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Théâtre Jean Vilar

Cocteau Marais

Distribution

D’après l’œuvre de Jean Cocteau – Conception et réalisation : Jean Marais et Jean-Luc Tardieu – Interprétation : Jacques Sereys

Résumé

Bouchées littéraires pour fins gourmets Ce soir, nous sommes conviés à une promenade à travers l’œuvre de Cocteau. Une fresque qui conjugue l’intime et les allusions aux figures marquantes, compagnons de route de l’auteur, tels Picasso, Satie, Stravinsky, Colette… En 1983, Jean Marais et Jean-Luc Tardieu mettent au point un montage de textes de Cocteau, distillant des fragments de poèmes, lettres, romans, films, journaux, avec humour et tendresse. Un hommage au touche-à-tout de génie, mentor et amant de Marais. Le temps passe, Tardieu n’oublie pas le vœu de Marais Il faudra que ce texte vive hors de moi. Tu n’auras qu’à retirer mon nom… Et un quart de siècle plus tard, Jacques Sereys reprend le rôle de Marais pour entraîner le public dans un dédale artistique, miroir d’une époque et d’une existence troubles. Une levée de voile sur un Cocteau insaisissable, à la fois inspiré et tourmenté, drogué de travail et d’opium, qui se révèlera dans La Difficulté d’être : Je me cherchais, je croyais me connaître, je me perdais de vue, je courais à ma poursuite, je me retrouvais hors d’haleine. À peine subissais-je un charme que je me dressais à le contredire. Jacques Sereys, éminent sociétaire de la Comédie-Française au délicieux talent de diseur, revient à l’Atelier Théâtre Jean Vilar après Du côté de chez Proust (2007) et Au Soleil de Daudet (2008). Une nouvelle percée tout en finesse dans la littérature, guidée par un amoureux des oeuvres. Acte2 présente une coréalisation de la Comédie-Française et du CADO.

Cocteau-Marais

Distribution

Auteur Jean Cocteau – Conception et réalisation Jean Marais, Jean-Luc Tardieu – Avec Jean Marais.

Résumé

Jean Cocteau : ce nom seul suffit à déclencher dans notre mémoire le défilé brillant des personnages mythiques que le poète à su y graver. Surgissent en nous les images de Thomas l’imposteur, Dargelos, Orphée, Heurtebise, la Belle et la Bête, Tristan et Yseult, et tant d’autres, si proches, si vrais, si vivants : éternels. C’est à une promenade à travers cette œuvre que ce spectacle nous convie, aux retrouvailles avec un Cocteau connu, le magicien du verbe. Mais aux figures de l’œuvre se mêlent celles de la vie, les compagnons de route, phares artistiques de cette époque, les Picasse, Satie, Radiguet, Stravinski, Genet, Max Jacob, Colette… Ainsi se dessine un Cocteau inattendu, drôle et profond, gai et déchiré, sans masque, le Cocteau qui s’écrie : « L’œuvre d’un homme doit être assez forte pour qu’on puisse lever le rideau sur ses coulisses. L’impudeur, c’est notre héroïsme à nous ». Production du Théâtre de l’Atelier.    

Combat de nègre et de chiens

Distribution

Auteur : Bernard-Marie Koltès – Metteur en scène : Frédéric Dussenne – Interprétation : Bernard Sens, Valérie Bauchau, Philippe Jeusette, Mwanza Goutier – Costumes : Lionel Lesire – Scénographie : Marcos Vinals Bassols

Résumé

Dans un pays d’Afrique, en pleine brousse, sur un chantier de travaux publics d’une entreprise étrangère. Cinq, six maisons, entourées de barbelés, avec des miradors et à l’intérieur, une dizaine de blancs qui vivent, plus ou moins terrorisés par l’extérieur, avec des gardiens noirs, armés, tout autour. Au crépuscule, Horn, chef de chantier, croit apercevoir la silhouette d’un homme. C’est Alboury. Il vient réclamer le corps de son frère mort. La version officielle parle d’un accident de travail… Une pièce remarquable, qui nous plonge dans les profondeurs de l‘Afrique. Un rendez-vous avec l’un des plus grands écrivains français de théâtre du XXème siècle. Une coproduction entre l’Atelierthéâtre Jean Vilar et le Kollectif Théâtre – L’Acteur et l’Ecrit.

Comme il vous plaira

Distribution

Auteur William Shakespeare – Mise en scène Benno Besson – Par le Théâtre de l’Est Parisien

Résumé

Par la Théâtre de l’Est Parisien.

Compagnie

Distribution

Auteur Samuel Beckett – Metteur en scène Pierre Chabert – Scénographie et costumes Jean Herbin, Pierre Diderot – Costumes Claudine Sergent – Lumières Geneviève Soubirou – Avec Pierre Dux

Résumé

L’homme est assis, très droit, dans un fauteuil sombre. Il porte une robe de chambre grise. Il soliloque. Pour se tenir compagnie, il en invente un autre, il s’invente autre, se dédouble, se détriple, « comme l’enfant solitaire qui se met en plusieurs, deux, trois, pour être ensemble et parler ensemble dans la nuit ». Il imagine : un être couché sur le dos dans le noir, une voix qui lui parle, qui lui égrène un passé, des souvenirs d’enfance, son présent, peut-être son futur, ce qu’il lui reste à parcourir pour achever d’accomplir sa parabole d’humain sur la terre ; au moment du noir qui gagne, de la lumière qui meurt, des images éblouissantes du passé refluent, images de vie, d’amour, d’enfance blessée, de naissance. Une production de la compagnie Renaud- Barrault

Compartiment séducteur

Distribution

Auteur : Jean-Philippe Arrou-Vignod – Metteur en scène : Jean-Pierre Bouvier – Interprétation : Jean-Pierre Bouvier – Assistant à la mise en scène : Jean-François Chatillon

Résumé

Leçon de séduction Il voulait être seul. Et puis elle entre, dans son compartiment. Elle ne le regarde pas. Pire encore, c’est comme s’il n’existait pas. Elle lit. Qui est-elle ? A quoi joue-t-elle ? Il est libre, disponible, un homme à femmes, prêt à tout pour forcer son indifférence. Drôle, charmeur, pathétique, il se lance, s’enfièvre, prend tous les risques. Entre elle et lui, l’aventure commence. On ne monte pas impunément dans le compartiment séducteur… Jean-Pierre Bouvier a joué presque tous les grands rôles du répertoire français (Dom Juan, Ruy Blas, Lorenzaccio, Cyrano…). Comédien, il a tourné plus de 110 films pour le cinéma (Ma Saison Préférée d’André Téchiné) ou la télévision, et joue régulièrement au théâtre. Il est également metteur en scène, directeur du Festival de Sète (de 1985 à 1987) et enseignant (de1992 à 1995). Avec l’aimable autorisation du Théâtre du PALAIS ROYAL, Direction Mr Francis NANI

