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Studio 12

84 minutes d’amour avant l’apocalypse

Distribution

De et avec : Anne-Pascale Clairembourg, Emmanuel Dekoninck, Julie Duroisin – Regards extérieurs : Dominique Bréda, Sophie Leso, Sophie Linsmaux, Patrice Mincke, Miriam Youssef – Assistante à la mise en scène : Joséphine de Renesse – Scénographie : Sophie Carlier – Lumières : Jacques Magrofuoco – Costumes : Béatrice Pendesini – Bande son : Gilles Masson – Visuels : Dominique Bréda – Coiffures et maquillages : Vincent Respriget

Résumé

La dernière pièce de Simon, une histoire d’amour, doit être envoyée au metteur en scène dans 3 jours, le hic c’est que Simon n’a pas encore écrit une ligne. Il bloque. L’amour, il n’a jamais vraiment expérimenté. Il y a bien cette actrice, Lucie, qui l’a bouleversé dans le rôle de Gertrude, la mère de Hamlet… Le hasard, ou le destin, ou une volonté supérieure, ou celui qui a écrit la pièce, le place nez à nez avec elle dans un ascenseur qui n’en finit pas de descendre. Cette femme n’est pas Lucie, c’est Anna, sa sœur jumelle, célèbre physicienne spécialisée en physique quantique. Lucie, elle, est morte brutalement, noyée, comme Ophélie dans Hamlet. Simon, par la fiction, va tenter de vivre son histoire d’amour impossible avec Lucie ou Anna ou les deux. Et c’est cette histoire-là que nous allons jouer. Entre réalité et fiction, « 84 minutes d’amour avant l’apocalypse », joue avec les codes de la narration et explore les possibles de la réalité théâtrale. « L’imagination est le smoking du réel, il met des robes longues à nos idées courtes » Sim

Don Quichotte avant la nuit

Distribution

Auteur : Paul Emond – Mise en scène : Alan Bourgeois – Avec Rachid Benbouchta, Fabian Coomans, Isabelle Renzetti, Benoît Verhaert – Scénographie et création lumières : Thibault Sinay – Création sonore : Fabian Coomans – Conseiller scientifique : Freddy Malonda – Conseiller lumière : Mathieu Cabanes – Direction technique : Jacques Magrofuoco – Régie générale : Manu Maffei – Régie son / lumières / vidéo : David Goubau – Habilleuse : Lily Beca – Construction décor : L’Entrepool (Vincent Rutten) – Equipe technique : Eric Degauquier, Jean-Philippe Hardy, Virgile Morel, Gulcan Sen

Résumé

Une réécriture scénique d’après l’œuvre de Cervantès. Don Quichotte et Sancho se retrouvent dans une chambre d’hôpital et occupent leur temps en s’inventant un monde imaginaire, épique. Une vie pleine d’aventures où les lits deviennent des barques, où les murs blancs se transforment en hautes murailles d’un château renfermant une princesse prise au piège… Sur fond de musique live, ce spectacle va chercher à rendre romanesque, palpitant – et même drôle ! – leur dernier voyage. Car qui d’autre que « l’incomparable fleur de la chevalerie errante » pour transfigurer les moments ultimes de l’existence en une histoire épique et grandiose, digne de nous être contée ?

La Convivialité

Distribution

Auteur : Arnaud Hoedt, Jérôme Piron – Co-mise en scène : Arnaud Pirault, Clément Thirion, Dominique Bréda – Avec : Arnaud Hoedt, Jérôme Piron – Avec, pour la représentation du 25 février à 13h30 : Philippe Couture, Antoni Severino – Création vidéo, visuel et régie création : Kévin Matagne – Conseiller technique : Nicolas Callandt – Conseiller artistique : Antoine Defoort – Assistanat à la mise en scène : Anaïs Moray – Régie générale : Charlotte Plissart  

Résumé

Un spectacle qui met le doigt sur les absurdités des règles orthographiques ! Passion pour les uns, chemin de croix pour les autres, l’orthographe de la langue française est sacrée. Des aberrations, des stigmatisations, une culpabilité chrétienne, un état de vigilance permanente… C’est ce que met en lumière ce spectacle aussi instructif qu’hilarant, interprété par deux anciens professeurs de français. Car il faut bien avouer que l’Académie française a un vrai potentiel comique… Notre objectif est de distinguer la langue française de l’orthographe. Nous ne voulons en aucun cas critiquer l’évolution de la langue. Elle évolue, il y a des choses qu’on n’écrit plus, qu’on ne dit plus, comme la marque de négation « ne » qui disparait surtout à l’oral. Arnaud Hoedt et Jérôme Piron

