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2015 - 2016

30/40 Livingstone

Distribution

Auteur : Sergi López, Jorge Picó – Auteurs – metteurs en scène – interprètes : Sergi López, Jorge Picó – Création musicale : Oscar Roig – Lumières : Lionel Spycher – Costumes : Pascual Peris – Casquette : Amadeu Ferrer, Clap Produccions – Technicien son et lumière : Bernat Tresserra – Régisseur : Pepe Miró

Résumé

Sergi López, acteur catalan bien connu du cinéma, et Jorge Picó atteignent des hauteurs folles dans un face-à-face déjanté entre un explorateur anthropologue et une créature à tête de cerf, muette, craintive et joueuse de tennis ! « 30/40 Livingstone » est la chronique intelligente et drolatique d’un voyage à la découverte de soi. Depuis sa création, « 30/40 Livingstone » connaît un succès international : en Espage, en France (Festival OFF d’Avignon en 2014), en Suisse et en Amérique latine. A chaque fois, les éloges sont au rendez-vous pour ce spectacle fin et surprenant, où les interprètes se donnent sans compter.

A la frite !

Distribution

Auteur : Claude Semal, Michel Carcan – Texte et chansons : Claude Semal – Mise en scène : Agnès Limbos – Jeu – accessoires – conception : Claude Semal, Michel Carcan – Collaboration artistique : Mathieu Manu, Laurence Warin – Scénographie – décoration – orgue de barbarie : Maurice van den Broeck, Christian Lagrange, Catherine Deprez – Musiques de scène : Frank Wuyts – Fresques du fronton : Lucas Racasse – Effets spéciaux : Nicole Eeckhout – Création lumières : Nicolas Oubraham – Régie : Nicola Pavoni – Photos : Bruno Mullenaerts  

Résumé

Mesdames et Messieurs, Dames en Heren, approchez ! Sous vos yeux ébahis, deux comédiens-frituristes réaliseront la prouesse de transformer une Bintje en succulentes frites. Avec une « clouch » de mayonnaise, bien sûr ! Econome à la main et sourire aux lèvres, Claude Semal et Michel Carcan concoctent un spectacle bien de chez nous à l’humeur joyeuse et irrévérencieuse, au sujet irrésistiblement croustillant. Une nouvelle forme populaire et résolument ludique qui jongle avec le théâtre, la chanson, le slam… et la gastronomie. Eh oui, pas question de cuisiner des frites surgelées à l’huile de palme ! Notre patrimoine national se bichonne : pommes de terre bio, sauces maison… et il paraît même qu’ils sont sur la piste d’une fricadelle roulée à la main !

Belles de nuit (en tournée)

Distribution

Auteur : Pedro Romero – Mise en scène et adaptation : Alexis Goslain – Avec : Pedro Romero, Sarah Woestyn – Lumières et direction technique : Jacques Magrofuoco – Décor et costumes : Charly Kleinermann, Thibaut De Coster

Résumé

Dans sa vitrine aux néons fluos, Rose attend le client. Alors qu’elle vient de décommander son rendez-vous, elle voit débouler dans son salon Nacho, un clandestin argentin poursuivi par la police… Pour la tournée, Sarah Woestyn reprend le rôle de Stéphanie Van Vyve.

Bonjour, on est un tsunami

Distribution

Cie Renards – Écriture et mise en scène : Arthur Oudar – Interprétation : Baptiste Toulemonde – Création lumière : Amélie Géhin

Résumé

Quatre adolescents de 18 ans décident de retaper une deux-chevaux et de partir pour la première fois à l’aventure, de goûter à la liberté et à l’émancipation. Un voyage inoubliable rythmé par de grandes nuits étoilées, de longues départementales, des histoires de filles, des chansons révolutionnaires jouées à la guitare… Baptiste Toulemonde nous conte avec ferveur et sensibilité ce périple, incarnant à lui seul tous les personnages de ce road trip. Prix de la Ministre de la Jeunesse, Huy 2014

Brooklyn Boy

Distribution

Auteur : Donald Margulies – Adaptation française : Michel Fagadau – Dramaturgie et mise en scène : Armand Delcampe – Avec : Armand Delcampe (Many Weiss), Richard Ruben (Eric Weiss), Freddy Sicx (Ira Zimmer), Catherine Conet (Sandy Weiss), Deborah Amsens (Alison), Rosalia Cuevas (Mélanie), Julien Lemonnier (Tyler Shaw) – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot – Assistantes stagiaires : Tatiana del Marmol, Justine Hautenauve – Scénographie et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Jacques Magrofuoco – Vidéo : Manu Maffei – Son : Eric Degauquier – Maquillages : Martine Lemaire – Régie générale : Manu Maffei – Régie lumières : Gary De Beys – Régie son : Eric Degauquier – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy, Louis Eylenbosch – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