Conversation en Wallonie

Distribution

Metteur en scène : Armand Delcampe – Auteur : Jean Louvet – Interprétation : Jo Deseure, Jean-Claude Derudder, Jacques De Bock, Stéphane Excoffier, Frédéric Hérion, Jean Koerver, Sylvie Landuyt, Marie-Line Lefebvre, Pascale Massaer, Bruno Mullenaerts, Jean-Marie Pétiniot, David Pion, Grégory Praet, Célia Torrens – Décor : Armando Mannini – Maquillages : Martine Lemaire – Costumes : Véronique Biefnot – Lumières : Philippe Sireuil

Résumé

« Il était une fois un enfant pauvre qui deviendra quelqu’un… ». Propulsé hors de sa condition par le sacrifice de ses parents, Jonathan est l’enfant « qui a réussi ». En même temps, il est le fils perdu pour son père, le fils d’ouvrier à qui on a coupé les racines. Jonathan et le père – Grégoire – traversent les seuils de leurs deux existences. Ils sont « un » dans la réconciliation, ils sont « cent » dans le cours de l’histoire des travailleurs. La pièce est un chef-d’oeuvre de notre temps et de chez nous, qui nous rappelle, avec fraternité, que l’obsession du bonheur et de la réussite ne doivent pas nous faire perdre la mémoire, le courage et la grandeur. Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar, du Festival de Spa et du Centre Dramatique Hainuyer, avec la participation du Centre des Arts Scéniques.

Conversations avec mon père

Distribution

Auteur : Herb Gardner – Version française : Jean-Claude Grumberg – Mise en scène : Jean-Claude Berutti – Avec : François Bertrand (Nick), William Clobus (Charlie à 12 ans), Axel De Booseré (Charlie), Ferdinand Despy (Sammy / Monsieur Bleu), Itsik Elbaz (Eddie), Antoine Herbulot (Joey à 12 ans / Finney), Clément Papachristou (Joey), Bernadette Riga (Hannah), Marvin Schlick (Jimmy Scalso), Lotfi Yahya Jedidi (Zaretsky), Aylin Yay (Gusta) – Assistant à la mise en scène : François Bertrand – Scénographie : Rudy Sabounghi – Costumes : Colette Huchard – Maquillages et coiffures : Rebecca Flores – Lumières : Christophe Forey – Réalisation des décors et des costumes : Ateliers du Théâtre de Liège – Création son : Pierre Dodinval

Résumé

Charlie revient sur les lieux de son enfance : le café de son père sur Canal Street à New York. Là, il se remémore l’histoire de sa famille, une saga qui s’étend des années 1930 aux seventies. On y pleure, on y rit, dans ce bistrot, attablé avec la famille et sa clientèle triée sur le volet. On discute, et surtout, on se dispute, aussi bien en yiddish qu’en américain, mais toujours avec un accent venu d’ailleurs. C’est tout simplement truculent ! Juif originaire d’Europe de l’Est, le patriarche Itzhak Goldberg se rebaptise Eddie Ross. Il rêve de faire prospérer son commerce et de se fondre dans le moule yankee. Pas facile avec une épouse respectueuse des traditions et deux fils confrontés à l’antisémitisme. Et depuis l’Europe, le grondement du nazisme et de la guerre leur parvient… Par un jeu de flash-back permanent, 11 comédiens donnent corps aux souvenirs de Charlie et nous livrent les tranches de vie d’un petit groupe d’émigrants juifs pas encore tout à fait adaptés au « modern way of life ». On s’attache irrésistiblement à la joie de vivre et à l’universalité de ces personnages hauts en couleur.

Côté Jardin

Distribution

Mise en scène : Karin Rochat – Auteur : Isabelle Rigaux

Résumé

Un jardin tôt le matin… Une rivière où l’on pêche des poissons invisibles… Le petit creux dans l’estomac vers dix heures… Des petits insectes de-ci de-là et une coccinelle complice…

Crowsnest (Danse)

Distribution

Avec Martha Clarke, Félix Blaska, Robert Barnett

Résumé

Martha Clarke et Félix Blaska ont fondé leur compagnie Crowsnest en 78 pour explorer les interactions entre la danse, le théâtre et la musique. Peu après, un autre danseur américain de premier plan les rejoindra : Robert Barnett. Le spectacle « Danse » qu’ils présenteront en Belgique comprendra une nouvelle série de ballets inédits inspirés par les thèmes aussi différents que les arts martiaux, des chants espagnols, des musiques de Mendelssohn et Schubert, la peinture de Jérôme Bosch, New-York, Proust, le cirque, etc, etc…

Cuisine et dépendances

Distribution

Auteur : Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri – Mise en scène : Stephan Meldegg – Avec : Jean-Pierre Bacri, Jean-Pierre Darroussin, Agnès Jaoui, Sam Karmann, Zabou

Résumé

Ils ont la quarantaine, ils se sont perdus de vue depuis longtemps ; ils se retrouvent le soir, le temps d’un dîner un rien chaotique, un rien perturbé. Car il y a ceux qui ont réussi, ceux qui se sentent ratés, ceux qui trichent et qui profitent… Toute une galerie de petits bourgeois d’aujourd’hui, crevant de réussite sociale et trimbalant frustrations, désillusions, jalousie… Ces personnages, dignes de Tcheckhov, nous parlent à merveille des années 1990.

D’Honorables canailles

Distribution

Auteur : Gergely Csiky – Adaptation et mise en scène : Michelle Marquais – Interprétation : Sandrine Belmont, Philippe Clévenot, Sophie Demmler, Hervé Dubourjal, Alain Dumas, Emilie Incerti Formentini, Stéphanie Lanier, André Marcon, Michelle Marquais, Lila Redouane, Jean-Paul Roussillon

Résumé

Hongrie 1849. La guerre d’indépendance a échoué. Les héros sont morts, les révolutionnaires en exil. Place à la mafia. Un petit monde de déclassés envahit la ville de Pest, infiltre les caves, les salons, les ministères. Pour survivre ils inventent de surprenants commerces. La capitale devient un bric-à-brac où l’on vend pêle-mêle des emplois, des députations, des jeunes filles, l’auréole des martyrs de la révolution. L’honneur passe à pertes et profits. On magouille par nostalgie. Une coproduction Atelier Théâtre Actuel, Atelier Théâtre Jean Vilar, Théâtre de Saint- Quentin en Yvelines, Scène Nationale, Catherine Casperini

D’autres vies que la mienne

Distribution

Auteur : Emmanuel Carrère – Adaptation et mise en scène : Claude Enuset – Avec : Xavier Campion, Stéphanie Van Vyve – Création vidéo : Louise Herlemont – Création musicale et régie : Martin Enuset – Création graphique : Marie Campion – Photo / Teaser : Laurence Vincent

Résumé

Un spectacle qui célèbre la vie, telle qu’elle est : cruelle, jouissive, révoltante, lumineuse. Dans un texte d’une intense émotion, un homme et une femme, confrontés à plusieurs épreuves collectives ou intimes, posent un regard plein d’humanité sur la vie des êtres qui les entourent et, par là même, sur leur propre existence. Dans une mise en scène sobre, un duo touchant de comédiens interprète tous les personnages du bouleversant roman d’Emmanuel Carrère – événement littéraire de 2009 – dans un récit polyphonique et véridique qui dit la folie de la vie, la puissance de l’amour et la rareté de chaque instant. Notre capacité d’écoute, d’empathie, d’oubli de soi, de résilience est questionnée. Grandes réactions ou petites lâchetés, mots maladroits ou regards bienveillants… la position juste est souvent celle qui est sur le fil.