La Cour des grands

Distribution

Auteur : Myriam Leroy – Adaptation théâtrale : Myriam Leroy, Véronique Dumont – Mise en scène : Véronique Dumont – Avec : Isabelle Defossé, Vincent Lecuyer – Composition musicale : Olivier Thomas – Scénographie : Olivier Wiame – Création lumières : Aurélie Perret – Création costumes : Odile Dubucq – Assistanat à la mise en scène : Sarah Lefèvre – Chorégraphie : Emilie Guillaume – Régie lumières : David Goubau – Régie son : Themis Noben – Avec l’aide de : l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Tout public dès 12 ans. À travers une fiction inspirée du réel, Cathy Min Jung nous plonge dans le quotidien des éducateurs scolaires. Maxime, Cham’s, Léone et Djibril sont éducateurs à l’école 77. Dans la cour de récré, ils sont les gardiens du monde en concentré puisqu’il y est question de jeux, d’amitiés, de disputes, mais aussi de pouvoir, d’inégalités, de justice et d’injustice. À force de patience, d’écoute et de créativité, ces « pions » somme toute ordinaires emmèneront les élèves dans une épopée humaine hors du commun. Et si c’était à la récré que commençait le changement ? Face aux enjeux cruciaux auxquels nous sommes confrontés, j’ai voulu questionner un système qui sait l’urgente nécessité de réinventer ses modèles économiques et sociaux, mais qui méprise celles et ceux qui accompagnent les premiers pas des adultes de demain dans le difficile apprentissage du vivre ensemble. Cathy Min Jung

Lin Zhao – Réparer le monde

Distribution

Auteur : Jean-Claude Idée – Mise en scène, scénographie et création lumières : Jean-Claude Idée – Avec : Julia Le Faou, Cécile Van Snick – Assistant à la mise en scène : Simon Willame

Résumé

Méconnue chez nous, Lin Zhao est pourtant portée au rang d’icône par la dissidence chinoise actuelle, qui admire son courage dans son opposition au régime de Mao et se reconnaît dans certains de ses textes. Plus de 50 ans après sa mort, elle n’a jamais été totalement réhabilitée. Sa tombe, devenue un point de rassemblement pour les militants qui aspirent à plus de démocratie, est cernée de caméras de surveillance… A 17 ans à peine, Lin Zhao embrasse le communisme avec ferveur. Mais dans le milieu des années 1950, armée de sa plume, elle se dresse contre le régime totalitaire mis en place par Mao. Ses poèmes et textes critiques la conduisent derrière les barreaux, où elle poursuit son combat. Malgré des conditions de détention difficiles, elle parvient à écrire de nombreux poèmes, souvent contrainte à les rédiger avec son propre sang. Jusqu’au bout, elle refusera de se taire. En 2004, le réalisateur chinois Hu Jie lui consacre un documentaire et en 2018, Anne Kerlan publie « Lin Zhao, « Combattante de la liberté » », Prix de la Biographie 2019 du Point. Aujourd’hui son destin est porté à la scène par Jean-Claude Idée, qui poursuit son exploration des personnalités marquantes au parcours exceptionnel, après « Saint-Exupéry à New York » et « Korczak, la tête haute ».

Loco

Distribution

Mise en scène : Natacha Belova, Teresita Iacobelli – Auteur : Natacha Belova, Teresita Iacobelli – Avec : Teresita Iacobelli, Marta Pereira – Chorégraphe, regard extérieur : Nicole Mossoux – Assistant dramaturgie, regard extérieur : Raven Rüell – Créateur lumières : Christian Halkin – Construction de marionnettes : Loïc Nebreda – Créateur sonore : Simón González – Créatrice costumes : Jackye Fauconnier – Assistanat à la mise en scène : Camille Burckel – Production : Javier Chávez – Production artistique : Daniel Córdova – Régisseur son : David de Four – Régisseur lumières : Gauthier Poirier – Régisseuse plateau : Stéphanie Denoiseux

Résumé

Deux actrices et une marionnette explorent le conte surréaliste et la vie de Nikolaï Gogol. Après le multi-primé « Tchaïka », la compagnie Belova – Iacobelli revient avec une création inspirée de la nouvelle « Le Journal d’un Fou » et de la vie de son auteur, Nikolaï Gogol. Les aventures étranges et poétiques de Popritchine, le héros de ce conte absurde, font étrangement écho à la vie de Gogol… Un spectacle pour deux actrices et une marionnette qui touche au thème de l’exclusion, mais aussi au désir ardent, vital, de trouver sa place dans le monde, un désir qui cherche à s’accomplir à tout prix, jusqu’à perdre la raison. Au travers de l’histoire de ce petit employé et de la vie de Gogol, nous interrogerons nos propres solitudes, désirs, frustrations et troubles face à ce qui est établi et raisonnable. […] Ce n’est pas un éloge de la folie en tant que pathologie, mais un besoin de « mêler les cartes », de sortir du discours habituel, de chercher un nouvel axe de regard sur la réalité. Quitter la logique habituelle, pour rêver d’autre chose.