A 45 ans, Eric Weiss connaît enfin le succès avec son livre inspiré de son enfance dans la communauté juive de Brooklyn. Encensé par les médias, il est en pleine tournée promotionnelle de son nouvel ouvrage lorsqu’il rend visite à son père, vieil homme malade et bougon. Entre le petit gars de Brooklyn devenu un écrivain reconnu et le paternel vendeur de chaussures, le courant a souvent eu du mal à passer. Aujourd’hui, les deux hommes ne parviennent toujours pas à se comprendre d’autant qu’Eric a tout fait pour échapper à la pesante hérédité familiale. Il a fréquenté l’université, est devenu athée, s’est marié à une non-juive, a fui ses origines. Son roman autobiographique mettra-t-il un terme à sa quête d’identité ? Dans ce spectacle, on rit, car cette pièce souligne avec tendresse et humour la difficulté d’échanger et de communiquer avec ceux que l’on aime. Un humour fin, typiquement américain, proche de Woody Allen. Puis on est ému par l’histoire, celle d’un fils cherchant désespérément la reconnaissance d’un père, leur déchirante incapacité à se dire des mots tendres. Parvenu au bout de sa quête, l’écrivain n’est pas seulement réconcilié avec son identité juive, il est avant tout un fils dans les bras de son père. La pièce de Donald Margulies est simple, efficace, bien construite. En six scènes, tout est dit. Humour, vacherie, ironie, tendresse, les Américains savent marier les couleurs, touiller les styles et finir par nous émouvoir. Figaroscope, M. T., 27/10/04 (lors de la création française)

Brooklyn Boy (en tournée)

Distribution

Auteur : Donald Margulies – Adaptation française : Michel Fagadau – Dramaturgie et mise en scène : Armand Delcampe – Avec : Armand Delcampe (Many Weiss), Richard Ruben (Eric Weiss), Freddy Sicx (Ira Zimmer), Catherine Conet (Sandy Weiss), Deborah Amsens (Alison), Rosalia Cuevas (Mélanie), Julien Lemonnier (Tyler Shaw) – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot – Scénographie et costumes : Lionel Lesire – Lumières : Jacques Magrofuoco – Vidéo : Manu Maffei – Son : Eric Degauquier

Résumé

Entouré de six comédiens, Richard Ruben incarne un écrivain issu de la communauté juive new-yorkaise. Le succès de son roman autobiographique lui ouvre les portes d’Hollywood, mais lui permettra-t-il de renouer avec son père ? Entre humour à la Woody Allen et émotion, « Brooklyn Boy » est l’un des plus beaux textes de Donald Margulies, auteur américain récompensé par un prix Pulitzer.

Carmen – La véritable histoire

Distribution

D’après la nouvelle de Mérimée et l’opéra de Bizet – Texte et mise en scène : Dominique Serron – Création et direction musicales : Antoni Sykopoulos – Avec : Patrick Brüll, Laurent Capelluto, Toni D’Antonio, Alexia Depicker, Daphné D’Heur, Florence Guillaume, Vincent Huertas, François Langlois, Sylvie Perederejew, Laure Voglaire, Vincent Zabus – Piano : Antoni Sykopoulos – Batterie/percussions : Gauthier Lisein – Scénographie et costumes : Christine Mobers – Création lumières : Franco Desautez – Assistants à la mise en scène : Colin Javaux et Clémentine Colpin – Assistant à la scénographie : Simon Detienne

Résumé

Carmen, l’insaisissable gitane, change de rôle comme elle respire. Elle est la femme fatale, imprévisible, indomptable, celle que l’amant éreinté par sa course ne pourra que tuer lorsqu’il l’aura enfin capturée. Un groupe d’hommes se rassemble autour d’un narrateur — Prosper — pour exhumer, le temps d’une conférence, la véritable histoire de Carmen. S’ils se risquent au jeu, Carmen apparaîtra. Tour à tour, cinq femmes, cinq Carmen invoquées par l’imaginaire et le désir, s’incarnent dans la chair du théâtre. Avec « Carmen – La véritable histoire », la nouvelle de Prosper Mérimée se marie à des influences contemporaines et à des extraits en live du célèbre opéra de Bizet, adapté en une vibrante musique d’aujourd’hui.

Conversations avec ma mère

Distribution

Auteur : Santiago Carlos Ovés, Jordi Galcerán – D’après le scénario du film « Conversaciones con Mamá » de : Santiago Carlos Ovés – Adaptation théâtrale : Jordi Galcerán – Traduction : Dyssia Loubatière – Mise en scène : Pietro Pizzuti – Avec : Jacqueline Bir, Alain Leempoel – Assistant à la mise en scène : Vincent Vanderbeeken – Scénographie et costumes : Delphine Coërs – Création lumières : Marc Lhommel – Réalisation décor musical : Laurent Beumier – Professeur de danse : Daniela Lucà – Réalisation vidéo : Benoît Gillet – Avec l’aimable participation de : Shaï Szyper

Résumé

Mamà a 82 ans. Jaime, son fils unique, en a 50. Elle l’a mis au monde il y a longtemps mais continue de l’éduquer comme au premier jour, avec l’autorité tranquille d’une mère joyeusement castratrice et aimante. Lui a une situation confortable et enviable. Jusqu’au jour où… tout bascule. Est-ce de cela qu’il est venu parler à sa mère ? Ou vient-il retrouver le sentiment de sécurité primordial ? Espère-t-il replanter ses racines dans la terre où elles ont pris vie ? Au fil de leurs conversations d’une honnêteté bouleversante, son mobile se dévoile peu à peu… Jacqueline Bir et Alain Leempoel se sont choisis pour défendre cette partition magnifique, la rencontre au sommet d’une mère et de son fils. Ils vivent ce projet du bout de leur être, en orfèvres du jeu, en équilibristes des mouvements de l’intime, en éveilleurs d’esprit. Sous la conduite attentive et amicale de Pietro Pizzuti, tendrement complices, ils portent ce dialogue engagé qui ne manque pas de distiller l’humour et l’émotion au fil des scènes.