Démocratie

Distribution

Auteur : Michael Frayn – Version française : Dominique Hollier – Mise en scène : Jean-Claude Idée – Dramaturgie : Armand Delcampe – Avec : Jean-Pierre Bouvier (Willy Brandt), Xavier Campion (Ulrich Bauhaus), Alain Eloy (Günter Guillaume ), Jean-François Guilliet (Herbert Wehner ), Frédéric Lepers (Horst Ehmke ), Serge Maillat (Helmut Schmidt ), Fred Nyssen (Reinhard Wilke ), Freddy Sicx (Günther Nollau), François Sikivie (Arno Kretschmann ), Alexandre von Sivers (Hans-Dietrich Genscher ) – Assistant mise en scène : Jean-François Viot – Régie générale /lumières/ son : Manu Maffei – Régie son : Quentin Huwaert – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décors : Christophe Beaugé, Marc Cocozza, Mathieu Regaert, Vincent Rutten – Peinture décors : Carine Aronson – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Faufilez-vous dans les coulisses du pouvoir… Démocratie nous plonge au cœur d’un des dix plus grands scandales d’espionnage de l’Histoire contemporaine. Ce mois de mai 1974, c’est la stupeur : le Chancelier Willy Brandt, l’homme de la réconciliation des deux Allemagnes, le Prix Nobel de la Paix, démissionne ! On vient de découvrir que son assistant personnel, son homme de confiance depuis son accession au pouvoir, Günter Guillaume, est un espion de la redoutée police de la RDA, la Stasi. Observateur privilégié, l’agent double décompose sous nos yeux les rouages de la machine politique. Le scandale est énorme. Manipulations, atteintes à la vie privée… et qu’en est-il dans nos démocraties actuelles ? Servie par une distribution franco-belge d’excellence, cette pièce aborde l’Histoire, analyse les enjeux du pouvoir et questionne les fondements de la démocratie. Un sujet peu abordé au théâtre, qui rend accessible la politique par le biais d’un texte intelligent. Un spectacle d’envergure qui sera présenté cette saison à Paris pendant six semaines (au Théâtre 14 Jean-Marie Serreau) puis à Bruxelles et en Wallonie.

Des Bêtises du Bout des Doigts

Distribution

Avec : Lara Hubinont, Kim Leleux – Mise en scène : Sylvie de Braekeleer

Résumé

Drôle d’enfant que cette petite Augustine ! Une petite fille pas très gentille. Une marionnette coquine, pas si méchante que ça au fond.

Des Souris et des hommes

Distribution

Auteur : John Steinbeck – Adaptation : Danielle De Boeck, Michel Kacenelenbogen – Metteur en scène : Michel Kacenelenbogen – Interprétation : Serge Demoulin, Olivier Massart, André Lenaerts, Alexandre Aflalo, Saïd Bahaïd, Delphine Bertrand, Yannick Guégan, Nicolas Ossowski, Freddy Sicx, Laurent Vernin – Lumières : Michel Kacenelenbogen – Scénographie et costumes : Sylvie Deschampheleire – Maquillages : Jean-Pierre Finotto

Résumé

Humain, trop humain… Dans les années ’30 au Sud des Etats-Unis, deux ouvriers agricoles bourlinguent de ferme en ferme pour gagner leur vie. George, vif, intelligent et débrouillard veille sur Lennie, colosse à l’âme d’enfant, qui aime tant la douceur mais ne connaît pas sa force. Leur rêve ? S’acheter un petit lopin de terre et y vivre libres. Œuvre culte de la littérature américaine où Steinbeck mêle habilement émotion et suspense, c’est aussi une histoire magnifique et tragique sur l’amitié et la condition humaine dans une société où l’argent est roi. Une production du Théâtre Le Public

Deux Petites Dames vers le Nord

Distribution

Auteur : Pierre Notte – Metteur en scène : Patrice Kerbrat – Interprétation : Marie-Line Lefebvre, Cécile Van Snick

Résumé

Un road movie désarmant Elles sont sœurs, d’âge mûr. Un peu tassées, peut-être ? Non. Disons embellies par le temps. A la mort de leur mère (quatre-vingt-dix-sept ans), Annette et Bernadette réalisent qu’elles n’ont jamais revu la tombe de leur père, enterré vingt-cinq ans plus tôt dans un cimetière, quelque part dans le Nord. Armées de la fraîcheur candide d’une complicité retrouvée, elles décident de partir à l’aventure : pour embrasser papa et pour lui dire que maman est partie. Efficacité et fluidité et par-dessus tout, réglée comme du papier à musique par Patrice Kerbrat, une superbe interprétation de Marie-Line Lefebvre et de Cécile Van Snick, osant tout. (Le Soir, août 2009) La comédie acérée du Français Pierre Notte est d’une écriture serrée, elliptique, dans un langage corsé, direct, fluide et syncopé : du jazz verbal ! (…) rien que du bonheur. (La Libre Belgique, mars 2010) Les Petites Dames vont et viennent, du crématorium au cimetière. Les Petites Dames qui sont en deuil, qui trimballent les cendres de leur mère, tout en chantant, en se souvenant, en se querellant, accomplissent leur périple. Les répliques, qui sont « en bouche », en rythme, en assonance, bref musicales, qui sont écrites pour les actrices, sont « vraies », font mouche, font rire. Pierre Notte connaît sur le bout des doigts les règles de la comédie : on s’y retrouve, on s’y reconnaît. Philippe Minyana Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa.

Deux Petites Dames vers le Nord (en tournée)

Distribution

Texte et musique : Pierre Notte – Metteur en scène : Patrice Kerbrat – Interprétation : Marie-Line Lefebvre, Cécile Van Snick

Résumé

Un road movie désarmant Elles sont sœurs, d’âge mûr. Un peu tassées, peut-être ? Non. Disons embellies par le temps. A la mort de leur mère (quatre-vingt-dix-sept ans), Annette et Bernadette réalisent qu’elles n’ont jamais revu la tombe de leur père, enterré vingt-cinq ans plus tôt dans un cimetière, quelque part dans le Nord. Armées de la fraîcheur candide d’une complicité retrouvée, elles décident de partir à l’aventure : pour embrasser papa et pour lui dire que maman est partie. Efficacité et fluidité et par-dessus tout, réglée comme du papier à musique par Patrice Kerbrat, une superbe interprétation de Marie-Line Lefebvre et de Cécile Van Snick, osant tout. (Le Soir, août 2009) La comédie acérée du Français Pierre Notte est d’une écriture serrée, elliptique, dans un langage corsé, direct, fluide et syncopé : du jazz verbal ! (…) rien que du bonheur. (La Libre Belgique, mars 2010) Les Petites Dames vont et viennent, du crématorium au cimetière. Les Petites Dames qui sont en deuil, qui trimballent les cendres de leur mère, tout en chantant, en se souvenant, en se querellant, accomplissent leur périple. Les répliques, qui sont « en bouche », en rythme, en assonance, bref musicales, qui sont écrites pour les actrices, sont « vraies », font mouche, font rire. Pierre Notte connaît sur le bout des doigts les règles de la comédie : on s’y retrouve, on s’y reconnaît. Philippe Minyana Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival de Théâtre de Spa.