Maison Renard

Distribution

De et par : Alexandre Dewez – Aide à l’écriture : Jean-Michel Frère – Scénographie : Boris Dambly, Laurent Liber – Aide technique vidéo : Tonin Bruneton – Assistanat à la mise en scène : Alexis Spinoy

Résumé

Tout public dès 14 ans Préparez-vous au pire et espérez le meilleur ! Bertrand en est convaincu : la fin du monde, c’est pour demain. Entre le réchauffement climatique, les catastrophes naturelles, la menace nucléaire et l’épuisement des ressources, il ne faudra pas attendre 2050 pour que tout s’effondre. Heureusement, son entreprise détient LA solution… Aussi drôle que cynique, ce spectacle est entièrement réalisé avec des données issues du monde scientifique. Doit-on vraiment craindre un effondrement de notre civilisation ? Comment vivre en autonomie totale ? La survie n’aura plus de secret pour vous.

Miss Else

Distribution

Auteur : Jeanne Dandoy, (en collaboration avec Lionel Ravira) – D’après le roman d’Arthur Schnitzler – Dramaturgie et adaptation : Jeanne Dandoy – Assistée de : Lionel Ravira – Mise en scène : Jeanne Dandoy – Assistée de : Judith Ribardière – Avec : Epona Guillaume, Alexandre Trocki – Voix off mère : Jeanne Dandoy – Scénographie et création lumières : Arié van Egmond – Création vidéo : Lionel Ravira – Création sonore : Harry Charlier – Création costumes et maquillages : Emilie Jonet – Régie générale : Nicolas Oubraham – Régie son : David Goubau – Avec l’aide de : l’équipe technique du Vilar

Résumé

Il est un âge où les jeux des adultes sont tentants mais dangereux, parce qu’on se croit être assez grand pour y jouer alors qu’on n’est qu’un enfant. Else, une adolescente en vacances dont les désirs s’éveillent, teste son pouvoir de séduction entre fantasmes et essais maladroits. Un message de sa mère l’invite à user de son charme pour demander une somme importante au nanti Monsieur Von Dorsday, qui séjourne dans le même hôtel. Cet argent doit servir à sauver son escroc de père de la prison, voire du suicide. Else choisira-t-elle de sauver sa famille au détriment de son intégrité ? À 15 ans, trouvera-t-elle la force de résister et de se réapproprier son existence ? Un splendide duo d’acteurs cisèle la tendre et sombre poésie de l’adolescence pour nous immerger dans le labyrinthe mental d’une jeune fille de 15 ans. Les créations lumières et vidéo nimbent d’un troublant onirisme cinématographique cette introspection d’une ingénue moderne exposée à la froideur du monde.

Rêve d’automne

Distribution

Auteur : Jon Fosse – Mise en scène : Georges Lini – Avec : Isabelle Defossé, Georges Lini, Claude Semal, Barbara Sylvain, Cécile Van Snick – Mouvement : Barbara Sylvain – Oeil extérieur : Nargis Benamor – Scénographie : Thibaut De Coster, Charly Kleinermann – Costumes : Thibaut De Coster, Charly Kleinermann – Création lumières : Jérôme Dejean – Collaborateur artistique : Sébastien Fernandez – Régie générale : Eric Degauquier – Régie lumières : Virgile Morel – Construction décor : L’Entrepool (Vincent Rutten) – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Equipe technique : David Goubau, Jean-Philippe Hardy, Manu Maffei, Gulcan Sen, Antoine Vanagt – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Une pièce fascinante sur le désir et le temps qui passe. Un homme et une femme qui se sont aimés se retrouvent. Il est ici pour assister aux obsèques de sa grand-mère, elle s’est laissée attirer par ce lieu sans trop savoir pourquoi. Les amants se désirent encore et se rapprochent inéluctablement. Mais qu’ont-ils vraiment vécu ? Et ont-ils encore quelque chose à vivre ? Le temps passe imperceptiblement, s’accélère puis se suspend, la routine de la vie se poursuit. Nos morts sont enterrés. Dans les vieilles maisons, d’autres gens y vivent. Un rêve d’automne, c’est l’histoire d’un dernier rendez-vous, juste avant le déclin forcé de l’hiver. La puissance incantatoire des mots de Jon Fosse nous plonge radicalement au cœur de nos relations, de nos émotions, de nos conflits. Les mots s’entrechoquent aux vies qui défilent. La vie est un ciel avec des nuages avant la tombée de la nuit. Jon Fosse

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