serions-nous enclins à reproduire des comportements conformistes ? Nos compromissions anodines, nos aveuglements d’autruche ou notre inertie ne feraient-ils pas de nous les petites mains d’un système global ? Une forme kaléidoscopique déroule devant nos yeux une succession de tableaux comme autant de points de vue et de perspectives. Evénements visuels et poétiques où musique et danse côtoient des fragments théâtraux inspirés notamment par « Le grand tri » de Paul Pourveur. De la scène au public, l’universel devient personnel ; de quoi nous plonger dans un shaker régénérant, remue-méninges tantôt consternant, tantôt hilarant !

Youpi

Distribution

Interprétation : 19 musiciens, 2 danseuses nues, Jean Fürst, Jean-Luc Piraux, Daphné D’Heur, Noémie Schellens – Assistant à la mise en scène : Benoît Joveneau – Dessin animé : Pic Pic André – Ingénieur son : Marco Gudanski – Scénographie et costumes : Johan Daenen – Interprétation : Patrick Waleffe, Philippe Tasquin, Véronique Stas, Michel Puissant, Bernard Eylenbosch, Charlie Degotte – Lumières : Jean-Claude Jacoby – Interprétation : Pierre Bodson – Maquillages : Dominique Brevers – Musiques et direction musicale : Philippe Tasquin – Livret et mise en scène : Charlie Degotte

Résumé

Opérette belge en trois actes et une révolution Au Belgica, dernier théâtre fédéral de son altesse royale, se joue chaque soir le spectacle fantastique de l’histoire de notre Belgique ; les jours pairs, en français, les jours impairs en flamand. Mais cette journée est historique : ce soir, sa Majesté vient assister à la représentation. Par malheur, toute la troupe du spectacle meurt dans un terrible accident de bus. Le personnel du théâtre va tenter de la remplacer… branle-bas de combat ! Un formidable pied de nez pour fêter les 175 ans de notre petit pays, où décidément on aime ne pas se prendre au sérieux… Une création de la Cie Aucun Mérite, en coproduction avec le Théâtre de la Place/Liège, le Théâtre de Namur, le Centre Culturel Régional d’Arlon et l’Atelier Théâtre Jean Vilar. Avec l’aide du Ministère de la Communauté Wallonie-Bruxelles – Services du Théâtre et de la Musique, de la Ministre-Présidente de la Communauté française et de la Ministre de la Culture.

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