Dis à ma fille que je pars en voyage

Distribution

Auteur : Denise Chalem – Metteur en scène : Denise Chalem – Interprétation : Denise Chalem, Christine Guerdon, Christine Murillo – Décor : Chantal Thomas – Assistante décor : Natacha Le Guen – Lumières : Gaëlle de Malglaive – Son : Philippe Donnefort – Costumes : Cidalia Da Costa – Assistante à la mise en scène : Nathalie Bensard

Résumé

Deux femmes qui n’auraient jamais dû se rencontrer. Une cellule de prison et deux intimités confrontées à quelques mètres carrés… Leurs seules ouvertures sur le monde : une fenêtre à travers laquelle elles entrevoient un coin de ciel et les intrusions des surveillantes. Face à nous, la promiscuité qui dévoile sans ménagement les jardins secrets, pas toujours fleuris ; le premier temps de l’indifférence, de l’apprivoisement, puis petit à petit la naissance d’une amitié. Un huis clos à la fois réaliste et cocasse. Caroline et Dominique n’ont rien en commun, les raisons de l’emprisonnement, le milieu social dont elles sont issues, tout les sépare. Caroline a de l’éducation et de l’instruction, elle est en prison pour falsification de comptes ; Dominique a les manières rudes d’une mère de famille dont l’existence a toujours été pénible, elle a tué. La prison les réunira, pour le meilleur, et souvent pour le pire. Et c’est dans le pire qu’elles s’épauleront, donnant envers et contre tout une humanité à cet univers carcéral sordide et impitoyable, où harcèlement et mépris sont monnaie courante. Avec un texte fort et direct, des dialogues vifs, justes et simples, des silences qui en disent long et deux personnages féminins attachants, Denise Chalem nous confronte à la question des droits fondamentaux lorsque la dignité humaine est en jeu. Molières 2005 du meilleur spectacle et de la meilleure comédienne pour Christine Murillo. Une production des Tournées du Théâtre de l’Oeuvre G.M. Spectacles. Spectacle proposé en collaboration avec le Centre Culturel d’Ottignies-Louvain-la-Neuve.

Discours à la nation

Distribution

Auteur : Ascanio Celestini – Texte et mise en scène : Ascanio Celestini – Adaptation française : Patrick Bebi – Interprétation : David Murgia – Composition et interprétation musicale : Carmelo Prestigiacomo – Création lumières : Danilo Facco – Scénographie : Chloé Kegelart – Régie lumière : Manu Savini – Régie son : Philippe Kariger – Avec l’aide de l’équipe technique de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Avec sa langue inimitable, à la poésie sautillante, à l’humour ravageur ; avec sa conscience politique et un véritable amour des « petites gens »; avec son sens aigu de la musicalité des mots ; avec tout ça, Ascanio Celestini a construit en quelques années une grande œuvre de théâtre. Evoquant une nouvelle fois la relation entre la classe dominante et la classe dominée, Celestini renverse ici son point de vue : ce sont à présent les puissants qui parlent. Au milieu d’un tas de caissettes en bois, avec férocité et un plaisir ostensible, David Murgia donne vie à ces politiciens ou chefs d’entreprise dont le discours, débarrassé de son vernis de respectabilité, se pare d’un grotesque aussi comique qu’effrayant. La docilité du peuple, la démission des syndicats, le marché globalisé, tout cela est salué par des personnages hilares et dénués du moindre remords. Entrecoupant ces discours de petites historiettes riches de sens dont il a le secret, Celestini produit un spectacle tout simplement magistral, où l’on rit aux éclats mais qui met aussi le doigt sur les aberrations de nos sociétés modernes. Et, accompagné par la guitare de Carmelo Prestigiacomo, David Murgia livre au passage une prestation saisissante, confirmant son immense talent. Prix du public Festival Off/Avignon 2013. Meilleur spectacle de Théâtre Prix de la Critique 2013. Meilleur spectacle

Dom Juan

Distribution

Auteur : Molière – Mise en scène : Gilles Bouillon – Avec : Frédéric Cherboeuf (Dom Juan), Alexandre Forêt (La Violette, Ragotin, La Ramée), Xavier Guittet (Gusman, Le pauvre, M. Dimanche), Jean-Luc Guitton (Sganarelle), Gérard Hardy (Dom Louis), Blaise Pettebone (Dom Alonse), Nelly Pulicani (Charlotte), Korotoumou Sidibe (Mathurine), Kevin Sinesi (Dom Carlos), Cyril Texier (Pierrot), Cassandre Vittu de Kerraoul (Elvire)

Résumé

Séducteur, infidèle, libertin parjure, Dom Juan, accompagné de son fidèle Sganarelle, cumule les conquêtes amoureuses et charme les jeunes filles nobles et les servantes avec le même succès. Gilles Bouillon dirige sur le plateau onze comédiens autour desquels se joue le destin tragique du plus grand blasphémateur de tous les temps. A cette joyeuse troupe se greffe un musicien – Alain Bruel – qui jouera la musique « en live ».

Dom Juan

Distribution

Auteur : Molière – Interprétation : Bernard d’Oultremont, Didier Colfs, Bruno Bulté, Olivier Massart, Gérard Vivane, Léonil Mc Cormick, Jean-Marie Pétiniot, Nathalie Hanin, Isabelle Roelandt, Isabelle Defossé – Metteur en scène : Armand Delcampe

Résumé

La pièce la plus étonnante de Molière qui, parce qu’elle anticipe sur ce que la société de son temps peut admettre, fut interdite et attendit trois siècles avant d’être rejouée dans sa version intégrale. Une coproduction de Del Diffusion et de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Dom Juan

Distribution

Auteur : Molière – Metteur en scène : Herbert Rolland – Interprétation : Alexandre von Sivers, Pietro Pizzuti, René Hainaux, Isabelle Wéry, Manuella Ammoun, Thierry Wasseige, Christian Dalimier, Cécile Henry

Résumé

Mythe, légende, Dom Juan est un personnage si énigmatique que tous se concentrent sur lui lorsqu’il entre en scène. Il est moins un athée qu’un libre penseur, moins un jouisseur qu’un homme qui a la passion de la liberté. La liberté jusqu’au bout. Jusqu’au bûcher. Jusqu’à l’enfer… Une production de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve et du Théâtre de la Vie

Donogoo

Distribution

Auteur : Jules Romains – Metteur en scène : Jean-Paul Tribout – Interprétation : Eric Chantelauze, Patrick D’Assumçao, Jacques Fontanel, Jean-François Guilliet, Laurent Richard, Xavier Simonin, Pierre Trapet, Jean-Paul Tribout