Dans le ventre

Distribution

Projet Cryotopsie – Texte : Alexandre Drouet, Thierry Janssen – Mise en scène : Alexandre Drouet – Interprétation : Thibault Wathelet – Scénographie : Clémence Didion – Eclairages : Nicolas Verfaillie – Musiques : Jérôme Dejean, Christophe Janssen – Assistant à la mise en scène : Virgile Magniette – Costumes : Maureen Merchiers – Avec la participation de : Michel Israël – Attachée de diffusion : Pascale Demanez

Résumé

Un jeune homme est coincé dans un train à l’arrêt au milieu de nulle part. « Problème de locomotive » ! Il se met alors à nous raconter son adolescence : les difficultés financières de ses parents, les moqueries des autres élèves, ses déboires amoureux, ses amitiés, ses premiers vols… Il s’appelle Jonas. A 16 ans, il a poignardé un autre ado dans le métro pour lui voler son I-phone. Un spectacle qui s’adresse aux jeunes dès 13 ans et offre matière à réflexion, à questionnement et à remise en question.

Expresso Circus

Distribution

Théâtre du N-ombr’île – De et avec : Anne Peeters, Antoine Clette – Musique live (composition et interprétation) : Rachel Ponsonby – Oeils extérieurs : Kevin Brooking, Aurélie Coppens  

Résumé

Ladies and Gentlemen, Mesdames et Messieurs, approchez, le spectacle va commencer ! Du jamais vu ! Des acrobates extraordinaires, des magiciens, des équilibristes, des animaux fantastiques… Accrochez-vous ! Laissez-vous emporter dans l’univers poétique, drôle et absurde de ce spectacle forain en ombres chinoises avec musique live. Derrière l’écran, deux marionnettistes-comédiens manipulent 250 silhouettes pour vous éblouir. A l’avant-scène, une musicienne polyvalente, véritable « femme-orchestre », rythme le spectacle. De la piste aux étoiles, surgissent émotions et performances inoubliables. Epatant ! Les numéros s’enchaînent tandis que les codes majeurs de ce divertissement millénaire vacillent subtilement dans une portée absurdement jubilatoire. [Les Jeunesses Musicales->http://www.jeunessesmusicales.be/Expresso-Circus-Theatre-du-N-Ombr]

Faire danser les alligators sur la flûte de Pan

Distribution

D’après la correspondance de Louis-Ferdinand Céline – Adaptation : Emile Brami – Scénographie et mise en scène : Ivan Morane – Avec : Denis Lavant – Costumes et réalisation du décor : Emilie Jouve – Lumières : Nicolas Simonin

Résumé

Le 30 juin 1961, Louis-Ferdinand Céline écrit une lettre à son éditeur Gaston Gallimard. Ce sera la dernière, restée sur le bureau de sa maison de Meudon, au sud de Paris. Il meurt le lendemain. En ce dimanche 1er juillet, il est allongé sur son lit, conscient et lucide. Mais dans sa tête, où en est-il quelques heures avant de quitter ce monde ? Le metteur en scène Ivan Morane a voulu imaginer les ultimes pensées du docteur Louis-Ferdinand Destouches de son vrai nom. Il fait appel à Emile Brami, l’un des plus fins connaisseurs de l’œuvre de l’écrivain, pour choisir subtilement des extraits de sa correspondance. Pas un seul mot n’y sera ajouté. Nulle idéalisation de sa personnalité sulfureuse, de ses prises de position inacceptables, mais une plongée dans ses réflexions intimes, au cœur de son atelier, là où s’est forgée cette langue magnifique et foisonnante. Denis Lavant joue Céline. Depuis 2011, il sillonne toute la France avec ce spectacle qu’il présente pour la première fois sur une scène belge. Du personnage antipathique à souhait à l’écrivain génial amoureux des mots, il incarne à merveille toutes les facettes de cet homme complexe.

Ficelles

Distribution

Foule Théâtre, Compagnie Les Pieds dans le vent – De et par : Valérie Joyeux, Vincent Raoult – Mise en scène : Véronique Dumont

Résumé

Au début, rien, ou presque, mais les petits sont rassurés : il ne fera jamais noir ! Les secrets de fond de tiroir se révèlent. De nouveaux univers se créent, surgissent de nulle part, habités de petits bouts de rien, de petits bouts de ficelles qui s’animent, deviennent êtres vivants, malicieux et créatifs, qui s’illusionnent de mondes neufs, emplis de prodiges, l’imagination est au pouvoir. Pas besoin de texte pour cette création inventive qui imagine des merveilles avec trois fois rien, surprend par ses astuces amusantes et délicates, captive et émeut par sa bonhomie poétique et pleine de fraîcheur. Prix du Ministre de la Jeunesse Marc Tarabella aux Rencontres Jeune public de Huy 2008

J’habitais une petite maison sans grâce, j’aimais le boudin

Distribution

D’après « Spoutnik » de : Jean-Marie Piemme – Adaptation et réalisation : Philippe Jeusette, Virginie Thirion – Avec : Claire Bodson, Philippe Jeusette, Eric Ronsse – Composition musicale : Eric Ronsse – Scénographie : Sarah de Battice – Avec l’aide de : Philippine Boyard – Construction : Laurent Notte, Philippine Boyard, Margaud Carpentiers – Costumes : Elise de Battice – Réalisation des images : Bob Jeusette, Tawfik Matine – Création et régie lumières : Eric Vanden Dunghen – Assistanat : Tawfik Matine