Résumé

Une escroquerie immobilière rocambolesque Monsieur Le Trouhadec, géographe membre du Collège de France, rêve d’être élu à l’Institut. Hélas, une bourde commise dix ans plus tôt l’en empêche… Dans son ouvrage sur la géographie de l’Amérique du Sud, il a décrit avec verve la ville de Donogoo, sa région, ses ressources, ses sables aurifères… Mais cette cité est introuvable sur la carte ! Lamendin, architecte raté mais escroc futé lui propose, pour permettre son élection, de fonder Donogoo… Les actionnaires se laissent convaincre. Du monde entier, des hommes, victimes de la publicité, convergent vers cette métropole aussi merveilleuse qu’imaginaire. J’ai été séduit dans cette œuvre par l’alliance totalement réussie, entre la « comédie » et le « sociologique ». Voici ce qui, je crois, nous concerne dans ce texte aujourd’hui encore, et que le metteur en scène que je suis aimerait souligner : le pouvoir de la finance, mais aussi l’importance de la « communication », les contradictions humaines, et surtout, à travers le personnage de Lamendin, le mythe séduisant de la réussite qui ne s’embarrasse pas de morale. Il est, après plus d’un demi-siècle, plus que jamais notre contemporain. (…) Jean-Paul Tribout Comédien et metteur en scène, Jean-Paul Tribout est, pendant près de dix ans, l’un des principaux interprètes de la célèbre série des Brigades du Tigre. Son personnage de l’Inspecteur Gustave Pujol a rendu son visage familier aux spectateurs de 22 pays. Scène et Public – Pierre Beffeyte présente une coproduction de Sea Art et du Théâtre 14. Avec le soutien de l’Adami.

Dramuscules

Distribution

Auteur : Thomas Bernhard – Traduction : Claude Porcell – Metteur en scène : Armand Delcampe – Interprétation : Marie-Claire Clausse, Hervé Guerrisi, Marie-Line Lefebvre, Alix Mariaule, Patrick Ridremont, Cécile Van Snick, Gérard Vivane, Alexandre von Sivers

Résumé

Ils sont drôles, ces gens qui parlent des petits riens de la vie de tous les jours, avec leurs raisonnements un peu étroits : les deux voisines qui évoquent le décès de Monsieur Geissrathner, la femme du policier qui l’empêche de regarder son match de foot tranquillement, les deux couples de politiciens en vacances à la mer… C’est tellement drôle qu’on en oublierait presque leurs propos… Mais voilà que leurs esprits s’échauffent, ça ne fait plus aucun doute, ils sont sérieux : leurs idées fascistes les aveuglent complètement ! Et les 5 saynètes comiques imaginées par Bernhard basculent dans l’horreur : ces citoyens respectables n’en peuvent plus d’étouffer toute cette rancœur et déversent avec fracas des flots de haine raciste trop longtemps contenue, relents d’un nazisme qu’on croyait oublié. Avec un humour caustique, Thomas Bernhard dénonce une fois de plus l’hypocrisie de l’Autriche d’après-guerre, qui au-delà d’une apparente tolérance, refuse d’abandonner les valeurs nazies. Aujourd’hui, alors que la montée de l’extrême droite n’est plus un secret pour personne dans nos contrées, ces courtes pièces sont d’une comique actualité. Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar avec la participation de la Maison de la Culture d’Arlon/ Centre Dramatique. —————————————————————- Débat – rencontre : Tolérance ? Au-delà des apparences… Le vendredi 23 mars à l’issue du spectacle (vers 22h) Intervenants : Maître Simon Gronowski, ancien déporté échappé du convoi vers les camps, Monsieur Philippe Hensmans, directeur d’Amnesty International Belgique Francophone et Monsieur Patrick Charlier, coordinateur du Département racisme et intégration au Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme. – Dans le cadre de la Semaine d’Actions Contre le Racisme organisée par le MRAX –

Du côté de chez Proust

Distribution

Interprétation : Jacques Sereys – Metteur en scène : Jean-Luc Tardieu – Auteur : Marcel Proust

Résumé

Seul en scène, Jacques Sereys vous convie à une promenade enchantée dans les jardins du temps perdu. Tel un orfèvre se penchant sur la formidable horlogerie du souvenir, il réveille avec délicatesse un monde qui n’est plus. Et si vous pensez encore que l’univers de Proust est rasoir ou alambiqué, le comédien, sociétaire honoraire de la Comédie-Française, vous prouvera le contraire et convertira même les plus rétifs, grâce à sa passion pour l’œuvre de l’auteur. Prenant du recul par rapport à ses analyses torturées, Jacques Sereys donne chair et vie à un texte que l’on redécouvre avec ravissement. Avec une joie ostensible, il campe une douzaine de personnages nés de la plume de Proust. Tour à tour, il incarne ainsi Mme Verdin, Françoise, la mère de l’auteur ou sa tante Léonie, pour évoquer les dernières vacances à Combray, une certaine madeleine chargée d’effluves, le clocher de l’église « comme une grosse brioche »… Tantôt facétieux, attendri, drôle ou mélancolique, il nous plonge dans les méandres de la mémoire proustienne et en extrait avec merveille toute la cocasserie, sans lourdeur, avec élégance et sobriété. Molière 2006 du meilleur comédien pour Jacques Sereys. Un spectacle du Petit Théâtre Montparnasse présenté par Atelier Théâtre Actuel.

Du François au verlan

Distribution

Concert sous la direction de Patrick Davin.

Résumé

Choeur de Chambre de Namur. Concert. Oeuvres de Janequin, Lassus, Berlioz, Fauré, Debussy, Ravel, Poulenc, Schmitt, Rens, Brassens, Trenet, Renaud.

Eaux-les-Bains

Distribution

Conception : Jean-Luc Falbriard, Etienne Bayart – Metteur en scène : Jean-Luc Falbriard – Interprétation : Etienne Bayart, Daniel Collados, Bruno Dreyfürst, Vincent Faller, Aude Koegler, Sophie Thomann, Laure Werckmann

Résumé

Ballet burlesque en peignoir et sans paroles – Spectacle tout public Rien ne se passe vraiment comme prévu à Eaux-les-Bains, centre de cure thermale fraîchement – et à vrai dire un peu hâtivement – rénové. Le duo de direction tente vainement de faire tourner la boutique, avec un homme à tout faire (cuisine à préparer, plomberie à réparer, murs à repeindre, et accessoirement soins à prodiguer) qui ne sait rien faire, et une infirmière esthéticienne qui, à défaut d’être efficace, a au moins le mérite de faire fantasmer la clientèle. Les curistes, eux, essuient les plâtres. Souligné par une musique décalée avec sonorités désuètes, ambiances rétro, sons aquatiques, le jeu des comédiens rappelle Blake Edwards ou Jacques Tati. Avec le soutien de la Ville de Strasbourg, du Conseil Général du Bas-Rhin, du Conseil Régional d’Alsace, de la DRAC Alsace, de la Maison des Arts et Congrès de Niederbronn-les-Bains et de l’ADAMI

Elle est là et L’usage de la Parole

Distribution

Auteur Nathalie Sarraute – Mise en scène Michel Dumoulin – Avec Michel Dumoulin, Maria Casarès, Guy Tréjan, Michel Dumoulin, Jean-Pierre Vaguer.

Résumé

Elle est là. Elle est là, sa petite idée… Pourquoi « petite » d’ailleurs ? Une idée est là, Blottie dans sa tête. Son idée… qui vit, qui prospère… Ne faut-il pas que je la détruise avant qu’elle happe, enserre, écrase la mienne ? Rien n’est plus dangereux qu’une idée qui se faufile dans les méandres du cerveau. L’usage de la parole, et en particulier de quelques expressions passe-partout, telles que « et pourquoi pas ? », « ne me parlez pas de ça », « eh bien quoi… » , des paroles apparemment sans couleur, et pourtant riches, si on les examine de près, en potentialités insoupçonnées. Rien de plus étonnant que les remous (même légers), que les ondulations (même brèves) qu’elles peuvent produire chez ceux dans lesquels elles vont, très tranquillement, se poser. Une production du Théâtre de l’Atelier.

En attendant Godot (création)

Distribution

Mise en scène Otomar Krejca – Auteur Samuel Beckett – Avec Georges Wilson, Michel Bouquet, Fabrice Luchini, José Maria Flotats.

Résumé

Par l’Atelier théâtral de Louvain-la-neuve en co-production avec le Festival d’Avignon. Deux hommes sur une route de campagne déserte, attendent un mystérieux personnage appelé Godot. Qui est-ce ? Beckett : « Si je le savais, je l’aurais dit dans la pièce ». Le moment est sans doute venu de faire passer cette pièce du répertoire intimiste et de l’avant-garde prétendument « absurde » des années 50 à sa véritable place : celle d’un grand chef-d’oeuvre classique du 20ème siècle.

En attendant Godot (reprise)

Distribution

Auteur Samuel Beckett – Régie Otomar Krejca – Avec Michel Bouquet, André Burton, Patrick Donnay, Rufus, Georges Wilson – Par l’Atelier théâtral de Louvain-la-neuve en co-production avec le Festival d’Avignon.

Résumé

Deux hommes sur une route de campagne déserte, attendent un mystérieux personnage appelé Godot. Qui est-ce ? Beckett : « Si je le savais, je l’aurais dit dans la pièce ».

En r’venant d’l’expo

Distribution

Auteur Jean-Claude Grumberg – Mise en scène Jean-Claude Penchenat – Avec Christophe Allwright, Aziz Arbia, Marc Berman, Régis Bouquet, Martine Chauvin.

Résumé

La pièce, superbe, est montée comme l’épopée tragique d’une France hystérique. Avec un parti pris d’avertissement et de clins d’oeil à l’actualité. Sur le rythme endiablé des rengaines de l’époque..; Et dans le bouillonnement d’une mise en scène choc, les coeurs, enfin, sursautent. Comme rarement au théâtre. (Télérama) Une production du Théâtre du Campagnol en collaboration avec le Théâtre Firmin-Gémier – Anthony, et le Nouveau Théâtre de Nice. Nous sommes entraînés dans la période historique qui va de 1900 (l’Exposition Universelle) à 1914 (les débuts de la grande guerre). Le public participe au spectacle : il visite l’Expo, fréquente le caf conc’ et les réunions politiques et syndicales. Dès l’achat du billet, à la caisse, il fait partie du jeu.

Exercices de Style

Distribution

Auteur Raymond Queneau – Mise en scène Jacques Seiler – Avec Jacques Seiler, Danièle Lebrun, Jacques Boudet.

Résumé

Funambule du verbe, acrobate du style, Queneau s’amuse avec les mots. A partir d’une anecdote banale, il compose une variation dramatique-humoristique-poétique-farfelue. Histoire courte et dérisoire racontée de 99 façons différentes et jouée à mourir de rire. Une production du Théâtre de l’œuvre.

Exercices de Style

Distribution

Auteur : Raymond Queneau – Mise en scène : Jacques Seiler – Avec Jacques Seiler, Jacques Boudet et Danièle Lebrun.

Résumé

Par le « Théâtre Aujourd’hui » (Montréal, Canada). Création au Théâtre Montparnasse à Paris en septembre 1980. « Sur ce thème infiniment quotidien, se souvenant peut-être de la fameuse tirade de Cyrano de Bergerac, Raymond Queneau a brodé, en 1947, d’étourdissantes arabesques. Tour à tour, il a utilisé le ton paysan, l’accent italien ou grec, le genre gastronomique, zoologique, inquisiteur, désinvolte, impuissant et fait appel à toutes les figures de style dont il était bien un des derniers à se souvenir des noms étranges : poly ptotes, aphérèses, apocopes, etc… Pour être précis, c’est dans quatre-vingt dix-neuf façons différentes qu’il raconta cette mince anecdote. A l’époque des cabarets littéraires de la rive gauche, ils en croulèrent sous les bravos... » France Soir.

Faire danser les alligators sur la flûte de Pan

Distribution

D’après la correspondance de Louis-Ferdinand Céline – Adaptation : Emile Brami – Scénographie et mise en scène : Ivan Morane – Avec : Denis Lavant – Costumes et réalisation du décor : Emilie Jouve – Lumières : Nicolas Simonin

Résumé

Le 30 juin 1961, Louis-Ferdinand Céline écrit une lettre à son éditeur Gaston Gallimard. Ce sera la dernière, restée sur le bureau de sa maison de Meudon, au sud de Paris. Il meurt le lendemain. En ce dimanche 1er juillet, il est allongé sur son lit, conscient et lucide. Mais dans sa tête, où en est-il quelques heures avant de quitter ce monde ? Le metteur en scène Ivan Morane a voulu imaginer les ultimes pensées du docteur Louis-Ferdinand Destouches de son vrai nom. Il fait appel à Emile Brami, l’un des plus fins connaisseurs de l’œuvre de l’écrivain, pour choisir subtilement des extraits de sa correspondance. Pas un seul mot n’y sera ajouté. Nulle idéalisation de sa personnalité sulfureuse, de ses prises de position inacceptables, mais une plongée dans ses réflexions intimes, au cœur de son atelier, là où s’est forgée cette langue magnifique et foisonnante. Denis Lavant joue Céline. Depuis 2011, il sillonne toute la France avec ce spectacle qu’il présente pour la première fois sur une scène belge. Du personnage antipathique à souhait à l’écrivain génial amoureux des mots, il incarne à merveille toutes les facettes de cet homme complexe.

Faut pas payer

Distribution

Auteur Dario Fo – Adaptation Toni Cecchinato et Valeria Tasca – Mise en scène Jacques Echantillon. – Une production des Tréteaux du Midi – Centre Dramatique National Languedoc-Roussillon.