Résumé

Un spectacle d’une belgitude absolue. On va chanter, on va rire et surtout passer un excellent moment ! Sur scène, face à nous, un homme prêt à replonger dans ses racines. Né en 1940 de façon épique dans la cave familiale, il passe son enfance dans le milieu ouvrier de Seraing dont il est extrait par la volonté d’un père qui le pousse aux études. Tout au long du spectacle, Philippe Jeusette nous livre des anecdotes de vie avec un second degré joyeux, une juste tendresse et une énergie communicative. On notera entre autres passages cocasses un baptême en sous-sol par un curé peu à son aise et une rencontre particulièrement marquante avec Saint-Nicolas. Une évocation tonique qui nous donne à revivre la réalité sociale et économique de la seconde moitié du 20ème siècle en Wallonie. Le tout ponctué de phrases en patois et soutenu par la présence de Claire Bodson et d’Eric Ronsse, qui accompagne la mise en scène par de belles compositions rock’n’roll.

L’Odyssée

Distribution

D’après l’œuvre d’Homère – Et la musique de : Monteverdi – Ecriture et mise en scène : Jean Hervé Appéré – Direction musicale : Augusto de Alencar – Avec : Frédéric Barthoumeyrou (Ulysse), Guillaume Collignon (Eurymaque), Augusto de Alencar (Médon), Stéphan Debruyne (Eumé), Pierre-Michel Dudan (Alkinoos), André Fauquenoy (Iro), Valérie Français (Euryclée), Ana Isoux (Pénélope), Jonathan Jolin (Phémios), Audrey Saad (Télémaque) – Assistante à la mise en scène : Valérie Bochenek – Direction des chants : Mathieu Septier – Chorégraphies : Augusto de Alencar – Pantomimes : Valérie Bochenek – Marionnettes : Lionel Ménard, Sébastien Puech, Carole Allemand – Masques : Stefano Perocco – Costumes : Delphine Desnus – Lumières : Edwin Garnier

Résumé

Dix ans. C’est le temps qu’a mis Ulysse pour rentrer à Ithaque et retrouver Pénélope. Un long voyage en mer fait de rencontres ensorcelantes ou périlleuses, en un mot, d’aventures. « L’Odyssée », cette épopée humaine et initiatique qui a traversé les âges, dévoile toute sa magie sur scène. Embarquez aux côtés d’Ulysse, rencontrez la nymphe Calypso, combattez les Cyclopes, résistez aux sirènes… et (re)découvrez ce chef-d’œuvre de notre culture dans une commedia dell’arte épique. Dans une mise en scène inventive, le poême homérique se mêle à la musique de Monteverdi, qui compose « Le Retour d’Ulysse dans sa patrie » en pleine Renaissance, alors que le mythe inspire bon nombre d’artistes.

La Famille du collectionneur

Distribution

Auteur : Carlo Goldoni – Adaptation et mise en scène : Daniela Bisconti – Avec : Maroine Amimi (Gigi), Aurélia Bonta (Dorothée), Toni D’Antonio (Docteur Bassette), John Dobrynine (Monsieur Valmy), Emmanuel Guillaume (Sylvio), Manon Hanseeuw (Agatha), Frédéric Lepers (Charles-Edouard), Nicolas Ossowski (Monsieur Delbosco), Valéry Stasser (Emmanuel-Philibert), Cécile Van Snick (Isabella), Alexandre von Sivers (Anselme) – Assistante à la mise en scène : Agathe Cornez – Scénographie et costumes : Charly Kleinermann, Thibaut De Coster – Lumières : Alain Collet – Décor sonore : Laurent Beumier – Régie générale / régie lumière : Manu Maffei – Régie son : Eric Degauquier – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Maquillages : Martine Lemaire – Construction décor : Laurent Notte, Jean-Philippe Hardy, Louis Eylenbosch – Confection des costumes : Sarah Duvert, Charly Kleinermann, Thibaut De Coster – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Anselme, collectionneur passionné de médailles et autres antiquités, dilapide la fortune familiale en objets soi-disant précieux. Autour de lui gravitent des intrigants, une femme de chambre rusée, un duo belle-mère/bru conflictuel : le cocktail parfait pour chambouler toute la maisonnée ! Une comédie mordante et rythmée qui a récolté un beau succès la saison dernière. Daniela Bisconti s’entoure de 11 comédiens pour donner vie à ce texte du génial Carlo Goldoni, le célèbre auteur vénitien qui a révolutionné le théâtre italien. Le tout est placé dans un écrin rétro créé par Thibaut de Coster et Charly Kleinermann.

La Famille du collectionneur (en tournée)

Distribution

Auteur : Carlo Goldoni – Adaptation et mise en scène : Daniela Bisconti – Avec : Maroine Amimi (Gigi), Aurélia Bonta (Dorothée), Toni D’Antonio (Docteur Bassette), John Dobrynine (Monsieur Valmy), Emmanuel Guillaume (Sylvio), Manon Hanseeuw (Agatha), Frédéric Lepers (Charles-Edouard), Nicolas Ossowski (Monsieur Delbosco), Valéry Stasser (Emmanuel-Philibert), Cécile Van Snick (Isabella), Alexandre von Sivers (Anselme)

Résumé

Un passionné d’antiquités dilapide la fortune familiale, indifférent aux intrigues et querelles qui animent sa maison. Une comédie mordante et rythmée du génial Goldoni resituée dans les années 50.