Résumé

Dario Fo est célèbre et inconnu. Il est en passe de devenir légendaire. Dans les chantiers du théâtre militant, son nom a une autorité magique : n’est-il pas le seul qui ait réussi, depuis près de dix ans, à construire ce que les italiens appellent un « circuit alternatif » sans compromission avec l’institution théâtrale ou, pour reprendre le titre d’un récent ouvrage italien, avec « le théâtre du régime ». Bernard Dort. « Fo auteur « jonglar » écrit dans l’espace en pirouettes, jongleries, en coup-de pied-au-cul, en éclates de rire, en larmes, en mélo, en grand-guignol, en tours de magie, en coups de fouet, en popu, en dérisoire, en bouffonneries, en meurtrissures, en vécu, en imaginaire, en exorcisme… » Jacques Echantillon  

Fin de partie

Distribution

Auteur : Samuel Beckett – Metteur en scène : Armand Delcampe – Décor : Guy-Claude François – Lumières : Jacques Rouveyrollis – Costumes : Elena Mannini – Assistant à la mise en scène et accessoires : Yann Bittner – Interprétation : Michel Bouquet, Rufus, Juliette Carré, Marcel Cuvelier

Résumé

Un maître, un esclave, deux mourants dans des poubelles : Hamm et Clov, Nagg et Nell. Mais cette « fin de partie » n’est pas noyée dans le pessimisme, elle respire le rire, le rire franc qui libère et qui soulage. On rit, comme toujours du malheur des autres… »je te l’accorde, rien n’est plus drôle que le malheur », dit Nell à Nagg. Une production de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve

Fin de partie

Distribution

Auteur : Samuel Beckett – Mise en scène : Armand Delcampe – Avec : Michel Bouquet

Résumé

Quatre personnages. Chacun poursuit son monologue, la vie se réduit à ce monologue incessant qui s’achève avec la mort. Dans un lieu clos, des voix se font entendre.

Fin de partie (création)

Distribution

Auteur Samuel Beckett – Régie Armand Delcampe – Avec André Lenaerts, Jean-Marie Pétiniot, Isabelle Petit-Jacques, Guy Pion

Résumé

Après le retentissement important d’ « En attendant Godot », voici, plus modeste et d’un autre ton, la seconde grande oeuvre du même auteur. Ce spectacle, à l’image de la vie qui l’inspire, est dédié aux spectateurs – nombreux – qui, sans avoir pour autant le courage de finir, non pas non plus la force de continuer. Un maître, un esclave, deux mourants dans des poubelles : Hamm et Clov, Nagg et Nell. Mais cette « fin de partie » n’est pas noyée dans le pessimisme, elle respire le rire, le rire franc qui libère et qui soulage. On rit, comme toujours du malheur des autres… »je te l’accorde, rien n’est plus drôle que le malheur », dit Nell à Nagg.

Fin de partie (reprise)

Distribution

Auteur Samuel Beckett – Régie Armand Delcampe – Avec André Lenaerts, Jean-Marie Pétiniot, Isabelle Petit-Jacques et Guy Pion.

Résumé

Un maître, un esclave, deux mourants dans des poubelles : Hamm et Clov, Nagg et Nell. Mais cette « fin de partie » n’est pas noyée dans le pessimisme, elle respire le rire, le rire franc qui libère et qui soulage. On rit, comme toujours du malheur des autres… ». Je te l’accorde, rien n’est plus drôle que le malheur », dit Nell à Nagg.

Fin de partie (reprise)

Distribution

Auteur Samuel Beckett – Régie Armand Delcampe – Avec Fanny Delbrice, André Lenaerts, Henri Monin, Guy Pion

Résumé

Reprise de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve. La première de ce spectacle a eu lieu le 24 février 1981. Après le retentissement important d’ « En attendant Godot », voici, plus modeste et d’un autre ton, la seconde grande oeuvre du même auteur. Ce spectacle, à l’image de la vie qui l’inspire, est dédié aux spectateurs – nombreux – qui, sans avoir pour autant le courage de finir, n’ont pas non plus la force de continuer. Un maître, un esclave, deux mourants dans des poubelles : Hamm et Clov, Nagg et Nell. Mais cette « fin de partie » n’est pas noyée dans le pessimisme, elle respire le rire, le rire franc qui libère et qui soulage. On rit, comme toujours du malheur des autres… »je te l’accorde, rien n’est plus drôle que le malheur », dit Nell à Nagg.

Grou !

Distribution

Auteur : Compagnie Renards – Ecriture : Baptiste Toulemonde – Mise en scène et jeu : Arthur Oudar, Baptiste Toulemonde – Œil complice : Hugo Giordano – Scénographie et costumes : Bertrand Nodet – Lumières : Amélie Géhin – Création sonore : Guillaume Vesin

Résumé

Dès 6 ans « J’ai une histoire à vous raconter. L’histoire de la nuit où j’ai eu 12 ans. L’horloge va bientôt sonner minuit, j’ai tout juste le temps de penser fort à mon vœu… C’est parti ! » Les Renards vous invitent à un voyage épique à travers le Temps, à la rencontre de nos origines et de nos ancêtres. Une ode à la vie humaine et son évolution tantôt absurde, tantôt magique. Lucidité et inventivité pour une marche optimiste vers l’avenir ! Prix de la Ministre de l’Enseignement Fondamental – Huy 2018

Grouba

Distribution

Mise en scène : Tania Malempré – Avec : Fred Malempré, Marc Malempré, Didier Laloy

Résumé

Ils sont trois. Trois musiciens énigmatiques, farceurs et quelque peu… décalés. Ils viennent montrer sur scène leurs complicités, petites farces et rivalités à coup de jeux, à coup de notes. De brouilles en réconciliations, de violon en cornemuse, ces trois prodiges nous emmènent dans un univers complètement farfelu : un voyage joué, dansé, chanté, parlé en langue imaginaire où chacun se frotte à l’univers de l’autre, l’envahissant, le bousculant, le partageant.

Gunfactory

Distribution

Auteur : Jean-Michel d’Hoop – Mise en scène : Jean-Michel d’Hoop – Avec : Léone François Janssens, Léa Le Fell, Héloïse Meire, Corentin Skwara, Benjamin Torrini – Vidéo : Yoann Stehr – Musique : Pierre Jacqmin – Marionnettes : Natacha Belova – Lumières : Christian Halkin – Scénographie : Noémie Vanheste – Direction technique : Loïc Le Foll – Assistanat à la mise en scène : François Regout et Lucile Vignolles – Attachée de production : Catherine Ansay – Assistanat de production : Monelle Van Gyzegem – Diffusion : Vassilia van der Heyden

Résumé

Notre pays a beau être petit par sa taille, il fait partie des grands dans le domaine de l’armement. Leader des exportations vers le Moyen-Orient, la Belgique possède l’une des fabriques d’armes légères les plus célèbres au monde : la FN Herstal. Mais ce marché est-il un business comme les autres ? Sur scène, les points de vue et les personnages défilent : un père collectionneur d’armes initie sa fille à sa passion, un commercial vante les mérites de la kalash’, un ingénieur soigne sa bonne conscience, des décideurs politiques cultivent la langue de bois, une syndicaliste rappelle que la FN Herstal fait vivre des milliers de familles… La Compagnie Point Zéro vise juste : « Gunfactory » constate, pose des questions, mais ne juge pas. Si la démarche est documentaire – plus d’un an de recherches –, la mise en scène plurielle mêle vidéo, jeu théâtral et marionnettes. C’est vertigineux, puissant, interpellant.

Gustave et Alexandre

Distribution

Auteur : Jean-François Viot – Mise en scène : Jean-François Viot – Interprétation : Bernard d’Oultremont, Léonil Mc Cormick

Résumé

Dialogue savamment troussé Paris, vers 1850. Dans son appartement, Alexandre Dumas peine sur le début de ses Mémoires et se divertit de ses difficultés en tentant quelques articles pour son Dictionnaire de cuisine. La table est dressée et il attend studieusement sa maîtresse de l’époque, la délicieuse actrice Émilie Cordier. Gustave, son intendant et jeune apprenti écrivain, s’affaire quant à lui en cuisine. Il a également un rendez-vous galant et il lui tarde de pouvoir quitter son office. Mais voilà, Émilie est retenue par son mari et doit décliner l’invitation de son amant. Gustave se retrouve alors contraint et forcé de dîner, seul avec son maître… De cette situation pour le moins décalée va naître une conversation croustillante entre les deux personnages. Truculence, esprit, mauvaise foi et effronterie seront au menu de ce dîner très spécial. Un beau divertissement, intelligent, raffiné et drôle. De Ittre à Washington Initialement programmé pour une seule représentation le 31 août 2002 dans le petit Théâtre de La Valette dirigé par Léonil Mc Cormick, Gustave et Alexandre y a finalement été joué une trentaine de fois. Suite à ce succès, une idée émerge: la pièce, écrite dans le cadre du bicentenaire de la naissance de l’un des cinq auteurs français les plus lus au monde, ne pourrait-elle pas sortir de nos frontières ? Et bientôt les quatre mousquetaires – deux comédiens, un auteur-metteur en scène et un régisseur – s’envolent pour une tournée qui, des quelques dates de départ, se voit rajouter des passages au Venezuela, en République Dominicaine, à Haïti et Puerto Rico pour conquérir ensuite le continent nord-américain, les États-Unis et le Canada. Au total quinze représentations dans onze villes différentes dont Miami, Washington, Chicago, Atlanta, Gatineau, Montréal et Ottawa. Au bout de la tournée, près de 3 500 personnes auront vu la pièce, dont une grande proportion de non-francophones, aidés par les surtitrages en anglais et en espagnol. L’auteur belge Jean-François Viot a également signé la pièce Sur la route de Montalcino présentée à l’Atelier Théâtre Jean Vilar en 2009. Une production du Théâtre de la Valette.

Guy Bedos

Distribution

Auteur Guy Bedos – Metteur en scène Guy Bedos – Avec Guy Bedos

Résumé

Sur la piste du Théâtre Jean Vilar, épinglé par la lumière sur le rideau noir, sans accessoires, bateleur ou bouffon ?, il va il vient. Alternant les sketches et les commentaires de l’actualité, la galerie de portraits et les improvisations, il nous révèle ses faiblesses et ses contradictions les plus intimes, les nôtres aussi. Il démasque comme douteux ce qui passe pour être le plus intangible, expose à la risée les évidences, et trouve ses raisons dans les absurdités. Il met en scène l’univers entier, sarcastique, corrosif, percutant. A ce jeu-là, pas le temps de ramasser les blessés.

Hamlet

Distribution

D’après : William Shakespeare – Adaptation et mise en scène : Emmanuel Dekoninck – Avec : Thomas Mustin (Hamlet), Bénédicte Chabot (Gertrude, la Reine, mère d’Hamlet), Alain Eloy (Le spectre, père d’Hamlet), Fred Malempré (Le batteur), Gilles Masson (L’acteur jouant Gertrude), Fred Nyssen (Claudius, oncle d’Hamlet et mari de Gertrude), Taïla Onraedt (Ophélie), Gaël Soudron (Polonius et Laerte), Jérémie Zagba (Horatio, ami d’Hamlet) – Lumières : Xavier Lauwers – Chorégraphie : Bérengère Bodin – Direction musicale : Sam Gerstmans – Costumes : Catherine Somers – Scénographie : Olivia Sprumont – Chorégraphie des combats : Emilie Guillaume – Coaching mouvements : Isabelle Beirens – Coaching voix : Pierre Bodson – Maquillage : Véronique Lacroix – Assistanat à la mise en scène : Alexandre Drouet – Régie générale / régie son : Eric Degauquier – Régie lumières : Damien Zuidhoek – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Stagiaire régie lumières : Milène De Rua – Machinistes : Jean-Philippe Hardy, Vincent Lamer – Technicien lumières : Mathieu Bastyns – Construction décor : L’Entrepool (Vincent Rutten) – Peinture décor : Olivia Sprumont – Direction technique : Jacques Magrofuoco  

Résumé

Hamlet, jeune prince de Danemark, beau, riche, amoureux, idéaliste, mène brillamment ses études à Wittenberg en Allemagne quand, un matin, il est rappelé d’urgence à Elseneur. Le roi, son père, son mentor, son modèle, est mort brutalement. À la suite de ce décès, le monde révèle son visage le plus obscur, et les idéaux du jeune prince s’effondrent. Que faire ? Subir ? Agir ? Détruire ? Disparaître ? Vivre ? Ou mourir ? Une plongée onirique dans l’âme tourmentée d’un jeune homme de 20 ans seul face à un monde hostile. Un spectacle théâtral, chorégraphique et musical décoiffant. Une histoire passionnante où la réalité et les rêves s’emmêlent et où la vie lance ses dernières forces. Dates de tournée Ce spectacle est présenté cette saison : – du 12 au 27/03 au Théâtre Jean Vilar – les 28 et 29/03 au Wolubilis – le 1/04 au Centre culturel de Nivelles – le 5/04 à la Maison de la Culture Famenne-Ardenne

Haute-Autriche

Distribution

Auteur Franz-Xaver Kroetz – Mise en scène Philippe Sireuil – Par le Théâtre du Crépuscule

Résumé

Par le Théâtre du Crépuscule.

Hedda Gabler

Distribution

Postiches : Catherine Friedland – Son : Nicolas Perretier – Costumes : Catherine Somers – Scénographie : Vincent Lemaire – Lumières : Philippe Sireuil – Interprétation : Monique Fluzin – Metteur en scène : Philippe Sireuil – Interprétation : Anne-Claire , Patrick Descamps, Francesco Mormino, Nathalie Cornet, Anne Chappuis, André Baeyens – Auteur : Henrik Ibsen

Résumé

Comme un lion en cage, Hedda Gabler tourne en rond dans l’élégant salon de la villa louée à gros frais par Joergen Tesman, son piètre mari qu’elle vient d’épouser par dépit. Pour échapper à l’ennui, elle encourage la passion que lui voue son ami d’enfance, Ejlert Loevborg, un jeune écrivain dont elle jalouse violemment la maîtresse. Puis, mettant brutalement fin à la comédie de l’amour, elle tente de pousser Loevborg au suicide… Dans les beaux yeux d’Hedda Gabler, une âme trouble se révèle. Enfant capricieuse ou femme frustrée ? Démon pervers ou vierge de porcelaine ? Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Henri IV

Distribution

Auteur Luigi Pirandello – Mise en scène Armand Delcampe – Décor Guy-Claude François – Avec Laurent Terzieff, Pascale de Boysson, Victor Garrivier, Fred Personne, Paul Rieger, Xavier Florent, Dominique Hollier, Alain Lenglet, Jean-Pierre Muller, Alain Sportiello, Benoît Cassard, Jean-Luc Apostolou, Gilles Guerin.

Résumé

Pirandello : un écorché vif à qui l’art et l’humour ont seuls permis de vivre et qui, tel un de ses personnages, « riait comme un escargot sur le feu ». Une coproduction Atelier Théâtral de Louvain-la-Neuve – Théâtre de l’Atelier.

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