Le Courrier des enfants

Distribution

Théâtre du Tilleul – Conception et écriture du spectacle : Carine Ermans, Sylvain Geoffray – Sur une idée de : Carine Ermans – Mise en scène : Sabine Durand – Avec : Carine Ermans, Sylvain Geoffray, Benjamin van Thiel, Alain Gilbert – Conseil dramaturgique : Louis-Dominique Lavigne – Musique : Alain Gilbert – Films d’animation : Patrick Theunen, Ateliers Graphoui – Scénographie – lumière – vidéo : Mark Elst, Benjamin van Thiel – Costumes : Sylvia Hasenclever – Inventaire du courrier : Eric Dederen  

Résumé

Dans leur précédent spectacle, « Le Bureau des histoires », les comédiens du Théâtre du Tilleul ont invité les enfants à leur écrire. Promis, juré, ils répondront. Mais s’ils s’attendaient à ça… Des centaines de lettres d’enfants leur parviennent. Incroyablement variées, parfois insolites, parfois émouvantes, toujours très tendres. C’est alors qu’est née l’idée de créer un spectacle à partir de vraies lettres écrites par de vrais enfants. Sur scène, quatre personnages racontent ce courrier, le lisent, le chantent tandis qu’apparaissent à l’écran des enveloppes à l’écriture tâtonnante et à l’orthographe improbable. Des petits mots perdus sur de grandes feuilles de classeur à carreaux, ou écrits sur du papier à lettres ornementé de cœurs ou de papillons… Des dessins, des cartes postales, des petits bricolages, envoyés de l’école ou de la maison… Certaines lettres s’animent comme par magie, accompagnées au piano ou aux percussions. Des lettres pour rire, des lettres pour pleurer, des lettres à partager sans compter. Eh oui, ce courrier, c’est toute une histoire… Mention du jury pour « l’originalité du dialogue avec le jeune spectateur » aux Rencontres Jeune public de Huy 2014

Le Serment d’Hippocrate

Distribution

Auteur : Louis Calaferte – Mise en scène : Patrick Pelloquet – Avec : Gérard Darman, Pierre Gondard, Patrick Pelloquet, Christine Peyssens, Yvette Poirier, Georges Richardeau – Assistante à la mise en scène : Hélène Gay – Scénographie : Sandrine Pelloquet – Costumes : Anne-Claire Ricordeau – Lumières : Emmanuel Drouot – Maquillages : Carole Anquetil

Résumé

Lucien et Madeleine, un couple de la cinquantaine, hébergent chez eux « Papa », 78 ans, père de Lucien et « Bon maman », 77 ans, mère de Madeleine. Un beau jour, Bon maman fait une syncope. Le médecin de famille étant absent, ils font appel au docteur Blondeau. C’est là que l’aventure commence… A peine le praticien parti, nouveau coup de sonnette. C’est le docteur Blondeau fils qui apparaît, s’excusant de la malencontreuse méprise. Son père, ne supportant pas la retraite, a tendance à fouiller son carnet de rendez-vous. Évidemment, les diagnostics des deux hommes divergent totalement, ce qui plonge la famille de Madeleine dans le doute.

Le Voyage de Monsieur Perrichon

Distribution

D’après : Eugène Labiche – Adaptation et chansons : Pierre Forrester – Mise en scène : Cécile Van Snick – Avec : Nicolas Janssens (Joseph / le Porteur de bagages / l’Aubergiste / Jean), Julia Le Faou (Henriette), Quentin Minon (Armand), Nicolas Ossowski (le Commandant), Bernard Sens (Majorin), Stéphane Stubbé (Monsieur Perrichon), Julien Vargas (Daniel), Laurence Warin (Madame Perrichon) – Décors et costumes : Ronald Beurms – Décor sonore : Laurent Beumier – Création lumières : Gaëtan van den Berg – Vidéo : Allan Beurms – Conseil vocal / chants : Stany Mannaert – Maquillages : Martine Lemaire – Assistante à la mise en scène : Arlette Spanoghe – Assistante stagiaire : Justine Hautenauve – Régie générale / lumière / vidéo : Manu Maffei – Régie son : Eric Degauquier – Régie plateau : Louis Eylenbosch, Jean-Philippe Hardy – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décor : Ronald Beurms, Allan Beurms, Noé Francq, Bruno Wtoreck, Clara Le Jeune, Emilie Thonet – Réalisation costumes : France Lamboray, Anicia Echevarria – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Une comédie alerte considérée comme un chef-d’œuvre du genre ! Monsieur Perrichon – carrossier très aisé – a tout de l’honnête bourgeois : la suffisance, l’ingénuité et une morale quelque peu soumise aux circonstances… Lorsqu’il part en voyage avec sa femme et sa fille Henriette, il n’imagine pas que les deux prétendants officiels de cette dernière donneront à ce séjour à la montagne une tournure rocambolesque. Qui de Daniel ou d’Armand saura s’attirer les faveurs de la fille et surtout du père ? De rebondissements en quiproquos, Labiche dresse un portrait drôle, cruel et étrangement contemporain de la fatuité.

Les Démineuses

Distribution

Auteur : Milka Assaf – Mise en scène : Jean-Claude Idée – Assistante à la mise en scène : Adrienne Gérard – Avec : Myriem Akheddiou (Shéhérazade), Perrine Delers (Raja), Sophie Dewulf (Salma), Alexandra Georgiadis (Lina), Julie Hautphenne (Amina), Sandra Raco (Leila) – Voix off : Annette Brodkom, Simon Lecomte – Scénographie / lumières / costumes : Jean-Claude Idée – Régie son : Benoît Ausloos – Régie lumières et vidéo : Manu Maffei – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Construction décor : Benoît Ausloos – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Héritage du conflit de 2006, deux millions de mines antipersonnel sont encore aujourd’hui dispersées sur le territoire du Liban. L’équipe formée au déminage par l’ONG Scandinavian Aid est composée de six femmes libanaises, toutes originaires des villages touchés par les destructions. Ce travail, elles l’ont choisi pour différentes raisons. Certaines sont expérimentées, d’autres moins. Leur engagement met tous les jours leur vie en péril. Entre elles, ces femmes parlent de tout, de rien. Passant du drôle au tragique, leurs échanges nous plongent dans leur quotidien et leurs rêves. Un texte fort qui questionne la condition de la femme en général et des femmes au Moyen-Orient en particulier. Comment se libérer des dogmes des religions, et plus spécifiquement de l’Islam ? Comment s’affranchir des règles de la famille et de la communauté, qui ont une telle emprise sur leur existence ? Il faut souligner la maîtrise et le courage de Milka Assaf, l’auteur de ce texte audacieux et libre, qui traite d’un sujet méconnu, original et passionnant entre Histoire et émancipation féminine.

Lettres à Elise

Distribution

Auteur : Jean-François Viot – Mise en scène : Nele Paxinou – Avec : Sophie Lajoie et Jean-Marie Pétiniot – Assistant à la mise en scène : Jean-François Viot – Costumes : Sylvie Van Loo – Création lumières : David Taillebuis – Décors : Adrien Dotremont, Aline Claus, Isis Hauben

Résumé

Août 1914. Jean Martin, instituteur d’un petit village auvergnat, doit partir à la guerre. Il quitte son épouse Elise et leurs deux enfants. Les choses commencent bien : il retrouve à la caserne ses compagnons de service militaire. Le soir, il adresse une première lettre à Elise. Elle lui répond. Et bientôt, à travers leurs échanges, se raconte leur histoire, le comique et le tragique des années de conflit, de l’amour à la révolte, de la tendresse au désespoir. « Lettres à Elise » offre un témoignage bouleversant sur la Grande Guerre et propose, loin des hommages officiels et des grands faits de l’Histoire, un drame familial intime et touchant. L’occasion aussi de découvrir comment les femmes ont pris en charge toutes les tâches de la société, que ce soit le travail à la ferme ou l‘éducation des enfants, comme Elise qui remplace son mari instituteur.

Lisbeths

Distribution

Auteur : Fabrice Melquiot – Mise en scène : Georges Lini – Avec : Isabelle Defossé et Georges Lini – Regard extérieur : Michel Kacenelenbogen – Assistanat à la mise en scène : Nargis Benamor – Création sonore : Sébastien Fernandez – Création lumières : Nicolas Marty – Scénographie : Thibaut De Coster et Charly Kleinermann

Résumé

Elle a fait irruption quand il n’attendait plus rien. A plus de quarante ans, habitué au pressing et guettant les premiers rhumatismes, Pietr se contentait de brèves aventures. Il avait aimé aussi, il y a longtemps, et en avait trop bavé. Et puis, représentant de commerce, ce n’est pas un métier pour être en couple, on n’est jamais là. Mais Lisbeth a surgi malgré tout. Ils se plaisent et se manquent. Rapidement, ils décident de faire un enfant, à La Rochelle, face à l’océan, dans un hôtel. Elle est partie avant lui et l’attend sur le quai de la gare. Le TGV de Paris arrive et quand il descend du train, il voit cette femme qui vient vers lui, tout sourire, toute lumière. Ce n’est plus Lisbeth, c’est une autre Lisbeth. C’est une inconnue…

Mas-Sacre

Distribution

Auteur : Maria Clara Villa Lobos – Chorégraphie et conception : Maria Clara Villa Lobos – Avec : Jo Heyvaert, Barthélémy Manias, Coral Ortega, Clément Thirion – Musique : Igor Stravinsky – Scénographie et costumes : Frédérique de Montblanc – Analyse musicale et rythme : Michel Debrulle – Montage sonore : Gaëtan Bulourde – Vidéo : Lucas Racasse assisté de Robin Yerlès – Régie : Jean-François Dubois – Régie vidéo : Robin Yerlès

Résumé

Maria Clara Villa Lobos revisite le « Sacre du printemps ». Le ballet mythique fut qualifié de « Massacre du printemps » à sa création en 1913 à cause de l’aspect avant-gardiste de la chorégraphie de Nijinsky et de la musique de Stravinsky. Outre un clin d’œil ironique à cet événement, Maria Clara Villa Lobos revient ici à son sujet de prédilection : la société de consommation et ses dérives. Avec l’humour qui la caractérise, elle porte un regard critique sur les abus de l’industrie alimentaire qui traite les animaux comme des objets. Les danseurs incarnent les employés à la chaîne d’une usine à viande, mais aussi les machines elles-mêmes, voire les gallinacés qu’ils décortiquent… Créant des liens entre la chair humaine des danseurs et celle des animaux manipulés sur scène, le spectacle questionne notre rapport à la viande en tant que simple produit de consommation. Dans un dispositif alternant images projetées et chorégraphie, « Mas-Sacre » explore et s’approprie le grand classique de Stravinsky avec un regard actuel et volontairement provocant ! Une œuvre inclassable entre chorégraphie, performance et happening, qui a rencontré un vif succès au Festival Off d’Avignon en 2014.

Money !

Distribution

Auteur : Françoise Bloch / Zoo Théâtre – Ecriture collective – Mise en scène : Françoise Bloch – Avec : Jérôme de Falloise, Benoît Piret, Aude Ruyter, Damien Trapletti – Collaboration artistique : Benoît Gillet – Vidéo : Benoît Gillet, Yaël Steinmann – Lumières : Marc Defrise – Scénographie : Johan Daenen – Assisté de : Johanna Daenen – Aide à la réalisation sonore : Jean-Pierre Urbano – Costumes : Patty Eggerickx – Direction technique et régie vidéo : Benoît Gillet – Assistanat à la mise en scène : Judith Ribardière – Assistanat à la mise en scène sur les ateliers : Cécile Lécuyer – Stagiaire à la mise en scène : Nicole Stankiewicz – Régie lumières : Gaspard Samyn – Régie son : Eric Ronsse, Cédric Otte – Coiffeuse : Marie Messien – Délégués de production : Michel Van Slijpe, Françoise Hansoul – Relations avec les publics : Anne-Sophie Sterck – Assistante Zoo Théâtre : Laurie-Anne Vanbléricq – Diffusion : Habemus Papam, en collaboration avec le Théâtre National/Bruxelles – Avec l’aide : des équipes techniques de l’Aula Magna et de l’Atelier Théâtre Jean Vilar

Résumé

Tout ce que vous ne saurez jamais sur l’argent parce que personne ne vous le dira et d’ailleurs mieux vaut ne pas le savoir, parce que si on savait, ce serait pire… On va parler de banque, d’économie et de votre argent. Et vous allez rire, d’un rire salvateur et libérateur. Car la manière de traiter le sujet est ludique, inédite, intelligente, et cela fait un bien fou… Après « Grow or go » et « Une Société de services », Françoise Bloch et sa compagnie Zoo Théâtre poursuivent leurs recherches sur les rapports entre théâtre et réalité. A chaque fois, en filigrane, c’est la mécanique du profit qu’ils interrogent ; une mécanique qui semble nous échapper mais dont nous sommes pourtant tous acteurs. Fruit d’une écriture collective sur base documentaire (interviews, enquêtes, films), « Money ! » tente de comprendre le fonctionnement des banques. Rompus aux discours des économistes, se jouant de leur vocabulaire et de leurs postures, quatre comédiens sont tour à tour banquiers et clients, gourous de la finance et simples citoyens, travailleurs et réviseurs d’entreprise. Musiques, vidéos et chorégraphies à roulettes complètent ce collage scénique plein de contrastes et d’énergie.

Neige sur Bombay

Distribution

Cie Albertine – Écriture et mise en scène : Geneviève Damas – Avec : Sandrine Bonjean et Sacha Kremer

Résumé

Bernard et Sylvie sont à leur cinquantième représentation du spectacle « Neige sur Bombay », une jolie histoire pleine de jolis personnages et de jolies intentions. Seulement, depuis le matin, Bernard se pose des questions : c’est quoi le théâtre ? C’est quoi la vie ? Tout cela va chambouler la représentation au grand dam de Sylvie. Exit le sapin, le père Noël et tout le bazar. Et c’est parti pour une fable avec une petite princesse qui ne ressemble à personne, un jeune intouchable orphelin, un Maharadjah qui ne connaît pas son royaume et une maman qui veut protéger son enfant à tout prix. Un spectacle mêlant humour et réflexion, acteurs et marionnettes, paroles et musique. Création en août 2015 au Festival de Huy, première date de tournée !

Reste la lumière (nouvelle création)

Distribution

Auteur : Angélique Ionatos – Avec : Angélique Ionatos (chant et guitares), Gaspar Claus (violoncelle), Katerina Fotinaki (guitare) – Son : Thierry Legeai – Lumières : Ingrid Chevalier

Résumé

Avec une vingtaine d’albums et au moins autant de spectacles à son actif, Angélique Ionatos est devenue une figure incontournable et singulière de la scène internationale. La chanteuse, guitariste et compositrice qui partage sa vie entre la Grèce et la France, résiste aux étiquettes grâce à son parcours éclectique et passionné. A vingt ans, Angélique Ionatos plonge dans l’œuvre des poètes grecs. Elle met ainsi en musique les mots du Prix Nobel Odysseus Elytis, de Sappho… mais elle ne se limite pas au panthéon des auteurs hellènes. Elle compose aussi sur des textes de Pablo Neruda, de Frida Kahlo ; elle chante Colette, Baudelaire. Toujours avide de nouvelles expériences artistiques, elle compose en 1997 un opéra pour le jeune public d’après un conte d’Oscar Wilde. En 2012, elle crée un spectacle en hommage à la Grèce « Et les rêves prendront leur revanche… » Avec son nouvel opus « Reste la lumière », elle témoigne en filigrane d’un discours politique porté par la vision d’une Grèce sous pression. Son engagement est celui de l’ouverture, de l’acceptation des angoisses pour mieux les combattre, notamment par la transmission de sa culture natale. Une œuvre sombre mais pleine d’espoir transcendée par la force de ses convictions. Nous sommes très heureux d’accueillir cette grande dame de la musique pour la première présentation en Belgique de son nouveau spectacle. Une date unique à Louvain-la-Neuve et une occasion en or de vibrer avec Angélique Ionatos.

Six pieds sur terre

Distribution

Auteur : Jean-Luc Piraux – Mise en scène : Olivier Boudon – Interprétation : Jean-Luc Piraux – Conseils en dramaturgie : Anne-Marie Loop, Marianne Hansé, Didier De Neck, Olivier Boudon – Costumes : Odile Dubucq – Décor : Raphaël Rubbens – Création lumières : Marc Defrise – Assistante à la création; production et diffusion : Brigitte Petit

Résumé

Parti à la rencontre de personnes du troisième âge et plus, Jean-Luc Piraux nous livre ses battements intérieurs, ses angoisses et ses peurs, rationnelles ou irrationnelles, contre lesquelles le rire reste un excellent remède. En chatouillant dans les creux de l’estomac et en ouvrant haut les cœurs, « Six pieds sur terre » respire la vie à pleins poumons ! « Les questions touchant à la fin de vie sont globalement toutes douloureuses, mais on peut les aborder de façon ludique ou tragi-comique. Et donc, amener du rire, du jeu ou de la légèreté dans ce décor d’apparence dramatique. » Jean-Luc Piraux

Tu te souviendras de moi

Distribution

Auteur : François Archambault – Adaptation du français québécois : Patrice Mincke – Mise en scène : Patrice Mincke – Assistante à la mise en scène : Aurélie Trivillin – Avec : Sandrine Bonjean (Isabelle), Laurie Degand (Bérénice), Jo Deseure (Madeleine), Benoît Verhaert (Patrick), Alexandre von Sivers (Edouard) – Scénographie et costumes : Ronald Beurms – Lumières : Alain Collet – Décor sonore : Laurent Beumier – Vidéo : Sébastien Fernandez – Figuration vidéo : Nicolas Lamant (le cadreur), Nell Lambert (Nathalie), Elisa Mincke (Isabelle enfant), Patrice Mincke (le réalisateur), Chloé Struvay (Madeleine jeune), Aurélie Trivillin (la preneuse de son) – Remerciements pour le tournage : Hôtel Ibis Louvain-la-Neuve – Régie lumières : Mathieu Bastyns, Benoît Ausloos – Régie son et vidéo : Eric Degauquier – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy, Louis Eylenbosch – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Régie générale : Manu Maffei – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Pourquoi un homme se souvient-il des détails de guerres lointaines, mais ne reconnaît-il pas une personne rencontrée la veille ? Pourquoi oublie-t-il ce dont il aimerait se rappeler, mais ne parvient-il pas à occulter ce qu’il voudrait oublier ? Edouard, ex-professeur d’université brillant et médiatisé, est atteint d’Alzheimer. Il le sait, en souffre, en joue aussi. Lui qui était un « pater familias » un peu écrasant, devient peu à peu un petit vieux fragile, drôle ou cruel malgré lui, un fardeau pour son entourage. Qui peut, qui doit s’occuper de lui ? Sa femme, sa fille, son nouveau gendre, des inconnus ? François Archambault est un auteur canadien à qui l’on doit une douzaine de pièces dont « La Société des loisirs », récompensée du Masque du Meilleur texte original en 2003. Quatre ans plus tard, Patrice Mincke met en scène cette pièce en Belgique. Aujourd’hui, c’est lui aussi qui monte « Tu te souviendras de moi ». Lauréat du Prix Huisman en 2011, Patrice Mincke joue et met en scène des spectacles au Théâtre de Poche, au Public, au Théâtre des Galeries, à Villers-la-Ville… Mais ce sera une première pour lui à l’Atelier Théâtre Jean Vilar !

Un Conte d’hiver

Distribution

D’après : William Shakespeare – Adaptation et mise en scène : Georges Lini – Assistante à la mise en scène : Nathalie Huysman – Avec : Julien Besure (Florizel), Anne-Pascale Clairembourg (Hermione), Didier Colfs (Polixènes), Michel de Warzée (le Berger), Daphné D’Heur (Paulina), Itsik Elbaz (Léontès), Louise Jacob (Mamilius / le Temps ), Thierry Janssen (Antigonus / le Clown), Sarah Messens (Perdita), Luc Van Grunderbeeck (Camillo) – Scénographie et costumes : Renata Gorka – Chant : Daphné D’Heur – Lumières : Alain Collet – Vidéo et son : Sébastien Fernandez – Régie lumières et vidéo : Manu Maffei – Régie son : Eric Degauquier – Régie plateau : Jean-Philippe Hardy – Habilleuse : Emmanuelle Froidebise – Direction technique : Jacques Magrofuoco

Résumé

Polixènes, le roi de Bohême, rend visite à son ami Léontès, le roi de Sicile, lorsque soudain une jalousie féroce, aussi inexplicable que destructrice, s’empare de Léontès. Il soupçonne Polixènes d’avoir eu une relation adultère avec sa femme Hermione, enceinte jusqu’aux yeux ; l’enfant ne serait pas le sien. Dans le tourbillon dévastateur qui l’emporte, Léontès ordonne l’exécution de son ami, l’emprisonnement de son épouse et l’exil de la fillette à laquelle elle donne naissance. Seize ans plus tard, on retrouve l’enfant dans sa famille adoptive. Comble du destin, la jeune fille est courtisée par le fils de Polixènes… « Le Conte d’hiver » est l’une des dernières pièces de William Shakespeare et parmi les plus mystérieuses et extravagantes du dramaturge anglais : une suite de rebondissements incroyables, une ellipse de seize ans, un retournement de situation digne d’un conte de fées en font une œuvre à part.

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